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Louise Marie Libert
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Sociologie de la bruxellitude ; les « chochetés »
Louise-Marie Libert
- 180° Editions
- 6 Juillet 2005
- 9782930427539
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De Néron à Paul VI, de Jeanne d'Arc à Anastasia, du tsar Dimitri à Sébastien du Portugal, ils furent nombreux après leur mort à faire naître l'espérance de leur survie car les circonstances de leur disparition laissaient planer un doute.
Saviez-vous que...
- Néron ne fut pas aussi honni que le veut l'Histoire et que ses partisans voulurent croire qu'il ne s'était pas suicidé ?
- le célèbre opéra «Boris Godounov» se bas sur des faits historiques réels liés à la fantastique histoire du faux Dimitri et du faux, faux Dimitri ?
- le mystère des Enfants d'Edouard V qui réapparurent sous divers personnages ne trouva sa solution que plusieurs décennies après leur disparition à la Tour de Londres ?
- le retour du Roi du Portugal, Sébastien Ier, disparu en 1578, nourrissait encore les espoirs messianiques des esclaves noirs et des métisses du Brésil au début du XXe siècle ?
- le très fameux Naundorff n'était qu'un des très nombreux faux Louis XVII ? Ou encore que sa soeur, seule survivante, fut peut-être toute sa vie cachée sous le nom de princesse des Ténèbres, alors qu'une autre femme poursuivait à sa place un destin tragique ?
- certains sont persuadés que Paul VI a été remplacé par un sosie ?
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Les plus mauvaises mères de l'histoire
Louise-Marie Libert
- La Boite A Pandore
- Les +
- 26 Juin 2014
- 9782875570888
De l'ambiguë Agrippine, mère haineuse de Néron, à Ma Barker, célèbre chef de gang américaine à l'époque de la prohibition, de la flamboyante Aliénor d'Aquitaine qui dressa Richard Coeur de Lion et ses frères contre leur père Henri II d'Angleterre, à la médiocre Athanaïse Claudel qui, sans le moindre état d'âme, condamna sa fille Camille, artiste trop libre à son gré, à une atroce et mortelle réclusion dans un asile d'aliénés, elles sont nombreuses ces mères sans scrupules et sans coeur , ces mères abusives. Leurs histoires s'écrivent dans le sang et les larmes. Le sang du massacre de la Saint-Barthélemy qui souilla Charles IX mais qu'avait causé la politique indécise de Catherine de Médicis, le sang des enfants princiers ottomans éliminés impitoyablement par la séduisante Roxelane, aimée de Soliman. parce qu'ils entravaient le désir de l'ancienne esclave du harem d'imposer ses propres fils sur le trône d'Istanbul. Les larmes de Marie-Antoinette, comme celles de ses soeurs, mariées contre leur gré, encore enfants, pour assouvir l'ambition européenne tentaculaire de Marie-Thérèse d'Autriche, les larmes refoulées de Louis XIII, le timide, bafoué en public par une Marie de Médicis, mère castratrice.. Et que dire de ces malheureux princes et princesse sommés d'assurer la continuité d'une dynastie et qui, jusque dans l'alcôve, n'avaient pas droit à un peu d'intime chaleur. Blanche de Castille représente l''exemple le plus connu de cette intrusion indiscrète voire inquisitrice dans la vie sentimentale d'un fils. Saint Louis, les chroniqueurs le rapportent, devait user de mille ruses pour rencontrer son épouse en secret. Toutes ces mères abusives ne savaient pas aimer ...Mais elles-mêmes, dans leur enfance, avaient-elles connu un sort enviable ? Est-il possible de donner de l'amour quand on ne l'a jamais reçu en partage ?
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Dames de pouvoir ; régentes et gouvernantes des anciens Pays-Bas
Louise-Marie Libert
- Editions Racine
- Les Racines De L'histoire
- 20 Juin 2005
- 9782873864033
Le but de ce livre n'est pas d'être une nouvelle version de l'histoire des anciens Pays-Bas, mais bien de retracer la vie de quelques femmes exceptionnelles qui se virent confier le destin de nos provinces sous l'Ancien Régime. Apparentées aux rois d'Espagne ou aux chefs de la Maison d'Autriche, les régentes exercèrent dans certains cas un pouvoir presque régalien. Leurs vies furent faites de coups d'éclat, de bravoure, de diplomatie et souvent de profonds déchirements entre leurs sentiments personnels et leur devoir. Certaines parmi les régentes sont de vraies " européennes ". Nous rencontrons autour d'elles des mères, des belles-mères, des tantes et des soeurs souvent influentes mais de cultures très diverses. Si elle ne porta jamais officiellement le titre de régente, Marguerite d'York, princesse anglaise, sut se battre aux côtés de Marie de Bourgogne. Marguerite d'Autriche fut élevée en France par Anne de Beaujeu, fille de Louis XI, avant de devenir la bru d'Isabelle la Catholique, la puissante réunificatrice de l'Espagne. En Savoie, elle prit définitivement goût au pouvoir. Un tumultueux passé italien avait marqué Marguerite de Parme avant qu'elle ne prenne en mains les rênes du pouvoir aux Pays-Bas. À la cour de Vienne, Marie-Thérèse d'Autriche avait veillé d'un regard attentif sur l'éducation très polyvalente donnée à sa fille Marie-Christine, dernière régente des anciens Pays-Bas.
