Filtrer
Support
Éditeurs
- Atelier De L'Agneau (6)
- La Difference (4)
- ATELIER DE L'AGNEAU (2)
- Belfond (réédition numérique FeniXX) (2)
- LE PRE NIAN (2)
- TAILLIS PRE (2)
- BOUM BOUM TRALALA (1)
- ERCEE (1)
- Espace Nord (1)
- Grasset (réédition numérique FeniXX) (1)
- L'AIR DE L'EAU (1)
- L'Arbre A Paroles (1)
- LABOR (1)
- LE FRAM (1)
- La Pierre D'Alun (1)
- MONT ANALOGUE (1)
- PIERRE D'ALUN (1)
Langues
Prix
Jacques Izoard
-
Cette compilation de l'oeuvre poétique de Jacques Izoard est l'occasion de revenir sur l'univers dense et passionné du poète liégeois. Son oeuvre aspire à un sensualisme total qui prend sa source et converge vers l'autre, qu'il soit cet écrivain qui l'inspire ou cette inconnue qu'il contemple et admire. Izoard donne à voir le rapport pulsionnel qui lie le sujet aux autres et au monde. Sa poésie explore le continent à la fois bien connu et insondable du corps que l'on peut décrire et éprouver sans jamais en connaître les secrets. L'écriture elle-même témoigne de cette insolubilité, et emploie les mêmes mots jusqu'à l'usure, reprend les mêmes interrogations, rejoue les mêmes affrontements pour tenter de percer le mystère de cet obscur sujet de désir.
-
Livre à deux voix sur la quête de l'impossible fusion, est-ce le peintre qui répond au poète ou l'amant qui répond à l'amant ? " qui cherche trouve.
Mais que cherche-t-on ? que cherches-tu ? la nouvelle pierre de rosette, le talisman de ben laden, le caillou philosophal, ou le coeur d'or du soleil ? non ! tu lacères ta propre ombre, ta double peau d'animal et d'humain. ".
-
Jacques Izoard aimait tout particulièrement travailler avec des artistes. Quand il rencontre Martin Vaughn-James qui vient vivre à Bruxelles, il propose d'écrire un livre avec lui. L'artiste lui donne des dessins qu' Izoard illustre par des textes. Rencontre qu'on dira inattendue. Devant ces oeuvres empreintes d'une certaine violence, il quitte son monde minuscule. Ce livre a été publié une première fois en 1982 par /'Atelier de l'agneau en Belgique. La couverture est le facsimilé de cette édition. Extrait de leur bibliographie à !'Atelier de l'agneau : Jacques Izoélrd «Bègue, bogue, borgne» Martin Vaughn-James, «Après la bataille»
-
Recueil autour de la ville natale du poète, Liège, où il chante son amour pour la ville, sa banlieue, ses escaliers...
-
Osmose perpétuelle ; 4 entretiens
Jacques Izoard
- Atelier De L'Agneau
- Archives
- 11 Septembre 2010
- 9782930440293
-
Lettres ; dédicaces à des amis
Jacques Izoard
- Atelier De L'Agneau
- Archives
- 8 Septembre 2009
- 9782930440170
«Poète facétieux, sensuel et tourmenté», titrait Le Monde du 24 juillet 2008, où René de Ceccatty célébrait Jacques Izoard à la suite de sa disparition. Trois adjectifs qui lui vont comme un gant que l'on déposerait sur la main levée ci-contre ! Les lecteurs s'en rendront encore mieux compte en lisant le courrier publié ici. Il s'adresse à Michel Nicoletti, Pierre Dhainaut, Michel Valprémy, Bernard Puttemans, Roland Nadaus, Patrick Fraselle, James Sacré, André et Odette Blavier, Jean-Luc Herman, René de Ceccatty, Françoise Favretto. On découvrira aussi les ferments de l'activité qu'il a déployée tout au long de sa vie pour les poètes, que ce soit dans les lieux nombreux où il les invita à Liège, ou en les lisant, les conseillant ; par des lettres qui montraient combien il se souciait vraiment de faire publier les autres.
-
-
Petits crapauds du temps qui passe
Jacques Izoard, Michel Valprémy
- Atelier De L'Agneau
- 25 Mars 2006
- 9782930188959
A l'automne 2004, à sa demande, Jacques Izoard offrit à Michel Valprémy, 81 poèmes inédits et lui laissa la liberté d'en user à ma guise, d'en faire un livre. Il n'y eut donc pas d'échange à proprement parler, de propositions réciproques étalées, étagées dans le temps. Il n'y eut pas de conversations sur le sujet, le projet. Michel Valprémy tenta à la fois de faire réponse aux poèmes de Jacques Izoard (un mano a mano en quelques sorte) et de pénétrer ses poèmes mêmes, d'y suspendre des sortes de " pendeloques ".
-
Vin rouge au poing il faut lire et relire Jacque Izoard. Toute son oeuvre. Aussi souvent que possible. Et ce Vin rouge au poing, le déguster lentement. Tout s'y trouve. La voix qui fait d'une vie une vie d'écriture,, les grands souffles de l'enfance, quand on était nombreux, joueurs et musiciens. Tout vient de là. Lire Jacques Izoard, le découvrir ou le redécouvrir, c'est se réapproprier la dimension magique des mots, faire l'expérience d'une littérature qui n'apporte aucune réponse mais qui ne cesse de surprendre, d'intriguer, d'émerveiller, de titiller. Ses mots se faufilent en nous et, dès le moment où ils s'y trouvent, ils n'en bougent plus. Il ne nous reste alors qu'à les déguster lentement. Comme un très doux vermouth. Mieux : un succulent Chianti.
