Filtrer
Langues
Prix
Jan Baetens
-
Mon jardin des plantes
Jan Baetens, Marie-Françoise Plissart
- Les Impressions nouvelles
- TRAVERSES
- 14 Juin 2024
- 9782390701460
Les textes et les images qui composent ce recueil résultent d'une longue conversation entre un poète et une photographe autour d'un sujet qui les fascine depuis de longues années : les arbres. Leur collaboration est aussi le fruit d'une fréquentation intime de leurs travaux respectifs : le poète a beaucoup écrit sur les livres de la photographe, la photographe a toujours suivi de près les divers recueils du poète.
La présente collaboration est une véritable composition à quatre mains, où chacun des partenaires a conçu et façonné son propre travail en fonction des singularités de l'artiste et du médium auxquels il s'est confronté. Les images n'illustrent pas le texte, les poèmes ne décrivent pas les photographies.
Jan Baetens est l'auteur de nombreux recueils de poésie, dont récemment Après, depuis et Vacances romaines. Il est également l'auteur de plusieurs études sur les rapports entre textes et images, parmi lesquels Illustrer Proust.
Marie-Françoise Plissart est une figure majeure de la photographie belge. Avec Benoît Peeters, elle a publié Fugues, Droit de regards et le Mauvais oeil aux éditions de Minuit. Elle a obtenu le Lion d'or à la Biennale de Venise pour Kinshasa, récits de la ville invisible. -
La petite bédéthèque des savoirs Tome 26 : le roman-photo, un genre entre hier et demain
Jan Baetens, Clémentine Mélois, Vandermeulen
- Lombard
- 16 Novembre 2018
- 9782803673490
Né au sortir de la Deuxième Guerre mondiale en Italie, le roman-photo est devenu, avec une rapidité encore jamais vue, l'un des médias les plus populaires du XXe siècle. Souvent méprisé pour ses approches fleur bleue assumées, le roman-photo est en réalité un mode d'expression aux codes riches et subtils. Le présent ouvrage se donne pour défi de rendre à ce genre, varié et particulièrement dynamique, l'intérêt qu'il mérite.
-
Comme le titre l'annonce, l'ambition de ce recueil est d'établir un dialogue avec une des références les plus connues et durablement populaires de notre regard sur Rome : Vacances romaines, film réalisé en 1953 par William Wyler, avec Audrey Hepburn et Gregory Peck. Le présent livre n'a toutefois rien d'un « remake » : l'histoire qu'il raconte n'est pas ouvertement amoureuse, les lieux qu'il décrit ne se retrouvent pas forcément dans les guides touristiques de Rome, ce qui s'observe est souvent une matière de langue. L'imagination, enfin, n'y perd pas ses droits : tous les chemins mènent à Rome, mais la poésie garde le droit de traverser la ville de manière plus rêveuse, sans toutefois perdre le contact avec le réel.
