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Littérature
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Douze ans en 1944, à Bastogne, l'arme au poing, dans une jeep qui roule entre les maisons détruites, zigzaguant entre les cadavres et les trous de bombe.
Douze ans ! L'âge des jeux d'enfants et des rêveries. La guerre semble terminée. Les parents de Gaëtan envoient leur fils en Ardenne, près de Bastogne, pour les vacances de Noël. L'enfant débarque dans une ferme durant le rude hiver de décembre 44. Une famille sympathique, de nouveaux amis, le garçon paraît heureux. Un jour, dans la blancheur de l'hiver, le fracas des canons brise le silence en surprenant toute la population et les divisions américaines cantonnées près de Bastogne.
Des combats sanglants s'engagent ; Gaëtan fait la connaissance de tankistes américains pris au piège tendu par les Allemands. L'enfant devient leur " mascotte " : il apprend à manier les armes. Les gars du char Sherman ne veulent plus se séparer d'un garçon qui semble leur porter chance. Audaces, horreurs, morts hélas ! L'enfant, malgré lui, est de la partie. Il se signale par son courage... dans la bataille de Bastogne, et ensuite à travers l'Allemagne jusqu'au front russe.
Gaëtan Delécaut, l'Enfant-Soldat, a son uniforme et ses armes qu'il démonte et remonte plus vite que les adultes. Il parle parfaitement l'américain et le soldat Warren l'a pris sous sa protection. Mais que se passe-t-il dans son coeur, dans sa tête, lui un gamin jeté dans un monde de fureurs ? Aujourd'hui, soixante-trois ans plus tard, véritable miraculé d'un enfer de feu et de sang, Gaëtan Delécaut vit en Belgique tandis que Warren, âgé de 96 ans, vit aux Etats-Unis.
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La litterature belge ; précis d'histoire sociale
Benoit Denis, Jean-Marie Klinkenberg
- Espace Nord
- 6 Novembre 2014
- 9782875680419
La littérature belge, ce n'est pas qu'un palmarès où apparaissent Maeterlinck, Verhaeren, Michaux, Simenon et Hergé, ou encore Pierre Mertens, Jean-Philippe Toussaint et Amélie Nothomb.
Ces auteurs s'inscrivent dans une histoire. Pas seulement celle de la littérature française, mais aussi celle d'une communauté francophone périphérique qui n'a cessé de poser la question de son identité culturelle dans une Belgique en constante mutation depuis 175 ans. Ce précis permet de comprendre cette histoire singulière et plurielle à la fois, et introduit à une lecture informée des oeuvres qui la jalonnent.
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Trois hommes pour cette expérience qui a vu bernard noël se prêter au jeu des questions de jean-luc bayard sous l'oeil de la caméra de denis lazerme.
Au final un livre d'entretien réalisé à partir de 15 heures de rushes revus par les auteurs auquel est joint le dvd du film. jean-luc bayard parle volontiers de voyage dans une vie de création, traversée du temps de la vie d'un homme qui fait resurgir aussi bien le passé que ce que l'on pourrait faire si l'on croyait à l'avenir. si l'on est bien en présence d'un homme c'est que l'homme y est au présent.
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Les samedis sont au marché
Virginie Dolle, Thierry Radière
- Les Carnets Du Dessert De Lune
- Pleine Lune
- 16 Octobre 2017
- 9782930607580
La merveille, on n'a pas besoin de la traquer, elle vient à vous. Il suffit d'oublier votre but, la liste des courses pour qu'elle surgisse. Cette irruption dans votre quotidien ne provoque ni stupeur ni effroi. « La chasse est gentille. » Et cela vous rend aimable, incroyablement humain. « Les marchés le samedi matin avec toi sont des attendrisseurs : ils font venir au fond de ma gorge un goût de partage que je ne connaissais pas. » Qu'est-ce qui nous aimante ici ? « Mais que cherchons-nous au juste ? » Nous n'aurons pas la réponse. Nous ne pourrons que constater. Le rayonnement : « il nous porte à bras le corps hors des frontières et nous laisse retomber au milieu des vestiges d'une guerre en cours que nous menons à petits pas contre les certitudes et la folie des grandeurs. » Extrait de la préface de Denis Montebello
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Originellement lié au domaine scolaire, le terme potache désigne d'abord un élève d'âge moyen, collégien ou lycéen, avant de renvoyer à des figures perturbatrices comme le Calvin de Bill Waterson, le jeune Antoine Doisnel ou Bart Simpson. Par extension, le terme déborde cet univers pour définir les logiques de ces individus et leurs pratiques, à l'image du canular téléphonique, de la contrepèterie et des farces et attrapes. Plus encore, la potacherie peut s'envisager comme une manière d'être, d'agir, de penser - autrement dit, un style. Porté par l'intérêt au désintérêt, celui qui l'incarne goûte peu le caractère officiel et prescriptif des institutions, traque les formes de violence symbolique et tourne en dérision les dominants. Des fabliaux médiévaux aux mèmes de l'Internet 2.0, de Rabelais à South Park, en passant par les Hydropathes, Rimbaud, les druffis berlinois, Le Gorafi et Éric Chevillard, le présent essai interroge les figures, les modes de fonctionnement et les supports du style potache.
