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Pierre Luc Landry
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Set in London, Bilbao, Alabama, Montauk, and more, this fresh, international novel weaves the fates of two unlikely friends whose days and nights are filled with movies and music, sleeping pills and shooting stars. A beautiful piece of magical realism with a modern, existential twist.
March soon, and it's already 28°C in Montreal. Hollywood is living a dead-end life working at the local graveyard. Meanwhile, it's snowing non-stop all over Europe and in Toronto, where Xavier works for a pharmaceutical company he couldn't care less about. The two meet somewhere in between... only ever in their dreams. -
Écrit dans une prose simple mais minutieuse aux contours existentialistes, rappelant parfois les fantaisies à la Boris Vian, ce roman s'intéresse à Xavier et à Hollywood, des « blasés magnifiques », et à leurs quotidiens parfois bien plats, sans aspérités, parfois rocambolesques et invraisemblables. Les univers incompatibles des deux personnages oscillent entre le réel et l'inquiétante étrangeté. Entre un striptease désolant et un accouchement en pleine rue, entre l'explosion d'un hôpital de Chicago et celle d'un hôtel de Toronto, au cours d'une partie de balle molle en Alabama ou dans la piscine d'un grand hôtel de Londres, les personnages s'accrochent à la poésie et aux mots afin d'essayer, chacun à sa manière, dans toute leur inaptitude à être au monde, de ne pas se laisser aller complètement à la folie.
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La guerre est dans les mots et il faut crier
Florian Grandena, Pierre-luc Landry, Antoine Charbonneau-Demers
- Éditions Triptyque
- Queer
- 2 Mars 2022
- 9782898011641
Nous avons écrit ce livre avec nos corps. Nous avons parfois failli y laisser notre peau. Nous avons parfois failli y laisser notre santé mentale, également, puisque nous avons choisi d'y creuser des sujets qui nous révoltent, nous obsèdent, nous font violence. Nous avons aussi été affectés par l'extérieur, par l'état actuel du monde, par les meurtres et agressions qui se sont produits pendant que nous rédigions le livre. Il n'était pas possible d'écrire sans dire« je», sans parler d'une même voix au «nous», tout en rendant cette voix fluide, fluctuante, insaisissable. Nous avons écrit à partir des effets politiques de ce que nous sommes, tout en brouillant les pistes - rien, ici, n'appartient plus à l'un qu'à l'autre. Nous écrivons ensemble.
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Études françaises. Volume 52, numéro 2, 2016
Andrée Mercier, Elisabeth Nardout-Lafarge, Martine-Emmanuelle Lapointe, Laurence Cote-Fournier, Pierre-luc Landry, M
- Les Presses de l'Université de Montréal
- 4 Juillet 2019
- 9782760641082
L'apparition, au tournant des années 2000, de nombreuses maisons d'édition (dont Marchand de feuilles en 2000 ; Le Quartanier et Rodrigol en 2002 ; Alto et Ta mère en 2005 ; Héliotrope en 2006 ; La Mèche en 2010 ; Le Cheval d'août en 2014 pour n'en citer que quelques-unes), a été saluée comme « une renaissance » de la littérature du Québec. L'ampleur du phénomène et sa concentration dans le temps incitent à voir dans ce changement du paysage éditorial québécois une transformation susceptible d'affecter également et proportionnellement la pratique littéraire, tant sur le plan esthétique de la production que sur le plan critique de la réception. C'est l'hypothèse que ce dossier souhaite mettre à l'épreuve en confrontant l'étude de quelques-unes des pratiques éditoriales de ces nouvelles maisons à l'analyse de deux enjeux critiques majeurs de la littérature québécoise, l'identité et la langue, interrogés dans des corpus contemporains. En éclairant certains aspects du fonctionnement de maisons d'édition dont la création, en une décennie, constitue l'un des réaménagements les plus visibles du champ littéraire, ce dossier souhaite en interroger les conséquences pour la fiction narrative des années 2000 au Québec. Il propose une première réflexion, forcément exploratoire, sur la nature et l'étendue des changements qui s'opèrent et sur les critères qui permettent de les mesurer.
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Nuit blanche, magazine littéraire. No. 146, Printemps 2017
Suzanne Leclerc, Judy Quinn, Marie-Ginette Guay, Laurent Laplante, Pierre-Luc Landry, Jean-Paul Beaumier, Roland Bourn
- Nuit blanche, le magazine du livre
- 20 Avril 2017
- 9782924611074
Cette année marque le 35e anniversaire de Nuit blanche : la revue braquera naturellement ses projecteurs sur les auteurs âgés de 35 ans et moins, relève bouillonnante et passionnante. En couverture, Maude Veilleux, qui depuis 2010 construit une oeuvre bicéphale poésie/fiction mordante, provocante, qui interroge la sexualité et le désespoir (Les choses de l'amour à marde, Prague). Autre jeune écrivaine de l'heure, Chloé Savoie-Bernard nous parle en entrevue de son recueil de nouvelles Les Femmes savantes. Ce numéro vous propose également de découvrir la plume colorée du dramaturge franco-manitobain Marc Prescott ainsi que le français Emmanuel Robin (1900-1981), auteur d'un roman mythique, L'Accusé, précurseur des existentialistes. Également au sommaire, Simon Roy et son nouvel ouvrage Owen Hopkins, Esquire; la poésie profondément humaine de Normand Bellefeuille; les textes inédits du philosophe Vladimir Jankélévitch réunis sous le titre L'Esprit de résistance; ainsi qu'une généreuse moisson printanière de comptes rendus de tous genres.