Jan Baetens est l'auteur de plus de vingt recueils de poésie, qui combinent souci formel et passion du quotidien. Les sujets qu'il aborde sont dès lors peu communs, comme le basketball, la bande dessinée ou la novellisation en vers d'un film de Godard. Son écriture se veut à la fois lyrique et précise, dans la lignée de Raymond Queneau et de la poésie américaine. Son travail sur les rapports entre texte et image, fait de lui un des grands spécialistes du roman-photo et de la bande dessinée. -
Après, depuis est un livre de deuil. Cette chose tout à fait commune, ce thème en soi banal se voient traités ici sur un mode particulier, qui fait basculer le ton forcément subjectif de l'expérience unique vers un cadre plus général, non pas impersonnel mais susceptible d'être investi par n'importe quel lecteur. En six étapes, de la chambre vide à la maison à vendre, chacune d'elles rédigées et composées dans un style et un rythme différents, ce livre fait le tour de ce qui reste et de ce qui change après la mort d'un être aimé. Le ton du livre rappelle par moments les grands textes lyriques de John Ashbery, mais aussi la fantaisie des listes telle qu'on la trouve chez Borges ou Sei Sh?nagon. L'essentiel pourtant est le souci de lisibilité, puis la tentative de dépasser le vécu purement individuel. Après, depuis est une élégie dont la grande ambition est d'offrir un écho, certes décalé mais parfaitement reconnaissable, de la vie de ses lecteurs.Auteur francophone de langue maternelle néerlandaise, Jan Baetens est l'auteur de quelque vingt recueils de poésie, dont SLAM, poèmes sur le basketball, Cent ans de bande dessinée (en vers et en poèmes), Vivre sa vie, une novellisation en vers du film de Jean-Luc Godard ou Ici, mais plus maintenant. Les styles et thèmes de ces livres varient considérablement, mais leur point de départ est toujours le même : la vie quotidienne, refaite et repensée par la littérature. Il est également l'auteur de nombreuses études sur les rapports entre textes et images, dont récemment Le roman-photo (en collaboration avec Clémentine Mélois, éd. du Lombard) et Adaptation et bande dessinée (Les Impressions Nouvelles). Aux éditions JBE, il vient de publier le «?remix?» d'une collection privée de ciné-romans-photos, Une fille comme toi.
Jan Baetens est l'auteur de quelque vingt recueils de poésie. Les styles et thèmes de css livres varient considérablement, mais leur point de départ est toujours le même : la vie quotidienne, refaite et repensée par la littérature. Il est également l'auteur de nombreuses études sur les rapports entre textes et images, dont Le roman-photo (avec Clémentine Mélois) et Adaptation et bande dessinée. Il vient de publier le « remix » d'une collection privée de ciné-romans-photos, Une fille comme toi. -
Illustrer Proust : histoire d'un défi
Jan Baetens
- Les Impressions nouvelles
- REFLEXIONS FAITES
- 8 Septembre 2022
- 9782874499807
Le brillant essai de Jan Baetens présente et discute les réponses successives données par les artistes et leurs éditeurs au désir et à la difficulté d'illustrer Marcel Proust, depuis plus d'un siècle. Il en retrace l'histoire, du premier livre de Proust, Les Plaisirs et les jours (1896), illustré par Madeleine Lemaire, un des modèles de Mme Verdurin, à la nouvelle édition d'Un amour de Swann, « ornée » par Pierre Alechinsky en 2013.
Les changements de goût en matière d'illustration, le profil personnel de chaque artiste, le contexte historique des projets éditoriaux, les rapports d'une publication à l'autre déterminent la forme et le contenu des images qui accompagnent le texte de Proust. Cette riche iconographie esquisse un « texte dans le texte », qui aide à relire la Recherche.
Jan Baetens est l'auteur de nombreux essais sur la bande dessinée, en français comme en anglais. Il a notamment publié Hergé écrivain (Flammarion, coll. Champs, 2006) et, en collaboration avec Clémentine Mélois, Le roman-photo (Le Lombard, coll. BDTK, 2018). Poète intéressé par toutes les facettes de la vie quotidienne, il a également réalisé un recueil de poésie exclusivement dédié à la bande dessinée : Cent ans de bande dessinée (en vers et en poèmes) (Les Impressions Nouvelles, 2007). -
Est-il vrai, comme l'écrivait Léon-Paul Fargue, il y a près de cent ans, qu'il y a « trop de livres dans les boutiques, trop de pages dans les livres, trop de phrases dans les pages, trop de lignes dans les phrases, trop de mots dans les lignes, trop de lettres dans les mots » ?
L'inquiétude de Fargue est toujours la nôtre, et elle ne cesse de s'amplifier.
