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DE DECKER
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LES AVENTURES DE LA LITTERATURE
CARION, JACQUES, DE DECKER, JACQUES
- AMBEDUI
- 15 Mai 2003
- 2000000013251
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Tout ce que vous avez toujours rêvé de savoir sur la, les royautés, d'aujourd'hui comme hier, en France, Angleterre comme ailleurs... et bien plus encore.
"Je vous sens hésitant.
Mon petit dictionnaire de la royauté. Un peu... académique, non ? Eh bien non, justement. Vous me connaissez. Tout, sauf l'ennui. Cet abécédaire n'a qu'un seul but : vous amuser, tout en vous donnant des clés ! Un trousseau entier de clés ... qui (je l'espère) va vous ouvrir des portes. Vous me trouvez trop confiant ? Prenons un exemple. Pourquoi, à la lettre " S ", le mot Salade ? Vous séchez ? Une piste : ça concerne les dîners d'État, grandioses, donnés par Charles III. A la lettre " T ", pourquoi donc Titanic ? Parce que dans les eaux sombres et froides de l'Atlantique nord, l'épave la plus célèbre de tous les océans renferme aussi une histoire d'amour royale.
Tout, sauf l'ennui. C'est une promesse ! Dans mon petit dictionnaire, s'il y a Horse Guards, il y a surtout Crazy Horse. Et Moulin Rouge ! Il y a Cecil Beaton. Et Andy Warhol.
Elizabeth II (of course !). Et Helen Mirren. Il y a Cartier, Garrard et tous les joailliers de la couronne, mais il y a aussi Swatch. Il y a la BBC. Et il y a Netflix. Il y a la Cour de Buckingham. Et les Jardins du Vatican.
La Tour de Londres. Et La Tour d'Argent. Il y a le très noble Escoffier. Et la non moins royale Pizza Margherita. Il y a le Court Circular (le bulletin de la cour). Et The Sun (la terreur des Windsor). Il y a Daniel Craig. Et il y a l'insolente Oprah Winfrey. Il y a Kate. Et il y a la mutine Pippa. Il y a le Prince Harry et ... le Prince Ali. Il y a Grace. Si forte. Si fière. Si parfaite. Et il y a Charlène. Si fragile. Et une valse de destins tourmentés :
Wallis.
Margaret.
Soraya.
Diana.
Masako.
Letizia... Sans oublier l'infernale Meghan.
Petit conseil : on ne lit jamais un dico de façon linéaire. Picorez. Piochez. Virevoltez. Entrez dans la danse par où bon vous semble. Faites la révérence ! Et... embrassez (en premier) qui vous voudrez ! Un seul ordre : soyez infidèles. Désobéissants. Soyez déroyaux !
Certaines pages vont aussi se faire plus sombres. Et se couvrir de confidences. Il y a Ambition.
Pression.
Dépression. Il y a Jalousie. Il y a Haine. Il y a Complot. Il y a Accident. Il y a Assassinat. Il y a ...
Pont de l'Alma. Ames sensibles s'abstenir !" -
Litterature belge d'aujourd'hui ; la brosse à relire
Jacques De decker
- Espace Nord
- 3 Septembre 2015
- 9782930646954
Ce volume rassemble le meilleur des chroniques littéraires de Jacques de Decker. De sa plume audacieuse et complice, il juge des plus grandes oeuvres, et ce, à partir des années 1970, caractérisées par un important chamboulement des lettres francophones de Belgique et par l'éruption d'auteurs d'exception. C'est ainsi qu'il nous fait (re)découvrir des auteurs plus ou moins connus, qu'il nous pousse à relire une oeuvre parcourue nonchalamment, en bref, qu'il nous montre la littérature en train de se faire. L'auteur nous peint les richesses d'Amélie Nothomb, de Claire Lejeune, d'Alain Berenboom, de Pierre Mertens, de Jacqueline Harpman. et de bien d'autres encore ! Frôlant parfois l'essai (« qu'est-ce que la poésie ? »), l'écriture de De Decker est savoureuse et sagace.
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Ce livre est né d'une complicité, de l'amour commun des tableaux, de quelques contraintes amicalement choisies et de l'irrésistible envie de rendre le sérieux ludique. Jacques écrirait une fiction sur la peinture au début du XXIe siècle.
Quel autre écrivain aurait pu se mouvoir avec tant de facilité et de souplesse dans l'univers quasi secret des galeries et des ateliers d'artiste ? Sous son regard assuré d'observateur, ce fils de peintre a inclus dans un récit aussi précis que passionnant une tranche de vie complète de l'époque : les personnes qui travaillent pour qu'une galerie « tourne », les comportements parfois étranges des collectionneurs, les commerces avoisinants avec leurs vitrines et leurs secrets avouables et inavouables. Au cinéma, nous imaginerions l'auteur en photographe joué par James Stewart dans Fenêtres sur cour. Mais il ne s'est pas arrêté là.
Par une provocation habile, il m'a amenée, quelques années plus tard, à mettre son récit en images. En fin connaisseur, il savait parfaitement comment parler à l'illustratrice que je suis. Nous avons ainsi joué à un jeu vertigineux : prendre la peinture, la transformer en verbe pour retransformer celui-ci en images...
Hélas, le décès inopiné de Jacques est survenu avant la parution de ce livre.
Puisse Suzanne à la pomme offrir au lecteur le même plaisir que celui que nous avions à évoquer si souvent ce petit monde insolite et tellement humain.
