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Jonas, petit renard du désert, a trouvé un parapluie. Un paraquoi ? Un parapluie. D'où vient-il ? Et à quoi peut bien servir un parapluie quand on vit au milieu du désert ? Alors que Jonas se pose ces questions, le vent se lève et l'emporte avec le parapluie.
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Bien vivre l'allaitement
Madeleine Allard, Annie Desrochers
- Mardaga Pierre
- 22 Février 2018
- 9782804705701
Comprendre et bien vivre l'allaitement.
Si l'allaitement fait partie des priorités des instituts de santé publique, car le lait maternel répond aux besoins du bébé, force est de constater qu'il n'est pas toujours évident pour une mère de trouver des réponses à ses questions. En outre, si la pratique est vivement conseillée, elle n'est pas toujours évidente, et certaines en souffrent. C'est en partant de ce constat que les auteures ont décidé d'écrire ce livre qui recense les dernières connaissances scientifiques et des tonnes de conseils pratiques. Publié au Canada, où il est le livre incontour- nable sur l'allaitement, l'ouvrage a été recontextualisé.
Des astuces pratiques pour guider les mamans durant l'allaitement.
Le lecteur se sentira suivi, pas à pas, tout au long de l'allaitement, car l'ouvrage s'intéresse à la fois à la prépa- ration et aux questionnements liés au fait d'allaiter ou non, aux premiers jours avec bébé, mais aussi à l'allai- tement au quotidien et aux techniques de sevrage. Il sera, par exemple, question des positions qui facilitent l'allaitement, des indices pour mieux comprendre les demandes de son enfant, de l'influence de l'allaitement sur le sommeil, etc.
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Stimulation et remédiation cognitives des adultes cérébrolésés
Marion Bessy, Annie Cornu-Leyrit
- De Boeck Superieur
- Apprendre Et Reapprendre
- 23 Juin 2020
- 9782807326316
Ce matériel contient des fiches de remédiation cognitive pour toutes les fonctions lésées après un AVC, un traumatisme crânien, ou tout autre lésion neurologique. Ce livre propose de nombreux exercices de stimulation et remédiation cognitives pour les personnes cérébrolésées dont les troubles ne sont pas évolutifs négativement (comme les suites d'AVC, de traumatismes crâniens, de troubles neurotoxiques, d'hypoxie/anoxie, d'infections ou de tumeurs cérébrales).
Les exercices s'adressent à tous les adultes cérébrolésés, en institution ou à domicile, contrairement au matériel existant qui est principalement conçu pour des personnes âgées souffrant de maladies neurodégénératives.
Il traite 6 fonctions cognitives :
- la mémoire (à court terme, de travail, épisodique, sémantique, verbale, visuo-spatiale) - l'attention - les fonctions exécutives - le raisonnement - les gnosies - le lexique.
Une fiche d'informations et de conseils destinée aux patients et à leur famille est associée à chacune de ces fonctions, pour un accompagnement simple et clair.
Afin de permettre un suivi individuel ou en groupe, les nombreux exercices proposés sont téléchargeables, imprimables (pour un meilleur suivi individuel) et projetables (pour les prises en charge de groupe en institution). -
Que faire lorsqu'on subit un licenciement aussi brutal qu'arbitraire et que le mot « chômage » devient imprononçable ? La question, douloureuse, enfonce dans la sidération Sandrine, ex-cadre commercial d'une firme pharmaceutique. Avec, en filigrane dans la solitude et l'opacité des jours vides, la soif d'un père absent depuis l'enfance, qui vient de mourir et dont elle occupe la baraque déglinguée.
Jean-Marc, lui, se demande si le stress post-traumatique lui permettra de reprendre son travail de professeur après avoir été agressé par un élève. Sa brève rencontre avec Sandrine, ivre morte le soir de son licenciement, ravive son vieux désir d'écrire. La jeune femme lui serait-elle tombée de nulle part, comme la Bird du Baiser cannibale, son roman fétiche, pour devenir LE personnage qu'il attendait ?
Encore faudrait-il la retrouver...
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Entreprises et organisations ; rencontre de l'humain et de l'environnement
Annie Cornet
- Pulg
- 22 Novembre 2016
- 9782875621115
Cet ouvrage a pour objectif de présenter un cadre général d'analyse des entreprises et des organisations (services publics et associations) à destination d'étudiants de premier cycle ou d'étudiants découvrant les réalités organisationnelles et sociales du monde économique.
Il propose une grille d'analyse des réalités organisationnelles, structurée autour de six thèmes : missions, environnement, stratégies, structure, comportements individuels, politiques de GRH. L'enjeu est de pouvoir analyser les réalités organisationnelles, d'identifier les principales théories mobilisées pour couvrir ces différentes dimensions mais aussi de susciter un regard critique sur le discours managérial, le monde économique, ses valeurs et ses normes.