Comme un rat est comme une réplique à ces angoisses, par exemples interposés : exemples de ce qui mérite d'être lu et, surtout, relu ; exemples de ce qu'il est inutile de lire ; exemples de questions qu'il importe de poser aux livres qu'on s'apprête à donner à l'impression ; exemples d'enthousiasmes et de regrets ; exemples de sujets (et d'auteurs !) à retrouver, voire à inventer. On y croisera chemin faisant Jean Paulhan, Léon-Paul Fargue et Valery Larbaud, Julien Gracq et Henri Thomas, Bernard Frank et Maurice Debroka, Jacques Borel, Michel Lafon, Jean-Benoît Puech et plusieurs autres ; des réflexions sur les vertus du livre pauvre, la fécondité des erreurs d'interprétation, l'âge des textes et des lecteurs, les plaisirs de l'allusion et la disparition des timbres-poste ; mais aussi des croquis de Grenade et de Brattleboro, car la vie est inséparable de la fréquentation des livres.
Comme un rat n'est pas une bibliothèque idéale. C'est plutôt un livre qui essaie de faire le point, sur le sens du temps qu'on passe avec les livres comme sur les mystères que les textes nous aident à ne pas toujours comprendre.
Jan Baetens est l'auteur de près de vingt recueils de poésie. Il a publié plusieurs études sur la bande dessinée, la novellisation et le roman-photo, ainsi que deux essais sur la poésie contemporaine : Pour en finir avec la poésie dite minimaliste et À voix haute. Poésie et lecture publique (tous deux parus aux Impressions Nouvelles). Son premier roman, Faire sécession, a paru en 2017 chez L'herbe qui tremble. -
Pour le roman-photo
Jan Baetens
- Les Impressions nouvelles
- REFLEXIONS FAITES
- 2 Novembre 2017
- 9782874495908
De tous les genres littéraires, le roman-photo est à la fois le plus méprisé et le moins connu. Pour le roman-photo a l'ambition de révéler toute la richesse de ce genre hybride, dont l'importance est capitale à une époque où se rapprochent littérature et photographie. Abordant aussi bien les stéréotypes du roman-photo sentimental que les inventions du roman-photo moderne, notamment sur Internet, le livre nous donne d'abord un aperçu très richement illustré de l'histoire du genre, que l'auteur compare à ses faux frères, la bande dessinée et le ciné-roman. Il examine aussi la manière dont texte et image peuvent s'allier pour inventer des récits entièrement inédits. Il propose enfin des analyses des grands auteurs du « nouveau roman-photo » (Marie-Françoise Plissart, Michael Snow, Sophie Calle ou Suky Best). Prenant le contrepied de tout ce qu'on écrit depuis cinquante ans, cet essai nous invite à lire, d'urgence, des romans-photos.
-
« La poésie est comme la philosophie - ou devrait au moins faire comme elle, c'est-à-dire commencer par un moment de doute absolu. Tout poète a intérêt à se poser la question suivante, éminemment cartésienne : la poésie, à quoi bon ? La poésie, pour quoi faire ? À ces questions, des auteurs comme Raymond Queneau et Francis Ponge m'ont toujours aidé à trouver une sorte de réponse. »
Cette anthologie propose un parcours de l'oeuvre poétique de Jan Baetens au travers de plusieurs de ses recueils : Autres nuages (2012), Vivre sa vie (2005), Cent ans et plus de bande dessinée (2007) et Cent fois sur le métier (2003). Elle comporte également plusieurs prises de position de l'auteur. -
Pour en finir avec la poésie dite minimaliste
Jan Baetens
- Les Impressions nouvelles
- REFLEXIONS FAITES
- 5 Juin 2014
- 9782874491962
Ce livre est un livre de combat : en plein renouvellement aujourd'hui, la poésie française doit d'abord se débarrasser d'une forme d'écriture qui domine le paysage français depuis près d'un demi-siècle et dont la puissance institutionnelle empêche l'épanouissement du nouveau : la poésie dite minimaliste, qui combine effacement de la forme (aux mots sur la page on préfère les blancs) et profondeur du sens (un poème n'est valable que dans la mesure où il se rapproche de la philosophie). Refusant les partis pris et la grande pauvreté d'une telle conception de la poésie, ce livre analyse le travail des auteurs contemporains qui proposent une alternative proprement littéraire : Pierre Alferi, Vincent Tholomé, Virginie Lalucq, Stéphane Bouquet, Philippe Beck, Sophie Loizeau et Jean-Christophe Cambier.Critique et poète flamand d'expression française, Jan Baetens est l'auteur d'une quinzaine de recueils remarqués et de nombreuses études sur la poésie contemporaine (souvent publiées en anglais), qu'il analyse en ses rapports avec d'autres arts. En septembre 2013, il a participé au projet de résidence « SIC » de la Fédération Wallonie-Bruxelles dans le cadre du OFF de la Biennale Venise. En juin 2014, la collection patrimoniale Espace Nord publie une importante anthologie de son travail, Vivre sa vie et autres poèmes.
