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Alphonse Daudet
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Edition enrichie (Préface, notes, annexes, chronologie et bibliographie)Le Nord de la France, noyé dans les brumes, ignorait le Sud. Alphonse Daudet le lui fit découvrir par ses Lettres de mon moulin. La Provence, celle de la mer et celle de la montagne, est apparue soudain avec ses troupeaux, ses belles Arlésiennes et ses parfums.
Un siècle plus tard, maître Cornille et son secret, la mule du pape qui retient son coup de pied, le curé de Cucugnan, le sous-préfet aux champs, tous ses personnages vivent encore avec la même intensité. Tristes ou gais, mélancoliques ou satiriques, ces petits textes sont des chefs-d'oeuvre de malice, de poésie et d'émotion. -
Édition enrichie (Préface, notes, commentaires sur l'oeuvre et chronologie)Cette première oeuvre d'Alphonse Daudet (1840-1897) puise largement sa matière dans la biographie de l'écrivain. C'est bien lui, ce Daniel Eyssette, enfant du Midi exilé dans la brume lyonnaise après la faillite paternelle, qu'un professeur appelle avec dédain « le petit Chose ». C'est lui encore, ce pion de collège terrorisé par ses élèves, puis ce jeune homme pauvre, partagé entre rêves de gloire et tentations féminines, errant sur le pavé de la capitale... De même, le terrible M. Viot, surveillant général, la malheureuse servante dite « les yeux noirs », la négresse Coucou-Blanc ou le tendre frère aîné, surnommé « Mère Jacques », ont-ils le relief et la saveur de la vie.
Proche à certains égards du naturalisme, sa peinture des collèges et de la bohème littéraire possède cependant la touche d'humour et de poésie qui a fait le succès des Lettres de mon moulin. Roman d'une enfance humiliée, porteur d'une vision sociale sombre et d'une morale ambiguë dont se souviendra Jules Vallès, Le Petit Chose demeure un classique, entre Dickens et Zola.
Edition de Louis Forestier.
Préface de Paul Guth. -
« Tout à coup, au lendemain d'un grand orage venu de la mer, qui apportait l'été dans ses éclairs brûlants et sa pluie tiède, la ville en se réveillant eut un cri de stupeur. »
Ce recueil comprend le conte Wood'stown de Alphonse Daudet (1840-1897) suivi de citations de nombreux auteurs visant à mettre en valeur la nature et à lui rendre hommage, le tout illustré par Pascal Lemaître.Avec Apollinaire, Balzac, Baudelaire, Blake, Brnté, Chateaubriand, Du Camp, Dumas, Eberhardt, France, Gautier, Gibran, Gide, Hugo, Maupassant, Mistral, de Nerval, de Noailles, Pascal, Proust, Renard, Rostand, Rousseau, Samain, Sand, Shakespeare, Thoreau, Wharton... -
Édition enrichie (Préface, notes, dossier sur l'oeuvre, chronologie et bibliographie)Héros de la petite ville de Tarascon, Tartarin ne rêve que d'aventure et de chasse au lion. Mais que l'Afrique est loin pour qui n'a jamais quitté sa maison ! L'intrépide chasseur s'embarque enfin : parviendra-t-il à débusquer un fauve du désert ? Personnage burlesque mais si attachant, Tartarin est le type même du Méridional hâbleur qui se dupe lui-même autant qu'il dupe les autres. Où se rejoignent cocasserie et vérité, mais « une vérité d'outre-Loire qui enfle, exagère, ne ment jamais, et tarasconne tout le temps ».
Sans jamais se départir d'une réelle tendresse pour son personnage, Daudet a déployé dans Tartarin de Tarascon toutes les ressources de sa verve et de son ironie, créant ainsi l'un des plus grands types comiques de la littérature française.
Edition de Marie-Ange Voisin-Fougère. -
Voulant affirmer auprès de ses concitoyens une image héroïque quelque peu mise à mal, Tartarin quitte Tarascon, piolet système Kennedy à la main, pour affronter les rudes parois de la Jungfrau et du Mont-Blanc. Après tout, n'est-il pas le président du Club des Alpines, ces gentilles petites collines de sa région provençale ?
Après l'Afrique, c'est dans les Alpes qu'Alphonse Daudet entraîne son héros mythique, burlesque, naïf et hâbleur, pour des aventures qui égratignent au passage les touristes amateurs de sensations fortes - mais en trains et en palaces - qui ont remplacé, à la fin du XIXe siècle, les pionniers de l'exploration alpine.