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Aline, professeur d'Histoire, vient de prendre sa retraite. Dans ce moment de vide s'impose à elle le souvenir de sa grand-mère, une autre Aline, qui a fui le Borinage en août 1914 pour aboutir dans la Drôme et y rester pendant toute la « grande » guerre. Sur l'ancienne route de la frontière, puis dans le Midi, la narratrice questionne ses fantômes en suivant le chemin des fuyards d'il y a cent ans.
Cette quête du passé est pour elle aussi une fuite, celle de son couple à la dérive, de l'inaction et même du malaise de notre époque, auquel participe sa nièce, jeune fille de vingt ans qui se cherche, et Teresa, une clandesrine kosovare.
Mais toute fuite ne débouche-t-elle pas sur des interrogations fondamentales ?
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Les beaux jours d´Annette s´arrêteront à sa puberté : telle est la sentence proférée par une de ses grands-mères. Ce ne sera pas l´unique prédiction empreinte de stéréotypes, voire de superstitions, à laquelle la toute jeune fille est confrontée. Durant ses années de jeunesse, elle va craindre pour sa vie, mais aussi chercher à comprendre, à trouver le sens de l´existence dans le monde du vivant et des humains. Contrairement à sa cousine Jeannette, qui, elle, restera mal à l´aise avec elle-même et la société, « clouée à quelque pilori fabriqué par ses croyances les plus profondes » et persuadée d´être promise à l´Enfer.
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Meursault n'avait pas, non plus, les «â?¯outilsâ?¯» pour parler. J'ai pensé à l'Étranger, l'homme qui en dit le moins possible, qui voudrait ne pas voir et ne rien entendre, et qui, presque malgré lui, en dépit de ses répugnances, saisit un couteau, puis un revolver parce qu'il faut bien «â?¯être au mondeâ?¯». Et puis, parce que nous étions à Alger et qu'au-dessus de nous le soleil tapait sur les têtes comme il avait tapé sur la pauvre tête de Meursault, j'ai voulu me mettre à l'abri des arcades...
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L'annonce faite au lecteur ; la circulation de l'information sur les livres en Europe (16e-18e siècle)
Annie Charon, Sabine Juratic, Isabelle Pantin
- Presses Universitaires de Louvain
- 14 Février 2017
- 9782875585097
L'information sur les livres disponibles a circulé sous de multiples formes dans l'Europe de l'Ancien Régime (correspondances, articles et comptes rendus dans les périodiques, projets de bibliothèques modèles, catalogues). Dans cette grande activité bibliographique, le souci d'annoncer les parutions se combinait souvent avec celui d'analyser, de juger, de dresser une topographie du monde des lettres. L'Annonce faite au lecteur explore ce domaine. Il s'intéresse à quelques grands acteurs de la mise en relation du monde des livres et du public des lecteurs, ainsi qu'aux supports de l'information et de la publicité. Il fait ressortir l'évolution qui a eu lieu entre Renaissance et Lumières avec l'adaptation des modes d'information aux attentes d'un lectorat disséminé dans toute l'Europe et de plus en plus diversifié.
Ce volume est le fruit d'un séminaire organisé à l'École normale supérieure (Paris) par Annie Charon, professeur émérite d'histoire du livre et de bibliographie à l'École des Chartes, Sabine Juratic, chargée de recherche au CNRS à l'Institut d'histoire moderne et contemporaine, et Isabelle Pantin, professeur de littérature à l'École normale supérieure. Il regroupe quinze contributions de chercheurs issus d'horizons variés, historiens, littéraires et spécialistes du livre et des bibliothèques. Il a bénéficié du soutien du labex TransferS.
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Adultes et formation : penser et agir autrement
Olivier Collard-bovy, Annie Jézégou, Francoise De Viron
- Presses Universitaires de Louvain
- 23 Juin 2022
- 9782390612155
Depuis les années 1990, la formation tout au long de la vie est toujours davantage considérée comme un levier majeur de croissance économique et d'employabilité. Parallèlement, l'accélération des rythmes de vie, les transformations du travail, l'augmentation des incertitudes dans des sociétés en fort changement tendent à porter au rang de l'évidence, dans les représentations collectives et individuelles, la nécessité de se former de façon continue. L'ouvrage propose des clés de lecture multiples (sociologiques, politiques, psychologiques, pédagogiques) pour mieux comprendre ces évolutions ainsi que la manière dont elles affectent les relations entre adultes et formation. Il invite à penser autrement les adultes apprenants dans leur diversité et leurs spécificités au travers de multiples contextes de formation. Il ouvre, en outre, des perspectives pour agir autrement en formation d'adultes, que ce soit sous la forme de propositions d'action concrètes ou par l'adoption d'un point de vue alternatif. Posant un regard à la fois critique et prospectif sur la formation des adultes, l'ouvrage incite à dépasser les certitudes trop aisément admises et les prénotions trop rarement interrogées.
