Jeannot et Colin, et autres contes philosophiques

À propos

Jeannot et Colin sont inséparables. Pourtant, lorsque Jeannot apprend que son père a fait fortune et qu'il le somme de monter à Paris, il quitte son ami sans le moindre regret. La tristesse accable le bon Colin, resté au pays. L'amitié saura-t-elle vaincre les préjugés sociaux ?

Voici onze contes mordants dans lesquels on croise des fakirs, une princesse amoureuse d'un porteur borgne, un fils de prince aux prises avec sa conscience... Entre Orient et Occident, Voltaire raconte avec malice les absurdités et les bonheurs du monde.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Voltaire

  • Éditeur

    J'ai Lu

  • Distributeur

    Flammarion

  • Date de parution

    28/08/2013

  • Collection

    Librio

  • EAN

    9782290080146

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    79 Pages

  • Action copier/coller

    Non

  • Action imprimer

    Non

  • Partage

    Dans le cadre de la copie privée

  • Nb Partage

    6 appareils

  • Poids

    1 177 Ko

  • Diffuseur

    Flammarion

  • Entrepôt

    Eden Livres

  • Support principal

    ebook (ePub)

  • Version ePub

    2.0.1

Navigation

Table des matières adaptable Un sommaire est présent dans le contenu du livre, ce qui permet de l'utiliser avec un affichage adapté.

Voltaire

1694-1778. Dernier enfant d'un riche notaire, Voltaire fait ses études chez les Jésuites et fréquente la haute société libertine. A la suite d'une altercation avec le Chevalier de Rohan, il s'exile en Angleterre où il découvre la philosophie de Locke (1726-1729). Il partage ensuite la vie de Mme du Châtelet, puis rentre à Paris où il mène une carrière de courtisan avant de tomber en disgrâce. De 1750 à 1753, il voyage à la cour de Berlin et se brouille avec Frédéric II. Enfin, en 1760, il s'installe à Ferney, sur la frontière franco-helvétique et en compagnie de Mme Denis, il règne sur un millier d'âmes, se fait agriculteur, architecte, fabricant de montres et de bas de soie. En 1778, il revient à Paris: le peuple de la capitale l'accueille avec un tel enthousiasme que certains historiens voient dans cette journée du 30 mars la première des "journées révolutionnaires".
On le croyait dramaturge; de nos jours, son théâtre est oublié mais il nous reste 1500 lettres, un Dictionnaire philosophique et une trentaine de contes. Il nous reste son intelligence, son ironie, sa rosserie, sa générosité et sa fantaisie. Maître de l'humanisme, il a collaboré à l'oeuvre de civilisation par sa lutte contre toutes les oppressions, au nom du bien-être, de la justice et de la libre pensée.

empty