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Yves Bruley
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En embrassant les deux millénaires de l'histoire du catholicisme, Yves Bruley relève les continuités de l'Église catholique, l'originalité de cette religion comparée aux autres grandes religions, comme celle de l'identité du catholicisme par rapport aux autres confessions chrétiennes. Cette synthèse montre aussi le rôle crucial du christianisme dans l'histoire mondiale, depuis le retournement religieux de l'Antiquité gréco-romaine jusqu'à nos jours, en passant par l'ordre sacré du monde chrétien médiéval ou par la naissance de la modernité et de la laïcité.
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Les principes dont on parle le plus ne sont pas ceux qu'on connaît le mieux. La laïcité, c'est la France et c'est mille ans de son histoire. D'hier à aujourd'hui, de la monarchie à la république, des guerres de religion à la patrie des droits de l'homme,
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La première élection présidentielle de l'Histoire 1848
Eric Anceau, Yves Bruley, Jean Garrigues, Jean Tulard
- SPM
- 22 Mars 2022
- 9782379990960
Décembre 1848, les Français élisent un président de la République au « suffrage universel masculin » direct. L'événement n'a pas de précédent et ne sera pas renouvelé avant la Cinquième République, conséquence parmi d'autres de l'issue du scrutin et de ce qu'il entraîne. Le présent ouvrage revient sur les faits en les resituant dans le contexte international et en les mettant en perspective sur le temps long. Louis-Napoléon Bonaparte, Cavaignac, Lamartine, Ledru-Rollin et George Sand y côtoient Roosevelt, Obama, de Gaulle, Mitterrand et Macron. C'est une incroyable modernité qui se donne ici à voir.
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Diplomaties au temps de Napoléon
Thierry Lentz, Yves Bruley
- CNRS Editions
- Histoire
- 9 Octobre 2014
- 9782271082763
Au vu des guerres menées par l'Empereur, le rôle de la diplomatie et des diplomates à l'époque napoléonienne peut paraître marginal. Il n'en est rien : pour Napoléon, la guerre était bien la continuation de la politique. Du traité de Campo-Formio à celui de Tilsit, des accords territoriaux aux traités de commerce, les diplomates furent des acteurs essentiels de l'action extérieure du Consulat et de l'Empire. Si la question de la continuité ou de la rupture de la diplomatie napoléonienne avec celles de l'Ancien régime et de la Révolution française se pose d'emblée, celle de la contradiction entre l'idée de puissance, la volonté de paix, le désir de gloire, d'une part, et la nécessaire régulation de la vie internationale, d'autre part, est révélatrice d'ambiguïtés qu'il convient d'examiner. Qui animait la politique diplomatique et avec quels moyens ? Plus concrètement, quelle influence réelle eurent les cinq ministres des Relations extérieures - Reinhard, Talleyrand, Champagny, Maret et Caulaincourt - ou les chevilles ouvrières - la Besnardière, Hauterive, Bignon, etc.- face à la volonté de Napoléon lui-même ? Quelle était la conception du " droit international " de l'empereur et en quoi heurtait-elle ou se conformait-elle aux idées du temps ? Peu abordée par les historiens, la place de la diplomatie dans la politique impériale est révélée ici dans toute sa dimension.