Publié pour la première fois en 1885 aux Éditions Calmann-Lévy, Tartarin sur les Alpes est préfacé ici par Laurent Tissot, professeur émérite de l'université de Neuchâtel, spécialiste notamment de l'histoire des loisirs, du tourisme et de l'industrie en Suisse.
Journaliste, novelliste, dramaturge et poète, Alphonse Daudet (1840-1897) est surtout reconnu pour son talent de conteur : Les lettres de mon moulin, ainsi que les aventures de Tartarin de Tarascon, sont des classiques de la littérature francophone. Si Paris est devenu son port d'attache dès 1857, Alphonse Daudet reste très attaché à la Provence où il a grandi, qui marque son oeuvre.
Journaliste, novelliste, dramaturge et poète, Alphonse Daudet (1840-1897) est surtout reconnu pour son talent de conteur : Les lettres de mon moulin, ainsi que les aventures de Tartarin de Tarascon, sont des classiques de la littérature francophone. Si Paris est devenu son port d'attache dès 1857, Alphonse Daudet reste très attaché à la Provence où il a grandi, qui marque son oeuvre. -
Édition enrichie (Préface, notes, dossier sur l'oeuvre et biobibliographie)Parus en 1873, les Contes du lundi évoquent dans la première partie, « La Fantaisie et l'Histoire », cette période de défaite et de bouleversements que fut la guerre de 1870. Fierté blessée, grandeur ou malice animent des textes devenus des classiques comme « Le porte-drapeau », « La dernière classe », « L'enfant espion ».
L'humour, noir ou rose, domine dans « Caprices et souvenirs » de la seconde partie.
Simplicité, finesse, émotion, poésie, vérité du trait sont les qualités maîtresses de ce recueil qui, avec les Lettres de mon moulin, fait d'Alphonse Daudet un des plus célèbres écrivains du xixe siècle.
Préface de Louis Nucera.
Commentaires et notes de Louis Forestier. -
Un Oliver Twist à la française, par un des géants de la littérature française du XIX e siècle. Un Oliver Twist à la françaiseEnfant chétif, Jack n'a jamais connu son père. Afin d'avoir les coudées franches, sa mère, Ida de Barancy, fausse comtesse et vraie " cocotte ", cherche à le placer dans un pensionnat. C'est ainsi que le garçon échoue au gymnase Moronval.
Ida s'éprend de l'un des professeurs, le vicomte d'Argenton,
poète raté avide de gloire et de fortune. Égoïste, avare et ombrageux, ce bellâtre fera de la vie de Jack un enfer : envoyé par son tuteur aux forges d'Indret, l'enfant est réduit à la misère et à l'ivrognerie. Et c'est lorsqu'il retrouve sa mère chérie, dans la bohème parisienne, que se déclare une maladie de poitrine...
Jack parut en feuilleton en 1875. Ce livre " de pitié, de colère et d'ironie " est le roman émouvant et cruel d'un destin gâché par l'inconséquence d'une mère et la haine d'un beau-père, mais vengé par la satire dont l'auteur du Petit Chose accable ses bourreaux, voués au ridicule. Dans Trente ans de Paris, en 1889, Alphonse Daudet racontera la genèse de cette histoire inspirée d'un épisode réel de sa vie - texte reproduit en postface. -
Sapho s'est éprise de Gaussin à peine avait-il franchi la porte de l'atelier. Le jeune homme, lui, se laisse bercer avec complaisance par les bras d'une muse.
Gaussin n'est pas amoureux et n'a donc pas peur. Il sait qu'il la quittera dans trois ans. Il sera nommé à l'étranger. Cette certitude l'apaise. Mais c'est compter sans sur l'amour qui, parfois, naît derrière l'habitude et la douceur. -
M. Seguin avait choisi, cette fois, une chèvre toute jeune croyant ainsi la retenir. Mais Blanquette, comme toutes les autres, préféra la bruyère des montagnes au pré vert de son clos; la liberté et ses risques plutôt que la sécurité et l'ennui. Elle comprit bientôt qu'il ne suffisait pas d'être brave et courageuse pour se défendre contre le loup qui, lui aussi, goûte la griserie des grands espaces.
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Jeune encore et déjà lassé du sombre et bruyant Paris, Alphonse Daudet vient passer les étés dans son moulin de Fontvielle, " piqué comme un papillon " sur la colline parmi les lapins. Dans cette ruine ensoleillée de la vallée du Rhône, naissent ces contes immortels qui assureront sa gloire.
