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Littérature
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Claire a 30 ans. Elle est atteinte d'une maladie neuro-dégénérative qui la grignote chaque jour. Elle souffre mais elle a découvert que, dans la souffrance, il peut y avoir beaucoup d'amour. Voilà ce qu'elle nous invite à découvrir. Un livre plein d'espérance.
Claire Dierckx a vécu l'euthanasie de son père atteint de la maladie neuro-dégénérative qui la frappe à son tour. Elle lutte pour ne pas céder à cette tentation. Elle a compris que sur cette terre nul n'échappe à la souffrance. Rien ne sert de se torturer avec les pourquoi. Il n'y a pas de réponse.
La vraie question est : « Que faire de la souffrance ? »
Alors qu'elle était déjà handicapée, Claire s'est mise en route, au service des plus démunis. À Cuba avec l'association Points Coeur. En Belgique au sein d'une maison Lazare.
C'est là qu'elle a retrouvé son ami d'enfance qu'elle avait délaissé : Dieu. Un Dieu qu'elle interpelle, interroge, engueule. Un Dieu qui ne répond pas toujours ou pas comme elle voudrait. Un Dieu qui la surprend aussi. Mais surtout un Dieu qui la relève chaque fois qu'elle tombe.
Sans occulter aucune de ses difficultés, Claire témoigne que Dieu a besoin de nous pour se révéler au monde. -
Hélène s'apprête à prendre l'habit. Mais, dans une ancienne vie, Hélène s'appelait Hervé. Le " qui que tu sois " de Saint Benoît suffira-t-il à faire taire les peurs et les réticences ?
Le silence bruissait avec douceur.
En apparence rien n'avait changé.
Mais Hélène percevait le tumulte sourd qui bouleversait l'abbaye. C'était un mouvement imperceptible pour qui n'y aurait pris garde, le touriste ou le visiteur, pour qui n'aurait pas su, pour qui n'aurait pas connu le regard de chacune des moniales. Mais Hélène percevait sensiblement le fracas. Ça ne faisait pas de bruit, ça n'avait brisé aucun rythme, c'était comme invisible. Mais pour elle qui connaissait chacune, qui avait pénétré l'harmonie de la communauté, qui en savait la cohérence paisible, pour Hélène qui était presque devenu un élément de cet ensemble, c'était là. Le chaos était comme une vibration, la confusion comme une cacophonie muette.
Hélène, une jeune femme que rien ne destinait à la vie monastique, s'apprête à prendre l'habit. Les vocations se font rares, rien ne devrait faire obstacle à sa prise de voile. Mais la réalité est toujours plus complexe. Venue dans cette abbaye bénédictine pour une simple retraite, elle y est accueillie par les quatorze moniales et presque naturellement se mêle à leur vie de prière, de silence et de joies simples. Elle découvre l'art de l'enluminure, aide au jardin, à la cuisine, approfondit sa foi, se sent pour la première fois à sa place, comme si une paisible évidence lui montrait un nouveau chemin de vie. Mais, dans une ancienne vie, Hélène s'appelait Hervé. Le " qui que tu sois " de Saint Benoît suffira-t-il à faire taire les peurs et les réticences. Confrontée à cette réalité qui la bouscule, la communauté finira par trouver une unanimité. Mais qu'en est-il de l'Institution ?
Claire Huynen, dans un texte bouleversant, nous livre une réflexion profonde sur l'identité, la tolérance et l'importance à trouver sa vraie place en harmonie avec ce que nous sommes vraiment. -
C'est l'histoire d'une nuit berlinoise, dans un des derniers bastions de liberté de notre époque. Nina, danseuse paumée au sens de l'humour ravageur, gravite parmi de jeunes artistes désargentés du quartier de Kreuzberg. Un samedi soir, elle va danser avec sa petite amie à Clärchens Ballhaus, croulante et mythique salle de bal, peuplée de furie et de fantômes de la guerre. La lune est étrange.
À l'intérieur démarre une douce folie, dans une succession de salles, de danses et d'ambiances. Nina perd sa compagne dans la mêlée, puis perd pied tout court jusqu'à se retrouver sans savoir comment sur une île de la Spree. Enfermée dans une maléfique ronde de fées, Nina n'a plus qu'une issue possible pour s'échapper...