-
Correspondance
Jan Baetens, Michael Kasper
- Peter Lang Inc., International Academic Publishers
- 30 Septembre 2015
- 9781454191391
Correspondance is the name of a Belgian Surrealist magazine published in 1924-1925 by Paul Nougé, Camille Goemans, and Marcel Lecomte. It is considered as seminal as Breton's «Surrealist Manifesto» (1924). The texts were tart, obscure responses to the arcane literary debates of the time, in particular those underway in André Breton's circle in Paris. Twenty-two issues of Correspondance were printed, in a modernist typeface on different color papers, and were distributed by mail to selected recipients. Unlike their Parisian associates, the Belgians made an explicit choice against the book as a host medium for literary and other experiments. Nougé, the chief theorist, and his colleagues remained suspicious throughout their careers not only of commercialized literature, but also of literature itself, which they saw as a means to political action, never a goal in itself. Although little recognized, Belgian Surrealists and Correspondance, their earliest manifestation, remain anticipatory and influential in modernist writing practice, especially for their ephemeral style of publishing (proto-mail art) and their intentional plagiarisms (precursor to Situationist détournement).
-
Études françaises. Volume 55, numéro 2, 2019
Jan Baetens, Nadja Cohen, Fabien Gris, Morgane Kieffer, Frédéric Clamens Nanni, Nathalie Gillain, Marie Martin, Fr
- Les Presses de l'Université de Montréal
- 6 Avril 2020
- 9782760640856
Abordant les effets du cinéma sur la littérature et les nouvelles manières de penser et d'écrire à l'ère de la culture cinématographique, ce dossier rassemble des contributions permettant d'analyser les réponses de l'écrit à l'écran, du début du XXe siècle à nos jours. Un premier ensemble d'articles analyse le rôle attribué au cinéma dans certaines évolutions du système des genres en littérature : si la référence filmique sert parfois au discrédit des genres existants, comme chez Henri Michaux par exemple, il en va toutefois plus souvent d'une reconfiguration que d'une destruction des genres littéraires dans de nombreux autres cas, étudiés par plusieurs contributeurs dans des romans français contemporains comme ceux de Pierric Bailly. Un deuxième ensemble d'articles se demande ensuite quels liens ces changements entretiennent avec d'autres formes d'interactions entre littérature et cinéma, comme les adaptations littéraires, l'imitation verbale de techniques cinématographiques, ou le recours à un imaginaire ou des thèmes typiques du monde du cinéma comme chez Jean-Philippe Toussaint ou Christine Montalbetti. Enfin, trois études interrogeant de manières différentes le lien de l'écrit à l'écran émettent l'hypothèse que le cinéma pourrait aussi inviter à la création de nouveaux genres littéraires comme le ciné-roman-photo, les journaux de tournage ou les romans de la projection.
