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Mars
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Première année de l'apprentissage du grec ancien Textes, exploitation grammaticale et étymologie Eléments de morphologie Lexique de base Ce manuel invite à un voyage. Sur les traces d'Ulysse. Au coeur du grec ancien, au coeur de sa présence aujourd'hui. Il invite à suivre un périple dont les étapes intriguent toujours, pour découvrir la beauté et l'actualité du grec. Dans ce cours, qui se veut actuel et dynamique, les bases de la langue grecque sont abordées avec rigueur et précision, à travers différents textes d'Apollodore, auteur qui permet d'insérer la mythologie au centre des apprentissages. La découverte de chaque texte permet d'observer et de comprendre les phénomènes linguistiques et phonétiques de base et s'accompagne d'exercices et d'une synthèse. A côté de la découverte de la langue, chaque étape, presque systématiquement, comporte des rubriques qui s'inspirent du contenu du texte pour proposer une ouverture à l'art et plus spécialement à la peinture, unse séquence consacrée à l'étymologie, un petit texte en grec moderne et une activité à la fois lusique et logique. Que ce voyage sur les traces d'Ulysse soit plein de joies, de péripéties et de découvertes...
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LES TROIS CADRANS DE LA BEAUTÉ
KATKAKIS, FÉLIX, MARS, MARIE-BERNADETTE
- EDITIONS NAMUROISES
- 23 Novembre 2019
- 9782875510945
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L'HOMME QUI VOULAIT OUBLIER LE BOIS DU CAZIER
MARS, MARIE-BERNADETTE
- LAMIROY
- OPUSCULE
- 17 Mars 2023
- 9782875958204
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Max et Lili veulent tout tout de suite !
Dominique de Saint-Mars
- Calligram
- Ainsi Va La Vie
- 24 Janvier 2005
- 9782884455589
Max veut absolument des nouvelles baskets, un jeu pour sa console, du chocolat. Il exige, il négocie sans fin, il pique des crises ! Lili a une autre stratégie pour parvenir à ses fins. Cette histoire de Max et Lili sur l'impatience, fait comprendre que, dans la réalité, tout n'est pas possible tout le temps... Le besoin de tout posséder est un vilain tyran qui rend jaloux, colérique et malheureux... Il faut apprendre à surmonter certaines frustrations... Et ce n'est pas parce qu'on nous ça, qu'on ne nous aime pas.
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Au palais de Mycènes, Clytemnestre côtoie tous les jours Kilissa, une esclave qui vit dans l'ombre. Leurs voix, leurs yeux, leurs regards se croisent et se répondent. Entre les deux femmes qui vivent dans un contexte de guerre, de séparation, d'injustice et de désespoir, la reconnaissance des sentiments et la compréhension se faufilent. Au-delà des personnages antiques, les interrogations, les douleurs, les joies et la recherche de justice ont des accents intemporels.
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Rhapsodie où les thèmes s'enchaînent, libres et fantasques, ce texte crée peu à peu un univers romanesque. Une histoire d'amour peu conventionnelle. Des femmes afghanes qui crient leur détresse dans de brefs poèmes. Des rues arpentées pour trouver un logement. Des textes anciens qui revivent. Un matin pluvieux devant la gare du Nord. Les fresques de Sashia Hasseini. Des bouddhas gisant sur le sol...
De 2016 à la prise de Kaboul par les talibans, un roman intense qui inscrit une relation intime dans la littérature, le cinéma, l'histoire... -
La brièveté, l'intensité, l'éphémère qui caractérisent la nouvelle en font un genre littéraire prisé par les uns, délaissé par d'autres. Ce choix d'écriture s'est imposé pour évoquer les rencontres avec des migrants, chaleureuses mais ponctuelles, conviviales mais vouées à l'éphémère. Dans une perspective plus large, chaque nouvelle évoque des personnes qui, au cours des siècles, au cours des guerres, depuis l'antiquité jusqu'à aujourd'hui, ont tout laissé derrière elles pour s'en aller vers un autre horizon.