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L'objectif de cet ouvrage est d'offrir un outil de travail aux responsables diversité des sociétés privées ou publiques et des associations wallonnes. Plus largement, ce manuel s'adresse à tout acteur impliqué dans des projets visant à valoriser la diversité dans l'emploi ainsi qu'aux gestionnaires qui souhaitent s'informer ou s'engager.
Cet ouvrage se veut avant tout pratique afin de fournir aux acteurs de la gestion des conseils concrets et des exemples d'actions pouvant être implémentés dans leur organisation.
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Fin du XIVe siècle, en Flandre. Sa condition d'exclue n'a pas brisé la joie de vivre de la petite Insbette, enfant recueillie par une famille de paysans. En ces temps troublés, alors que les hommes d'armes surgissent des ténèbres pour semer la désolation, une orpheline est une proie facile. Une bienfaitrice inconnue la sauve du danger. Conduite à Cassel auprès de Yolande de Flandre, Insbette en devient la dame de compagnie et la confidente. Commence alors pour la jeune roturière, aux côtés de cette femme d'État éblouissante, une aventure initiatique qui la mènera, grâce à l'aide d'un vieil astronome érudit et d'un maître verrier passionné par son art, sur la trace de ses mystérieuses origines... Insbette ignore que son secret, traversant les siècles, est appelé à bouleverser une autre destinée que la sienne...Des ombres et lumières du Moyen Âge aux incertitudes de notre époque, à travers les reflets croisés de deux portraits de femmes étonnamment proches malgré leur éloignement dans le temps, l'auteur de Renelde, fille de Flandres, des Silences du maître drapier et de tant d'autres succès, explore dans ce roman envoûtant les affinités souterraines dans lesquelles s'enracinent nos destins.Site auteur www.anniedegroote.com
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J'aime les cimetières, leur silence, leurs pierres tombales, leurs lierres, leurs cyprès, leurs allées lentes, les silhouettes qui s'y faufilent sans rien dire, les fleurs fraîches ou fanées qui y jettent quelques taches de couleur ou les petits cailloux délicatement posés sur l'un ou l'autre marbre. Je m'y promène en contemplant les stèles sculptées ou lisses, les portraits anciens ou récents, les mains qui s'unissent ou qui prient, les pierres qui pleurent, les tombes ressemblant à de petites demeures, avec grillage et porte cadenassée. Je suis les chemins des chats qui s'y baladent en propriétaires. Pourtant, je crois que la mort n'est pas sacrée. Ou alors, dites-moi pourquoi l'on jette les vieilles sépultures au rebut, surtout quand elles ont cessé de servir au deuil de quelques vivants et que plus personne ne les fleurit. Au rebut, sauf peut-être pour les toutes vieilles, les historiques, qui parfois trouvent un havre au musée. Certes, le décorum funéraire a toujours ses partisans : amateurs d'Art, défenseurs, restau-rateurs passionnés. Sans oublier les archéo-logues, les trafiquants et les pilleurs de tombes. La foule de tous les jours, elle, se situe entre deux pôles : la visite quotidienne au cimetière et l'absence de chaque instant, la prière ou le silence. À moins que l'Art... Comme les humains, les tombeaux sont périssables et la mort frappe parfois deux fois : rien d'éternel sous le soleil. Mais le mot « renaissance » peut prendre tout son sens, sous les doigts et l'esprit d'une création nouvelle. - Annie Préaux
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Il y a, dit Jean Castelli dans sa préface à ce recueil, des femmes, des hommes qui persistent à défendre la poésie. Au pragmatisme omniprésent, ils opposent ce qui ne sert à rien, donc l'indispensable : la musique des mots, les rêves dans lesquels ils vivent et qu'ils veulent faire partager.
C'est un printemps qui souffle sur les mots les vers qu'on espère ainsi que les filigranes sonores d'anciennes arcanes, une fraîcheur où remonte la chaleur à des livres d'heures. Cela chante et d'aventure nous hante. Qu'en nous le sens trouve la résonnance des émerveillements. À travers les rythmes, la respiration même fait sens, voix native, gratuité d'un air.
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Berthe Bovy ; une Liégeoise à la Comédie Française
Annie Perec-Moser
- Le Coudrier
- 1 Juin 2017
- 9782930498775
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Voici un huis clos surprenant, dans une maison étrange, au coeur de l'Anjou.
Ce récit en spirale, traversé de fulgurances, de télescopages entre le passé et le présent, et d'illuminations, au sens rimbaldien, tourne sur lui-même pour mieux nous perdre puis nous emprisonner.
