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Bernard Noël
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« Je désirais depuis longtemps écrire un texte érotique dépourvu de la violence traditionnelle et tout dans la tendresse... », dit Bernard Noël. Voici ce monologue inédit, et merci à lui de nous l'avoir confié : toutes les phrases commencent par Elle......
Le travail de Bernard Noël est de longtemps marqué des grandes ombres de Sade et Bataille. Voir L'Outrage aux mots, préface au Château de Cène, voir sa Maladie de la chair. Ou sur tiers livre.
Le travail du monologue, comme dans le Syndrome de Gramsci, est un outil formel que Bernard Noël a poussé, dans notre langue, à une incandescence proportionnelle à ce qu'en fait Thomas Bernhard dans la langue allemande : outil de creusement mental, d'exposition et mise à nu, voir comment Bernard Noël lit Artaud (Le Corps imposthume). Ou l'ensemble des textes de Bernard Noël publiés chez POL.
Le mal de l'espèce a récemment été repris dans le 1er tome Oeuvres complètes de Bernard Noël chez POL, le remercier encore de ce texte confié pour le lancement de publie.net, et quel texte...
FB -
Tranche de vie ; où l'on renoue avec nos anciens plaisirs libertins
Bernard Noël
- Editions Edilivre
- 17 Juillet 2015
- 9782332866592
Un couple, maintenant quinquagénaire, avait fait le choix de mettre entre parenthèses leurs pratiques libertines pour élever leurs enfants. Il renoue avec celles-ci, au hasard d'une improbable rencontre.
Si tant est qu'il soit vrai que rien ne soit interdit, en amour, entre adultes consentants, il est une règle qui ne devrait jamais être transgressée, quelles que soient les circonstances.
Cette règle est le respect des uns et des autres, ainsi que l'absolue confiance qui doit exister entre les différents partenaires. La recherche du plaisir de la chair est à ce prix et ne devrait jamais y déroger.
Êtes-vous prêt à les suivre, et, avec eux, explorer le vaste et insondable territoire de la jouissance ?
Serez-vous capable, sans fil d'Ariane, de visiter ce labyrinthe que composent les « jardins des délices », de repaître vos sens des fruits de la luxure, sans craindre d'y perdre votre âme ?
Alors, qu'attendez-vous ?
Suivez-les ! -
Empereurs romains et les cités d'Afrique du II au III siècle ap. J.-C.
Noël christian-bernard Obiang nnang
- Editions L'Harmattan
- Études africaines
- 9 Octobre 2015
- 9782296477735
L'Afrique romaine force l'admiration, compte tenu de la présence romaine par les vestiges qu'elle a laissés. De nombreux témoignages épigraphiques et archéologiques permettent de comprendre la vie que les Romains ont menée en Afrique aux côtés des populations de l'ancienne puissance carthaginoise. Cette étude montre les rapports que les princes romains et les cités ont pu avoir durant cette période.
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Les écrits. No. 129. Août 2010
Madeleine Gagnon, Monique Proulx, Denise Desautels, Kraxi, Bernard Noël, Bertrand Rouby, Jean-philippe Gagnon, Alex I-lemon
- Les écrits de l´Académie des lettres du Québec
- 14 Octobre 2015
- 9782924558140
La littérature n'est jamais aussi présente que lorsqu'elle se projette dans un avenir incertain... Madeleine Gagnon et Monique Proulx ouvrent ce numéro par les textes des conférences qu'elles ont lus à la 38e Rencontre québécoise internationale des écrivains qui portait sur le futur. Les auteurs réunis dans cette édition emboîtent le pas: Denise Desautels, Kraxi (Marcel Bélanger), Bernard Noël, Bertrand Rouby, Jean-Philippe Gagnon, Alexis Lussier, Alain Fleischer, Nathalie Stephens, Nicolas Pesquès, Roland Bourneuf, Renaud Longchamps, Jean-Claude Brochu, Claudine Bertrand et Danielle Fournier. Explorant les relations entre l'inquiétude, l'émerveillement et l'horreur, les oeuvres de l'artiste David Moore, reproduites dans ce numéro, font écho aux textes tendus vers l'inconnu.
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Nécessité de la colonisation de l'Algérie - Et du retour aux principes du christianisme
Noel-Bernard Baillet
- Collection XIX
- 20 Octobre 2016
- 9782346118922
La colonisation de l'Algérie est pour nous une nécessité sociale, politique et pressante ; elle est, avec le retour sincère aux idées religieuses et à leur mise en pratique, le plus sûr moyen d'assurer la tranquillité de nos descendants.En voyant la France telle qu'elle est constituée de nos jours, avec sa brillante et immense capitale, ses grandes villes, ses bourgs, ses nombreuses communes rurales, ses ports, ses canaux, ses grandes routes, ses chemins de fer qui la parcourront bientôt dans toute sa superficie, ses riches cultures, son commerce et son industrie ; en présence du luxe effréné, dont l'exemple descend de Paris aux grandes villes, et de là à celles moins considérables, puis aux campagnes ; en présence de ces idées générales d'un bien-être ignoré jusqu'à nos jours, de liberté et de progrès ; en présence d'une telle apparence de richesse, avec un gouvernement qui, en moins de cinq minutes, transmet et fait parvenir ses ordres sur les points les plus éloignés du territoire à ses préfets, à ses généraux et à tous ses agents ; en voyant toutes ces merveilles, bien des gens sont portés à considérer comme ridicule ou comme émanant d'un cerveau malade cette proposition que la colonisation de l'Algérie est pour nous une nécessité absolue.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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Il y a quinze ans à peine, on se refusait, en France, à croire que l'Algérie nous resterait d'une manière définitive ; bien des gens en désiraient l'abandon, pour mettre un terme aux sacrifices qu'elle nécessitait depuis 1830.... A ceux qui parlaient de coloniser ce pays (comme ressource indispensable de l'avenir), pour y attirer, avec le temps, le trop plein de nos populations, pour s'y occuper d'agriculture..., on opposait l'insalubrité du climat, on regardait comme des rêveurs ceux qui vantaient la fertilité du sol, l'immense parti qu'on pourrait tirer de sa culture.Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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Spirale. No. 276, Été 2021
Louis-Daniel Godin, Stephane Martelly, Chloe Savoie-Bernard, Alex Noel, Fanie Demeule, Natasha Bissonauth, Martine Delva
- Spirale magazine culturel inc.
