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Ce que tous les usagers de la route, tous les responsables, tous les parents, doivent savoir pour leur sécurité, celle des leurs, et celle des autres. Un livre qui répond à toutes les interrogations, mais qui pose, surtout, une question morale grave à notre société. Celle-ci peut-elle encore tolérer longtemps que, chaque année, plus de 12000 Français soient tués et 350000 blessés sur la route ?
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« This is a most timely book. There are more and more reasons to question the conventional wisdom of what has become almost a religion.
Christian Gerondeau, a distinguished French engineer, explains clearly why the conventional approach is so deeply flawed, and what needs to be put in its place. He is neither overcome by the cultural pessimism of the Western political classes nor seduced by their grandiose oratory. He keeps his feet on the ground and is concerned with what works.
Thus we should focus less on the uncertain science of global warming and on highly speculative horror stories about its possible impact, and more on the practical way forward. While the technologically inept and economically ruinous decarbonisation route, even if it could be globally agreed (which it cannot), would intensify the problem of world poverty, the way ahead which Christian Gerondeau charts would alleviate it.
As Gerondeau observes, future generations will find it hard to believe the story he accurately recounts in this book. It is a book that deserves to be widely read. »
Nigel Lawson
Former UK Secretary of State for Energy
Former UK Chancellor of the Exchequer -
La poule aux oeufs d'or ; la renaissance de Polytechnique
Christian Gérondeau
- Editions Toucan
- 21 Août 2013
- 9782810005673
Voici un livre sans précédent sur l'une des plus prestigieuses institutions de France.Alors qu'elle continue d'attirer bon nombre des meilleurs élèves du système scolaire, l'Ecole Polytechnique reste la clé de voute du dispositif national des écoles d'ingénieurs vers lesquelles se dirigent les trois quarts des jeunes garçons qui obtiennent la mention Très Bien au bac scientifique.
Mais parce qu'elle est de plus en plus concurrencée, l'École Polytechnique doit désormais s'adapter et trancher définitivement le malentendu de ses origines. -
Le libéralisme anglo-saxon, c'est l'enfer. Les inégalités, les injustices, la grande pauvreté, l'absence de protection sociale... Tel est du moins le discours dominant en France. Et si la réalité était moins simple ?
Qui sait qu'il existe aux États-Unis un salaire minimum voisin du nôtre, un système de santé publique qui protège soixante-dix millions de pauvres et de personnes âgées, un dispositif de retraites publiques qui n'a rien à envier à l'Europe ? Qui sait que, d'après l'OCDE, les inégalités sont moins grandes aux ÉtatsUnis et en Grande-Bretagne qu'en France ? Qui sait que les privatisations britanniques ont permis de renforcer le service public, et non le contraire ?
Christian Gerondeau, au terme d'une enquête menée sur place en liaison avec les services officiels français, démonte de nombreux préjugés. Ce n'est pas en étant antisociaux que les Anglo-Saxons ont créé des millions d'emplois et ont redonné le moral à leur population. C'est l'inverse. Quant à nous, nous sommes victimes d'une désinformation massive et organisée.
Un ouvrage surprenant qui aborde sans crainte des thèmes controversés et remet à leur place nombre d'idées reçues. -
L'écologie est affaire trop sérieuse pour être laissée aux écologistes. Ils se trompent et nous trompent. Avec six tonnes de rejet par habitant contre le double dans les autres pays développés ou même en Chine, la France donne déjà l'exemple au reste de la planète. Si les autres étaient aussi vertueux que nous, la pollution serait un problème en voie d'être réglé. Pourquoi donc dépenser chaque année des dizaines de milliards d'euros pour tenter de réduire nos émissions, puisque celles-ci ne représentent guère plus de 1% des émissions de la planète, soit moins que l'accroissement annuel de la Chine, qui met en service chaque semaine une centrale à charbon de grande puissance ? Pourquoi couvrir notre pays d'éoliennes qui produisent du courant quand nous n'en avons pas besoin ? Pourquoi subventionner sans fin la production de biocarburants qui ne peuvent être que marginaux ? Pourquoi bloquer la circulation dans nos villes sous le prétexte de sauver la planète ?