Plus qu'une métaphore de la drogue, de la nuit ou de l'irrémédiable perte des possibles, La nuit Berlin est une chute vertigineuse en soi-même - jusqu'à ce qu'une aube pointe. Un sursaut de révolte et d'amour pour lutter contre notre résignation à la tristesse du monde. -
Puisque c'est la fin du monde
Claire Olirencia Deville
- Double Ponctuation
- 7 Novembre 2023
- 9782490855605
Les cauchemars où tu cries tu cries personne n'entend les forêts en feu plus de forêt pourquoi faire la forêt les bébés morts sur les plages les violeurs au ministère les îles de plastique le permafrost les policiers assassins les marchés d'humains Qu'est-ce qu'on dit après ça demain qu'est-ce qu'on dit à ses enfants le matin désolé on a déconné c'était trop difficile d'avoir demain dans les mains Dans ce recueil de textes, Claire Olirencia Deville dénonce avec force et talent les absurdités du monde tel qu'il existe ; ses mots, son écriture sont autant d'aiguillons pour sortir de l'immobilisme et ne pas transiger sur l'essentiel. Une autrice engagée dont chaque ouvrage est une révélation.
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Une série de poèmes évoquant notamment le calcaire qui, en quelques mois, se dépose au fond d'une bouilloire, ou le syndrome de la Tourette.
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Il y a quelque chose de vital dans ce roman. Quelque chose de troublant dans ces vies parallèles au sein d'une même ville. Confrontés à la froideur du monde contemporain, à des événements qui entravent leur existence, ados, adultes ou vieillards, chaque personnage se débat pour être aux rênes de sa destinée, trouver un espace à la mesure de son désir.
EXuVie, peau laissée par le serpent après sa mue, parabole des métamorphoses surprenantes dont les êtres sont capables. -
« Elle avait déjà décidé, c'est là qu'elle s'installerait. Elle avait retrouvé la vue, elle avait un horizon. Tout à coup, elle respirait mieux. L'air d'ici, elle le sentait, serait vivifiant. Elle serait bien dans cet appartement. De son cinquième étage, elle surplomberait les tracas, regarderait de haut ses chagrins ».
Fenêtre ou couloir ? Contrairement à ce que proposent les compagnies ferroviaires, les choix sont nombreux, changeants et nuancés.
Les personnages des dix-neuf nouvelles de ce recueil vivent tous des situations qui questionnent leur place, au sein du couple, de la famille, au travail, ou vis-à-vis d'eux-mêmes : place à trouver, à retrouver, à conquérir, à garder, à ajuster, à accepter ou à quitter.
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Au fond de la vallée, une demeure. Coincées au milieu d'une fratrie, Mathi et Rachel dévoilent peu à peu leur personnalité : Mathi, assoiffée de liberté, fera sa mue. D'oiseau-singe, elle deviendra aigle royal tandis que Rachel, assoiffée de tendresse, gardera serrées ses écailles. Seul le génie du hêtre vert connaît le lourd héritage de ces deux soeurs qu'il va faire entrer dans un travail d'accouchement d'elles-mêmes pour que jaillisse tout leur potentiel.
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«Est-ce que le chagrin peut changer notre composition chimique? En tout cas je ne sens plus l'amande douce, la tubéreuse et le cumin. Je ne sens plus ce que tu aimes. Ce ne sont déjà plus les jardins les épices, ni le rêve des citronniers en fleurs».
Quel parfum sécrète la folie?
Engluée dans un chagrin d'amour, une femme s'expose à toutes les odeurs.
Elle nous livre à l'état brut cette dérive sensorielle.
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Je respire discrètement par le nez
Fanny Chiarello, Claire Fasulo
- Les Carnets Du Dessert De Lune
- Sur La Lune
- 2 Mai 2016
- 9782930607429
Ce sont les pages d'un journal écrit pendant la rédaction d'un prochain roman. Entre auto-dérision, autoportait, bricolage divers, collages,décollages, photos, brefs moments de vie, avant de repartir vers de nouveaux univers et de quitter l'appartement où ce roman a vu le jour.
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Pour trouver la clé, il fallut perdre la mémoire des serrures
Claire Lejeune
- L'Arbre De Diane
- Les Deux Soeurs
- 10 Novembre 2018
- 9782930822105
«?La mémoire de la clé - de l'origyne - s'est perdue, car au nom du Père, sa langue fut coupée, interdite de transmission. [...] Je ne cherche plus la clé, je l'ai trouvée. Je la connaissais pour en avoir été la matière même mais maintenant qu'elle a été nommée, il me faut écrire à partir d'elle. Donner la clé pour entrer dans ma maison.?» Le point de vue de Claire Lejeune est celui des origines, et plus particulièrement, de l'origyne, c'est-à-dire de la féminité au commencement de toute chose, de toute création, de la Vie - qu'elle aimait écrire avec une majuscule. Ce qui nous semble une évidence est cependant une prise de conscience à l'encontre de tous les détournements d'une civilisation qui s'est savamment construite sur la servitude des Femmes et sur leur effacement dans les coulisses de l'Histoire.