Au loin, on entend la trompe de Monsieur Seguin sonnant sa jolie chèvre blanche. Dans le petit bois de chênes verts, un sous-préfet s'endort en faisant des vers. Au ciel, où les étoiles se marient entre elles, le curé de Cucugnan compte ses malheureux paroissiens. Et dans la ville voisine, un jeune paysan meurt d'amour pour une petite Arlésienne tout en velours et dentelles qu'on ne verra jamais.
Le vieux moulin abandonné est devenu l'âme et l'esprit de la Provence. Dans le silence des Alpilles ou le tapage des cigales et des tambourins, parfumés d'émotions, de sourires et de larmes, ces contes semblent frappés d'une éternelle jeunesse. -
Ultima ; ou la dernière heure d'Edmond de Goncourt
Alphonse Daudet
- Fayard/Mille et une nuits
- La Petite Collection
- 27 Mars 2013
- 9782755505306
Le 16 juillet 1896, Edmond de Goncourt s'éteint à Champrosay, la propriété d'Alphonse Daudet, son ami de plus de vingt ans. Goncourt y est frappé par une congestion pulmonaire qui lui ôte la vie en trois jours. Fortement attristé par sa disparition et lui-même très malade, Daudet utilise la forme du Journal pour faire le récit calme, dépouillé et émouvant de l'agonie de son ami, qui meurt vingt-six ans après son frère Jules.
Publié le 15 août 1896 dans La Revue de Paris, Ultima offre un témoignage vibrant sur la mort brutale du romancier. Au crépuscule du siècle, un écrivain raconte donc la mort d'un autre écrivain, et c'est comme si cette tragédie personnelle, prenant une valeur emblématique, mettait un point final à la littérature d'un siècle dont le Journal des frères Goncourt aura été la mémoire vivante. -
Tous les matins de l'année, à huit heures très précises, une maison neuve et presque inhabitée d'un quartier de Paris, s'emplissait de cris, d'appels, de jolis rires sonnant clair dans le désert de l'escalier.« Père, n'oublie pas ma musique. - Père, ma laine à broder... - Père, rapporte-nous des petits pains....Et la voix du père qui appelait d'en bas :« Zaza, descends-moi donc ma serviette.... - Allons bon !Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
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Alphonse Daudet (1840-1897) "L'éditeur du Dictionnaire des « Célébrités » laissant à chaque intéressé le soin de se raconter lui-même, l'authenticité de ces notes biographiques ne saurait être mise en doute. Mais pourquoi dire que Léonard Astier-Réhu avait donné sa démission d'archiviste, quand personne n'ignore qu'il fut destitué, mis à pied comme un simple cocher de fiacre, pour une phrase imprudente échappée à l'historien de la Maison d'Orléans, tome V, page 327 : « Alors comme aujourd'hui, la France, submergée sous le flot démagogique... » Où peut conduire une métaphore ! Les douze mille francs de sa place, un logement au quai d'Orsay, chauffage, éclairage, en plus ce merveilleux trésor de pièces historiques où ses livres avaient pris vie ; voilà ce que lui emporta ce « flot démagogique », son flot ! Le pauvre homme ne s'en consolait pas. Même après deux ans écoulés, le regret du bien-être et des honneurs de son emploi lui mordait le coeur, plus vif à certains jours, à certaines dates du mois ou de la semaine, et principalement le jour de Teyssèdre. C'était le frotteur, ce Teyssèdre. Il venait de fondation chez les Astier, le mercredi ; et l'après-midi du même jour, Mme Astier recevait dans le cabinet de travail de son mari, seule pièce présentable de ce troisième étage de la rue de Beaune, débris d'un beau logis, majestueux de plafond, mais terriblement incommode. On se figure le désarroi où ce mercredi, revenant chaque semaine, jetait l'illustre historien interrompu dans sa production laborieuse et méthodique ; il en avait pris en haine le frotteur, son « pays », à la face jaune, fermée et dure comme son pain de cire, ce Teyssèdre qui, sous prétexte qu'il était de Riom, « tandis que meuchieu Achtier n'était que de Chauvagnat », bousculait sans respect la lourde table encombrée de cahiers, de notes, de rapports, chassait de pièce en pièce le pauvre grand homme, réduit à se réfugier dans une soupente prise sur la hauteur de son cabinet, où, bien que de taille médiocre, il ne tenait qu'assis." Nous voici dans les coulisses de l'Académie française... Parce que les Immortels ne sont pas immortels, il faut parfois les remplacer...
