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Prix
Lison Leroy
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LIEUX TRESSOIRS
LISON-LEROY, FRANÇOISE, VOITURIER, MICHEL, NYS-MAZURE, COLETTE
- ROUGERIE
- 28 Mars 2003
- 2000000006086
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ON LES DIRAIT COMPLICE
LISON-LEROY, FRANÇOISE, NYS-MAZURE, COLETTE
- ROUGERIE
- 10 Mars 2003
- 2000000003795
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L'EAU DES FÊTES
EMMANUEL, FRANÇOIS, LISON-LEROY, FRANÇOISE, NYS-MAZURE, COLETTE
- LA BARTAVELLE
- 1 Janvier 1993
- 2000000051093
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ROUGE MISE EN PLIS
LISON-LEROY, FRANÇOISE, NYS-MAZURE, COLETTE, LETORÉ, ANNE
- L'ANE QUI BUTINE
- 9 Juin 2018
- 9782919712182
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HISTOIRE DE PETITE ELLE
LISON-LEROY, FRANCOISE
- LABOR
- POCHES JEUNESSE LABO
- 13 Décembre 1999
- 9782804014223
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EN TRAIN D'ECRIRE
NYS-MAZURE, COLETTE , LISON-LEROY, FRANCOISE , VAN DORPE, IRIS
- DEJEUNERS SUR L'HERB
- 14 Avril 2016
- 9782930433325
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TOUPIE est un recueil de poèmes en légèreté : toupie comme un enfant qui virevolte et parcourt le monde ; toupie comme un escargot, une robe de princesse ou une étoile filante ; toupie tourne, s'envole, voyage ; toupie matière de bois, pèle la planète plus ronde qu'une pomme ; toupie ronde, point, volute dans l'illustration... La toupie dans tous ses états ! avec beaucoup d'humour et d'imagination pour tous les âges. La traduction de ces poèmes nous a bien donné le tournis ! Car toupie se dit "boulboul" en syrien, ce qui signifie «rossignol» en arabe litte´raire et «zizi» en e´gyptien ! Toupie se dit "naHla" en e´gyptien, ce signifie «abeille» en arabe litte´raire ainsi que dans la plupart des langues arabes parle´es. Toupie se dit "trombia" en marocain, qui vient probablement de l'espagnol, nous rappelle la "tromba" - la «trompette» en italien - et tout ce qui arrive «en trombe» dans les langues latines ! Toupie se dit "khazrouf" en arabe litte´raire, un mot relie´ a` d'autres mots qui e´voquent le bois, les jeux d'enfants et le mouvement. Bref ! La traduction du mot toupie en arabe ne tourne pas rond. Golan Haji a choisi le mot boulboul pour le rythme du mot, pour son lien avec la nature, pour l'e´vocation du chant de l'oiseau. L'édition de ces poèmes est accompagnée d'une version sonore en ligne indiquée par un QR code dans le livre papier, disponible dès sa publication en janvier 2023. Catherine Estrade et Mohamed Alarashi seront les voix de la toupie. La mise en scène sonore jouera avec tous les instruments à vents du cazoo au saxophone, et à percussion du triangle au derboukas. Une attention particulière sera portée au rythme pour accompagner les tours et détours de cette toupie en voyage.
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Dans ce nouveau titre de la collection Les baladeurs, on suit un livre, qui se balade et nous balade... jusqu'à se retrouver entre nos mains. Commence alors un long voyage, le livre passant de main en main (dans la camionnette d'un peintre en bâtiment, entre les crocs d'un chien, dans la voiture décapotable d'un ornithologue...). Un livre drôle qui désacralise l'objet-livre.
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Poèmes cueillis dans la forêt de vos yeux
Françoise Lison-Leroy
- Rue du monde
- Une Petite Poignee De Poemes
- 3 Mars 2022
- 9782355046902
40 formes brèves sur ce que le poète sait lire dans les yeux des enfants. Un peu de sa vie cachée, un peu du monde, un peu de ses doutes ou pensées... Chaque texte porte, en guise de titre, le prénom d'une fille ou d'un garçon. Ces poèmes accompagnés de portraits poétisés, à la gouache, par Nathalie Novi, ont été cueillis lors des multiples rencontres poétiques qu'animent Françoise Lison-Leroy avec des enfants.
