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Prix
Françoise Lison Leroy
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TOUPIE est un recueil de poèmes en légèreté : toupie comme un enfant qui virevolte et parcourt le monde ; toupie comme un escargot, une robe de princesse ou une étoile filante ; toupie tourne, s'envole, voyage ; toupie matière de bois, pèle la planète plus ronde qu'une pomme ; toupie ronde, point, volute dans l'illustration... La toupie dans tous ses états ! avec beaucoup d'humour et d'imagination pour tous les âges. La traduction de ces poèmes nous a bien donné le tournis ! Car toupie se dit "boulboul" en syrien, ce qui signifie «rossignol» en arabe litte´raire et «zizi» en e´gyptien ! Toupie se dit "naHla" en e´gyptien, ce signifie «abeille» en arabe litte´raire ainsi que dans la plupart des langues arabes parle´es. Toupie se dit "trombia" en marocain, qui vient probablement de l'espagnol, nous rappelle la "tromba" - la «trompette» en italien - et tout ce qui arrive «en trombe» dans les langues latines ! Toupie se dit "khazrouf" en arabe litte´raire, un mot relie´ a` d'autres mots qui e´voquent le bois, les jeux d'enfants et le mouvement. Bref ! La traduction du mot toupie en arabe ne tourne pas rond. Golan Haji a choisi le mot boulboul pour le rythme du mot, pour son lien avec la nature, pour l'e´vocation du chant de l'oiseau. L'édition de ces poèmes est accompagnée d'une version sonore en ligne indiquée par un QR code dans le livre papier, disponible dès sa publication en janvier 2023. Catherine Estrade et Mohamed Alarashi seront les voix de la toupie. La mise en scène sonore jouera avec tous les instruments à vents du cazoo au saxophone, et à percussion du triangle au derboukas. Une attention particulière sera portée au rythme pour accompagner les tours et détours de cette toupie en voyage.
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Dans ce nouveau titre de la collection Les baladeurs, on suit un livre, qui se balade et nous balade... jusqu'à se retrouver entre nos mains. Commence alors un long voyage, le livre passant de main en main (dans la camionnette d'un peintre en bâtiment, entre les crocs d'un chien, dans la voiture décapotable d'un ornithologue...). Un livre drôle qui désacralise l'objet-livre.
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Poèmes cueillis dans la forêt de vos yeux
Françoise Lison-Leroy
- Rue du monde
- Une Petite Poignee De Poemes
- 3 Mars 2022
- 9782355046902
40 formes brèves sur ce que le poète sait lire dans les yeux des enfants. Un peu de sa vie cachée, un peu du monde, un peu de ses doutes ou pensées... Chaque texte porte, en guise de titre, le prénom d'une fille ou d'un garçon. Ces poèmes accompagnés de portraits poétisés, à la gouache, par Nathalie Novi, ont été cueillis lors des multiples rencontres poétiques qu'animent Françoise Lison-Leroy avec des enfants.
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"Première parution dans la collection Les carnets, qui se veut terrain de recherche graphique et poétique. Quand les cailloux baladins, casse-cou ou polissons, musiciens, costauds ou mariniers de Françoise Lison-Leroy entrent en collision poétique avec l'"
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Le livret De la terre dans mes poches incarne les joies enfantines du jardinage, du rapport à la terre, la terre nourricière. Première parution dans la collection Matière vivante, qui se veut terrain de recherche poétique permettant de relier les êtres.
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Pierrot de rien
Françoise Lison-Leroy, Anne Leloup
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 20 Septembre 2014
- 9782359840520
Au départ d'un fait réel, la rencontre lumineuse d'une errante d'aujourd'hui, Françoise Lison-Leroy a construit un récit poétique qui court vers une autre présence. Une voie ferrée, un petit bois, la vie sauvage... et cet autel de campagne, dédié à un accidenté de la route.
Ce texte, entre récit et poésie, raconte l'histoire qui naît lorsque le réel éclate et qu'une fuite en avant le remplace, quand le chagrin prend le dessus sur la vie. Il raconte un homme, ou une femme, qui vit de vide et du bruit du train, s'installe dans un petit bois, là où un jeune père est mort d'un accident de la route ; deux histoires bien réelles se croisent. C'est à la lecture des traces de bords de chemin - abris de fortune, cartons empilés, petit bouquet ou photo jaunie... - que ces vies brisées se révèlent. Ces traces ne parlent pas toujours aux vies pressées, il faut l'oeil du poète pour les lire et les comprendre.
