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JAMES
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Quelle est la malédiction de la dinde ? Un Arabe peut-il être antisémite ? Comment les femmes ont-elles disparu de la langue française ? Autant de questions qui permettent de mieux comprendre comment le langage nous influence, nous façonne et transforme la réalité. La Sémantique c'est élastique se propose d'offrir des armes aux lecteurs pour mieux se défendre, et, surtout pouvoir frimer lors de repas de famille.
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Après le succès de L'Épreuve, retrouvez la nouvelle série de James Dashner !
Trois amis découvrent avec horreur que mourir dans leur jeu vidéo peut les faire mourir dans le monde réel. Ils sont engagés pour arrêter cette terrible manipulation.
Quand le quotidien est sans intérêt, que les rêves n'existent plus, il reste la réalité virtuelle : comme la plupart des jeunes de son âge, Michael passe son temps sur le VirtNet, une plateforme tentaculaire à mi-chemin entre un jeu vidéo et un réseau social. Relié au serveur par des fils sensoriels, son cerveau baigne dans cet univers parallèle. Mais quand une série de suicides - bien réels, ceux-là - intervient dans le cadre du jeu, Michael et ses amis hackers doivent se rendre à l'évidence, effrayante. L'intelligence artificielle aurait-ellepris le pas sur la réalité ? -
Publié pour la première fois en 1975, bien avant que l'on ne commence à parler de "roman graphique", La Cage est aujourd'hui considéré comme un classique, cité dans la plupart des ouvrages sur la bande dessinée.
En 180 pages que ne traverse aucun personnage, Martin Vaughn-James bâtit un univers obsessionnel d'une rare puissance à partir de l'incessante transformation de quelques lieux et quelques objetsMais derrière la folie baroque de ce monde décomposé, se dissimule un dispositif d'une implacable rigueur, derrière le vertige des motifs, la netteté d'un trait "ligne claire".
L'ouvrage est accompagné d'une préface de l'auteur et suivi d'un essai de Thierry Groensteen, « La construction de La Cage », illustré de nombreux documents extraits des carnets de travail de Martin Vaughn-James. -
« Mes amis les oeuvres de vision personnelle seules resteront. Il faut se créer une science picturale personnelle et vibrer devant la beauté comme devant la femme qu'on aime. oeuvrons avec amour, ne craignant pas les défauts, compagnons habituels inévitables des grandes qualités. Oui, les défauts sont les qualités et le défaut est supérieur à la qualité. Qualité signifie uniformité dans l'effort en vue d'atteindre certaines perfections communes accessibles à tous. Le défaut échappe aux perfections uniformes et banales. Le défaut est donc multiple, il est la vie et reflète la personnalité de l'artiste, son caractère, il est humain, il est tout et sauvera l'oeuvre. » Discours prononcé au banquet offert à Ensor par « La Flandre Littéraire », 1922
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Charles Charles, profession président
Marc Dubuisson, James
- Delcourt
- Pataques
- 16 Août 2023
- 9782413081364
Charles aime la politique et le pouvoir mais pas les responsabilités. Cela tombe mal, il vient d'être élu président des États-Unis de la République. Entre ministres incompétents, homologues consternants, conseillers consternés et tâches ingrates, il doit assumer les conséquences de ses ambitions... Toute ressemblance avec des personnages existants ne saurait être que fortuite.
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Parlons forte langue claire et verte, trempée à chaud et à froid cimentée d'adjectifs retentissants : Treize écrits sur lui-même, la peinture, la gravure, l'histoire de l'art, et autres joyeusetés...