-
Vêtu, dévêtu, libre
Jacques Izoard
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- 11 Septembre 2015
- 9782714461025
Un lyrisme en charpie peut garder la douceur du bleu. Les textes de Jacques Izoard tentent la réconciliation désespérée : celle des corps unis dans le même vertige, la vie qui passe. On reconnaîtra dans ce recueil les thèmes préférés de l'auteur, ses récifs : les pleins et les déliés ; les nus et les dénudés ; les roueries des corps et les caresses. Vêtu de sa seule haleine, dévêtu de sa peau, le poème nous libère de nous-même.
-
Voix, vêtements, saccages
Jacques Izoard
- Grasset (réédition numérique FeniXX)
- 25 Janvier 2019
- 9782706277627
Ces courts poèmes, d'origines très diverses, qu'explorent-ils ? Celui qui écrit ne peut le dire. Et d'ailleurs, qu'écrire ? Les mots appellent les mots, comme, parfois, le sang appelle le sang, pour le saccage, ou la vie immédiate. Poèmes de la rupture, où la part de jeu est, de temps à autre, évidente. Certains textes refusent toute lecture ; le sens importe peu. D'autres, au contraire, à dessein, avec obsession, à travers chatoiements et voyelles, visitent les lieux les plus communs. Qu'on ne s'y trompe pas ! A force de dire et de redire les mêmes mots, la voix devient blanche, réduite enfin à ce qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être : elle-même. Ici, les souvenirs sont rares et confus. Quelques noms de lieux - Bacharach, le Nalón et les Asturies, Liège et la Meuse, le pays wallon - frêles repères d'une mémoire incertaine, réels cependant. Je n'est pas je, c'est celui qui, celui que. Qu'importe ! La phrase casse, l'encre se perd. Le mot douceur reste le mot douceur, et le corps qu'on décrit est le corps qu'on aime, le sien sans doute. Derrière le mensonge du poème, certains mots, peut-être, évoqueront la vie pauvre, la seule, aujourd'hui, digne d'être vécue.
-
Corps, maisons, tumultes
Jacques Izoard
- Belfond (réédition numérique FeniXX)
- Lignes
- 25 Mars 2020
- 9782714492166
Ici, les poèmes délimitent d'innombrables espaces : le corps - le sien et celui des autres - fait figure de pavois ou de continent proche. Il ne constitue pas un tout, mais une infinité de régions toujours neuves, de petites patries intimes. Le corps, dans la maison, vit dans la coque d'un navire pétrifié. Bien sûr, la maison contient toutes les maisons, avec leurs infimes labyrinthes, leurs corridors sans fin. Paradoxalement, elle englobe aussi le pays tout entier, devenant maison commune, maison de passage. L'on reconnaîtra, dans ces poèmes-ci, la Wallonie et ses paysages en filigrane. Le coeur du livre ne serait-il pas cette incantation où vit la Batte, qui n'est autre qu'un célèbre marché du dimanche matin, à Liège précisément ? Quant aux tumultes, ils ne font qu'aviver vertiges et désastres.
-
Ces poèmes écrits dans les années 70 et publiés une première fois en 1974. C'était son douzième livre.
Jacques Izoard, poète liégeois, publie depuis 1962
-
OEUVRES COMPLETES : poésie Tome 1 ; 1951-1978
Jacques Izoard
- La Difference
- Oeuvres Completes
- 18 Mai 2006
- 9782729116170
-
-
OEUVRES COMPLETES : oeuvres complètes Tome 3 ; poésies 2000-2008
Jacques Izoard
- La Difference
- Oeuvres Completes
- 22 Mars 2012
- 9782729119591
Avec ce troisième et dernier volume s'achève la publication des oeuvres complètes de Jacques Izoard dont les volumes I et II sont parus en 2005, trois ans avant sa mort.
" Professeur de lettres, il publie à vingt-six ans son premier recueil, Ce manteau de pauvreté, sous le pseudonyme auquel il restera ?dèle. Dès lors, il écrit régulièrement d'étranges poèmes, qui allient la description minutieuse d'une réalité quotidienne et familière et les tourments d'un esprit et d'un corps passionnés, parfois même violents, mais aussi doucement blasés. "La folie t'aime à la folie", se disait-il à lui-même. Ses fantaisies stylistiques paraissent dans les titres de ses livres : Voix, vêtements, saccages (1971), La Patrie empaillée (1973), Bègue, bogue, borgne (1974), Vêtu, dévêtu, libre (1978), Frappé de cécité dans sa cité ardente (1980), Le Bleu et la poussière (1998), Dormir sept ans (2001). [...] Pour ses soixante-dix ans, La Différence publiaient dans deux épais volumes ses oeuvres complètes. [...] Admiré par plusieurs générations, il fut imité, car il avait imposé son ton, où se mêlaient l'esprit des comptines à la Max Jacob et une délicieuse mélancolie à la façon d'Apollinaire ou de Supervielle, provocante, douce, érotique, sentimentale, selon l'humeur. Il avait constitué, malgré lui, car il n'avait ni l'esprit de chapelle ni la volonté de diriger quoi que ce soit, une sorte d'école de Liège, où de nombreux poètes, d'Eugène Savitzkaya, avec qui il vécut, à Joseph Orban, en passant par William Cliff, Ben Arès, Serge Delaive, Karel Logist, Philippe Leuckx et tant d'autres, créaient librement à sa suite. [...] Dans Lieux épars, son dernier recueil paru (La Différence, 2008), Izoard montrait ce qu'il devait à une sorte de surréalisme naturel, sexuel et visionnaire, agrémenté d'une faculté d'introspection ironique et discrète. "Grappes de mots ou de lilas, / je vous ensevelirai / dans la lumière du jour / et l'on ne pourra que cesser d'exister." " René de Ceccatty, Le Monde.
-
-
-
-
-
-
-
-