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Reliure à la ligne : La portée invisible
Denis Grégoire
- Esperluète Éditions
- [Dans L'Atelier]
- 19 Novembre 2015
- 9782359840636
Cet ouvrage pre'sente les re'sultats des recherches de'veloppe'es par Denis Gre'goire, relieur et designer du livre, dans le cadre de la deuxie'me bourse de recherche en reliure de cre'ation (2013-2014) octroye'e par l'Atelier du Livre de Mariemont. Se'lectionne' pour un projet autour d'une couture avec fil de nylon sur une couverture souple, le laure'at a mis au point « la reliure a' la ligne », une nouvelle technique de reliure esthe'tique, rapide, innovante et re'versible, offrant une ouverture optimale du livre et une grande liberte' de cre'ation.
L'inte'rêt de la publication est d'offrir un manuel clair et pre'cis incluant l'utilisation de logiciels de dessin, de photographie et de mise en page et de machines a' de'coupes. -
Scelus (rendre beau) ; P.P.H. (passera pas l'hiver)
Solenn Denis
- Lansman
- 2 Octobre 2019
- 9782807102538
- Scel?s (Rendre beau) : Bourré d'inconsistance, de colère sourde et d'égoïsme, Atoll entre dans sa quarantaine adulescente avec cynisme et nihilisme. Son monde est pourtant bouleversé par sa soeur Yéléna qui l'entraine dans un grand jeu de piste consistant à déterrer les secrets de famille. Alors, comme dans la plus folle des tragédies, de révélation en révélation, Atoll se cogne aux folies humaines à travers ces anti-héros monstrueux et tragiques.
Dans Scel?s, fresque familiale d'amours et de névroses, aussi crue que lyrique, les souvenirs prennent la forme de fantômes et les mensonges servent de pansements à la honte... ; - P.P.H. (Passera Pas l'Hiver) : Brigitte et Gilbert sont à l'âge où on met ses dents dans un verre d'eau la nuit. La tête bute parfois, la pensée se dévide en spirales. Ils sentent bien qu'ils commencent à filer un mauvais coton.
Alors, main dans la main, ils décident qu'ils n'avanceront pas à tâtons. Leur en laissera-t-on le droit et la liber
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Suite à l'attentat de Charlie hebdo, écrivains et dessinateurs se sont mobilisés en faveur de la liberté d'expression, et le débat est bien aujourd'hui celui de la tolérance, du combat pour la paix, de la fraternité universelle. Rassembler des écrits du monde entier, qui ont marqué les siècles, demander à Plantu, dessinateur et carricaturiste engagé notamment via l'association Cartooning for Peace, d'illustrer ces textes est un véritable message de résistance.
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La Boétie demandait comment il se fait que des millions se soumettent à un. Aujourd'hui, comment se fait-il que des milliards se soumettent à moins que Un ? Oui, comment se fait-il que règne ON ?
« Exception sécuritaire », « exception sanitaire », « exception pécuniaire », y aurait-il quelque chose de pourri au Royaume des « démocraties libérales » ?
Oeuvre d'un « Irresponsable », ce Contr'on, pièce tragi-comique pour choeur et récitant, met en scène les visages du Roi ON, dont le PrésidON MacrON n'est que l'un des innombrables masques, prétentieux et hystérique.