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Histoire de sorciers et de sorcieres sous l'ancien regime
Libert Louise-Marie
- Jourdan
- 29 Août 2019
- 9782874665806
Deux types de procès de sorcellerie existent : d'abord ceux qui, par des bûchers, mettent un terme à des mouvements d'hystérie populaire de masse, souvent engendrés par des famines ou des guerres interminables. D'une toute autre nature sont les procès « pour sorcellerie » impliquant des grands personnages, qu'ils soient innocents, comme Jeanne d'Arc, ou coupables, comme Gilles de Rais, la comtesse Báthory ou la marquise de Brinvilliers, qui ont pactisé avec le Diable.
Découvrez les plus ignobles procès de sorcellerie restés confidentiels dans la grande Histoire, les châtiments les plus extrêmes et des témoignages hallucinants.
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Les amours de nos souverains ont déjà fait couler beaucoup d'encre?: maitresses, épouses répudiées, mariages morganatiques, impuissance et peine à offrir à la couronne son héritier tant attendu...
Dans cet ouvrage, Marie-Louise Vandehove se penche sur les amours interdites et... homosexuelles des grands souverains de l'Histoire.
Des pharaons à Soliman le Magnifique en passant par les Grecs, les Romains et les empereurs chinois, s'appuyant sur des textes de l'époque, elle dévoile l'intimité des grands noms de l'Histoire.
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À l'heure où la communauté LGBT (lesbiennes-gays-bisexuels-transgenres) est de plus en plus représentée dans la littérature, l'historienne Louise-Marie Vandenhove dresse le portrait des grandes et moins grandes figures du lesbianisme et de la bisexualité féminine. Dans ce livre, découvrez :
Enheduanna, la prêtresse lesbienne et puissante, bien avant Sappho.
Sappho, la «?fondatrice?».
Les Spartiates, mi-hommes, mi-femmes.
Des Romaines « sans la moindre pudeur » selon les auteurs misogynes.
L'opinion des théologiens sur la différence entre « saphiques et sodomites ».
L'accusation de sorcellerie.
Les Béguines, moniales mystiques : des femmes « sans homme ».
Soeur Benedetta Carlini, un cas intéressant.
Hildegarde de Bingen, une jeune none canonisée par Rome et folle d'une autre jeune nonne.
Catherine de Médicis et son escadron volant.
Christine de Suède.
Catarine de Erauso, qui se déguise en homme pour séduire une jeune fille.
Les auteures licencieuses et les intellectuelles.
Marie-Antoinette, le lesbianisme comme insulte.
Marie-Caroline de Naples, une simple provocation parmi tant d'autres.
Marie-Christine et Isabelle de Bourbon-Parme, sexe ou tendresse.
Le XIXe siècle : la lutte contre l'hypocrisie bourgeoise.
Les artistes comme Rosa Bonheur, Georges Sand,...
Les aventurières : exploratrices du monde, rencontres avec d'autres cultures.
Les pionnières sociales (Florence Nightingale).
Les écrivains (Virginia Woolf, Colette, Marguerite Yourcenar).
Le monde des arts (Loïe Fuller, Gertrude Stein, Frida Kahlo).
Le monde du cinéma.
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Elles sont philosophes, écrivaines, poétesses ou scientifiques, mais est-ce parce qu'elles sont des femmes que l'Histoire n'a pas retenu leur nom??
De Mechtilde de Magdebourg à Mathilde de Toscane en passant par Catherine de Sienne, les béguines ou encore Esclarmonde de Foix, aucune de ces dames n'a été spectatrice du monde dans lequel elles évoluaient, toutes ont réussi, à leur manière, à le changer.
Louise-Marie Libert dresse les portraits de ces femmes, grandes intellectuelles du Moyen Âge, une époque durant laquelle la gent féminine n'avait en général accès qu'à des métiers manuels ou artisanaux.
Un ouvrage dans lequel se mêlent la petite histoire et la grande, des destins singuliers avec d'importants courants de la pensée de l'époque.
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