-
Études françaises. Volume 55, numéro 2, 2019
Jan Baetens, Nadja Cohen, Fabien Gris, Morgane Kieffer, Frederic Clamens-Nanni, Nathalie Gillain, Marie Martin, François
- Les Presses de l'Université de Montréal
- 11 Novembre 2024
- 9782760640849
Abordant les effets du cinéma sur la littérature et les nouvelles manières de penser et d'écrire à l'ère de la culture cinématographique, ce dossier rassemble des contributions permettant d'analyser les réponses de l'écrit à l'écran, du début du XXe siècle à nos jours. Un premier ensemble d'articles analyse le rôle attribué au cinéma dans certaines évolutions du système des genres en littérature : si la référence filmique sert parfois au discrédit des genres existants, comme chez Henri Michaux par exemple, il en va toutefois plus souvent d'une reconfiguration que d'une destruction des genres littéraires dans de nombreux autres cas, étudiés par plusieurs contributeurs dans des romans français contemporains comme ceux de Pierric Bailly. Un deuxième ensemble d'articles se demande ensuite quels liens ces changements entretiennent avec d'autres formes d'interactions entre littérature et cinéma, comme les adaptations littéraires, l'imitation verbale de techniques cinématographiques, ou le recours à un imaginaire ou des thèmes typiques du monde du cinéma comme chez Jean-Philippe Toussaint ou Christine Montalbetti. Enfin, trois études interrogeant de manières différentes le lien de l'écrit à l'écran émettent l'hypothèse que le cinéma pourrait aussi inviter à la création de nouveaux genres littéraires comme le ciné-roman-photo, les journaux de tournage ou les romans de la projection.
-
à voix haute, poésie et lecture publique
Jan Baetens
- Les Impressions nouvelles
- REFLEXIONS FAITES
- 2 Juin 2016
- 9782874494222
La poésie, aujourd'hui, c'est ce qui se lit : à voix haute, en public, et pourquoi pas sur scène. Les possibilités ouvertes par cette transition sont considérables, comme en témoigne l'émergence d'une autre scène poétique : poésie sonore, performance, slam. De Mallarmé à Tzara, de Roubaud à Gleize, d'Alferi à Goldsmith, tous les grands auteurs se lisent aujourd'hui à voix haute. Mais il arrive que la lecture publique nuise à la qualité de leurs textes. Ce livre examine la cohabitation de l'écrit et de l'oral en poésie. En s'appuyant sur les témoignages des auteurs mêmes, il invite à rompre le consensus sur les bienfaits supposés de la lecture en régime de « voix haute ».Professeur à l'Université de Leuven, Jan Baetens a publié de nombreux ouvrages d'analyse et de critique littéraire. Il est aussi l'auteur de nombreux volumes de poésie, dont SLAM, poèmes sur le basket-ball (2006), Pour une poésie du dimanche (2009), Le Problème du Sud (2013) et Ce monde (2015). Il a reçu le Prix triennal de poésie 2007 de la Fédération Wallonie-Bruxelles pour son recueil Cent fois sur le métier. Une anthologie de son oeuvre poétique, Vivre sa vie et autres poèmes est parue en 2014 dans la collection de poche Espace Nord, en même temps que son essai, Pour en finir avec la poésie dite minimaliste.
-
La lecture critique de la bande dessinée valorise souvent la dimension purement visuelle des planches au détriment du texte. C'est sous-estimer un pan décisif de cet art, et singulièrement tout le sel des albums d'Hergé. Son oeuvre, qui transforme la bande dessinée en genre littéraire, invente en effet un nouvel équilibre entre l'iconique et le verbal. Dans le cas d'Hergé, la «ligne claire» est autant question d'écriture que de dessin. Voilà ce que démontre brillamment l'essai de Jan Baetens, initialement publié aux éditions Labor et entièrement revu pour la présente édition. Dans le «style» d'Hergé, le souci du texte complète le goût des histoires et l'invention linguistique renforce les trouvailles de mise en page ; ce sont dans les jeux sur les mots, les lettres, les phylactères et la narration que l'on découvre un Hergé véritablement «écrivain».