James Ensor
- Marguerite Waknine
- 16 Avril 2021
- 9791094565780
Disséminés entre 1882 et 1946 dans différents journaux et revues plus ou moins confidentiels, les écrits de James Ensor peuvent donner au premier abord l'effet d'un ensemble hétéroclite, d'autant qu'il s'agit pour nombre d'entre eux de textes de circonstance. On peut en effet y trouver pêle-mêle une interview, une autobiographie ramassée, des réflexions sur l'art, des discours prononcés à telle ou telle occasion. Il n'en reste pas moins qu'au fil de la lecture apparaît une profonde cohérence : celle d'une véritable et profonde liberté. Liberté de ton, liberté d'invention, de position, où peuvent grossir jusqu'à l'enflure et l'artifice telle humeur du moment, telle défense de l'esthétique, telle répudiation, telle vue sur le monde et ses turpitudes : en somme la proclamation d'une subjectivité qui n'aurait pour seul mot d'ordre impératif que l'invention, la création d'une langue à même de toucher juste, sérieusement et dérisoirement. Autrement dit encore, un style, provocant, débordant, fulgurant, bouillonnant, cocasse, fulminant et jouteur, uppercuteur, direct et franc, et criard, et rieur, comme si tous ces écrits étaient nés de la plume d'un drôle homme de lettres : d'un écrivailleur, un écribateleur, un écribouilleur. Un cas, comme le rappelle si justement Franz Hellens, qui écrit et c'est encore du dessin, il aligne des mots et c'est autre chose que du dessin, de la forme, de la couleur, sans cesser d'être tout cela ; il construit des phrases qui ne sont d'aucune syntaxe, ou plutôt les entrelace, trouve des expressions qui ne tiennent plus de la littérature, n'appartiennent plus à la langue...
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Benjamin a la passion des chiffres. Où qu'il aille, il ne peut s'empêcher de tout compter : les points des coccinelles, les fleurs... Mais il est tellement occupé à compter qu'il entre par mégarde dans le terrier du renard... Il échappe de justesse à la casserole en proposant à la renarde de l'aider à compter les ingrédients de sa recette !
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Paul, le comptable, est découvert mort à son poste de travail. La police mène l'enquête. Comment Paul a-til été tué ? Qui pouvait bien lui en vouloir ? Pour prendre sa place ? Serait-ce un crime passionnel ? Le quotidien de l'entreprise se trouve bousculé par ce drame, qui va révéler les dessous des relations entre les services, les jalousies internes, les luttes de pouvoir.
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Un corps sans vie est découvert dans un pré au coeur du Finistère. L'autopsie révèle la présence d'hydrogène sulfuré dans les poumons, typique d'une intoxication due aux algues vertes. Comment peut-on mourir instantanément à cause des algues vertes si loin de la côte ? Une enquête compliquée s'annonce pour la commissaire Linguine et son adjoint Pichard face à l'hostilité de la mafia bretonne.
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Jacques Izoard aimait tout particulièrement travailler avec des artistes. Quand il rencontre Martin Vaughn-James qui vient vivre à Bruxelles, il propose d'écrire un livre avec lui. L'artiste lui donne des dessins qu' Izoard illustre par des textes. Rencontre qu'on dira inattendue. Devant ces oeuvres empreintes d'une certaine violence, il quitte son monde minuscule. Ce livre a été publié une première fois en 1982 par /'Atelier de l'agneau en Belgique. La couverture est le facsimilé de cette édition. Extrait de leur bibliographie à !'Atelier de l'agneau : Jacques Izoélrd «Bègue, bogue, borgne» Martin Vaughn-James, «Après la bataille»
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Dans cette dystopie aux multiples références philosophiques et littéraires, James Turner met en scène Monsieur Nul, un habitant de Nihilopolis comme les autres mais en fuite après avoir été injustement accusé de meurtre.
À travers une suite de péripéties absurdes et humoristiques, le lecteur découvre la vie à Nihilopolis où Destruction rime avec Désillusion, où le Rien est l'unique croyance autorisée, et où les démons de l'Enfer s'installent alors que la rumeur court que Dieu serait mort. Et dans tout cela, Monsieur Nul se découvre lui-même au fil de ses péripéties, et se met petit à petit à espérer.
Un roman graphique intelligent, engagé et drôle, au graphisme très surprenant.
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Du port de Dunkerque à celui d'Amsterdam, c'est une véritable ode à la mer du Nord que propose ce recueil exceptionnel de plus de 200 photographies, ponctuées de peintures, poèmes de Baudelaire ou Hugo, chansons et autres déclarations d'amour à ces côtes splendides. La beauté des paysages nous est ici donnée à voir sous toutes ses formes : rude, puissante, douce et riante.