- 22 Septembre 2021
- 9782924359440
Qui sont nos héroïnes? Comme l'explique Chloé Savoie-Bernard, directrice du dossier « Héroïnes » de ce numéro de la revue Spirale: « nous avons souhaité revenir à cette figure qui engage à réfléchir aux exceptions, aux modèles, à celles qui forcent l'aspiration en se demandant à quel type d'émulation elles enjoignent ». Avec les contributions de Chloé Savoie-Bernard, Alex Noël, Fanie Demeule, Natasha Bissonauth, Martine Delvaux, Myriam Charles, Stéphane Martelly et Florence Ashley. Le portfolio visuel est, quant à lui, consacré à Nadège Grebmeier Forget, dont la présentation est signée par Didier Morelli, alors que Louis-Daniel Godin s'intéresse aux liens entre écologie et psychanalyse dans la rubrique « Psychanalyse du présent. Ce numéro contient également des critiques dédiées au récit, au roman, à l'essai, à la bande dessinée et au théâtre signées par Étienne Bergeron, Laurence Pelletier, Ginette Michaud, Sophie Drouin, Laurence Perron, Thara Charland, Nicolas Lévesque, Katrie Chagnon, Isabelle Décarie, Khalil Khalsi, Luba Markovskaia, Pierre Popovic, Emmanuel Dellile, Camille Toffoli et François Jardon-Gomez. (source : Spirale)
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Moebius. No. 179, 2023
Laura Doyle Pean, Alex Noel, Marilou Craft, Chloe Savoie-Bernard, Danus, Antoine Beauchamps, Eve Nadeau, Ismaelle Rose C
- Moebius
- 21 Décembre 2023
- 9782924781531
La revue de création littéraire Moebius invite des auteur·rices à écrire en s'inspirant de la citation-thème tirée de femme-rivière de Katherena Vermette (traduction de Rose Després), «Nous pouvons enfin laver nos blessures».
«nous pouvons enfin laver nos blessures». Le verdict tombe comme un soulagement, aussi minime soit-il, dans le recueil femme-rivière de Katherena Vermette. À moins qu'il s'agisse plutôt d'un espoir. Laver n'est pourtant pas guérir. Laver sa blessure est nécessaire pour qu'elle guérisse, pour qu'elle cicatrise. Il faut en retirer la terre et la roche, la rincer. C'est un geste préalable à la guérison. Le point de départ du processus. Combien d'années de poussière s'accumulent dans cet «enfin»? Et surtout, qu'a-t-il été nécessaire de faire pour arriver à les déloger?
Pour laver les blessures, encore faut-il avoir accès aux ressources qui permettent de le faire, à commencer par l'eau. Dans un monde blessé par le colonialisme, les violences étatiques et sexuelles, la crise écologique, trouver un instant de répit pour laver sa blessure ne va pas de soi. Trop souvent nous ne faisons que passer d'une blessure à une autre. Nous ajoutons une fatigue sur une fatigue, un chagrin sur un chagrin, une crise sur une autre.
L'inventaire de nos blessures collectives fut entamé dans le numéro double Depuis la crise(no 168-169, hiver 2021). Les blessures collectives demandent une guérison collective, et nous souhaitons ouvrir ici un espace pour penser ce qui suit, ce qui arrive lorsque nos blessures ne sont pas nettoyées, ce qui arrive à l'eau qui a servi à les laver. Est-ce que le texte la recueille? Quel rôle joue-t-il dans tout cela? Les vers permettent-ils de traverser cette zone grise entre le nettoyage et la cicatrisation, ou viennent-ils ronger les points de suture, gardant à jamais la plaie ouverte? -
DU PLACEMENT A L'ACCUEIL FAMILIAL : De l'enfant objet des institutions à l'enfant sujet
Bernard Balas, Noel Rousseaux
- Editions L'Harmattan
- Placement familial et familles d'accueil
- 9 Octobre 2015
- 9782296422315
Les auteurs ont une double problématique, tout d'abord ils utilisent la sociologie pour dresser un historique conceptuel de la notion de famille et montrent comment l'institution du placement d'enfants se sert des particularités des familles d'accueil à des fins de récupération et de contrôle social et d'autre part, ils se référent à la psychologie et plus particulièrement à la systémie.