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Jeunesse
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Le livre des grands voiliers
Jean-Michel Barrault
- Gallimard (réédition numérique FeniXX)
- Découverte Cadet
- 4 Février 2019
- 9782075111546
Un livre pour découvrir l'histoire des voiliers. de la voile de papyrus aux gréements les plus élaborés. galères antiques. navires de commerce. bâtiments de guerre. baleiniers. vaisseaux pour explorer le monde. Un livre pour admirer les grands voiliers de l'histoire. la Santa Maria de Christophe Colomb. le Mayflower des pionniers américains. le Victory de Nelson. le Soleil Royal de marine de Louis XIV. Avec des poèmes pour ajouter au plaisir d'apprendre celui de rêver.
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Je sais tout sur la mer
Jean-Michel Barrault
- Hachette (réédition numérique FeniXX)
- Des livres pour notre temps - Les dicos
- 19 Avril 2019
- 9782706257179
Savez-vous que Robinson Crusoé a vraiment existé; que, grâce aux maisons sous-marines, l'homme peut vivre plusieurs semaines par 100 mètres de fond; que l'albatros peut parcourir des milliers de kilomètres sans toucher terre; que le ski nautique fut inventé par des chasseurs alpins; que des marins dignes de foi ont vu le serpent de mer; que certaines algues mesurent 50 mètres de long; que les révoltés du Bounty ont fondé une communauté qui compte aujourd'hui 300 personnes; que la coupe de l'America appartient aux États-Unis depuis 1851 ?...
330 noms et mots clefs vous font découvrir bateaux de tous les temps, navigateurs célèbres, termes de marine, grands phénomènes météorologiques, instruments et techniques navales d'hier et d'aujourd'hui, etc. Définitions et anecdotes vous entraînent sur les océans. Un voyage au long cours à ne pas manquer ! -
Au cap Horn à vingt ans
Jean-Michel Barrault
- Gallimard (réédition numérique FeniXX)
- Exploits
- 12 Novembre 2018
- 9782075113465
C'était un 8 septembre. Souvenez-vous. Le temps était beau, la brise légère, la rade de Portsmouth nappée de brume. Ils étaient partis au milieu de la plus prodigieuse flottille qu'on ait jamais vue sur une ligne de départ. L'angoisse devant les incertitudes, face à la dimension de l'entreprise, il semble bien que personne alors ne la ressente. Marquée par le démâtage de Pen-Duick VI, la première étape révèle aussi un prétendant inattendu à la victoire : Sayula II. A-t-on jamais vu un Mexicain gagner une course océanique ? Le 7 novembre, ils repartent. L'étape la plus courte, courue en moins d'un mois par le plus rapide, Pen-Duick VI, est la plus dure. Nombreux sont les bateaux couchés, mâts dans l'eau. Sayula II chavire à 150°. Paul Waterhouse sur Tauranga, Dominique Guillet sur 33-Export, sont emportés par les lames. Sayula II achève en vainqueur l'étape cruelle, devant Grand Louis et Kriter. Le 29 décembre, départ pour l'étape la plus longue et la plus redoutée. Elle se révèlera clémente. Sauf pour Pen-Duick VI, à nouveau démâté deux jours après le départ. Le cap Horn laisse à la plupart un souvenir éblouissant de beauté et de majesté. La mer pourtant n'y fut pas clémente pour tous. Tauranga, sous tourmentin, se faisait coucher, ainsi que Second Life, juste après le cap. Et l'océan, à nouveau, était cruel pour Bernard Hoskings équipier de Great Britain et Pierre Bron, de Pen-Duick III, péris en mer. Adventure gagnait à Rio devant Sayula II. La dernière étape qui allait confirmer la victoire de Sayula II n'allait-elle être qu'une longue formalité ? Non. Il restait 5 500 milles à couvrir, des options météo délicates, des places à prendre ou à perdre, et l'inquiétude devant les gréements fatigués. « Une course, disait Tabarly avant le départ, n'est gagnée que lorsque la ligne d'arrivée est franchie. » Même l'ultime consolation de passer cette ligne, à Portsmouth, pour l'honneur, allait lui être refusée. Ils étaient seize bateaux à partir faire le tour du monde. Ils sont tous revenus. Quatre hommes ont payé de leur vie le prix de l'aventure. Le risque était-il excessif ? Pour la centaine d'équipiers qui ont bouclé la boucle que signifie ce tour du monde ?