Françoise Lison-Leroy construit son récit de ces histoires glanées, elle en fait un « moment en mots » En parallèle, les dessins d'Anne Leloup glanent le temps qui passe : ombre portée, brindilles, traces... de ce qui se passe au ras du sol, que l'on choisit de voir ou de piétiner. -
Les bouloches
Françoise Lison-Leroy, Pascaline Wollast
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 15 Décembre 2012
- 9782359840346
Un homme garde des bouloches au fond de ses poches. Parfois il les tient au creux de la main. Il en aime la rondeur et la douceur. Par elles, il se rassure, reste au monde ou se souvient de l'enfance.
C'est un pe're sous l'oeil de sa fille. Elle le regarde partir. Le moment pre'sent n'a plus prise sur lui. Les souvenirs s'effacent. Et s'il s'agit de l'oubli et de la perte, on lit surtout l'amour et la vie qui unissent ces deux-la'.
Françoise Lison-Leroy offre un texte fort, ou' l'observation de la vieillesse du pe're se teinte tour a' tour d'e'motion, d'humour, de tristesse, et toujours de tendresse. Il y a de l'âprete' dans cette e'criture qui e'vacue tout sentimentalisme et toute complaisance, qui dit les choses comme elles sont.
Pascaline Wollast re'pond par des dessins noirs, emplis de matie're, ou' la terre et le personnage se confondent. Le jardinier, le jardin, les animaux, les bouloches deviennent sous son trait les objets d'une ge'ographie de l'intime. -
Nid. Trois petites lettres à définir.
On a changé de maison, dit le personnage dans un monologue à la fois précis et hâché. Mais pour aller où?? Clinique, maison de repos, pensionnat, prison, monastère... la définition du lieu est floue, mais ce qui est sûr, c'est qu'il est fonctionnel, cadré, défini géométriquement, identique de pièce en pièce... bref, institutionnel. Au fil des fragments poétiques, la géographie de l'espace se dessine et se répète, carrée, divisée. Tangible, elle apporte structure et apaisement. Ramène-t-elle de la sécurité dans la confusion?? ou accentue-t-elle l'impression de malaise, de perte de repères?? L'autrice nous emmène sur ce terrain glissant et, en douceur, nous ouvre les questions d'identité, de quête et de définition de soi.
Dans ce pays, toutes les constructions sont comme celle-ci. Un mur, une chambre, une salle de bain avec les toilettes. Et la douche. Les lavabos sont à l'avant-plan. Et c'est pareil jusqu'au bout de la rue, très loin. Jusqu'au bout du pays.
On reçoit à manger tous les jours. Est-ce que mes parents vont venir me chercher?? Il faudra leur téléphoner.
Le personnage, qu'on devine être un parent - un patient?? -, désorienté, cherche qui il est, qui elle est, perdu dans l'espace de ce lieu inconnu et peut-être aussi un peu perdu dans sa tête, mais chez qui la vie pulse et qui cherche à quitter cet enfermement.
Puis le texte s'ouvre sur une deuxième partie en tu qui brise la solitude du personnage. Quelqu'un est là, qui prend soin et offre un regard extérieur, bienveillant, presque admiratif de cette capacité à re-créer un monde, à faire d'un espace clos un lieu de vie. Lieu de repli, certes, mais lieu où les frontières s'abolissent et où la liberté se déploie.
Françoise Lison-Leroy nous entraîne dans un monde où les mots font corps, où l'écriture dévoile une part d'ombre. Avec la farouche volonté de ne pas tout dire, elle nous donne à voir les méandres des pensées d'un parent malade, de la vieillesse qui a parfois des sursauts de fougue de l'enfance. Elle donne au texte son propre moteur et nous laisse, comme lecteur, le soin de tisser des liens ou, mieux encore, de rassembler les fines brindilles d'un nid à construire.
