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Littérature
-
À la recherche du temps perdu Tome 1 : du côté de chez Swann
Marcel Proust
- StoryLab Classics
- Classics
- 18 Avril 2015
- 9782363153531
« Longtemps, je me suis couché de bonne heure. » À partir de cette petite phrase, devenue célèbre, Marcel Proust déploie ses souvenirs, son enfance, mille impressions, mille images, tout comme à partir d'une saveur de madeleine ressurgissent les souvenirs, intacts et palpitants.
Il se souvient également de son voisin, Swann, dont il raconte le passé amoureux. Cette deuxième partie, « Un amour de Swann », est une sorte de roman dans le roman.
Du côté de chez Swann est le premier tome de la Recherche du temps perdu, l'oeuvre monumentale et néanmoins ciselée de Marcel Proust, qui réfléchit sur le temps, le souvenir, l'art, avec un sens des images et des métaphores qui en fait l'un des plus grands écrivains français. -
À la recherche du temps perdu Tome 2 ; à l'ombre des jeunes filles en fleurs
Marcel Proust
- 12-21
- Hors collection
- 4 Juillet 2019
- 9782823873450
Décor enchanté de
À la recherche du temps perdu, Balbec occupe une place centrale dans " l'édifice immense du souvenir " que construit Marcel Proust. Encore adolescent, séjournant au Grand Hôtel avec sa grand-mère, le Narrateur rencontre les personnages qui marqueront sa vie. C'est l'apparition de Robert de Saint-Loup courant derrière son monocle, et du prodigieux Charlus qui, au premier regard, passerait pour un espion ou un fou.
Sur la digue où chahute une bande de jeunes estivantes, il a remarqué la plus insolente d'entre elles, nommée Albertine. Il ignore alors vers quel enfer de soupçon et de jalousie va l'entraîner la jeune fille au polo noir.
En 1919, à l'occasion du prix Goncourt, d'
À l'ombre des jeunes filles en fleurs, le grand public découvre Marcel Proust. Cent ans plus tard, sa renommée et son génie ne connaissent plus de frontières.
Cet ouvrage rassemble :Autour de Madame Swann,
Noms de pays : le pays -
À la recherche du temps perdu Tome 3 : le côté de Guermantes
Marcel Proust
- 12-21
- Pocket classiques
- 25 Février 2021
- 9782823874914
LES GRANDS TEXTES DU XXe SIECLE
Le Narrateur est entré dans le monde magique des Guermantes, dont le nom, enfant, le faisait rêver lors de promenades à Combray. Voisin de leur hôtel particulier parisien, il cultive son amour pour la duchesse " aux yeux ensoleillés d'un sourire bleu " et son amitié pour son neveu Robert de Saint Loup, alors cantonné dans sa garnison de Doncières. Ce séjour au milieu de ces jeunes officiers compte parmi les épisodes les plus gais et les plus heureux de la Recherche. Dans les salons de madame de Villeparisis, Guermantes elle aussi, il retrouve les foucades énigmatiques du baron de Charlus, figure majeure de cette " race altière ".
C'est l'époque où Marcel va connaître la plus grande douleur de sa vie : la maladie et la mort de sa grand-mère, jusqu'au dernier frisson, au dernier murmure de son agonie, sans doute les plus belles pages, merveilleuses et cruelles, de l'oeuvre.
Cet ouvrage rassemble :Le Côté de Guermantes I,
Le Côté de Guermantes II -
À la recherche du temps perdu Tome 4 : Sodome et Gomorrhe
Marcel Proust
- L'Edition numérique européenne
- 27 Novembre 2013
- 9782806700537
Sodome et Gomorrhe est le quatrième volet de À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié en 1921 pour le premier tome et en 1922 pour le deuxième.
-
À la recherche du temps perdu Tome 5 ; la prisonnière
Marcel Proust
- L'Edition numérique européenne
- 28 Novembre 2013
- 9782806700551
La Prisonnière est le cinquième tome de À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié à titre posthume.