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L'entretien clinique
James Morrison
- Mardaga Pierre
- Psy - Evaluation, Mesure, Diagnostic
- 20 Septembre 2018
- 9782804706401
Avec plus de 100 000 exemplaires vendus à ce jour, l'ouvrage du Pr. James Morrison est la référence internationale incontestable en matière d'entretien clinique. Pour de nombreux praticiens et professionnels qui mènent ces entretiens - psychiatres, psychologues, travailleurs sociaux, infirmiers, auxiliaires médicaux et conseillers d'éducation entre autres -, il est devenu l'outil indispensable qui les guide tout au long du processus d'évaluation.
S'appuyant sur les recherches les plus récentes, le Pr. James Morrison propose ici une synthèse des meilleurs outils et techniques de diagnostic puisés tant dans la littérature scientifique que dans l'expérience de la conduite d'entretiens auprès de plus de 15 000 patients. Exemples à l'appui, il couvre un vaste éventail de personnalités et de situations et permet d'atteindre les objectifs communs à tout entretien de personnalité : obtenir rapidement le plus grand nombre d'informations exactes et pertinentes pour le diagnostic et la gestion de la thérapie.
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Une autre science est possible ! manifeste pour un ralentissement des sciences ; le poulpe du doctorat
Isabelle Stengers, William James
- Empecheurs De Penser En Rond
- 3 Janvier 2013
- 9782359250664
Comme le fast food, la fast science, c'est vite fait, pas bon et pas très digeste ! Une économie spéculative - avec ses bulles et ses krachs - s'est emparée de la recherche scientifique : les chercheurs doivent intéresser des « partenaires » industriels, participer aux jeux guerriers de l'économie compétitive. Conformisme, compétitivité, opportunisme et flexibilité : c'est la formule de l'excellence. Mais comment poser publiquement la question d'un désastre lorsque l'on ne veut pas que le public perde confiance en « sa » science ? Les mots d'ordre comme « Sauvons la recherche » font consensus, alors qu'ils ne posent surtout pas la bonne question : « De quoi faut-il la sauver ? » Isabelle Stengers montre que les chercheurs doivent cesser de se prendre pour le « cerveau pensant, rationnel, de l'humanité», refuser que leur expertise serve à faire taire l'inquiétude de l'opinion, à propager la croyance en un progrès scientifique inéluctable capable de résoudre les grands problèmes de sociétés. Il s'agit pour eux de nouer des liens avec un public potentiellement intelligent et curieux, c'est-à-dire aussi de produire des savoirs dignes de cette ambition.
En 1903, le philosophe américain William James (1842-1910) publiait « Le poulpe du doctorat ». Il éprouvait une telle répugnance vis-à-vis de l'enseignement académique qu'il se présentait comme un outsider, voire un charlatan. Au regard des plus récentes inventions institutionnelles visant àévaluer les chercheurs, les examens auxquels James s'en prend apparaissent pourtant comme d'innocents archaïsmes... Le poulpe enlace les chercheurs plus puissamment que jamais.
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Les écrits peu connus de James Ensor - pas loin d'une centaine de textes rédigés de 1882 à 1946 à la faveur de diverses circonstances - sont d'un style éblouissant et d'une virulence sans pareille : " Ah, parlons-en des peintres doctrinaires et négociants de leurs suffisances matamoresques : leur métier à répétition nous vaut nausées sur nausées.
Que de veuleries d'imitations serviléformes re-pondues, ruminées mille et mille fois par ces beaux cancres de la peinture, gargouillant, affreux déchets... " Il y célèbre la bonne peinture, y honnit les architectes qui défigurent sa belle ville d'Ostende et vitupère contre la bêtise, les arrivistes, les malfaisants de tout poil qui occupent le devant de la scène de son temps.
D'une incroyable modernité.
Textes inconnus en France.
Une écriture à l'image de sa peinture : radicale, sarcastique et insolente.
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La magnifique langue de Perrault est ici mise en valeur par la modernité des illustrations de Joëlle Jolivet. Ces dernières nous font découvrir les grands yeux naïfs du Petit Chaperon Rouge, et l'irrésistible séduction du Loup.