Le roi est nu, gloire à ON ! -
Ce livre est un récit dense et vivant de Denis Horman, militant pendant plus de cinquante ans dans la gauche
politique et ouvrière. Engagé dans une institution chrétienne, il est, très jeune, révolté par les conditions de vie
des ouvriers. Dans les années 1970, il est permanent d'un mouvement politique. Comme rédacteur, il a couvert
sans répit les grandes grèves ouvrières des bassins industriels de Liège et du Hainaut (Charleroi et Borinage).
Dans un style vif et sensible à la fois, Denis Horman nous fait découvrir et revivre les événements qui l'ont
marqué : son enfance dans les Ardennes, son engagement dans le mouvement syndical et politique, les luttes
nationales et internationales comme le coup d'état au Chili, ...
Loin de la langue de bois, ce livre laisse libre cours aux émotions et aux résonances ressenties par tout lecteur
désireux de comprendre les ressorts et les difficultés de l'engagement militant. -
Des poèmes illustrés décrivant des personnages originaux et loufoques, tels qu'un Bavarois maussade, un bonimenteur, un cul-de-jatte ou un tribun dentu.
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Un homme passe ses journées dans la même gare à attendre un train dont il ne sait rien. Il n'en connaît ni l'heure d'arrivée ni l'heure de départ, ni l'origine ni la destination.
Mais vous avez de la chance, aujourd'hui ce type a le causant. Il a envie de tout déballer, humour à la clé. Et vous pouvez me croire, il a de quoi raconter !
«22H22», c'est s'asseoir à côté de cet homme, attendre avec lui, vivre son histoire. Alors, ça vous dirait de vous poser et d'écouter ça ? Vous êtes tentés ? D'accord. Et puis, peut-être qu'aujourd'hui il se souviendra de tout ! -
Je veux être.
Dostoïevski, Edgar Allan Poe, Lewis Carroll, Samuel Beckett, Camus.
Je veux être.
Un sonnet de Rilke, une note de Bach, le Bateau Ivre.
Je veux être.
Le Mur des Pink Floyd, un danseur de Pina Bausch, un personnage d'un film de Cassavetes, la dernière nuit de Janis Joplin, Bruce Lee.
Je veux être Un battement d'ailes, un souffle, une émotion.
Je veux être.
Fritland a été nominé par l'Académie royale de langue et littérature française parmi 5 finalistes pour le Grand prix des arts du spectacle 2021. -
Solenn Denis - Humains - Abel et Caïn, on les retrouve à la fois dans la Bible, le Coran et la Torah. A eux seuls, ils symbolisent la naissance de la violence chez les hommes. Un cadeau dont on se serait bien passé...
Solenn Denis - SStockholm - Ce pourrait être une famille ordinaire : un homme, sa femme, leur filette... Ou encore un père, sa fille, son amante... Mais quelques indices troublants sèment le doute dans cette mise en scène de la normalité familiale.
Un appel sur Facebook, et Solenn a débarqué dans notre univers, avec sa "folie" personnelle et la puissance d'une écriture qui se cherchait. Depuis elle n'a plus quitté cet univers. Pour ceux qui ne la connaissent pas encore, il faut lire ces deux textes en l'état, pour leur propos et pour leur forme, avant sans doute qu'ils n'évoluent encore lorsqu'ils seront confrontés à la scène.
Solenn Denis, formée à l'école de théâtre du Cours Florent tout en obtenant parallèlement une licence de cinéma, se sent rapidement poussée vers l'écriture par les mots qui lui envahissent la tête. Il ne faudra pas longtemps pour que la force et l'originalité de son écriture sautent aux yeux de la profession. Plusieurs fois primée, elle s'impose aujourd'hui comme l'une des auteures les plus originales de sa génération. -
Porteur d'eau
Denis Laujol, Lorent Wanson
- Les Oiseaux De Nuit
- Romans A Jouer, Pieces A Lire
- 14 Décembre 2020
- 9782931101216
"Attention, un porteur d'eau, ça ne fait pas qu'amener des bidons, hein. Pour bien comprendre le cyclisme, parce que je vois que ce n'est pas toujours très clair pour certains, n'est-ce pas Madame, il faut savoir qu'en vélo, celui qui est DEVANT fait beaucoup plus d'efforts que celui qui est DERRIÈRE. On dit qu'il « prend le vent », alors que celui qui est DERRIÈRE est à l'abri, dans la roue, ou dans les roues. Donc... on met les leaders le plus longtemps possible DERRIÈRE, et les équipiers, les porteurs d'eau, les mandailles comme on dit en Belgique, DEVANT.
