Filtrer
Langues
Prix
Nicolas Ancion
-
Si un jour on m'avait dit que j'allais lire Le livre le plus nul de la bibliothèque, je n'y aurais pas cru et j'aurais tout de suite demandé : « Il y a combien de pages, Madame ? ». Puis j'aurais demandé de quoi ça parlait. Elle aurait été bien embêtée, la prof, parce que dans ce livre, justement, il n'y a pas une histoire, mais plusieurs. Et qu'elles ne sont pas toujours faciles à résumer. Heureusement, la plupart sont très courtes. Et certaines sont moins nulles que les autres. Ou le contraire. À vous de juger. Un recueil de textes courts, conçu spécialement pour ceux qui n'aiment pas lire, pour y goûter à petite dose, et se dire qu'après tout... c'est sympa la lecture.
-
Jeune ado un peu enrobé, Léo a reçu pour consigne de son médecin de faire du sport. Chaque matin, il fait donc son jogging bon gré mal gré. Mais un jour, tout ne se passe pas comme prévu : un terrible chien aux yeux rouges le poursuit et il est frappé par la foudre dans la chapelle abandonnée où il a trouvé refuge. À son réveil, l'adolescent doit faire face à des choses très étranges: les lieux ne sont plus les mêmes, les gens qu'il rencontre sont habillés comme des paysans et le prennent pour le Malin...
Se pourrait-il qu'il ait été projeté dans le passé ? -
Une bande d'amis, les soirées, les couples qui se forment, l'alcool, le tabac, les rencontres. Il y a Frank qui se noie dans la fête, l'alcool, les pilules et la violence des fins de soirée quand la réalité est déformée par tant d'excès. Léa, son amoureuse, qui voudrait bien autre chose comme relation. Erik, un jeune qui s'engage, qui milite, qui a des idées... il parle parle parle, se révolte, s'exprime, se mobilise jusqu'à s'apercevoir qu'il n'écoute pas les autres. Il y a celle qui se cache derrière un pseudonyme, un profil facebook, des relations virtuelles. Et il y a l'amie qui décède inopinément.
Et ce décès (en réalité une rupture d'anévrisme) agit comme un électrochoc pour tous ces jeunes qui partent un peu, beaucoup, à la dérive. C'est le moment de s'interroger sur leurs pratiques, sur leurs repères.
-
Résumé :
Miguel mène une vie paisible à Carcassonne, dans le Sud-Ouest de la France. Il aime les vieux livres et le bon vin. Courir aussi. Longtemps. Mais voilà qu'un jour, il reçoit une lettre étrange : à condition de retrouver sa cousine à New-York, il pourrait faire un très gros héritage. Sans réfléchir, Miguel se lance dans l'aventure. Il n'est pas au bout de ses surprises...
Pour les apprenants de niveau A2, un roman noir, énergique et plein d'humour, par l'auteur de La Cravate de Simenon.
Voir un extrait : https://bit.ly/3MbArKs LA COLLECTION MONDES EN VF Des romans pour le plaisir de lire en français dès le niveau A1 Ses atouts :Accéder facilement à la lecture en français ;Prendre plaisir à lire des textes littéraires contemporains originaux et variés : polar, théâtre, nouvelles, etc.S'ouvrir à l'interculturel francophone : Belgique, Congo, Grèce, France, Cameroun, Tunisie, Suisse, Québec...Prolonger l'expérience de lecture avec les audios de l'ouvrage ;Animer la classe avec des fiches de compréhension et des ateliers d'écriture disponibles gratuitement sur le site www.mondesenvf.com -
Les ours n'ont pas de probleme de parking ; le dortoir
Nicolas Ancion
- Espace Nord
- 3 Avril 2014
- 9782930646831
Avec son recueil de nouvelles Les Ours n'ont pas de problème de parking , Nicolas Ancion nous emmène dans sa Belgique natale, un monde fait d'ours en peluche conducteurs d'automobiles et de souvenirs d'enfance mélancoliques. Sur un ton ironique, on y croise des personnages fantaisistes et émouvants souvent perdus dans la société actuelle, tels Ugur, tête de turc de l'école qui rêve d'intégrer l'équipe de football, et Marc Dutroux, triste homonyme de l'assassin. Sans oublier les peluches détectives et les retraités à la vie aventureuse. Ces huit nouvelles retracent le parcours d'adultes et d'enfants dont les idéaux sont souvent irréalisables dans la société dans laquelle ils vivent, mais qui tentent tout de même de les atteindre avec l'humour comme arme principale.
-
Nous sommes tous des playmobiles
Nicolas Ancion
- Espace Nord
- Espace Nord
- 7 Septembre 2017
- 9782875682680
Bruxelles est une ville en plastique, comme le reste de la planète : on y voit courir des petits bonshommes dérisoires, emportés dans le courant de leur vie comme des bouteilles vides à la surface du canal. On rit, on se bat, on se débat, puis on se laisse aller et on se retrouve noyé dans la vase, sans avoir rien remarqué. A moins qu'un soubresaut ne change le cours des choses. Il suffit de presque rien : une tache de sauce, un appareil photo, une agrafeuse, un abri de jardin ou un paquet de cigarettes pour qu'une vie banale bascule dans la grande aventure, pour que l'absurde redonne des couleurs à une existence terne.
-
Il ne s'agit pas à proprement parlé d'un road-movie, mais le rythme effréné de cette histoire drôle et loufoque s'en approche délicieusement. Pour attirer l'attention sur les répercussions sociales désastreuses de la fermeture d'un haut fourneau qui conduira au licenciement de milliers d'ouvriers, Richard, un artiste un peu raté, son compagnon ouvrier Octavio, frappé de plein fouet par cette mesure, et un syndicaliste convaincu, kidnappent Lakshmi Mittal, un des industriels les plus riches du monde.