Le thème principal de ce volume est l'amour possessif et jaloux qu'éprouve le narrateur pour Albertine. Il la fait surveiller, la soupçonne de liaisons homosexuelles, essaie de la retenir chez lui. -
L'énigme et la magie de la lecture, devenant elles-mêmes un texte d'enchantement, une leçon et un guide. De ce laboratoire où Marcel Proust revient à son enfance, naîtra toute armée sa Recherche...
La magie circulaire de A la Recherche du temps perdu, c'est que le narrateur, tout à la fin, commence de rédiger le livre dont nous venons de finir la lecture. Assomption par le monde des lois de l'écriture, et de son héritage : la grand-mère avec son parler Sévigné, M. de Charlus avec Balzac, et les lectures d'enfance du narrateur, sa passion pour la simplicité de George Sand.
On sait que Marcel Proust a dû attendre ses 37 ans pour que cet accès à l'écriture de ce qui deviendrait A la Recherche du temps perdu lui soit enfin possible. Mais que toute sa vie et son tavail jusque là y tendaient, depuis les esquisse de Jean Santeuil aux traductions de Ruskin, aux essais sur Baudelaire, Flaubert et Nerval rassemblés dans le Contre Sainte-Beuve.
Traditionnellement (il a déjà plusieurs fois été édité de façon autonome), ses Journées de lecture sont désormais considérées comme un moment spécifique, une étape de ce virage. Texte pour une fois définitivement fixé par Proust, il sert de préface à sa traduction de Sésame et les Lys de Ruskin (sous le titre initial, encore plus direct, de : Sur la lecture). Mais les matériaux qu'il y emploie sont décisifs : certains s'intègreront quasiment tels quels à Combray. Et admirons, au passage, la place de l'écriture dans cette société à laquelle la première guerre mondiale mettra un terme : le lien lecture-écriture posé de façon aussi liée.
Et peu importe les livres, même si on croisera Schopenhauer ou Racine et Shakespeare: ce qu'il nous dit, c'est le temps de la lecture, le rapport aux heures, à l'essentielle solitude.
Texte d'amour, qui nous renforce - très simplement - dans notre rapport nécessaire à lire. Et renouvelle de façon étonnamment vivante le pacte que nous tissons aujourd'hui avec la lecture via nos écrans.
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À la recherche du temps perdu Tome 7 : le temps retrouvé
Marcel Proust
- Bibebook
- 14 Mars 2013
- 9782824708850
Le Temps retrouvé est le septième et dernier tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié en 1927 à titre posthume. L'oeuvre s'ouvre sur le séjour du Narrateur chez Gilberte de Saint-Loup à Tansonville. Une lecture d'un passage inédit du journal des Goncourt entraîne le Narrateur dans des réflexions sur l'art et la littérature, d'où il conclut que en se demandant si tous les gens que nous regrettons de ne pas avoir connus parce que Balzac les peignait dans ses livres [...] ne m'eussent pas paru d'insignifiantes personnes, soit par une infirmité de ma nature, soit qu'elles ne dussent leur prestige qu'à une magie illusoire de la littérature. L'action se poursuit ensuite à Paris, en 1916. Extrait : Ce qui est curieux et ce sur quoi je ne puis m'étendre, c'est à quel point, vers cette époque-là, toutes les personnes qu'avait aimées Albertine, toutes celles qui auraient pu lui faire faire ce qu'elles auraient voulu, demandèrent, implorèrent, j'oserai dire mendièrent, à défaut de mon amitié, quelques relations avec moi. Il n'y aurait plus eu besoin d'offrir de l'argent à Mme Bontemps pour qu'elle me renvoyât Albertine. Ce retour de la vie, se produisant quand il ne servait plus à rien, m'attristait profondément, non à cause d'Albertine, que j'eusse reçue sans plaisir si elle m'eût été ramenée, non plus de Touraine mais de l'autre monde, mais à cause d'une jeune femme que j'aimais et que je ne pouvais arriver à voir. Je me disais que si elle mourait, ou si je ne l'aimais plus, tous ceux qui eussent pu me rapprocher d'elle tomberaient à mes pieds. En attendant, j'essayais en vain d'agir sur eux, n'étant pas guéri par l'expérience, qui aurait dû m'apprendre -- si elle apprenait jamais rien -- qu'aimer est un mauvais sort comme ceux qu'il y a dans les contes contre quoi on ne peut rien jusqu'à ce que l'enchantement ait cessé.