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Sacro Monte, pour un lecteur distrait, est une ode au mauvais goût. C'est Stendhal en Italie, saisi de vertiges et d'hallucinations par l'excès des visions fantasmagoriques de décors de fêtes foraines et de processions chamarrées. Le Sacro Monte de Varallo, dans le Piémont, devait plonger le bon chrétien dans les extases du pèlerin au Golgotha, voyage en Orient rendu trop périlleux par l'Empire Ottoman qui régnait alors en terre sainte : on reconstitua le mont en des lieux moins hostiles, comme on bâtit encore partout des grottes de Lourdes, pour les jambes fatiguées des fidèles trop âgés.
Les 800 statues de bois et terre cuite polychromes, grandeur nature, retracent le drame de la vie, la passion, la mort et la résurrection du Christ, dans un milieu recouvert de fresques et envahi de rondes-bosses. Le choc esthétique n'est pas toujours un coup de foudre. C'est un événement qui peut surgir sans fracas, d'un détail qu'on n'avait jamais vu, qu'on n'aurait même jamais songé à regarder.
Les cloisons du bon goût nous en détournent. On sait d'avance ce qui est beau, qu'on oppose au vulgaire. Un goût bien formé se méfie des éclats, du brillant, des dorures, des puérilités de l'imitation, de tout ce fatras diapré qui plaît à la canaille. Heureusement, celui qu'un détail saisit, d'une faïence ou d'une volute, est pris dans une errance esthétique qui n'a plus de limite, il voit à nouveau tout ce que soustrayait le bon goût, et le vertige est partout.
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Qui a besoin d'une théorie du dessin ? A priori, personne : dessiner semble être l'activité la plus libérée de toute contrainte qui soit. Et pourtant, notre histoire est jalonnée - depuis que le dessin s'est constitué en acte singulier, distinct, dans l'Histoire Naturelle de Pline - de ces théories du dessin qui sont aussi inextricablement liées aux théories des couleurs qu'elles sont séparées d'elles par ce dialogue lui-même. Comprendre les certitudes métaphysiques, les visions anthropologiques qui ont gouverné ces théories, c'est ce qui permettra d'éclairer ce que signifie dessiner quand on fait sauter le dernier maillon d'une lourde chaîne platonicienne : celle qui tient encore le dessin prisonnier de vieux mirages philosophiques
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L.L. de Mars nous revient avec un récit d'espionnage épistémologique d'historien de l'art. Il tente d'aborder la question iconographique par le dessin lui-même, sans recourir à un autre registre de langage, si tant est que le dessin puisse être considéré comme un langage. Le langage étant cognitif avant d'être communicatif, il peut. Gwladys Le Cuff est historienne de l'art. Elle s'empare du travail épistémologique en dessins de L.L. de Mars et en fait son objet d'étude, faisant à son tour oeuvre d'oeuvre. Elle livre ainsi une lecture de cette pierre de Rosette. L.L. de Mars s'empare de ce décryptage et le corrige en rouge, rageusement. Un appareil critique de l'appareil critique de l'appareil critique égare le lecteur, le renvoyant du trait au texte puis du texte au trait, comme on ne peut penser simultanément le texte et l'image. C'est dans ce mouvement seulement que se livre l'oeuvre cryptique décryptée recryptée.
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On considère ce qu'on voit, dans une bande dessinée, dans une double évidence : l'image ne laisserait rien échapper à notre regard, elle serait toute entière affirmation d'elle-même ; et l'image serait rendue plus évidente encore par le récit, dont elle ne serait que le contexte. Mais si le fait même de regarder devenait l'objet d'un récit ? S'il n'y était question que des rapports entre différents moments du regards, différentes façons de regarder, différents angles de vues ? et si cette question prenait son sens dans des questions politiques, celles par lesquelles un monde, une nation, une cité, se construit précisément en donnant à voir uniquement certains points de vue et en les appelant "réalité" ? Dans le chaos apparent des images de ce livre se dessine une forme d'éducation au regard, au discernement, à la conscience rénovée de la puissance politique des images.