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"Première parution dans la collection Les carnets, qui se veut terrain de recherche graphique et poétique. Quand les cailloux baladins, casse-cou ou polissons, musiciens, costauds ou mariniers de Françoise Lison-Leroy entrent en collision poétique avec l'"
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Le livret De la terre dans mes poches incarne les joies enfantines du jardinage, du rapport à la terre, la terre nourricière. Première parution dans la collection Matière vivante, qui se veut terrain de recherche poétique permettant de relier les êtres.
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Pierrot de rien
Françoise Lison-Leroy, Anne Leloup
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 20 Septembre 2014
- 9782359840520
Au départ d'un fait réel, la rencontre lumineuse d'une errante d'aujourd'hui, Françoise Lison-Leroy a construit un récit poétique qui court vers une autre présence. Une voie ferrée, un petit bois, la vie sauvage... et cet autel de campagne, dédié à un accidenté de la route.
Ce texte, entre récit et poésie, raconte l'histoire qui naît lorsque le réel éclate et qu'une fuite en avant le remplace, quand le chagrin prend le dessus sur la vie. Il raconte un homme, ou une femme, qui vit de vide et du bruit du train, s'installe dans un petit bois, là où un jeune père est mort d'un accident de la route ; deux histoires bien réelles se croisent. C'est à la lecture des traces de bords de chemin - abris de fortune, cartons empilés, petit bouquet ou photo jaunie... - que ces vies brisées se révèlent. Ces traces ne parlent pas toujours aux vies pressées, il faut l'oeil du poète pour les lire et les comprendre.
Françoise Lison-Leroy construit son récit de ces histoires glanées, elle en fait un « moment en mots » En parallèle, les dessins d'Anne Leloup glanent le temps qui passe : ombre portée, brindilles, traces... de ce qui se passe au ras du sol, que l'on choisit de voir ou de piétiner. -
Les bouloches
Françoise Lison-Leroy, Pascaline Wollast
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 15 Décembre 2012
- 9782359840346
Un homme garde des bouloches au fond de ses poches. Parfois il les tient au creux de la main. Il en aime la rondeur et la douceur. Par elles, il se rassure, reste au monde ou se souvient de l'enfance.
C'est un pe're sous l'oeil de sa fille. Elle le regarde partir. Le moment pre'sent n'a plus prise sur lui. Les souvenirs s'effacent. Et s'il s'agit de l'oubli et de la perte, on lit surtout l'amour et la vie qui unissent ces deux-la'.
Françoise Lison-Leroy offre un texte fort, ou' l'observation de la vieillesse du pe're se teinte tour a' tour d'e'motion, d'humour, de tristesse, et toujours de tendresse. Il y a de l'âprete' dans cette e'criture qui e'vacue tout sentimentalisme et toute complaisance, qui dit les choses comme elles sont.
Pascaline Wollast re'pond par des dessins noirs, emplis de matie're, ou' la terre et le personnage se confondent. Le jardinier, le jardin, les animaux, les bouloches deviennent sous son trait les objets d'une ge'ographie de l'intime. -
Nid. Trois petites lettres à définir.
On a changé de maison, dit le personnage dans un monologue à la fois précis et hâché. Mais pour aller où?? Clinique, maison de repos, pensionnat, prison, monastère... la définition du lieu est floue, mais ce qui est sûr, c'est qu'il est fonctionnel, cadré, défini géométriquement, identique de pièce en pièce... bref, institutionnel. Au fil des fragments poétiques, la géographie de l'espace se dessine et se répète, carrée, divisée. Tangible, elle apporte structure et apaisement. Ramène-t-elle de la sécurité dans la confusion?? ou accentue-t-elle l'impression de malaise, de perte de repères?? L'autrice nous emmène sur ce terrain glissant et, en douceur, nous ouvre les questions d'identité, de quête et de définition de soi.