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Alors que le premier tome est publié à compte d'auteur chez Grasset en 1913 grâce à René Blum (Proust en conserve la propriété littéraire), la guerre stoppe la publication du deuxième tome et permet à Proust de remodeler son oeuvre, cette dernière prenant de l'ampleur au fil des nuits de travail épuisant. L'auteur retravaille sans cesse ses dactylographies autant que ses brouillons et ses manuscrits, et souhaite interrompre sa collaboration avec l'éditeur. La Nouvelle Revue française, dirigée par Gaston Gallimard, est en pleine bataille éditoriale avec Grasset depuis 1914 mais a commis l'erreur de refuser en 1913 de publier Du côté de chez Swann par l'entremise d'André Gide, figure dominante du comité éditorial de la NRF qui juge que c'est un livre de snob dédié à Gaston Calmette, directeur du Figaro. Extrait : De tous les modes de production de l'amour, de tous les agents de dissémination du mal sacré, il est bien l'un des plus efficaces, ce grand souffle d'agitation qui parfois passe sur nous. Alors l'être avec qui nous nous plaisons à ce moment-là, le sort en est jeté, c'est lui que nous aimerons. Il n'est même pas besoin qu'il nous plût jusque-là plus ou même autant que d'autres. Ce qu'il fallait, c'est que notre goût pour lui devînt exclusif. Et cette condition-là est réalisée quand -- à ce moment où il nous a fait défaut -- à la recherche des plaisirs que son agrément nous donnait, s'est brusquement substitué en nous un besoin anxieux qui a pour objet cet être même, un besoin absurde que les lois de ce monde rendent impossible à satisfaire et difficile à guérir -- le besoin insensé et douloureux de le posséder.
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À la recherche du temps perdu Tome 6 : Albertine disparue
Marcel Proust
- L'Edition numérique européenne
- 29 Novembre 2013
- 9782806700575
Albertine disparue, originellement titré La Fugitive, est le sixième tome de À la recherche du temps perdu de Marcel Proust, paru à titre posthume.
L'ampleur prise par les épisodes centrés sur le personnage d'Albertine, qui devaient initialement faire partie de Sodome et Gomorrhe, obligea Proust à découper l'ensemble en deux tomes dont les titres devaient se répondre : La Prisonnière et La Fugitive. -
Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Marcel Proust. Sur la lecture, de Marcel Proust, republié plus tard sous le titre de Journées de lecture, est à l'origine une préface destinée à introduire en France un essai de John Ruskin, Sésame et les lys, dont il assure la traduction. L'auteur de La Recherche du temps perdu se saisit de l'étude de Ruskin pour se remémorer ses journées d'enfance passées à lire, notamment Le Capitaine Fracasse, de Théophile Gautier, et exposer ses propres idées sur la lecture. "Il n'y a peut-être pas de jours de notre enfance que nous ayons si pleinement vécus que ceux que nous avons cru laisser sans les vivre, ceux que nous avons passés avec un livre préféré", affirme-t-il d'emblée avant de s'opposer sur un plan plus théorique au célèbre esthète anglais dont il conteste le rôle prépondérant de communication spirituelle qu'il confère à la lecture: "C'est donner un trop grand rôle à ce qui n'est qu'une initiation d'en faire une discipline. La lecture est au seuil de la vie spirituelle; elle peut nous y introduire: elle ne la constitue pas". Pour Marcel Proust, "Tant que la lecture est pour nous l'initiatrice dont les clefs magiques nous ouvrent au fond de nous-même la porte des demeures où nous n'aurions pas su pénétrer, son rôle dans notre vie est salutaire. Il devient dangereux au contraire quand, au lieu de nous éveiller à la vie personnelle de l'esprit, la lecture tend à se substituer à elle, quand la vérité ne nous apparaît plus comme un idéal que nous ne pouvons réaliser que par le progrès intime de notre pensée et par l'effort de notre coeur, mais comme une chose matérielle, déposée entre les feuillets des livres comme un miel tout préparé par les autres et que nous n'avons qu'à prendre la peine d'atteindre sur les rayons des bibliothèques et de déguster ensuite passivement dans un parfait repos de corps et d'esprit."