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BnF collection ebooks - "Madame Chèbe ! - Mon garçon ?... - Je suis content... C'était bien la vingtième fois de la journée que le brave Risler disait qu'il était content, et toujours du même air attendri et paisible, avec la même voix lente, sourde, profonde cette voix qu'étreint l'émotion et qui n'ose pas parler trop haut de peur de se briser tout à coup dans les larmes."BnF collection ebooks a pour vocation de faire découvrir en version numérique des textes classiques essentiels dans leur édition la plus remarquable, des perles méconnues de la littérature ou des auteurs souvent injustement oubliés. Tous les genres y sont représentés : morceaux choisis de la littérature, y compris romans policiers, romans noirs mais aussi livres d'histoire, récits de voyage, portraits et mémoires ou sélections pour la jeunesse.
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BnF collection ebooks - "Ce dimanche-là, un dimanche de juillet chauffé à blanc, il y avait, à l'occasion du concours régional, une grande fête de jour aux arènes d'Aps-en-Provence. Toute la ville était venue : les tisserands du Chemin-Neuf, l'aristocratie du quartier de la Calade, même du monde de Beaucaire. « Cinquante mille personnes au moins ! » disait le Forum dans sa chronique du lendemain..."BnF collection ebooks a pour vocation de faire découvrir en version numérique des textes classiques essentiels dans leur édition la plus remarquable, des perles méconnues de la littérature ou des auteurs souvent injustement oubliés. Tous les genres y sont représentés : morceaux choisis de la littérature, y compris romans policiers, romans noirs mais aussi livres d'histoire, récits de voyage, portraits et mémoires ou sélections pour la jeunesse.
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La Doulou (la « douleur » en provençal) est un texte atypique d'Alphonse Daudet. Comme nombre de ses contemporains, l'auteur des Lettres de mon moulin contracta la syphilis dans un lieu de plaisir, lors de son arrivée à Paris, il avait 20 ans. La maladie évolua avec le temps en « tabes dorsalis », forme particulièrement invalidante de la pathologie, dont le tableau clinique est assez terrifiant. Le malade est affligé de douleurs extrêmes des membres, de caractère classiquement fulgurant.
Les climats des pays chauds lui étant plutôt favorables, il voyagea autour de la Méditerranée, de Tarascon à l'Algérie, terres éminemment « tartarinesques». Il chercha aussi l'apaisement dans diverses stations thermales du centre et du sud de la France. Il mourra des suites de cette maladie de la moelle épinière en 1897, à l'âge de 57 ans, après treize ans d'agonie. -
La doulou (la douleur)
Alphonse Daudet
- Fayard/Mille et une nuits
- La Petite Collection
- 6 Mars 2002
- 9782755502824
Or, on sait bien peu que si Alphonse Daudet entreprit le voyage du retour vers le Midi, dont il était natif (Nîmes, 1840), c'est parce que déjà, alors qu'il n'avait qu'une vingtaine d'années, il souffrait de la syphillis, compliquée par une tuberculose. Le mal incurable ne cessa jamais. A compter de 1887, et jusqu'en 1895 - soit deux ans avant sa mort -, il tient le journal intime de cette « doulou », douleur qui l'accompagne depuis sa jeunesse. Pudique, il enregistre les progrès de cette maladie honteuse à laquelle il fait à peine allusion. Il imagine de transformer le récit de ses souffrances quotidiennes en un roman. Il n'en aura pas le temps. Ce sont ses enfants, Léon et Lucien, sa femme (et collaboratrice), Julia Allart, et son dernier secrétaire André Ebner qui en assureront l'édition posthume, en 1930.
Alphonse Daudet (1840-1897) demeure la victime d'une lecture restrictive et abusive de son oeuvre. L'école de la Troisième République a fait la fortune de deux de ses oeuvres de jeunesse, Les Lettres de mon moulin (1869), puis Tartarin de Tarascon (1872) - il avait respectivement 29 et 32 ans lors de leur publication -, au détriment de son oeuvre romanesque. -
La chèvre de monsieur Seguin, et autres lettres de mon moulin
Alphonse Daudet
- Gallimard Jeunesse Audio
- Écoutez lire
- 20 Octobre 2014
- 9782075007443
C'est un moulin à vent et à farine, sis au plein coeur de Provence, sur une côte boisée de pins et de chênes verts, abandonné depuis plus de vingt années. C'est là qu'Alphonse Daudet va écrire ces contes fantastiques et drolatiques aux personnages hauts en couleur... Écoutez chanter les cigales, sonner les grelots des mules et regardez bien, vous verrez apparaître maître Cornille, le curé de Cucugnan, la mule du pape et même la petite chèvre de monsieur Seguin... Avec les Lettres de mon moulin, c'est la Provence d'hier, ses parfums et ses traditions qu'Alphonse Daudet fait entrer à tout jamais dans la littérature française.
