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L'Age D'Homme
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Un crayon pour des acrobates
Lucien Noullez
- L'Age D'Homme
- Contemporains L'age D'homme
- 17 Mars 2006
- 9782825136492
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Une vie sous la langue ; journal 2001-2002
Lucien Noullez
- L'Age D'Homme
- 16 Septembre 2009
- 9782825139202
Pourquoi publier son journal?
Si le poème est une main tendue par un aveugle, et le roman un fleuve où chacun va chercher son eau, le journal, qui est bien plus une pratique qu'un genre littéraire, en dit peut-être moins sur celui qui l'écrit que sur ses lecteurs. Le journal, c'est un miroir brisé. Chacun peut s'y reconnaitre ou non, selon les fragments, les dates, les humeurs, les gouts, les obsessions et les libertés de l'auteur. Car, ici comme dans tous les autres livres, c'est du lecteur qu'il s'agit, ce lecteur quelquefois ébloui par le miraculeux surgissement d'une connivence.
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Dans ce récit, le poète Lucien Noullez décline avant tout son amour de la musique.
Le violon qu'il posséda longtemps s'est un jour envolé pour le Japon. Mais cet instrument de belle qualité a cohabité pendant de nombreuses années avec un autre violon, que le grand-père du narrateur avait ramené du Front de l'Yser en 1918. L'Erable au coeur raconte tour à tour une enfance bruxelloise des années soixante et l'hallucinante aventure d'un jeune gendarme de la Grande guerre, qui dut sa survie à l'amitié, à un cheval et à la musique.
Ces pages, qui passent librement de l'autobiographie au roman, sont tantôt drôles, tantôt frémissantes. Elles feront voyager le lecteur de la Belgique à la Charente, du présent au passé, de l'horreur à la musique. Les violons sont principalement construits en érable. Avec l'auteur, on ose croire, en lisant ce beau livre, que les guerres n'ôteront jamais l'érable au coeur des hommes.
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La veillee d'armes
Lucien Noullez
- L'Age D'Homme
- Contemporains L'age D'homme
- 24 Février 1997
- 9782825105870
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On trouve, dans l'ancien quartier portuaire de Bruxelles, près du Quai au Foin, une minuscule venelle : l'Impasse des Matelots. Mais quelles sont les vraies impasses qui peuvent arrêter le regard des marins, des rêveurs et de ceux que rassemble l'espérance d'une vie plus large ?
Ces poèmes, écrits dans la vie, regardent flotter les matelots des villes et des mers. Ils cabotent. Ils tentent d'aller au large. Ils sombrent quelquefois. Ils rejoindront, je l'espère, les simples chercheurs d'allégresse." (Lucien Noullez)
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