-
La Prisonnière est le cinquième volet de À la recherche du temps perdu de Marcel Proust.
Le narrateur est de retour à Paris, dans la maison de ses parents, absents pour le moment. Il y vit avec Albertine, et Françoise, la bonne. Les deux amants ont chacun leur chambre et leur salle de bains. Le narrateur fait tout pour contrôler la vie d'Albertine, afin d'éviter qu'elle donne des rendez-vous à des femmes. Il la maintient pour ainsi dire prisonnière chez lui, et lorsqu'elle sort, il s'arrange pour qu'Andrée, une amie commune aux deux amoureux, suive Albertine dans tous ses déplacements. L'attitude du narrateur est très proche de celle de Swann avec Odette dans Un Amour de Swann. L'amour, loin de le rendre heureux, suscite une incessante méfiance, et une jalousie de tous les instants. Le héros se rend compte aussi que malgré toutes ses précautions, Albertine lui est étrangère à bien des égards. Quoi qu'il fasse, elle reste définitivement un mystère pour lui. Cette vie en commun ne dure pas longtemps. Un jour, Françoise annonce au narrateur qu'Albertine est partie de bon matin. -
Tome le plus sulfureux de la Recherche du temps perdu, narrant notamment les passions " inverties " du baron de Charlus.
Le volume s'ouvre sur la scène la plus audacieuse de l'oeuvre, lorsque le Narrateur assiste à la " parade nuptiale " et à l'accouplement du baron de Charlus vieillissant avec le tailleur Jupien dans la cour de l'hôtel de Guermantes.
C'est le prélude à une étude brûlante sur la descendance innombrable des habitants des cités bibliques à laquelle appartiennent presque tous les personnages de
La Recherche. Ducs, princes, aristocrates et bourgeois, domestiques et gens du peuple, entrent dans l'immense colonie alors clandestine. Albertine n'y échappe pas, lesbienne secrète, dont les moeurs sont le motif principal de la jalousie névrotique de Marcel. Mais aucun vice, aucune malédiction ne saurait leur épargner l'enfer de la passion et ses terribles figures de " la Fureur, la Curiosité, l'Envie, la Haine, l'Orgueil, l'Épouvante ", le supplice proustien de l'Amour transfiguré par le miracle de l'art, de l'intelligence et de la poésie.
Cet ouvrage rassemble :
Sodome et Gomorrhe I,
Sodome et Gomorrhe II -
Sentiments filiaux d'un parricide
Marcel Proust
- Editions Allia
- LA TRES PETITE COLLECTION
- 3 Mars 2016
- 9791030401097
Madame Van Blarenberghe, femme du président de la compagnie des chemins de fers de l'Est, a trouvé la mort le 24 janvier 1907. Le coup fatal, c'est son propre fils qui le lui a porté avant de se suicider. Rapporté sous le titre "Drame de la folie" dans Le Figaro le lendemain, ce fait divers attire vivement l'attention de Marcel Proust. Cette dame était amie de ses parents. Lui-même avait reçu une lettre touchante du fils en réponse à des condoléances qu'il avait adressées lors de la mort du père. Rapidement, il envoie un article à ce même journal, Sentiments filiaux d'un parricide. Loin de s'outrager d'un tel crime, Proust compare cet acte à la geste des grandes tragédies grecques, et leur lot de parricides : OEdipe, Ajax, Oreste. Ou encore au Roi Lear de Shakespeare. Sans se soucier du calibrage imposé par le journal, Proust laisse libre cours à sa pensée. Prenant le contre-pied du Figaro, il transforme le fait divers en scénario d'une dramaturgie antique. Il déjoue les codes de l'article de presse et il adopte un point de vue tout à fait subjectif, annonçant les riches heures de la narrative fiction. Là déjà, dans ce texte guidé par l'impulsion, il oeuvre par réminiscence : le souvenir de ces gens le conduit à reconsidérer le présent à sa lumière. Le fils meurtrier devient sous sa plume non plus un assassin sordide mais un héros sublime.