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Une nuit. Toute une nuit. Juste une nuit. Une nuit que Père accorde à la famille pour respecter le rituel des règles tacites venues du fond des temps. Une nuit bien trop brève pour Fils aine à qui revient la lourde tâche de vider le ciel et d'ouvrir toutes grandes les fenêtres de l'univers. Une nuit trop courte aussi pour Fille qui n'aimerait pas que cela finisse ainsi avec Père et voudrait donc réparer ce qui peut l'être.
Une nuit infiniment trop longue pour Fils benjamin et Fils cadet, sans aucun rôle immédiat à jouer, et qui ont donc tout le temps de fomenter la vengeance pour mordre l'honneur familial. Une nuit aux apparences presque sereines pour Mère et Grand-Mère qui, à force de n'avoir rien à dire, ont fini par se taire pour de bon. Une nuit étrange de rites symboliques, de silences assourdissants et d'émotion contenue...
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Sept heures et demie. Comme tous les matins, Victor va dans son jardin, à côté de l'arrêt de bus. C'est l'heure où les jeunes filles vont passer pour prendre le bus. Victor habite au carrefour. Les jeunes rejoignent l'arrêt de bus. Ils marchent par deux ou par trois. Victor regarde les jeunes filles à l'arrêt de bus. Il cache ses yeux dans l'ombre de sa casquette. Comme ça, elles ne savent pas qu'il les regarde. Ça sent l'été.
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"Il est minuit, la journée commence. Le tango, c'est comme une maladie: on y tombe à cause d'une faille, et on ne peut bien s'en prendre qu'à soi-même. Une nouvelle lubie, ont dit mes amis - s'ils avaient su." Les poupées sauvages est une histoire triste comme un tango. Une métaphysique de l'abandon, ou comment danser pour ne pas mourir.
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Charles se bat pour une fin de vie digne. Vieil homme cultivé, déchanté et déjanté, il réussit à assembler toutes les pièces du puzzle de sa vie pour en faire une oeuvre d'art. Amour, humour, dérision, trahison au menu d'un récit riche et d'une voix particulière, addictive.
C'est l'histoire de Charles, ancien diplomate, placé en institution qui se bat pour sa dignité et pour sauver l'oeuvre de sa vie : l'entrée du Royaume-Uni dans l'Union européenne. L'histoire se construit comme un puzzle. Parallèlement se déclinent les aléas du Brexit, les amitiés de Charles avec David, Carl et Jacques, la construction de l'Europe, une histoire d'amour, de jalousie, de retrouvailles. Et en point d'orgue, Charles découvrira qu'il est père. -
Éliane, mosaïste et déjà grand-mère, doute d´elle-même, du sens de sa vie, de son art. Ses enfants sont partis. Elle a perdu le sommeil et l´inspiration. Son couple s´effiloche. Un accident, un hasard et elle s´envole seule pour Escadaldra, afin de s´y nourrir de l´architecture du maître de la mosaïque. Dans la ville inconnue se réveille un amour de jeunesse. Éliane retrouvera-t-elle la trace de Pedro au milieu de cette cité anonyme où les sirènes en 3D sont plus abondantes que l´eau potable ? Elle croisera sur sa route une adolescente et une jeune mère. Que lui révéleront-elles ? Inspiré de l´univers de Gaudi, ce roman déploie une atmosphère futuriste et intimiste à la fois. Fantaisie, sensualité, profondeur, jalonnent les chemins incertains du désir et de la création. Claire Ruwet, née en 1967, est licenciée en communication appliquée. « Voyage aux confins de deux mondes entremêlés. L'un résolument marqué par les fantasmes du désir, de la solitude, de la nostalgie, et ouvrant le chemin où la femme mosaïque rassemble les « petits bouts » de sa vie pour lui trouver son sens. Tout comme les tesselles multicolores ne deviennent signifiantes que dans leur ensemble. Et l'autre monde, celui d'un quotidien plus ardu, que cette mosaïque finit par enchanter à nouveau. « (Ghislain Cotton, Le Carnet et les Instants). Après avoir roulé sa bosse pendant 20 ans dans diverses associations d´éducation permanente et ONG, elle développe depuis 2007 une carrière artistique autour de l´écriture et du chant?: spectacles, voyages sensoriels, contés et chantés, animation d´ateliers d´écriture... Après un récit de vie et un recueil de poème, « La femme mosaïque » est son premier roman.