C'est comme le petit cheval blanc de Brassens, vous voyez..."
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Franz Racine est professeur à Namur. Un matin, il renverse une jeune fille en robe rouge... Sans conséquences, semble-t-il. Son voisin d'en face, Marc Barbot, le soupçonne d'avoir des comportements pervers et le surveille de sa fenêtre. Ce veuf solitaire est hanté par l'image du Dieu de son enfance et s'affirme de plus en plus en redresseur de torts. Racine, lui, est hanté par un amour passé et ses fantômes qu'il tente d'oublier dans la pratique du saut en longueur et dans la contemplation de la Namourette voguant sur les eaux namuroises... Une autre vie, à l'ombre de la Citadelle, est-elle encore possible?? Le destin finira par donner rendez-vous à tout ce beau monde rue des Brasseurs. Un vrai thriller aux drôles de faux-semblants dans la ville où règne l'académie du mensonge...
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Journal de l'après ; survivre à la mort de son enfant
Denis Anne
- Academia
- Echo
- 2 Février 2021
- 9782806105790
"Débuté trois mois après le décès de Renaud et poursuivi durant deux années, ce journal n'est pas le monologue d'une maman, mais un dialogue avec son enfant. Il décrit le quotidien d'un chagrin qui évolue et se transforme. Bâtir une nouvelle vie et laisser lentement s'infiltrer la petite lumière de l'absent modifie qui les gestes, les goûts, les humeurs. Les mots existent pour perpétuer le souvenir, construire d'autres marques et apprivoiser le manque sans rien oublier."
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Lorsque l'on va « du côté de », on va dans une direction. C'est à cela que vous invite l´auteur : à cheminer vers douze d´entre elles, vers douze femmes qui ont donné leur nom à chacune de ses nouvelles. Une simple approche. À pas comptés. Dans une tra- jectoire qui ne se veut pas linéaire. Une promenade de « leur » côté, avec à l´arrivée le gout des fruits des bois en bouche et, dans les narines, l´odeur des feuilles que l´on froisse.
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- Tu deviens un homme, avait prédit ma mère.
Un homme ? - Tu vas devoir assister au catéchisme préparatoire à la communion solennelle, avait prédit ma mère. Un homme ? - Si tu continues à bien étudier, après ta communion peut-être rentreras-tu au collège l'an prochain, avait prévu ma mère. Un homme ? On allait faire de ce morpion boudeur aux yeux bleus, un homme. Il porterait des longs pantalons de coton, des chemises à col pointu, une cravate et des caleçons comme son père.
Il ne pourrait plus lire les bandes dessinées. Lirait-il encore d'ailleurs ? Le morpion, paru en 1983, nous raconte l'histoire d'une enfance wallonne et de l'initiation à la vie.
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«?Tout, dans ce texte qui retrace mon parcours, est une manière de dire le plus haut possible que les sans-abris constituent un appel à la vigilance sur l'évolution de notre monde. Comment est-il imaginable que des êtres en soient réduits à vivre en marge d'une société digne de ce nom, soi-disant évoluée?? Tout doit être fait pour que cesse cette honte?».
Dans «?J'appartiens à la rue?», Denis Uvier, ex-sans-abri devenu éducateur de rue à Charleroi, témoigne de son combat quotidien pour aider les SDF à trouver leur place au soleil. Avec l'aide du journaliste Marcel Leroy, ce travailleur social militant interpelle l'opinion, au départ de son histoire, qu'il partage en toute franchise. Parce que son chemin est pareil à celui de tant d'autres de ces citoyens qui s'évertuent à vivre debout, alors que la crise économique détruit des existences, inexorablement. Dans cette Europe qui compte 500 millions d'habitants, plus de dix millions de personnes n'ont pas droit à un toit décent. -
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Versailles appartient autant à l'Histoire qu'à notre imaginaire. Du XVII ème siècle triomphant à nos jours, ce lieu de beauté déploie sa majesté et ses mystères offrant à tous ceux - rois, reines, courtisans ou simples visiteurs- qui l'ont habité, fréquenté ou seulement visité, un espace de désir, de rêve, de création.