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Un livre de Proust avec des phrases courtes, et des histoires de quelques pages seulement ? Oui, ça existe, la preuve....
Les plaisirs et les jours est un recueil de nouvelles qui vous fera découvrir l'écrivain le plus sombre du XXème siècle sous un autre visage : loin de la littérature « en forme de cadavre » qu'il a imprégné de tout son génie dans « A la recherche du temps perdu » ; ici, le style se veut plus vif, léger, bref et sans ambages. Comme un génie (ou récit?) de jeunesse. Auquel se rajoute le charme suranné d'une époque lointaine - et si belle.
Edition complète
(avec une préface d'Anatole France).
Contenant 10 Nouvelles : LA MORT DE BALDASSARE SILVANDE VICOMTE de SYLVANIE ; VIOLANTE OU LA MONDANITÉ ; FRAGMENTS DE COMÉDIE ITALIENNE ; MONDANITÉ ET MÉLOMANIE DE BOUVARD ET PÉCUCHET ; MÉLANCOLIQUE VILLÉGIATURE DE MADAME DE BREYVES ; PORTRAITS DE PEINTRES ET DE MUSICIENS ; LA CONFESSION D'UNE JEUNE FILLE ; UN DÎNER EN VILLE ; LES REGRETS RÊVERIES COULEUR DU TEMPS ; LA FIN DE LA JALOUSIE.
Format professionnel électronique © Ink Book édition. -
Environ 4107 pages au format Ebook. Sommaire interactif avec hyperliens.
Éditions complète de À la recherche du temps perdu, comprenant : Du côté de chez Swann - À l'ombre des jeunes filles en fleurs - Le côté de Guermantes - Sodome et Gomorrhe - La prisonnière - Albertine disparue - Le temps retrouvé - avec fiches de lecture, illustrations et commentaires.
Le fameux passage concernant la "madeleine de Proust" est inclus dans la première partie de ce livre : Du côté de chez Swann
Proust faisant souvent référence à des peintures pour donner une idée de ses personnages ou de certaines scènes auxquelles assiste le narrateur, nous avons fait figurer dans cette édition des extraits des oeuvres citées afin d'éclairer le lecteur qui ne les connaîtrait pas.
Nous vous souhaitons une longue et délicieuse lecture.
Extrait : Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : « Je m'endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu'il était temps de chercher le sommeil m'éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir dans les mains et souffler ma lumière ; je n'avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j'étais moi-même ce dont parlait l'ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint. Cette croyance survivait pendant quelques secondes à mon réveil ; elle ne choquait pas ma raison, mais pesait comme des écailles sur mes yeux et les empêchait de se rendre compte que le bougeoir n'était plus allumé. -
Les cinq préfaces écrites par Marcel Proust enfin réunies en un seul volume ! Loin d'être de simples témoignages d'amitié, les préfaces sont des oeuvres à part entière, qui prennent prétexte de l'oeuvre préfacée pour développer des idées personnelles, voire esquisser quelques-unes des idées maîtresses de la Recherche du temps perdu.
Faut-il encore présenter Marcel Proust ? Auteur du cycle romanesque qui le propulsa au rang de mythe littéraire, À la recherche du temps perdu, Marcel Proust reste un auteur acclamé à travers le monde, de générations en générations. -
Avoir vingt ans et décider de se suicider. Mais au nom de quel tourment ? de quelle faute ? Au crépuscule d'une vie trop brève, la narratrice se confie. Se confesse. Oui, son âme de jeune fille si pure a pu connaître la vanité des mondanités et s'y abîmer. Jusqu'à connaître un amour interdit. Dans un dernier souffle, le coeur dit sa tristesse, sa révolte, son regret, et dénonce tout à la fois le sort réservé aux jeunes filles trop sensibles et les leurres du divertissement. Un texte haletant.
