Sous le nom de Basile Valentin (en latin Basilius Valentinus), présenté comme un moine bénédictin du XVe siècle, parurent au début du XVIIe siècle un certain nombre de traités alchimiques qui connurent un grand succès.
Cet ouvrage explique le concept et le fonctionnement de l'alchimie, en opérant une distinction entre le chimiste et l'alchimiste : la chimie est physique et l'alchimie est philosophique.
Cit. (préface) : "Sois attentif, et considère diligemment ce que je vais dire (si tu es désireux de science) car il ne me plaît point à parler en vain, et telle n'est pas mon intention, que de me servir à cet effet de paroles frivoles, vu qu'elles ne servent de rien ; ou de bien peu pour apprendre ; bien au contraire, c'est tout mon but que de montrer en peu de mots des choses qui soient appuyées et fondées sur de bons fondements, et fondées sur des expériences très certaines."
Par Basile VALENTIN qui nous entraine par sa passion, son érudition et sa sagesse ésotérique, à la découverte du secret de la Pierre de Dieu. Un sage reconnu pour ses ouvrages de référence en Alchimie, mais dont la personnalité est incertaine. On le croit moine bénédictin d'un des couvents d'Erfurth en Prusse, vivant au XIVème ou XVème siècle. Il dit dans ses oeuvres qu'il naquit en Alsace, sur les bords du Rhin. Qu'il voyagea en Angleterre, en Hollande et en Espagne. On lui doit semble-t-il la première observation de l'antimoine.
Sous le nom de Basile Valentin (en latin Basilius Valentinus), présenté comme un moine bénédictin du XVe siècle, parurent au début du XVIIe siècle un certain nombre de traités alchimiques qui connurent un grand succès. Le dernier testament regroupe les livres I, II, III, IV et V du testament de Basile Valentin dans lequel sont montrées les mines, l'origine d'icelles, leurs natures et propriétés.
Sous le nom de Basile Valentin (en latin Basilius Valentinus), présenté comme un moine bénédictin du XVe siècle, parurent au début du XVIIe siècle un certain nombre de traités alchimiques qui connurent un grand succès.
Cet ouvrage présente l'arcane d'une manière simple et pourrait être le déclencheur de la révélation.
In the early 17th century, a series of highly successful alchemical treatises were published under the name of Basil Valentinus (Latin: Basilius Valentinus), a fifteenth-century Benedictine monk. The Last Testament consists of Books I, II, III, IV, and V of the testament of Basil Valentinus, in which he describes the mines, how they came to exist, and their nature and properties.
Basil Valentine, believed to be a pseudonym, was an alchemist in the 15th or 16th century. However, there is no concrete evidence of his existence before 1600. It was later suggested that Johann Thlde, a German salt manufacturer, may have been one of the authors behind Valentine's works. Regardless of his true identity, Valentine showed extensive knowledge in chemistry, discovering the production of ammonia, hydrochloric acid, ethyl chloride, and sulfuric acid, among other accomplishments.
The Twelve Keys is a widely reproduced alchemical book attributed to Basil Valentinus, a Benedictine monk who for his achievements in the chemical sphere has been given the title of Father of Modern Chemistry. The Twelve Keys describes the major features and framework of the alchemical process.
Sous le nom de Basile Valentin (en latin Basilius Valentinus), présenté comme un moine bénédictin du XVe siècle, parurent au début du XVIIe siècle un certain nombre de traités alchimiques qui connurent un grand succès. L'un des principaux ouvrages du mystérieux alchimiste qui a contribué à la fondation de la chimie et de la pharmacie, en particulier grâce à ses études sur l'antimoine. Il s'agit ici d'une initiation à la science hermétique, illustrée de nombreuses figures sur bois.
Les douze clefs de Philosophie de Frère Basile Valentin est un texte apparu en 1600 en Allemagne. La légende raconte que l'auteur, un moine bénédictin du XVème siècle, a caché cet écrit d'alchimie dans une pierre creuse d'une abbaye où il fut découvert plus de deux siècles plus tard... Malgré la charmante poésie de cette histoire, il apparait maintenant plus probable que le véritable auteur soit l'éditeur et alchimiste Johann Thlde et qu'il ait usé de cette ruse historique pour augmenter l'attractivité de son ouvrage. L'alchimiste Michael Maier a ajouté au texte douze énigmatiques gravures, une par clef, y cachant de nombreux symboles alchimiques. Elles nous permettent d'appréhender le message d'ordre spirituel et initiatique de la pierre philosophale. Le second texte du même auteur Révélation et déclaration concernant les plus curieux mystères des teintures essentielles des sept métaux, & les vertus médicinales de celles-ci permet d'éclairer d'un jour nouveau les douze clefs. Edition illustrée.