Grâce à la magie d'une écriture sinueuse qui emprunte à tous les registres, le lecteur est peu à peu envoûté par ces descriptions de rivière et de bocage où semble traîner quelque sortilège.
La précision horlogère du récit s'articule autour de scènes de famille d'un réalisme désopilant, de dialogues percutants. La trivialité n'est jamais loin de la hauteur, le quotidien du prémonitoire.
Sylvain, le héros qu'on suit pas à pas, de son adolescence studieuse et exaltée à sa révolte silencieuse, en est le fil conducteur. Retranché dans son mutisme, il subira l'incompréhension des siens et l'éloignement de la femme aimée, avant d'être sauvé de lui-même et des autres par un retournement de situation aussi inattendu que spectaculaire.
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«La poésie devrait être déclarée d'utilité publique. Les poètes dont Annie Perec Moser fait partie, ont ce pouvoir précieux, et si important dans le monde d'aujourd'hui, de créer un univers bien différent de notre quotidien. Avec des mots et de la musique, ils colorent les gris, les ternes, le médiocre. Ils ouvrent grand nos fenêtres, nos yeux, nos mains, ils nous offrent des paysages où nous trouvons enfin notre place, reléguant nos servitudes au second plan et même plus loin. N'oublions pas que le poète est un enchanteur, ici, une enchanteresse.» (Extrait de la préface de Jean Colin).
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Placé sous le signe du plus français des écrivains argentins, Julio Cortázar, l'un des maîtres du genre, ce recueil de nouvelles écrites au féminin renvoie aux mêmes obsessions : le hasard, véritable deus ex machina de nos vies, la cruauté de l'existence, l'impérieuse nécessité d'écrire. Les piscines (on en parle beaucoup), la Mort (omniprésente), la famille toxique (souvent le fil conducteur) sont autant de facettes d'un prisme apparemment séducteur. On y évalue le prix à payer pour tenter d'infléchir le destin, que ce soit dans une luxueuse résidence de bord de mer en Espagne, le square Notre-Dame de l'Île de la Cité à Paris, ou sur la terrasse d'une villa huppée, dans le sud de la France.
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Tout est dans la présence, le ressenti et la fidélité dans la durée.
Le souci du détail renforce la perception du vécu. L'émotion prend corps, surprise entre ouverture, discrétion, mémoire et repères symboliques. Autour de la poète s'incarne un univers personnel de proximité, de rêve, avec parfois la conviction prémonitoire que «l'incertain de la nuit fait trembler les hublots».
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La première fois où elle me parla de Manoel Ferreyra Vaz, il n´y avait pas la moindre trace d´amour dans sa voix, c´est ce qu´il me sembla alors, mais une excitation juvénile à l´idée d´évoquer le passé, elle agita ses petites mains tachées, on s´attendait à la voir battre des mains, des petites mains pecosas, tengo las manos pecosas, j´ai les mains couvertes de taches, sa mémoire était intacte et elle m´avait tout de suite reconnue. Je l´avais rencontrée une première fois sur l´une des plages de La Corogne, la Riazor je crois, la deuxième ce fut dans le choeur de la cathédrale Saint-Nicolas - je faisais alors une thèse sur la transition entre le roman et le gothique et passais le plus clair de mon temps dans les églises - et je la retrouvais miraculeusement dans ce petit jardin de San Carlos, à la pointe de la vieille ville, un jardin dit « exotique » qui aurait dû lui rappeler l´Afrique, (elle y venait peut-être pour cela).
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«â€‰Quand j'ai rencontré ce garçon, je songeais à un nouveau roman [â€-] Ce devait être une histoire entre un fils et son père. Un père mort brutalement. Un père auprès de qui il aurait été difficile d'exister. Un deuil à faireâ€- » L'écrivaine Aline Esse est interrogée par un inspecteur de police à la suite de la disparition inquiétante de l'homme à qui elle avait loué la maison de ses parents décédés. Cherchant à comprendre, l'écrivaine, à la lumière de son roman inachevé, revisite la relation particulière qu'elle a nouée avec ce locataire en qui elle a reconnu son nouveau personnage et qui s'est reconnu en lui, un professeur mal dans sa vie, mais admirant follement son artiste de père trop tôt décédé. Une mise en abîme entre réalité et fiction, nourrie de la fascination réciproque entre les arts d'Occident et d'Orient, coréen en particulier.
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Le terme récurrent de ce roman est l'exil, un exil qui mènera ce couple de l'Afrique à l'Espagne, puis de l'Espagne au Mexique où il va errer sans cesse avec le souvenir de l'enfance et du quartier dit «â€¯des citronniers », aux fruits à la fois acides et dorés...