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Que les poètes s'inspirent plus de la nature, où, si le fond de tout est un et obscur, la forme de tout est individuelle et claire. Avec le secret de la vie, elle leur apprendra le dédain de l'obscurité. Est-ce que la nature nous cache le soleil, ou les milliers d'étoiles qui brillent sans voiles, éclatantes et indéchiffrables aux yeux de presque tous ? Est-ce que la nature ne nous fait pas toucher, rudement et à nu, la puissance de la mer ou du vent d'ouest ? À chaque homme elle donne d'exprimer clairement, pendant son passage sur la terre, les mystères les plus profonds de la vie et de la mort. Sont-ils pour cela pénétrés du vulgaire, malgré le vigoureux et expressif langage des désirs et des muscles, de la souffrance, de la chair pourrissante ou fleurie ? Et je devrais citer surtout, puisqu'il est la véritable heure d'art de la nature, le clair de lune où pour les seuls initiés, malgré qu'il luise si doucement sur tous, la nature, sans un néologisme depuis tant de siècles fait de la lumière avec de l'obscurité et joue de la flûte avec le silence.
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à la recherche du temps perdu : Intégrale Tomes 1 à 7
Marcel Proust
- e-artnow
- 13 Mars 2014
- 9788026808367
Ce livre numérique présente "A la recherche du temps perdu: édition Intégrale, tous les volumes" de Marcel Proust avec une table des matières dynamique et détaillée.
Marcel Proust (prénoms complets : Valentin Louis Georges Eugène Marcel), né à Auteuil le 10 juillet 1871 et mort à Paris le 18 novembre 1922, est un écrivain français, dont l'oeuvre principale est une suite romanesque intitulée À la recherche du temps perdu, publiée de 1913 à 1927. En 1907, Marcel Proust commence l'écriture de son grand oeuvre À la recherche du temps perdu dont les sept tomes seront publiés entre 1913 (Du côté de chez Swann) et 1927, c'est-à-dire en partie après sa mort ; le second volume, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, obtiendra le prix Goncourt en 1919. Marcel Proust meurt épuisé, le 18 novembre 1922, d'une bronchite mal soignée : il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise à Paris, accompagné par une assistance nombreuse qui salue un écrivain d'importance que les générations suivantes placeront au plus haut en faisant de lui un véritable mythe littéraire.
Contenu:
Du Côté De Chez Swann
A l'Ombre Des Jeunes Filles En Fleurs
Le Côté De Guermantes
Sodome Et Gomorrhe
La Prisonnière
Albertine Disparue
Le Temps Retrouvé -
Edition augmentée de nombreuses notes et annexes. Vous y retouverez l'intégrale des oeuvres de Marcel Proust et plus encore. Cet ebook énorme a fait l'objet d'un véritable travail de recherche, correction, mise en page pour votre plus grand confort de lecture. La navigation se fait aisément au sein de l'oeuvre grâce aux tables des matières hyperliées et NCX intégrées.
Pour nous faire part de vos remarques ou signaler une erreur, veuillez nous écrire à editions@ligram.com, les titres seront mis à jour dans les plus brefs délais.