Maja Polackova
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Les Romanov ; les grandes familles
Bertrand Deckers
- Pygmalion
- Histoire Pygmalion
- 25 Mars 2015
- 9782756409443
De la Neva à la Sibérie, la Russie se déroule à l'infini. Pour maîtriser cet espace les Romanov se sont succédés depuis le XVIe siècle. L'auteur revient sur ces personnages hors normes, sur l'impact qu'ils ont eu sur le pays
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« J'écris des tranches de vie, des pièces policières, des vaudevilles, des one-man-shows, ce que je préfère nommer - restons français - des comédies solo, toutes formes réputées désuètes, carrément ringardes et que je revendique avec une insolence qui indigne les beaux esprits qui me prennent pour un tire-au-flanc, un traître à la cause. Or, il n'y a aucune agressivité dans ma stratégie ; elle est tout simplement régie par le plaisir, ou par un certain goût du camouflage. Mes pièces sont moins naïves qu'elles ne le paraissent, plus savantes qu'elles ne se donnent. J'aime tendre au spectateur attentif, au lecteur réellement pénétrant, des perches qui lui sont réservées, des images dans le tapis, des "bêtes dans la jungle"... »
(Jacques De Decker, Extrait d'une conférence donnée à la Chaire de Poétique de l'UCL en 2003.) -
Suzy Embo
Ivan Alechine, Tamara Berghmans, Anne Deckers, Pieter De reuse
- Cfc
- Strates
- 7 Juillet 2017
- 9782875720245
Artiste, photographe, épouse... Derrière le pseudonyme Suzy Embo (BE, °1936) se cache un témoin privilégié de la scène artistique avant-gardiste de l?après-guerre. Avec ses images abstraites, ses expérimentations sans appareil photo et ses images graphiques riches en contrastes, Embo rejoint la Subjektive Fotografie. Dans les années soixante, son approche opère un tournant : l? « artiste photographe » devient « photographe d?artistes ». Embo se lie d?amitié avec Pierre Alechinsky, épouse le sculpteur Reinhoud d?Haese et vit avec eux dans la commune artisitique La Bosse (France). Outre son travail personnel, elle consacre sa photographie à la scène internationale (Pierre Alechinsky, Christian Dotremont, Jean Messagier, Corneille Hannoset, Karel Appel, Walasse Ting, Pol Bury, Louise Nevelson, Alberto Gironella, André Breton, Jacques Ledoux, Yasse Tabuchi, Félix Labisse?). Elle réalise des portraits informels et intimistes, saisit les artistes durant le temps de création, prend part à des projets collectifs et documente les vernissages, les événements, les représentations théâtrales et les spectacles de danse. Suzy Embo. Artiste photographe ? Photographe d?artistes montre un regard spontané sur la période post-CoBrA et révèle l??uvre personnelle de la photographe Suzy Embo.
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Né en 1946 à Bruxelles, Henri Ronse s'installe à 19 ans à Paris où il collabore en tant qu'écrivain et chroniqueur à diverses publications (Nouvelle Revue Française, Critique, Lettres Françaises, Quinzaine littéraire, Cahiers du Symbolisme). Il produit des émissions radiophoniques à France Culture. Secrétaire de rédaction de L'Arc dont il dirige plusieurs numéros spéciaux (Bataille, Lautréamont, Butor, Joyce, notamment), il fonde, en 1971, avec Roger Borderie, la revue Obliques. En 1971, également, il crée à Paris sa propre compagnie théâtrale : Le Théâtre Oblique qu'il dirigera jusqu'en 1980. Metteur en scène de théâtre et d'opéra, il est invité à la Comédie Française, au Théâtre National de l'Odéon, à l'Opéra de Paris, à la Comédie de Genève, au Capitole de Toulouse... Il est présent par ses créations dans de nombreux festivals internationaux de New York à Madrid, de Florence à Patras, Athènes ou Vérone. De 1980 à 1997, Henri Ronse dirige le Nouveau Théâtre de Belgique à Bruxelles, il y multiplie les créations et les accueils dans une perspective pluridisciplinaire orientée principalement sur le répertoire contemporain. Parmi les études qui lui ont été consacrées, on retiendra deux ouvrages : Mettre en scène au présent de Raymonde Temkine et Henri Ronse ; La Vie oblique de René Zahnd.
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C'est parce qu'il a voulu que son propos soit concret, préhensible - Die Wahreit ist concret, la vérité est concrète, c'est sa phrase favorite - que Brecht s'est converti au théâtre et qu'il a écrit une poésie qui ne s'aventure presque jamais dans les contrées de l'indicible, du flou artistique et incommunicable. La poésie de Brecht est avant tout communication, échange, dialogue. Elle fournit à son lecteur des indices, des signes, des preuves ; à lui de faire le reste du travail, de tirer la conclusion qui s'impose, même si elle n'est que provisoire.
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Liège, juillet 1991, un ministre d'État gît à côté de sa voiture, abattu par deux tueurs à gages. Mais qui a vraiment tué ce grand leader politique?? Le Ventre de la baleine raconte une histoire que chacun croit connaître depuis l'assassinat d'André Cools, celle d'Arille Cousin, son double romanesque. Il y a les questions du monde judiciaire et des médias, mais aussi les vérités des hommes et des femmes qui ont côtoyé et aimé la victime. Ou qui l'ont trahie... Le romancier n'aborde forcément pas la réalité comme le ferait le journaliste, le politologue ou l'historien. Une génération après les faits, ce roman à clés, riche de regards multiples, propose au lecteur contemporain le portrait d'une Wallonie du siècle passé, pas si lointaine que ça.
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Discours de réception de Lydia Flem à l'Académie royale de Belgique
Lydia Flem, Jacques de Decker
- Seuil
- La Librairie Du Xxie Siecle
- 3 Mars 2011
- 9782021049633
Discours de réception de Lydia Flem à l'Académie royale de Belgique accueillie par Jacques de Decker.
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