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À pas de loups
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Qui n'a jamais rêvé de partir sur une île ? Mais bien sûr, on emmènerait son chien... et puis quelques amis... un peu de famille aussi... L'album se construit un peu comme un flip-book : au fil des pages, l'île se remplit. Et s'il fallait un peu de tout pour rendre notre monde joli ?
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Les Voizins donnent à voir un monde, mon monde. Des personnages tendres et cocasses se faufilent à travers ce cahier. À vous de leur donner vie en les remplissant de couleurs. Attention une fois coloriés Les Voizins vont débarquer et prendre place dans votre monde.
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Un temps à ne pas mettre un chien dehors... ça ressemble à quoi ? Qu'il pleuve, qu'il vente, qu'il grêle, le nôtre promène sa bonne humeur et ses oreilles de page en page, et le texte le suit dans ses aventures météorologiques. Car si le bonheur prend souvent la couleur bleu ciel, il se marie aussi très bien avec le blanc neige ou le brun boue.
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Josette est vive et curieuse, aventurière et positive. On la reconnait non seulement à sa chevelure un peu fofolle, mais aussi à ses lunettes, c'est à dire à son regard si particulier sur le monde qui l'entoure. Josette se pose une question presque loufoque : « il y a quoi au bout de l'eau ? ». Ce loufoque n'étant là qu'en surface, ou en étincelle, puisqu'il entraîne Josette dans son élan, dans son jeu, et l'amène mine de rien à se poser des questions sur le monde et son entourage. Sa naïveté lui apprend la sagesse, sa fantaisie revisite le sérieux.
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Fine n'a pas d'yeux. Par contre elle a des mésanges qui nichent dans ses cheveux et font un boucan monstre. Fine part en ville, dans l'espoir d'y retrouver la vue. Mais sur place, ce ne sont pas des yeux qu'elle trouve... Non, elle retrouve une force qui était en elle, près d'elle, tout du long.
Sur le thème du handicap, une belle ode à ceux qui voient les choses autrement.
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À la recherche d'étoiles disparues... « Toutes les nuits et en toute saison, je passais la porte de ma maison pour les voir briller. Toutes les nuits et en toute saison, je savais qu'elles étaient là. Peut-être même que c'étaient elles qui me regardaient ? Nous vivions bien ensemble et ça me rendait heureux. Mais un soir... »