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à feux ouverts
Werner Lambersy, Claire Dumonteil
- Federation Des Oeuvres Laiques Ardeche
- 1 Octobre 2005
- 9782911757082
Regards croisés de deux artistes :
Werner Lambersy, Grand prix de la Poésie 2004 de la Société des Gens de Lettres et l'oeuvre de la peintre Claire Dumonteil (encres et oxydes de fer).
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Puzzle littéraire de 24 pièces narratives composant la carte d'un pays imaginaire et le portrait d'un personnage nommé Adélaïde.
Ce coffret comprend : une carte au format A1 et 24 livrets. À vous de jouer.
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Les vieux m'emmerdent. Ainsi commence Série grise. Le ton est donné. Chronique cynique et acerbe, ce roman décrit, sous le regard d'un vieux, le quotidien d'une maison de retraite. Le narrateur, un vieux cynique, s'exerce à l'observation cruelle de ses contemporains, réunis en un monde uniformément clos, une « maison de repos pour adultes valides ». Petites maniaqueries et décrépitude aigrie ou consentie, il s'offrira les champs d'un univers qui finit. Lucide, son regard sans complaisance sera aussi celui de sa propre dégénérescence, d'une fatale et ultime décroissance. Roman de la vieillesse, abordé sur le ton d'un humour forcément caustique puisqu'il est celui d'un regard aigu sur la sénescence qui nous attend chacun.
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À la veille de ses 16 ans, Colline décide de prendre ses responsabilités et de révéler à sa famille ainsi qu'à ses amis son attirance pour les filles. Après avoir envoyé un message électronique à son père dont elle s'est toujours sentie très proche, c'est à sa mère qu'elle se confie. Celle-ci, contrairement à son papa qui fait silence, accepte directement l'évidence...
Pour l'adolescente, tout a commencé près de deux mois plus tôt quand Sara, une élève de première, est venue donner aux secondes un exposé sur la mer d'Aral...
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Le roman généalogique ; Claude Simon et Georges Perec
Claire de Ribaupierre
- Part De L'Oeil
- Theorie
- 6 Décembre 2001
- 9782930174280
Ce livre met en place la structure d'une double enquête : Claude Simon et Georges Perec, dans La Route des Flandres, Les Géorgiques, L'Acacia, W ou le souvenir d'enfance, La Vie mode d'emploi, questionnent leurs origines.
Orphelins, ils font défiler sur la scène littéraire les parents disparus. Comme des détectives, ils scrutent les visages effacés des absents, repèrent des indices, recueillent des témoignages. Mais les souvenirs se confondent, les images se surimpriment. Alors la mémoire défaillante est soupçonnée : c'est l'archive photographique qui lui vient en aide, qui la supplée même parfois. Trace et preuve du passé, témoin d'une existence précédant la disparition, la photographie devient le moteur du récit, la source de l'écriture.
L'analyse littéraire proposée ici use, elle aussi, du dispositif de l'enquête : elle tente de démêler les intrigues des textes tissés d'implicite, de recomposer les fragments d'une histoire familiale interrompue. Ce livre démonte les mécanismes de construction du roman généalogique : l'écrivain, en position de dernier-né, engendre, par l'écriture, une lignée d'ancêtres et de prédécesseurs aux parcours tragiques, grandioses, ou dérisoires.
L'étude met en évidence le rôle du lecteur et sa complicité avec le texte. Le lecteur, s'il s'engage dans la voie interprétative, risque fort de n'en pas sortir indemne. Il endosse une certaine responsabilité dans le déroulement du récit ; il partage un sentiment de culpabilité avec l'auteur qui, pour redonner vie aux disparus, les interpelle et réveille leurs corps fantômes, leur faisant jouer leur agonie.
L'interprétation génère donc une intranquillité, une hantise.
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Énormes, les rouleaux. Le coeur me cogne.
Jusqu'à l'entente, l'équilibre entre le corps et l'eau.
Hier, avant-hier, demain, pieds nus dans l'enceinte des temples.
Nous ouvrant aux odeurs, aux couleurs, à la lumière dure. Fascinés par ces lieux où s'inscrivent l'histoire et les croyances. Par les visages et les gestes : gravité, rire, ferveur, sans transition.
Ici la poudre d'ocre, l'offrande des pétales ; le silence des dieux qui sourient dans la pierre.
Douceur de ce matin. Nous sommes seuls. Un oiseau frénétique fouille le sable.
Comment le pressentir : ceci sera détruit, le village emporté, la terre dévastée. Surgiront la clameur, la violence des eaux, l'épouvante, la mort.
Comment savoir, dans l'harmonie présente. Quand aujourd'hui nous comble. Et que je nage, heureuse, dans l'océan Indien.