Christian Gérondeau pose les questions qui fâchent : allons-nous continuer longtemps à céder au terrorisme intellectuel et au règne sans partage du « politiquement correct » qui sévit dès qu'il s'agit d'écologie ?
« Au-delà de la polémique, somme toute décapante, l'intérêt de ce réquisitoire tient au savoir encyclopédique de l'auteur prenant à contre-pied les solutions préconisées par les environnementalistes. »Josseline Abonneau, Le Figaro. -
La sécurité routière ; une réussite française, un défi pour la francophonie
Christian Gérondeau
- Editions L'Harmattan
- 15 Novembre 2016
- 9782336775937
Avec plus de 1 200 000 tués par an et des dizaines de millions de blessés, les accidents de la route, devenus le plus grand fléau sanitaire du XXIe siècle, frappent aujourd'hui surtout les pays en développement. Mais la communauté internationale s'y intéresse trop peu. L'auteur, fort d'une expérience unique qui a permis de diviser par quinze le risque sur les routes de France et d'Europe, dénonce ce scandale. Au-delà de la Francophonie, c'est une nouvelle stratégie mondiale contre le fléau des accidents de la route que propose cet ouvrage.
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Comme le constate Airparif chaque année, tous les polluants de l'air de Paris sont en très nette diminution. Certains, comme le dioxyde de soufre, le plomb ou le monoxyde de carbone ont même totalement disparu. Le bilan 2017 d'Airparif précise même que « les concentrations des particules fines les plus dangereuses, les fumées noires, ont été divisées par 20 depuis le milieu du siècle dernier, du fait des progrès considérables des industries, des immeubles et des véhicules ». S'il fallait d'ailleurs une preuve de leur disparition presque totale, elle serait apportée par la blancheur de Notre Dame, plus de vingt ans après son dernier ravalement.
Pourtant, c'est au prétexte de la lutte contre une pollution devenue quasi-imaginaire que la Mairie de Paris paralyse la capitale par une politique qui ignore les besoins des Parisiens et des Franciliens.
C'est cette politique néfaste que dénonce l'auteur. Mais aussi les stratagèmes, mensonges et forfaitures que mettent en oeuvre les services officiels de l'environnement non seulement pour cacher aux Français que l'air des principales grandes villes de France est désormais pur mais surtout pour leur faire croire que la pollution s'accroît. -
Rebâtir la France par l'éducation et l'enseignement
Christian Gérondeau
- L'artilleur
- 5 Octobre 2020
- 9782810010059
Si la France va mal aujourd'hui c'est à un système éducatif etd'enseignement supérieur dépassé qu'elle le doit. Ce que confirment lesrésultats du test international PISA pour le secondaire, qui la relèguentà une déshonorante 25e place du classement mondial.Il n'y a pourtant là aucune fatalité. Le Québec, État francophone, figurerégulièrement au premier rang mondial de ce même classement. Uneperformance ignorée et dont la France pourrait tout à fait s'inspirer.Mais c'est une toute autre voie que nos responsables ont choisie. Etla réforme du baccalauréat en cours va dramatiquement aggraver lasituation. Contrairement à la pratique universelle, les mathématiquesy sont devenues une matière optionnelle (au même titre par exempleque les arts plastiques) contre l'avis de 80 % des Français qui estimentqu'il devrait s'agir là d'une discipline obligatoire. Les chiffres officielsmontrent l'étendue du désastre : plus de la moitié des titulaires dubaccalauréat de 2021 ne passeront aucune épreuve de mathématiques,cette proportion approchant même les deux tiers pour les jeunes filles.S'agissant de l'enseignement supérieur, la formation des sphèresdirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deuxunivers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises,les « grandes écoles d'ingénieurs » où règnent sans partage desmathématiques excessivement abstraites, sans culture généralevraiment solide. Et de l'autre côté, celui de la sphère publique, lerègne du verbe et l'ignorance des chiffres dans un monde qu'il estdésormais impossible de comprendre sans les maîtriser.Aussi étonnant que cela puisse paraître, jamais depuis plus de deuxsiècles notre dispositif national d'éducation et d'enseignement supérieurn'avait fait l'objet d'un examen d'ensemble. C'est à une véritablerévolution qu'invite l'étude sans précédent que produit ici ChristianGerondeau.