Les monotypes de Pascaline Wollast accompagnent les poèmes d'un trait juste et évocateur. Elle fait affleurer la solitude, le désarroi mais aussi la rencontre et le lien qui libère. -
Les blancs pains
Diane Delafontaine, Françoise Lison-Leroy
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 8 Mars 2019
- 9782359841060
Faire ses blancs pains, au Pays des Collines, c'est pétrir le drap du lit comme pour préparer une offrande pour l'au-delà. Ce geste annonce alors que la mort est proche et que le mourant, doucement, se prépare.
En trois textes qui s'enchaînent, Françoise Lison-Leroy interroge la place prise par chacun dans sa famille, les présents comme les absents, ceux à la longue vie ou les enfants partis trop tôt. Comme cette tante de deux ans, emportée par la fièvre dans un temps où la vie des enfants était plus fragile.
Au cimetière du village, sa tombe côtoie celles d'autres enfants ; un respect sacré, partagé, inné, entoure ce petit coin du cimetière. Sa présence habite les pensées et les promenades de l'auteur. Évocations légères, souvenirs, bribes glanées au fil des pérégrinations, mémoire de la famille... ce qui reste de vie pour ceux qui grandissent. Précédée par cet enfant, l'auteure se sent aussi portée par celle qui lui offre alors une bienveillante attention. Elle tisse un monde où les sentiments se transmettent par delà les mots.
Diane Delafontaine accompagne ce texte d'images qui, elles aussi, s'ancrent au passé comme au présent. Une manière de faire le lien et de donner au texte une tonalité faite de photos anciennes et de retouches à l'encre.
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C'est pas un jeu
Françoise Lison-Leroy, Jean-Claude Saudoyez
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 4 Mars 2008
- 9782930223865
Nous voilà prévenu, c'est pas un jeu ! Ni les personnes évoquées, ni les gestes posés, ni la parole du poète... La vie est au-delà du jeu, plus précieuse et plus grave. Cruelle aussi parfois dans le sourire que les mots provoquent.
Et le poète, comme le sculpteur, évoque la part d'étrangeté qui façonne l'humanité.
Le livre est composé d'un ensemble des quatre textes : C'est pas un jeu - Le bleu ciel n'embellit personne - Jean et Julia - L'aveu, l'envol. -
Madeleine est un recueil de poèmes en prose rempli d'émotions et de douceur. Le je poétique s'y adresse à sa petite-fille avec amour, tendresse, fierté et nostalgie. Les mots sont utilisés avec une extrême justesse et touchent le lecteur en plein coeur.
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Encore un quart d'heure
Françoise Lison-Leroy, Colette Nys-Mazure, Camille Chevrillon
- Esperluète Éditions
- 27 Septembre 2016
- 9782359840698
Dépêche-toi, il reste un quart d'heure ! Pas si vite !
Les enfants vivent hors du temps alors que les grandes personnes ont une horloge dans le ventre.
Comment échapper à la collision entre générations ? Quel espace ouvrir pour éviter les pièges et laisser place au rêve, au plaisir d'être, au tendre échange ? ... En égrenant les propositions qui ponctuent ce long dépliant accordéon.
Le texte, co-écrit par Françoise Lison-Leroy et Colette Nys-Mazure, nous invite à savourer l'instant présent.
Les dessins aux crayons de couleurs de Camille Chevrillon proposent de croiser les chemins, de vagabonder et de profiter du temps qui passe.
Un quart d'heure dont on voudrait qu'il dure toujours !
Repris dans plusieurs se'lections pour la jeunesse, adapte' en lecture conte'e, utilise' en animation, cet accorde'on se prête a' de nombreuses de'clinaisons. Sa re'e'dition n'avait que trop tarde'! -
Commencer par le soir
Françoise Lison-Leroy
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 16 Juillet 2002
- 9782930223339
Et si l'on commençait par le soir ? Depuis toujours, des femmes et des hommes font un pas en arrière.
Dans la grande chorégraphie, ils osent tendre un fil entre le monde et eux. Depuis toujours, des poissons nagent à contre-courant, des tracteurs roulent à reculons, phares éteints. Et le fleuve rêve de ruisseaux promeneurs. Dans les maisons, des photos d'hier éclairent l'avenir. Ce n'est pas vrai qu'elles veillent.