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Léa ignore pourquoi sa grand-mère Stamatia, d'origine grecque, n'a jamais parlé de son passé. En fin de vie, Stamatia demande à Léa d'effectuer à sa place le voyage aux Zagoria où elle n'est jamais retournée. Avec en toile de fond la guerre civile et la dictature des Colonels en Grèce, ce roman inscrit une relation familiale dans l'histoire. Il évoque la marge de liberté de femmes face à l'oppression, l'importance de la transmission par les mots, par l'histoire, par la photo.
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Petits entretiens de la vie privee. experience quotidienne sur le web
Grandjean, Lobet-Mar
- Presses Universitaires de Namur
- 20 Mai 2016
- 9782870379233
Vivre et agir sur Internet demande de s'y dévoiler dans ses opinions, ses goûts et ses comportements . C'est à ce prix que nous existons sur les réseaux sociaux. Est-ce pour autant la fin de la vie privée? En se focalisant sur l'idée alarmiste que la vie privée disparaît, nous oublions de nous poser les questions politiques essentielles de ce qui est en train de disparaître, et de ce que nous devons reconfigurer pour préserver notre vivre ensemble et notre développement personnel.
Loin des injonctions simplistes invitant chacun d'entre nous dans un combat d'arrière garde à protéger ses données personnelles, ce livre apporte un éclairage essentiel sur ce qu'il nous arrive, mais aussi des réponses pragmatiques pour tracer les voies d'une 'bonne vie' sur Internet dans le respect des personnes et de la démocratie.
L'ouvrage est basé sur une série d'entretiens d'experts de différents domaines, de fins observateurs de la vie digitale. Chacun apporte un angle d'analyse, une manière d'envisager la société actuelle, sans langue de bois. Les différents points de vue permettent au lecteur de retrouver des prises pour comprendre le monde digital, mieux s'y repérer, et dès lors, développer d'avantage de capacités d'action.
Experts interrogés : Serge Abiteboul (ingénieur), Pierre-Antoine Chardel (philosophe), Jean-Michel Cornu (ingénieur), Dominique Desjeux (anthropologue), Nicole Dewandre (ingénieure, philosophe), Cécile de Terwangne (juriste), Fanny Georges (sciences de la communication), Nathalie Grandjean (philosophe), Daniel Kaplan (économiste, sciences politiques), Claire Lobet-Maris (sociologue), Jean-Marc Manach (journaliste), Antoinette Rouvroy (juriste, philosophe), Serge Tisseron (psychanalyste, psychiatre), Sophie Vulliet-Tavernier (juriste, sciences politiques, sciences de l'information).
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La langue dans la cité ; vivre et penser l'équilibre culturelle
Klinkenberg Jean-Mar
- IMPRESSIONS NOUVELLES
- Reflexions Faites
- 6 Mars 2015
- 9782874492433
La langue ne serait-elle qu'un sujet propre à intéresser des esthètes désoeuvrés, des puristes sourcilleux ou d'aimables cruciverbistes ? Non, car c'est à travers elle que nous appréhendons le monde et que nous nous intégrons à la collectivité. C'est à travers elle que le pouvoir se donne ou se refuse : dans un monde où communiquer est capital, régner sur elle représente un enjeu de taille. Et à l'ère du numérique, la langue est aussi un riche gisement économique. À côté des politiques de la santé ou de l'environnement, nos sociétés démocratiques doivent donc inventer une politique de la langue, dont les objets sont nombreux : droits de l'usager à l'égard d'institutions publiques qui ne semblent pas faites pour lui ; droit du travailleur à travailler dans sa langue ; protection du consommateur face aux produits standardisés ; intégration des populations migrantes... Ce nouveau livre de Jean-Marie Klinkenberg place nos langues - et spécialement le français - au coeur d'une réflexion sur les communications et les relations humaines dans le monde d'aujourd'hui. Il énonce avec brio et clarté les principes d'une politique linguistique visant la justice et l'équité, en proclamant que la langue est faite pour le citoyen, et non le citoyen pour la langue.