CONTENU DETAILLE :
- À la recherche du tems perdu (L'intégrale): Du Côté de Chez Swann - À l'ombre des jeunes filles en fleurs - Le Côté de Guermantes - Sodome et Gomorrhe - La prisonnière - Albertine disparue - Le temps retrouvé
- Les plaisirs et les jours
- Le questionnaire de Proust ou MArcel Proust par lui-même
- Biographie de Marcel Proust (P. Souday) -
à la recherche du temps perdu Tome 2 : A l'ombre des jeunes filles en fleurs
Marcel Proust
- Librofilio
- 16 Février 2023
- 9782384610655
"À l'ombre des jeunes filles en fleurs" est le deuxième volume de "À la recherche du temps perdu" de Marcel Proust. Il continue de vous emmener dans un voyage à travers les souvenirs et les émotions d'un narrateur qui tente de retrouver sa vie perdue. Ce livre explore les thèmes de l'amour, de l'identité et de la mémoire à travers une écriture poétique et élégante. Il vous plonge dans l'univers de la Belle Epoque française, où les personnages sont complexes et les réflexions profondes. Il offre un voyage fascinant dans le temps et l'espace, qui vous fera réfléchir sur la nature de la réalité et de la perception. Ce livre est un incontournable pour les amoureux de la littérature et pour ceux qui cherchent à découvrir les richesses de la littérature française.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Marcel Proust est un écrivain français talentueux et révolutionnaire, né à Auteuil en 1871. Il a passé une grande partie de sa vie à écrire son chef-d'oeuvre, "À la recherche du temps perdu", qui est considéré comme l'une des oeuvres les plus importantes de la littérature française du XXe siècle. Ce roman en sept parties raconte l'histoire de la vie de Marcel, du début de son enfance jusqu'à sa mort. Il explore les thèmes de la mémoire, de la nature humaine et de la vie sociale de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Proust était également un critique d'art et de littérature de renom, et son oeuvre est riche de références culturelles et littéraires. Malgré sa santé fragile, Proust a consacré sa vie à l'écriture et à la rédaction de son roman, qui est devenu l'un des plus grands romans de tous les temps. -
à la recherche du temps perdu Tome 3 : À l´ombre des jeunes filles en fleurs
Marcel Proust
- Bibebook
- 14 Mars 2013
- 9782824708805
À l'ombre des jeunes filles en fleurs est le second tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié en 1919 chez Gallimard. Il reçoit la même année le prix Goncourt. Cette édition reprend le texte de l'édition Gallimard, Paris, 1946-47, en 15 volumes. Extrait : Enfin éclata mon premier sentiment d'admiration : il fut provoqué par les applaudissements frénétiques des spectateurs. J'y mêlai les miens en tâchant de les prolonger, afin que, par reconnaissance, la Berma se surpassant, je fusse certain de l'avoir entendue dans un de ses meilleurs jours. Ce qui est du reste curieux, c'est que le moment où se déchaîna cet enthousiasme du public, fut, je l'ai su depuis, celui où la Berma a une de ses plus belles trouvailles. Il semble que certaines réalités transcendantes émettent autour d'elles des rayons auxquels la foule est sensible. C'est ainsi que, par exemple, quand un événement se produit, quand à la frontière une armée est en danger, ou battue, ou victorieuse, les nouvelles assez obscures qu'on reçoit et d'où l'homme cultivé ne sait pas tirer grand'chose excitent dans la foule une émotion qui le surprend et dans laquelle, une fois que les experts l'ont mis au courant de la véritable situation militaire, il reconnaît la perception par le peuple de cette « aura » qui entoure les grands événements et qui peut être visible à des centaines de kilomètres. On apprend la victoire, ou après-coup quand la guerre est finie, ou tout de suite par la joie du concierge.
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à la recherche du temps perdu Tome 13 : Albertine disaprue
Marcel Proust
- Bibebook
- 14 Mars 2013
- 9782824708812