Retrouvez l'interpétation historique réalisée par Fernandel en 1954 ! Un hommage généreux rendu au Midi par un comédien dont la voix seule évoque les mondes d'Alphonse Daudet et de Marcel Pagnol. En quelques secondes, la Provence tout entière intemporelle, s'installe à la maison. -
"L'Arlésienne, chef-d'oeuvre théâtral d'Alphonse Daudet, plonge au coeur des émotions humaines, explorant les thèmes intemporels de l'amour, de la passion et des tourments de l'âme. Le personnage énigmatique de l'Arlésienne devient le centre névralgique du drame, sa présence absente, mais ressentie dans l'esprit des protagonistes, nourrit le mystère qui entoure cette femme insaisissable.
L'Arlésienne n'est pas simplement une figure féminine absente, mais un symbole puissant qui incarne les désirs inaccessibles et les rêves impossibles. Elle devient le miroir reflétant les illusions romantiques et les aspirations idéalisées, confrontant les personnages à leurs propres limites émotionnelles. C'est une exploration profonde de la nature humaine, de ses désirs inassouvis et de la manière dont l'amour peut devenir une force destructrice.
Daniel Mesguich, dans une performance remarquable, incarne à lui seul tous les personnages, révélant avec talent le langage pittoresque de Daudet et sa capacité à saisir l'essence du terroir provençal.
L'Arlésienne, interprétée par Mesguich, offre ainsi une expérience théâtrale captivante et mémorable, où l'excellence artistique se mêle à la richesse narrative de Daudet."
Claude Colombini Frémeaux -
Tartarin de Tarascon est un roman d'Alphonse Daudet écrit en 1872.
Il décrit les aventures burlesques de Tartarin, chef putatif des chasseurs de casquettes de Tarascon, allant chasser le lion en Algérie. C'est un héros naïf, qui se laisse berner par des personnages peu scrupuleux, voire par lui-même tout au long de son voyage vers l'Atlas. Cette histoire fut inspirée à Daudet par son cousin Henri Reynaud, qui lui racontait ses voyages lors de ses retours d'Afrique.
Musique : André Popp
Réalisation : Max de Rieux
Enregistrement original (extraits)
1 piste
Durée totale : 25 minutes
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Les Lettres de mon moulin est un recueil de nouvelles d'Alphonse Daudet. Deux nouvelles sont racontées par l'inimitable et talentueux Fernandel, « La chèvre de Monsieur Seguin » et « Le curée de Cucugnan ».
Comédiens : Fernandel
Auteur : Alphonse Daudet
Enregistrement original de 1953
Durée : 24 minutes
« La chèvre de Monsieur Seguin » : 12 minutes
« Le curée de Cucugnan » : 10 minutes
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Guidé par la voix chaleureuse de François COSTAGLIOLA, retrouvez la verve truculente et la sensibilité poétique d'Alphonse DAUDET. Laissez-vous tenter par une escapade champêtre en compagnie du sous-préfet, résistez héroïquement à l'envahisseur avec la population de Tarascon, plongez dans le drame du Père Achille, éprouvez les duretés de la guerre et des hommes avec Le cabecilla, puis portez vous au secours d'un malade aux côté d'un curé peu ordinaire. Une écriture ciselée et un style plein d'humour pour ces œuvres d'un écrivain naturellement populaire et incontournable.
Inclus dans l'audiobook: Le sous-préfet aux champs, La défense de Tarascon, Le père Achille, Le cabecilla, Le Bon Dieu de Chemillé, La mort du Dauphin
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Courrier des Pays-Bas Tome 2 ; les horreurs de la guerre
Alphonse Daudet
- Grasset
- Littérature Française
- 9 Juillet 1928
- 9782246806240
Les horreurs de la guerre, publié en 1928, est le deuxième tome de l'oeuvre Courrier des Pays-Bas, d'Alphone Daudet. Cette oeuvre regroupe les titres suivants:
I. La ronde de nuit
II. Les horreurs de la guerre
III. Mélancholia
IV. Les pélerins d'Emmaüs
-
Soutien de famille ou Moeurs contemporaines a été publié en 1898 par Fasquelle.