Professeur émérite de l'Université de Liège, Jean-Marie Klinkenberg y a enseigné les sciences du langage. Ses livres, et ceux du Groupe
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Le jour où j'ai réussi ma vie
Nicolas De Mar-Vivo
- Elements De Langage
- 2 Septembre 2016
- 9782930710105
Le Jour où j'ai réussi ma vie est le nouvel O.L.N.I. (Objet littéraire non identifié) des éditions éléments de langage. Un roman, bref et incisif, qui a pris la forme d'une fable postmoderne. Le discours de management en est le héros. On y suivra la mue d'un certain Renard, ancien contorsionniste licencié pour manque de flexibilité, qui va se reconvertir en coach de vie et devenir le Guide éclairé des foules en quête de mieux-être. L'histoire d'un succès contagieux.
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Tout le monde veut connaître le Secret. La méfiance règne. Accéder au Secret relève de l'ascension sociale. Changer de condition sociale donne accès au Secret, le Secret conforte ce changement de condition sociale. Conserver le Secret assoit le pouvoir de son détenteur et le maintient dans sa position de domination. Gilles, nouvellement coopté dans la confrérie des détenteurs du Secret, fait son apprentissage dans la sphère très fermée de ce club de privilégiés, inaccessible au commun des mortels. Il découvre les mécanismes qui sous-tendent la violence dans les rapports sociaux. L'un des membres de cette corporation d'élus l'exprime simplement : Il n'y a pas de fortune sur Terre qui pousse sur autre chose que des corps d'infortunés.
Le Secret incarne la part ésotérique de la lutte des classes. Le coopté est transfiguré, s'animalise, devient irreconnaissable aux yeux de ses anciens congénères de basse extraction. Le secret est une drogue qui ne drogue que les autres. Se pourrait-il que nous, pauvres diables de lecteur, nous puissions avoir accès au Secret grâce à ce livre ?
L.L. de Mars signe ici une fable/farce politico-sociale féroce, et fait la part belle à l'expressivité picturale de son dessin en tirant parti de toutes les possibilités expressives de sa discipline pour rendre la violence et la cruauté de son récit : collages, encres, crayons, pastels dans une explosion de couleurs, de matières et une mise en page décomplexée. Les cases se décloisonnent, les visages s'estompent, la couleur et les figures circulent librement dans les planches et se contaminent.
Les cases se décloisonnent, les visages s'estompent, la couleur et les figures circulent librement dans les planches et se contaminent.
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En 44 pages d'un noir et blanc implacable et saisissant, L.L. de Mars nous relate la plus terrible des Histoires, la plus juste aussi, celle qui vit l'émergence du pouvoir qui nous submerge aujourd'hui. Pour ce faire, Docilités entrecroise les récits en une exigeante et subtile conjonction :
Une histoire de la famille Waltz, dont les générations se succèdent aux fourneaux Mesilor en autant de rituels meurtriers ; une histoire des images, par lesquelles nous aurions pu nous croire payés de profondeur dans les fresques du Palazzo Pubblico de Sienne, mais dont le vrai sacre triomphe au XXIe siècle à Disneyland ; une histoire des consciences, qui s'ouvre sur un choix tutélaire désastreux dont nous ne finissons pas de subir les conséquences ; une histoire des corps enfin, représentés, analysés, dressés et saignés. Au coeur d'un désarroi si profond que même nos morts en sont la proie, réside néanmoins une parcelle d'espoir :
Que chacun reprenne sur le champ possession de sa vie. Mais cela nous est-il, aujourd'hui, encore possible ?
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Ce sont 32 pages appelées Judex. Judex comme matrice, comme matrice à faire des choses dites « choses de Judex ». De la machinerie Judex, faire des Judex.