Albertine Disparue, dont le titre original est La fugitive, est le sixième tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust paru en 1927 à titre posthume. la Fugitive devait originairement regrouper la Prisonnière et Albertine disparue. De fait, Albertine disparue est la suite indissociable, sur le plan narratif au moins, de la Prisonnière. Extrait : Mademoiselle Albertine est partie ! Comme la souffrance va plus loin en psychologie que la psychologie ! Il y a un instant, en train de m'analyser, j'avais cru que cette séparation sans s'être revus était justement ce que je désirais, et comparant la médiocrité des plaisirs que me donnait Albertine à la richesse des désirs qu'elle me privait de réaliser, je m'étais trouvé subtil, j'avais conclu que je ne voulais plus la voir, que je ne l'aimais plus. Mais ces mots : « Mademoiselle Albertine est partie » venaient de produire dans mon coeur une souffrance telle que je ne pourrais pas y résister plus longtemps. Ainsi ce que j'avais cru n'être rien pour moi, c'était tout simplement toute ma vie. Comme on s'ignore ! Il fallait faire cesser immédiatement ma souffrance. Tendre pour moi-même comme ma mère pour ma grand'mère mourante, je me disais, avec cette même bonne volonté qu'on a de ne pas laisser souffrir ce qu'on aime : « Aie une seconde de patience, on va te trouver un remède, sois tranquille, on ne va pas te laisser souffrir comme cela. » Ce fut dans cet ordre d'idées que mon instinct de conservation chercha pour les mettre sur ma blessure ouverte les premiers calmants : « Tout cela n'a aucune importance parce que je vais la faire revenir tout de suite. Je vais examiner les moyens, mais de toute façon elle sera ici ce soir. Par conséquent inutile de se tracasser. » « Tout cela n'a aucune importance », je ne m'étais pas contenté de me le dire, j'avais tâché d'en donner l'impression à Françoise en ne laissant pas paraître devant elle ma souffrance, parce que, même au moment où je l'éprouvais avec une telle violence, mon amour n'oubliait pas qu'il lui importait de sembler un amour heureux, un amour partagé, surtout aux yeux de Françoise qui, n'aimant pas Albertine, avait toujours douté de sa sincérité. Oui, tout à l'heure, avant l'arrivée de Françoise, j'avais cru que je n'aimais plus Albertine, j'avais cru ne rien laisser de côté ; en exact analyste, j'avais cru bien connaître le fond de mon coeur. Mais notre intelligence, si grande soit-elle, ne peut apercevoir les éléments qui le composent et qui restent insoupçonnés tant que, de l'état volatil où ils subsistent la plupart du temps, un phénomène capable de les isoler ne leur a pas fait subir un commencement de solidification. Je m'étais trompé en croyant voir clair dans mon coeur.
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à la recherche du temps perdu Tome 11 : la prisonnnière
Marcel Proust
- Bibebook
- 14 Mars 2013
- 9782824708836
La Prisonnière est le cinquième tome d'À la recherche du temps perdu de Marcel Proust publié en 1925 à titre posthume. Le thème principal de ce volume est l'amour possessif et jaloux qu'éprouve le narrateur pour Albertine. Il la fait surveiller, la soupçonne de liaisons homosexuelles, essaie de la retenir chez lui. Extrait : Elle n'aurait pas fermé une porte et, en revanche, ne se serait pas plus gênée d'entrer quand une porte était ouverte que ne fait un chien ou un chat. Son charme, un peu incommode, était ainsi d'être à la maison moins comme une jeune fille que comme une bête domestique, qui entre dans une pièce, qui en sort, qui se trouve partout où on ne s'y attend pas et qui venait -- c'était pour moi un repos profond -- se jeter sur mon lit à côté de moi, s'y faire une place d'où elle ne bougeait plus, sans gêner comme l'eût fait une personne. Pourtant, elle finit par se plier à mes heures de sommeil, à ne pas essayer non seulement d'entrer dans ma chambre, mais à ne plus faire de bruit avant que j'eusse sonné. C'est Françoise qui lui imposa ces règles. Elle était de ces domestiques de Combray sachant la valeur de leur maître et que le moins qu'elles peuvent est de lui faire rendre entièrement ce qu'elles jugent qui lui est dû. Quand un visiteur étranger donnait un pourboire à Françoise à partager avec la fille de cuisine, le donateur n'avait pas le temps d'avoir remis sa pièce que Françoise, avec une rapidité, une discrétion et une énergie égales, avait passé la leçon à la fille de cuisine qui venait remercier non pas à demi-mot, mais franchement, hautement, comme Françoise lui avait dit qu'il fallait le faire. Le curé de Combray n'était pas un génie, mais, lui aussi, savait ce qui se devait. Sous sa direction, la fille de cousins protestants de Mme Sazerat s'était convertie au catholicisme et la famille avait été parfaite pour lui : il fut question d'un mariage avec un noble de Méséglise. Les parents du jeune homme écrivirent, pour prendre des informations, une lettre assez dédaigneuse et où l'origine protestante était méprisée. Le curé de Combray répondit d'un tel ton que le noble de Méséglise, courbé et prosterné, écrivit une lettre bien différente, où il sollicitait comme la plus précieuse faveur de s'unir à la jeune fille.