«?Qui me réveille en pleine sieste???», grogne le loup. Tiens, un papa lit un livre à sa fille.
D'ordinaire, il les aurait croqués, mais là... il ne peut pas perdre une miette du récit?! Mais voilà que le papa s'arrête et referme le livre. «?Non, ils ne peuvent pas partir comme ça sans avoir lu la fin de l'histoire?!?» Et le loup, qui n'a jamais appris à lire, se met en quête d'un lecteur. Connaissant le loup, tous les animaux se méfient. Sauf un petit lapin téméraire. «?Méfie-toi, petit lapin, c'est certainement une ruse?!?» À moins que les histoires n'aient le don d'adoucir même le plus méchant des méchants loups.
"Codi et Coda sont amies pour la vie. Un jour, Codette passe par là. A présent elles sont trois..." ...Et c'est la bagarre ! Une histoire de poules qui raconte avec humour les péripéties de l'amitié.
Dans la soirée du 3 septembre 1944, Bruxelles est libérée. Les Allemands prennent la fuite dans une grande confusion. Le 4 septembre, les Bruxellois débordent d'enthousiasme dans les rues de la capitale, même si la guerre ne prendra fin en Europe que le 8 mai 1945.
Comment les Bruxellois ont-ils vécu cette période ? Quelles photographies en a-t-on conservé ? Que nous disent-elles sur les derniers mois de Bruxelles en guerre et sur la ville libérée ?
Que nous révèlent-elles sur la pratique photographique en temps de guerre ?
À partir des très riches collections du CegeSoma, mais aussi d'autres fonds conservés dans des institutions belges et étrangères et par des particuliers, Chantal Kesteloot et Bénédicte Rochet nous proposent une histoire photographique de Bruxelles en 1944-1945.
Poèmes de Béatrice Libert, illustrations de Bénédicte Boullet
Siméon le hérisson est vraiment très très timide. Pour être sûr de ne rencontrer personne, il fait ses courses à la tombée de la nuit, puis il s'enferme chez lui. Mais un soir, quelqu'un gratte à sa porte. Siméon va voir, le coeur battant. Qui est-ce oe
Dans une démarche empreinte d'humilité, une maman s'adresse à ses 3 filles.
Avec simplicité, elle transmet, elle partage, elle suggère. Elle parle d'authenticité, d'harmonie, de respect, de différence, d'ouverture, de confiance en soi... Un petit livre de réflexions sur la vie dans lequel on peut se replonger à tout moment, à tout âge...
Violette s'est acheté un parapluie avec ses économies.
Capucine aimerait bien avoir un aussi joli parapluie. Mais sa tirelire est vide...
Chaque jour, Elise demande à son miroir : " Miroir, suis-je toujours la plus petite des souris ? " Et chaque jour, le miroir lui répond oui.
Alors, Elise pousse un gros soupir.
Deuxie`me volume des confe?rences d'Outremeuse, qui balayent des aspects importants du quartier : le ro^le essentiel de l'eau (et de la Meuse), son folklore, ses figures musicales, son passe? acade?mique, le passe? ouvrier et industriel, le mouvement politique wallon et son e?diteur emble?matique, Georges Thone.
Sous l'impulsion de la Bibliothe`que des Chiroux, voici les textes du premier cycle de confe?rences sur le quartier d'Outremeuse. Les diffe?rents intervenants invitent le lecteur a` de?couvrir des aspects aussi varie?s que la me?decine, l'architecture, le the?a^tre ou encore les grandes figures litte?raires revisite?es. Ces confe?rences ont e?te? organise?es dans la perspective du futur po^le Bavie`re.
Quelle tentation ! La maison de la sorcière est tout en bonbon ! Alors forcément, Hansel et Gretel voudraient bien la manger... Seulement voilà : la sorcière, elle, c'est Hansel et Gretel qu'elle voudrait manger ! Alors elle prépare un grand feu, tout à la joie du bon repas qu'elle va faire...
A table ! Les Rose mangent comme des cochons. Rosie n'a que des miettes. Elle est furieuse. Elle voudrait une mangeoire pour elle toute seule ! Elle voudrait aussi une baignoire pour elle toute seule ! Comment faire ? Rosie a une idée...
Le loup rôde, alors les trois petits cochons ont construit une maison en brique, pour se protéger! À chaque fois que le loup veut les attraper pour les manger, ils se réfugient à l'intérieur, en sécurité. Un jour, pensant bien les tromper, le loup est passé...par la cheminée ...
L'urbanisme traditionnel peine à appréhender des formes d'urbanisation aujourd'hui largement majoritaires en Europe : les territoires contemporains " d'entre-deux ni urbains ni ruraux.
Ils posent question à ceux qui les analysent, les organisent ou s'y inscrivent. Cet ouvrage tire ses enseignements de l'un des plus représentatifs d'entre eux : la Belgique et le Brabant, ex-province autour de Bruxelles. Qualifier ce territoire au milieu de l'Europe, laborieuse couture entre les mondes latins, anglo-saxons et germains nécessitait non seulement une analyse critique des notions courantes (du rurbain à la città diffusa) mais aussi une relecture, multiscalaire, de l'histoire de sa formation.
Basée sur la production d'une cartographie originale, depuis les grandes structures médiévales jusqu'aux formes contemporaines de l'habitat, elle fait apparaître des caractéristiques de polycentralité, de subsidiarité, de maillage, de pouvoir local, de villes en réseau par-delà les territoires, qui ne sont pas sans évoquer des modes de gouvernance en débat aujourd'hui. Ce terrain d'analyse mène ainsi à une réflexion méthodologique particulièrement fertile sur les territoires habités sans densité, renouvelant la manière de les appréhender.
En replaçant la " ville diffuse dans sa complexité, ses spécificités et sa temporalité longue, cet ouvrage souhaite contribuer à une histoire large de l'urbanisation, irréductible à celle de l'urbanisme, et proposer une vision enrichie de la notion d'urbanité.
Insatisfait par une sempiternelle dispute à la maison, Zébulon se réfugie dans le parc Saint-Antoine. Adossé à un arbre, face au lac, il réfléchit. "Pourquoi est-ce si compliqué de se parler ?" se demande-t-il. Monsieur Paul, un professeur passionné par son métier, s'installe à ses côtés. Zébulon et Monsieur Paul, c'est la rencontre entre la fougue de la jeunesse et la sagesse de l'âge. Une conversation s'engage.
Elle nous emmène, tout en douceur, à la découverte de ce qu'il se passe lorsque nous dialoguons : besoin de reconnaissance, jeux, scénarios de vie, croyances... tout est relaté avec une telle simplicité qu'on en arriverait presque à croire que la communication est une évidence. Echanger dans le respect de l'autre et de soi-même, en vérité, en étant libre, autonome et responsable, est le leitmotiv d'une communication constructive.
Sous la forme d'un dialogue vivant, teinté d'humour et de sensibilité, les auteurs dévoilent les enjeux d'une communication vraie. La vie est un apprenti-sage. C'est par le regard et l'attention qu'on lui porte qu'elle se révèle et prend forme. Si nous prenons conscience qu'en changeant notre communication nous modifions nos liens, ce livre est une merveilleuse source d'inspiration.