L.L de Mars a dessiné 32 pages muettes, et invité plusieurs auteurs à ré-agencer ces planches et à combler les phylac-tères vides pour constituer un récit. Cette démarche s'inscrit dans les pratiques poétiques à contrainte, comme celles qui animent l'OuBaPo ou qui adviennent dans le cadre du festi-val Pierre Feuille Ciseaux auquel L.L de Mars a participé plusieurs fois. Les propositions des contributeurs qui ont accepté de jouer le jeu relèvent du récit purement narratif, du discours poétique, du détournement ou de la parodie.
Toutes les histoires nées de la matrice Judex sont auto-nomes, et peuvent être présentées séparément ou concerter en pialant.
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Le sentier des Zagoria : version théâtrale
Marie-Bernadette Mars
- Academia
- Litterature
- 23 Septembre 2024
- 9782806137753
Une région sauvage et montagneuse du nord de la Grèce. Un choeur composé de trois femmes dont la vie est bouleversée par la guerre civile, puis par la dictature des colonels. Léa, la petite-fille qui cherche à connaître le passé de sa grand-mère et part pour les Zagoria.
Version théâtrale du roman L'échelle des Zagoria, ce texte parle de résistance et de liberté. Il inscrit un récit d'amitié et d'audace dans l'histoire européenne du XXe siècle. -
À l'origine, les chapitres LV et LVI du Quart Livre de Rabelais.
Un bateau, une tempête, des paroles en l'air qui tombent sur l'équipage alors que ceux qui les ont prononcées ont disparu depuis longtemps. Soit le miracle de la lecture.
Un livre, un regard, une voix qui resurgit et des poèmes-idéogrammes qui fondent dans le creux de vos mains, sous votre langue.
Polygraphe européen d'origine française, Nicolas de Mar-Vivo vit, lit, écrit à Bruxelles.
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Cyrano - qui fut tout et qui ne fut rien
Apostolides Jean-Mar
- IMPRESSIONS NOUVELLES
- Reflexions Faites
- 1 Janvier 2006
- 9782874490071
" Depuis sa création en 1897, Cyrano de Bergerac connaît un immense succès.
Il existe en France une telle affinité entre ce personnage littéraire et le caractère national qu'on peut parler d'un véritable complexe de Cyrano. Qu'est-ce qui explique la fascination du public pour le héros d'Edmond Rostand ? Son nez légendaire, source de fierté et parfois de honte ? Sa liberté d'esprit ? Son goût des formules à l'emporte-pièce ? Son courage devant le danger ? L'amour désespéré qu'il voue à la belle Roxane ? Le pacte secret qui le lie à Christian ? Tous ces éléments forment sans doute les ingrédients d'un succès populaire jamais démenti.
Reste à expliquer le mécanisme par lequel le spectateur se trouve émotionnellement tenu jusqu'au dernier acte, quand le héros passe aux aveux complets. oeuvre de réconciliation, cette comédie héroïque panse les plaies d'une France affaiblie, en proie à la mélancolie et au doute. Grâce à une fiction généreuse, elle vient réconforter un orgueil national que les divisions internes et la défaite extérieure ont sérieusement écorné depuis 1870.
Au-delà des circonstances particulières qui ont accompagné sa création, elle présente une homologie étonnante entre sa structure profonde et les fondements imaginaires de la nation. C'est ce que notre analyse, à la fois littéraire et politique, permet de mettre au jour : les raisons inconscientes qui fondent le désir d'un destin commun. Au moment où, en France, le doute quant à l'avenir de la nation gagne les esprits, la compréhension de Cyrano de Bergerac peut apporter quelque lumière sur les bases imaginaires autour desquelles s'est édifié le sentiment d'appartenance collective, "l'enveloppe" nationale.
" J.M.A.
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Présentation du travail de recherche effectué pendant plus de vingt ans par J.-M. Apostolidès sur le personnage de Tintin : quelles pouvaient être ses origines, sa famille, ses opinions politiques... en utilisant les ressources de la critique littéraire, de la sémantique ou de la psychanalyse.