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Drolling ; intérieur de cuisine
Françoise Lison-Leroy
- Invenit
- Ekphrasis
- 24 Novembre 2010
- 9782918698128
Françoise Lison-Leroy, lauréate de plusieurs prix prestigieux de poésie, aimant parfois allier son talent d'écrivain à celui de peintres, nous aide à regarder une peinture dite « de genre » du XVIIIe siècle, Intérieur de Cuisine de Martin Drolling, qu'abrite le musée Benoît de Puydt de Bailleul. D'un instantané d'une vie bourgeoise - une homme et une femme assise dans une cuisine, observés par un chien spectateur -, le peintre, grâce à un arrangement de couleurs et de lignes savamment ordonnées, saisit l'image très balzacienne d'une cellule familiale au XVIIIe siècle.
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Dans la foulée des Histoires de Petite Elle surgissent d'autres récits issus du territoire premier.
L'auteur convoque le " coureur de collines " et quelques autres vivants à arpenter le grand pays.
" Le garçon s'assit sur un tronc d'arbre, guettant les frissons du matin des collines. Cet instant de début du monde, il le connaissait par coeur. " Mémoire vive, saules rieurs : le voyage a lieu, immobile.
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On écrit mais on aurait aimé sculpter, jouer d'un instrument de musique, danser, peindre...
Justement, peindre, ne serait-ce pas possible, indirectement, avec des mots qui épouseraient formes et couleurs ? Dans notre parcours à deux voix et à quatre mains, nous avons osé ce projet insolent : rendre sur la page l'univers des toiles. Des proches -Delvaux, Rops- aux lointains -Vermeer, Balthus-, des figuratifs aux abstraits, des célèbres aux nobles inconnus. Point n'est besoin de reconnaître : naître compte davantage.
S'accorder au mouvement et à l'émotion qui provoquent les joies du regard vigile. Le plaisir qui fut nôtre, nous le partageons, avec vous. Mêlons nos chants, mêlons nos territoires.
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Marie-Gasparine
Françoise Lison-Leroy, George Warnant
- Cadex
- Le Farfadet Bleu
- 15 Octobre 1999
- 9782840310976
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Sans mots
Anne Leloup, Françoise Lison-Leroy
- Esperluète Éditions
- Cahiers
- 29 Juillet 2002
- 9782930223131
Aveu, essai, tentative avortée ou réussie,
de mots ou de livre, d'images et de vie...
un chant de voix claires,
de notes et de silences. -
Je n'ai jamais dit à personne que
Françoise Lison-Leroy, Colette Nys-Mazure, Montse Gisbert
- Esperluète Éditions
- 16 Juillet 2002
- 9782930223209
C'est un jeu, un jeu de petits secrets, ceux que l'on égrène tout au long de l'enfance et qui font des souvenirs doux-amers. C'est un jeu qui, au fil des « je n'ai pas dit », révèle la personnalité d'un petit garçon proche de la nature, qui aime l'envol des oiseaux et le fil de l'eau, qui se transformerait bien en enfant-feuille. Et même si, tout au long des pages de cet accordéon, il poursuit une course secrète, il se réfugie volontiers dans le cocon maternel...
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Escarboucle : Poésie minimaliste et oulipienne
Marcel Peltier
- Editions Du Cygne
- Poésie Francophone
- 2 Janvier 2025
- 9782849248157
Un hommage rendu à Guillevic, et à L'OuLiPo.
L'auteur utilise une contrainte en rapport avec le défi lancé par François Le Lionnais, il est question d'utiliser un maximum de sept mots pour composer chaque poème.
Sistre
résonne
en
ces colonnes
de
xylème.
Dans ce recueil, la poésie minimaliste et oulipienne est à l'honneur.
Approchez ces textes brefs dans le calme de la méditation. -
Histoires de petite elle
Françoise Lison-Leroy
- Labor Litterature
- Zone J
- 1 Octobre 2003
- 9782804016906
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LIEUX TRESSOIRS
LISON-LEROY, FRANÇOISE, VOITURIER, MICHEL, NYS-MAZURE, COLETTE
- ROUGERIE
- 28 Mars 2003
- 2000000006086
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ON LES DIRAIT COMPLICE
LISON-LEROY, FRANÇOISE, NYS-MAZURE, COLETTE
- ROUGERIE
- 10 Mars 2003
- 2000000003795