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Études françaises. Volume 39, numéro 3, 2003
Lucie Bourassa, Luc Bonenfant, François Dumont, Jean-Pierre Bertrand, Claude Filteau, Pierre Nepveu, Gabri Landry
- Les Presses de l'Université de Montréal
- 15 Juin 2020
- 9782760641822
Le poème en prose éprouve les fondements de la poétique en général et ceux de la poésie en particulier en mettant en question la distinction entre poéticité et prosaïsme. Ce genre est par ailleurs remarquable par sa diversité formelle : il se rapproche parfois de la nouvelle, du conte, voire de l'essai. Le numéro « Situations du poème en prose au Québec » explore l'inscription de ce genre dans la littérature québécoise depuis la fin du XIXe siècle jusqu'à nos jours et illustre la variété de ses enjeux et de ses formes.
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Nuit blanche, magazine littéraire. No. 149, Hiver 2018
Suzanne Leclerc, Alain Lessard, Michele Bernard, Jean Desy, Pierre-Luc Landry, Manouane Beauchamp, Jean-Paul Beaumier
- Nuit blanche, le magazine du livre
- 18 Janvier 2018
- 9782924611104
Ce numéro d'hiver 2018 clôt bellement le 35e anniversaire de Nuit blanche avec en couverture la romancière d'origine innue Naomi Fontaine. Cette année ont été mis au premier plan de jeunes auteurs prometteurs de 35 ans ou moins, soit Maude Veilleux dans le numéro printanier, Christian Guay-Poliquin dans celui d'été et Erika Soucy dans celui d'automne. Dans « Codes et voix innues contemporaines », Jean Désy signale à juste titre l'apport de Naomi Fontaine à l'expression d'une parole « autochtone et littéraire et québécoise qui n'avait pas encore été mise en forme », de même que l'engagement de Joséphine Bacon et de Natasha Kanapé Fontaine : porte-voix de leur communauté qui enrichissent la littérature et la société québécoises. Dans ce numéro, lisez aussi une entrevue avec le poète-éditeur Rodney Saint-Éloi, « Guy Gauthier, Off-Off Saint-Boniface », des articles sur Niviaq Korneliussen, Georges Leroux, Richard Ford, Yuval Noah Harari et bien plus.
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Nuit blanche, magazine littéraire. No. 147, Été 2017
Suzanne Leclerc, Alain Lessard, Jean-Paul Beaumier, Therese Lamartine, Laurent Laplante, Pierre-Luc Landry, Gerald Bari
- Nuit blanche, le magazine du livre
- 4 Juillet 2017
- 9782924611081
Pour son numéro d'été, Nuit blanche présente en couverture le jeune romancier Christian Guay-Poliquin à qui elle confie la rubrique « Le livre jamais lu ». Les lecteurs retrouveront dans un tout autre contexte la figure du père qui habite le narrateur du Fil des kilomètres et du Poids de la neige. Puis, Jean-Paul Beaumier dialogue avec La liberté des savanes, roman de Robert Lalonde. Ensuite, dans « Noires de peau, noires de pensée », Thérèse Lamartine nous invite à tenter d'imaginer faute de comprendre dans notre chair, alors que Pierre-Luc Landry nous amène à être critique en face des catégorisations faciles dans « Littérature queer, Le refus du ghetto et des regroupements vaseux ». Enfin, la rubrique « Écrivains franco-ontariens » rappelle, dix ans après la mort de Robert Dickson, le parcours de cet important poète franco-ontarien.
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Voici une fascinante réflexion sur le temps. Celui qui passe. Celui qui stagne. Celui que l'on voudrait maîtri ser, mais dont on connaît l'imparable chemin. Roman à la fois accessible et expérimental, roman d'une génération, mais aussi de toutes les générations, L'équation du temps devrait séduire par son sujet et aussi par son indéniable qualité d'écriture. Un premier roman étonnant !
L'équation du temps raconte l'histoire d'Émile, de Francis et d'Ariane, trois personnages gouvernés par les pôles magnétiques à la fois du néant et de la transcen dance. L'univers de fiction qui est mis en place se situe à michemin entre le roman de la route, l'étrange et le réalisme psychologique et permet aux trois personnages d'évoluer dans des quotidiens qu'ils tentent parfois de rendre meilleurs, parfois de fuir. -
Silence-decomposition : a l'ecoute d'une ville
Landry Pierre-Luc
- Éditions Nota bene
- Indiscipline
- 14 Juin 2017
- 9782895185529
Rencontre entre deux artistes qui ont étudié le silence en s'y immergeant afin de déconstruire une chose et d'en reconstruire une autre, par les sensibilités de chacun, les images trouvées, les objets, les conversations entendues, les bruits de la ville enregistrés, etc.