La morale d'origine de Charles Perrault clôt le texte et s'adresse aux enfants de tous temps : « On voit ici que les enfants, surtout les jeunes filles belles, bien faites et gentilles, font mal d'écouter toutes sortes de gens. »
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Curiosités en province de Liège ; patrimoine de Wallonie
James Lohest, Monique Noé, Christian Robinet
- Lannoo
- 15 Avril 2015
- 9782873869250
Les lieux que nous visitons se distinguent fréquemment par un patrimoine touristique reconnu. Mais à côté de tout cela, il y a l'inattendu, le pittoresque, l'unique peut-être.
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Les portraits de villes si parcourues nous intéressent moins par ce qu'ils décrivent, de venise à ravenne, que par ce qu'ils nous révèlent d'un long amour pour l'italie - cinquante ans -, le pays oú il y a un décor pour chaque émotion, oú les états d'âme conversent avec des fresques, des champs et des places.
[. ] james, l'américain, dès son premier séjour, en 1869, n'a cessé de revenir en italie, suivant et précédant des générations de flâneurs. il apportait avec lui ses hantises et, de voyage en voyage, délirait sa propre histoire, son lot de secrets et d'obsessions. [. ] il cherche des alignements, des perspectives, des rencontres entre les paysages et leurs représentations. l'italie, réinventée par son caprice, devient une terre de miracles et de sortilèges.
Tout a l'air de vouloir y paraître pour la première fois et, même s'il s'agit, parfois, de parler de quelques retours, ils semblent surgir de l'éternité. james, en italie, sur champ d'éboulis, a pu construire, durablement, le plus fascinant des tombeaux, voué à la mémoire des sentiments.
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La cage ; la construction de la cage
Martin Vaughn-James, Thierry Groensteen
- Impressions Nouvelles
- Traverses
- 17 Juin 2010
- 9782874490972
En cent quatre-vingt pages que ne traverse aucun personnage, Martin Vaughn-James bâtit un univers obsessionnel d'une rare puissance à partir de l'incessante transformation de quelques lieux et quelques objets : chambres peu à peu envahies par le sable, murs qui se lézardent à vue d'oeil, larges taches d'huile, d'encre ou de sang, végétation proliférante qui recouvre des ruines, tableaux et cadres amoncelés dessinant le plus aberrant des musées. La Cage est un somptueux labyrinthe, un ouvrage étrange devenu un classique. L'ouvrage est accompagné d'une préface de l'auteur, qui le resitue dans le contexte des années 70, de la contre-culture et du Nouveau Roman.
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Fin de la première journée.
Il n'est pas venu. J'essaierai encore demain : peut-être viendra-t-il, ne serait-ce que pour défier la loi des probabilités. Je le vois déjà, avec son feutre, debout dans son imperméable, comme sur les photos, le col relevé, le dos à l'objectif, cloué au bout de la jetée comme une paire de jumelles sur leur socle, fixant l'horizon lointain comme si plus rien d'autre n'existait. Oui, exactement ainsi, le chapeau baissé sur le front, la tête tournée, répétant sans cesse les mêmes phrases brèves et incompréhensibles, qui finiront par le rendre malade et qui bourdonneront dans ses oreilles comme un dernier roulement de tambour.
Il y aura un bruit de pas derrière lui, le contact glacé d'un canon noir contre son cou et pari - une maudite éclaboussure en travers du ciel. Les vagues viennent se briser, dans une monotonie lugubre, le long du sombre littoral. Par-delà les derniers pilotis noirs de la jetée, le ciel et la mer se confondent derrière un rideau de pluie grise. L'air salé, les algues, le crissement des galets sous les pas, l'inévitable cri des mouettes - tout y est, je suis chez moi.
Vers l'intérieur, dans les quartiers est de la ville, le crépitement des armes automatiques décroît, s'éteint. Demain, je reviendrai.
