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Suite à un terrible accident, le pianiste Stephen Orlac perd l'usage de ses deux mains. Un chirurgien se propose de lui en greffer une nouvelle paire, avec succès. Quand de mystérieux crimes se produisent dans son entourage, un horrible soupçon naît dans son esprit... Un classique de la littérature fantastique, maintes fois adapté au cinéma et enfin réédité.
Stéphen Orlac est un pianiste virtuose de renommée internationale. Grièvement blessé à la tête et privé de l'usage de ses mains à la suite d'un accident de chemin de fer, il voit sa carrière et sa vie s'effondrer en un instant. L'espoir lui est rendu par la rencontre inespérée d'un chirurgien qui lui greffe une nouvelle paire de mains.
Très vite, cependant, Orlac est hanté par d'horribles hallucinations. Ses mains semblent animées de pulsions autonomes. Et si, au lieu d'appartenir à un compositeur décédé, ces appendices avaient été prélevés sur un assassin fraîchement guillotiné ? Tandis que les crimes se multiplient, Rosine, son épouse, mène l'enquête...
Paru en 1920, Les Mains d'Orlac est rapidement devenu un classique de la littérature fantastique, adapté à quatre reprises au cinéma. Maître de l'horreur et du mystère, Maurice Renard y combine fantastique, occultisme et roman policier avec un art unique du suspense. -
" Une variation brillante sur le thème du savant fou. " Augustin Trapenard, Elle
Voilà quatre ans que Nicolas n'a pas vu son oncle, qui a bien changé depuis leur dernière entrevue. Son domaine des Ardennes semble abriter de nombreux secrets... Que se passe-t-il dans la serre ? Et comment expliquer le comportement étrange d'Emma, hébergée par son vieil oncle ?
Nicolas ignore encore où il s'est aventuré. Sa visite du domaine lui en donnera un apercu glacant : y vivent des êtres victimes d'hybridations et de greffes monstrueuses. Des spécimens qui semblent défier les simples frontières entre hommes, animaux... et même végétaux. Le savant fou qui les a créés, le docteur Lerne, est-il le " sous-dieu " qu'il prétend être ? Est-il sur le point de réussir la " transfusion des âmes " ?
Apollinaire a loué le " talent magique " de Maurice Renard, " dont l'art doue de vraisemblance les miracles les plus invraisemblables ", qualifiant Le Docteur Lerne (1908) de " roman subdivin des métamorphoses ". Dans la lignée de L'Île du docteur Moreau, ce chef-d'oeuvre méconnu du fantastique francais n'a en effet rien à envier aux oeuvres de H. G. Wells.