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Giannoni David
11 produits trouvés
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Recueil de 108 poèmes, entre le mantra et le conte, à travers lesquels l'auteur propose un voyage entre l'intime et l'universel.
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"Ce poème a été écrit entre 1991 et 1993 et n'a presque pas été retouché durant toutes ces années.
Il m'a donc accompagné pendant 22 ans avant que je ne trouve la force de le traduire en français.
À présent il peut commencer à vivre sa vie.
Moi la mienne."
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À l'origine de ces Contes de Nod, il y a l'envie de raconter, c'est-à-dire rêver, imaginer, se faire peur et se faire rire ensemble. Pour cela, il fallait des formes courtes qui puissent se lire à voix haute. L'essence et la magie du conte.
Ces textes sont aussi le prolongement d'un travail de thérapeute ou de «thérapoète» : des métaphores à pouvoir utiliser afin de travailler son lâcher-prise, sa présence à soi-même, le sens de son évolution personnelle et la question de l'éveil.
On flirtera donc, dans ces contes à s'éveiller debout, avec les histoires zen, mais également avec des thèmes comme le cirque ou des récits plus urbains et occidentaux, pour finir avec une figure énigmatique d'homme errant qui nous emmène sur les «terres de Nod». Terres de notre vie, sources et fruits de tensions et d'insouciances, aussi exaltantes que prosaïques, réelles qu'imaginaires.
La véritable danse, cher lecteur, commence à l'instant.
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Un homme, un indien de partout et nulle part, séjourne en résidence à la Maison de la poésie de Quimperlé (Maison d'Hippolyte), en Bretagne, pendant l'hiver 2017.
Au cours de cette période aura lieu un grand pow-wow, le Festival de poésie Sémaphore.
En attendant, entre ateliers en écoles et déambulations dans les rues de Quimperlé et environs jusqu'à la mer, il saisit une image, un moment, une actualité, une intemporanéité, et écrit, directement sur sa page facebook, un poème.
L'écume lui amène des mots de la langue des lieux, mots qui animent chaque texte ou qui en sont le point de départ.
Le fruit de ce travail se trouve ici, sans avoir été retouché ou presque, pour rester au plus près de ces instants vécus en tant qu'indien... de Breizh...
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La face cachée de la ville ; une enquête de l'inspecteur Colon Tome 1 : meurtre à Bramacity
Daniele Bacci, David Giannoni
- Maelstrom
- 8 Février 2013
- 9782875050502
Des assasinats de personnes qui n'existent pas un clochard sans origines claires et son tapir un inspecteur lunatique expert en ésotérisme une enquête sur la face cachée d'une ville qui pourrait être la vôtre...
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La face cachée de la ville ; une enquête de l'inspecteur Colon : Intégrale Tomes 1 à 3
Daniele Bacci, David Giannoni
- Maelstrom
- 20 Mai 2017
- 9782875052742
Sept ans après le début de l'enquête de l'inspecteur Colon voici les trois premiers volumes fondateurs réunis en un seul.
L'intégrale qui nous raconte l'histoire et les origines de Colon et de son compagnon Chris le Tapir dans les méandres de « La Face cachée de la Ville » 1. Meurtre à Bramacity 2. Le Gitan de Bramapan 3. Le Mystère des Êtres-Frontière « La poésie, cette Cendrillon d'un monde et d'une planète devenus fous à cause du capital, des faux dieux qui nous leurrent en nous forçant à travailler, produire, nous armer, faire notre service militaire, maintenir une armée, aller à l'église, nous marier, honorer notre père, notre mère et le curé, à écrire et à agir d'une certaine manière, régler notre réveil, établir certains horaires et pas d'autres, fréquenter et ne pas fréquenter certains lieux et certaines personnes, adopter un calendrier et un agenda, à naître, vivre et mourir ainsi, comme s'il n'y avait rien d'autre à faire et à devenir... eh bien la poésie a déjà trouvé sa voie pour s'exprimer encore et encore. Depuis toujours on a essayé de la tuer et jamais on n'y est parvenu, on y parviendra encore moins maintenant. Parce que la poésie est dans la vie, oui, et elle se fait au lit et dans les bois comme l'amour (Breton). C'est seulement ainsi qu'elle arrive dans les pages d'un livre, dans un film ou dans une bande dessinée et c'est seulement ainsi qu'on peut la reconnaître.
Elle parle d'un être qui ne vit pas par hasard. Elle parle d'un mythe. Comme Colon. » (Extrait de la postface d'Antonio Bertoli)
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