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James Lord, jeune américan à Paris, rencontre Picasso en 1944, pour qui il nourrit une amitié mêlée de crainte. Dans ce livre, il évoque surtout les rapports complexes et équivoques qui se sont noués entre Dora, la maîtresse dont Picasso allait bientôt se séparer et lui-même. Dora Maar fut sans doute le plus important mais le moins connu des amours de Picasso. James Lord fait revivre ce personnage de légende en traçant un portrait incisif et hardi. Dans cette évocation du milieu artistique parisien d'après-guerre des personnages aussi célèbres que Balthus, Jacques Lacan, André masson, Giacometti... Il nous éclaire sur la perversité et la mégalomanie de celui-ci ; Dora habituellement décrite comme une femme recluse et amère, apparaît ici pleine de vitalité et de fierté.
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"Si l'impressionnisme est aujourd'hui considéré comme un mouvement artistique à part entière, il n'a pourtant pas toujours reçu un accueil favorable par la critique d'époque. Le terme « impressionnisme » apparaît pour la première fois en 1874 dans le journal Charivari pour décrire une technique picturale, en rupture avec le classicisme, où les impressions et les sensations se traduisent à travers la facture et les couleurs utilisées. Composé de onze chapitres à la fois chronologiques et thématiques, l'ouvrage de James H. Rubin offre une étude détaillée du mouvement impressionniste, qui constitua une véritable révolution artistique. L'auteur présente d'abord les origines du mouvement, ses principaux chefs de file (Monet et Manet entre autres), et ses successeurs (Gaughin, Pissaro ou Renoir). Il analyse ensuite les liens entre le pouvoir politique et le mouvement artistique, puis s'interroge sur l'importance du marché de l'art et le rôle des collectionneurs. Enfin, l'ouvrage se conclut sur l'héritage laissé par le mouvement impressionniste dans la peinture et les autres disciplines artistiques, notamment la musique. Impressionnisme est le 11e titre en français de la collection « Arts & Idées ». Rédigés par d'éminents universitaires, les ouvrages de la collection « Arts & Idées », dont l'iconographie occupe une place essentielle, replacent l'art dans son contexte culturel et idéologique. S'affranchissant du jargon des initiés, la collection s'adresse aussi bien aux universitaires qu'aux étudiants comme aux plus néophytes. Agrémenté d'annexes (glossaire, index, courtes biographies, dates clés), cet ouvrage offre une véritable introduction à l'histoire de l'art et une synthèse claire et précise du mouvement impressionniste. James H. Rubin est professeur d'histoire de l'art à la State University of New York et spécialiste du XIXe siècle français..."
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« Dans cet hôtel, il doit y avoir plusieurs centaines de chambres. Entre le hall et celle que j'occupe, j'ai compté pas moins de vingt-cinq portes. Mais ce nombre est variable, tantôt supérieur, tantôt inférieur. Sans parler de tous ces escaliers et de tous ces couloirs dont on ne voit jamais le bout. Qu'importe, une vingtaine de chambres noires suffisent amplement à les noyer dans le doute et à m'accorder un sursis, une chance de plonger à terre et d'ouvrir le feu le premier. »
En attendant ses démons pour le règlement de compte final, le narrateur échappe à ses cauchemars en s'immergeant dans des fragments de séries noires imaginaires.
Après ces deux chefs-d'oeuvre du roman graphique que sont La Cage et L'Enquêteur, Martin Vaughn-James nous emmène dans un troisième labyrinthe. À travers une fine et dense succession d'images et de mots, il nous plonge dans la mémoire onirique de nos propres chambres noires.
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Saint-Hubert et la grande forêt
Guy Lemaire, Monique Noé, James Lohest, Christian Robinet
- Lannoo
- 15 Octobre 2013
- 9782873868314
La Grande Forêt de Saint-Hubert, une appellation qui concrétise un regroupement de dix communes avec un objectif commun, celui de répondre aux envies de ceux qui veulent découvrir, de manière on ne peut plus conviviale, une nature sauvage préservée mais aussi une histoire riche et passionnante, des produits de bouche mis en valeur par des chefs amoureux du terroir. Cette découverte fera de vous l'hôte privilégié d'une terre de légendes dont le confort des infrastructures se marie harmonieusement avec les trésors de la nature et des vielles pierres.