Dans ce pays, toutes les constructions sont comme celle-ci. Un mur, une chambre, une salle de bain avec les toilettes. Et la douche. Les lavabos sont à l'avant-plan. Et c'est pareil jusqu'au bout de la rue, très loin. Jusqu'au bout du pays.
On reçoit à manger tous les jours. Est-ce que mes parents vont venir me chercher?? Il faudra leur téléphoner.
Le personnage, qu'on devine être un parent - un patient?? -, désorienté, cherche qui il est, qui elle est, perdu dans l'espace de ce lieu inconnu et peut-être aussi un peu perdu dans sa tête, mais chez qui la vie pulse et qui cherche à quitter cet enfermement.
Puis le texte s'ouvre sur une deuxième partie en tu qui brise la solitude du personnage. Quelqu'un est là, qui prend soin et offre un regard extérieur, bienveillant, presque admiratif de cette capacité à re-créer un monde, à faire d'un espace clos un lieu de vie. Lieu de repli, certes, mais lieu où les frontières s'abolissent et où la liberté se déploie.
Françoise Lison-Leroy nous entraîne dans un monde où les mots font corps, où l'écriture dévoile une part d'ombre. Avec la farouche volonté de ne pas tout dire, elle nous donne à voir les méandres des pensées d'un parent malade, de la vieillesse qui a parfois des sursauts de fougue de l'enfance. Elle donne au texte son propre moteur et nous laisse, comme lecteur, le soin de tisser des liens ou, mieux encore, de rassembler les fines brindilles d'un nid à construire.
Les monotypes de Pascaline Wollast accompagnent les poèmes d'un trait juste et évocateur. Elle fait affleurer la solitude, le désarroi mais aussi la rencontre et le lien qui libère. -
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Les blancs pains
Diane Delafontaine, Françoise Lison-Leroy
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 8 Mars 2019
- 9782359841060
Faire ses blancs pains, au Pays des Collines, c'est pétrir le drap du lit comme pour préparer une offrande pour l'au-delà. Ce geste annonce alors que la mort est proche et que le mourant, doucement, se prépare.
En trois textes qui s'enchaînent, Françoise Lison-Leroy interroge la place prise par chacun dans sa famille, les présents comme les absents, ceux à la longue vie ou les enfants partis trop tôt. Comme cette tante de deux ans, emportée par la fièvre dans un temps où la vie des enfants était plus fragile.
Au cimetière du village, sa tombe côtoie celles d'autres enfants ; un respect sacré, partagé, inné, entoure ce petit coin du cimetière. Sa présence habite les pensées et les promenades de l'auteur. Évocations légères, souvenirs, bribes glanées au fil des pérégrinations, mémoire de la famille... ce qui reste de vie pour ceux qui grandissent. Précédée par cet enfant, l'auteure se sent aussi portée par celle qui lui offre alors une bienveillante attention. Elle tisse un monde où les sentiments se transmettent par delà les mots.
Diane Delafontaine accompagne ce texte d'images qui, elles aussi, s'ancrent au passé comme au présent. Une manière de faire le lien et de donner au texte une tonalité faite de photos anciennes et de retouches à l'encre.
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C'est pas un jeu
Françoise Lison-Leroy, Jean-Claude Saudoyez
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 4 Mars 2008
- 9782930223865
Nous voilà prévenu, c'est pas un jeu ! Ni les personnes évoquées, ni les gestes posés, ni la parole du poète... La vie est au-delà du jeu, plus précieuse et plus grave. Cruelle aussi parfois dans le sourire que les mots provoquent.
Et le poète, comme le sculpteur, évoque la part d'étrangeté qui façonne l'humanité.
Le livre est composé d'un ensemble des quatre textes : C'est pas un jeu - Le bleu ciel n'embellit personne - Jean et Julia - L'aveu, l'envol.