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Charles Guignebert
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Le monde juif vers le temps de Jésus
Charles Guignebert
- Albin Michel
- Evolution de l'humanité Poche
- 1 Août 2016
- 9782226339423
Le temps de Jésus : ce fut l'une des périodes les plus complexes et les plus troublées de I'Histoire de I'Humanité, mais aussi l'une des plus grosses d'avenir. Les progrès de la pensée, la conscience qu'une élite prend des misères humaines, aboutissent à une crise morale ; l'homme a besoin de comprendre la vie et la mort, il veut expliquer le mal.
Tout cela était sensible dans ce grand carrefour de l'Antiquité qu'était la Palestine, où passèrent tant de peuples. Et Charles Guignebert « montre ce qui prépare la levée de Jésus dans le milieu palestinien, mais il montre également ce qui, dans le milieu juif de la Diaspora, prépare le mythe du Christ et le christianisme » (Henri Berr). -
Le Christ
Charles Guignebert
- Albin Michel
- Evolution de l'humanité Poche
- 1 Juillet 2018
- 9782226339379
« Si l'on cherchait quel est le principe d'unité qui domine et coordonne les trois temps de l'évolution chrétienne primitive, on le trouverait dans la constante préoccupation de grandir et d'enrichir la personne de Jésus, devenu successivement Messie, puis Vice-Dieu, Souverain du Cosmos et, disons provisoirement, pour ne pas préjuger les résolutions de la théologie, au moins un des aspects du Dieu unique. Le christianisme autonome, c'est la religion du Christ Jésus et, sous ce nom de Christ, ce n'est plus seulement la notion étroite de Messie juif qui s'enferme, c'est toute la représentation grandiose, qui ne trouvera son expression adéquate que dans les symboles de foi du IVe siècle. Et c'est pourquoi le présent livre s'intitule : Le Christ. »Charles Guignebert
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« Personne, si nous ne nous trompons, ne lira ce livre, sur un sujet particulièrement délicat, sans reconnaître la sereine objectivité de l'auteur. Charles Guignebert (Professeur d'histoire du Christianisme à la Sorbonne) se comporte en historien pur. Aussi bien que de la prévention fidéiste, il se méfie et se défend du préjugé rationaliste : l'historien ne sait ni ne croit rien d'avance, dit-il, sinon qu'il ne doit rien croire et qu'il ne sait rien. II cherche... la vérité d'histoire et il ne met d'espoir que dans les textes. »H. Berr