Au fil des aventures qu'ils lui feront subir, des situations surréalistes qu'ils lui imposent, Mittal devra répondre à une question : que vaut-il, lui, qui licencie des milliers de gens, les poussant vers la misère, aussi facilement qu'il change de boutons de manchette ?
-
L'homme qui refusait de mourir
Nicolas Ancion, Patrice Killoffer
- Dis Voir
- 9 Octobre 2010
- 9782914563574
Mourir est sans doute le plus grand souci des hommes et, en finir avec la mort l'un des objectifs les plus ambitieux de la science moderne. Cependant, si la biologie contemporaine est bien incapable aujourd'hui de répondre à des rêves si fantastiques, ces visions futuristes sont mises en scène dans des oeuvres de fiction qui n'hésitent pas à imaginer qu'un jour l'Humanité pourra poursuivre indéfiniment sa course. Quand l'homme défie la mort et impose à la science de trouver des solutions à ses projets d'immortalité, on entre de plain-pied dans cette zone obscure de l'imaginaire contemporain où les machines, la biologie et l'intelligence artificielle se combinent pour donner naissance à un homme nouveau. Et immortel ?
L'homme qui refusait de mourir est un conte à rebondissements de Nicolas Ancion qui s'inspire librement des recherches de François Taddéi sur le vieillissement des bactéries et la transmission du savoir dans la nature, depuis les unicellulaires jusqu'aux humains. Il utilise le questionnement scientifique comme moteur du récit et l'analogie comme roue de secours, quand le moteur est en panne. Les dessins de Patrice Killofer, mêlent les robots, les bactéries, les scientifiques et les intestins, pour aider la pensée à mieux circuler dans les tuyauteries de ce conte labyrinthique.
-
"« Nous sommes entrés en résistance. Nous avons pris les armes. Vos armes. Et nous allons les retourner contre vous. » Le photographe Bruno Wagner accepte, pour un magazine prestigieux, de réaliser un reportage sur l'Espagne ravagée par la crise économique. Il retrouve dans les ruines du capitalisme spéculatif les représentants d'une humanité à vif, lessivée par des années de précarité et de colère, animés d'une rage décuplée par les humiliations.
Le colonel Stadtler, lui, à la tête d'une unité des services secrets français, suit les traces d'un bioterroriste susceptible de déclencher une épidémie mortelle de masse. Entre paranoïa et crainte d'un massacre aveugle, il devra mettre à l'épreuve ses ressources et son intégrité afin d'éviter la catastrophe.
Nicolas Ancion nous livre ici un roman haletant, au carrefour des genres, pointant sous le thriller les rouages implacables de notre modernité."
-
Toujours ardent, enthousiaste, prêt à se lancer dans les plus folles aventures, le premier pape belge, Ernest Ier, est un héros moderne et dynamique dont les aventures palpitantes font rêver bien des jeunes filles. Et bien des jeunes hommes. Cette fois, cependant, le Pape semble s'être laissé entraîner trop loin. Son attitude insolite inquiète ses amis et bouleverse son confident, le Cardinal Vertupoint. Le Pape se voit soupçonné d'hypocrisie et même surveillé par la police. Et brusquement, alors que tout semble rentrer dans l'ordre, surgit la catastrophe : le Pape a disparu !
-
L'université Tels les miroirs déformants, valeurs sûres des attractions foraines, les histoires que raconte ici Nicolas Ancion jettent un regard décalé, inédit et hilarant sur la vie à l'université.
Un regard humoristique - toujours -, féroce et narquois - souvent -, mais surtout un regard vrai, profond et finalement indulgent sur un monde que l'auteur connaît particulièrement bien pour y avoir vécu comme étudiant et travaillé comme assistant.
À l'instar d'un David Lodge, Nicolas Ancion saisit avec justesse et subtilité ce « tout petit monde » qu'est l'université. Un moment, il fut question d'intituler ce recueil «Toute ressemblance avec...», tant l'auteur décortique au scalpel, avec une vraisemblance étonnante, les us et coutumes, traque les travers universitaires et se gausse de certaines situations typiquement académiques. Certes il s'amuse, force le trait, déforme la réalité... mais tout est «vrai». Qui ne se reconnaîtra pas un peu, beaucoup... dans ces descriptions - non censurées! - de la vie étudiante? Quel chercheur ne revivra pas en quelques lignes ses premiers pas dans les relations si complexes entre professeur et assistant? Qui ne se remémorera pas l'angoisse des examens?
Aux textes de Nicolas Ancion s'ajoutent les dessins de Pierre Kroll, autre fin chroniqueur à sa façon des moeurs universitaires, et des photos couronnées au terme d'un concours sur l'ULg inédite ou plus anciennes. L'ensemble compose ces tableaux successifs dont nous sommes, en définitive, les véritables héros ! Chacun y retrouvera une part de lui-même, de son histoire, de sa vie. En refermant le livre, chacun aura retrouvé sa, si pas ses, faculté(s)...
-
Depuis l'accident qui a totalement détruit le bus dans lequel il était, Joseph a mal à la tête. Et quelques méchants trous de mémoire:
Impossible de se souvenir d'où sort la boue qui macule le bas de son pyjama. Ni de ce qu'il fait en ce moment sur le boulevard, les bras chargés de courses, alors qu'il devrait être à l'école.
Joseph est presque possédé et son comportement surprend tout le monde... Il semblerait que Joseph ne soit plus seul dans sa tête.
-
Un monde crépusculaire sans cesse en transport quand vous, vous restez immobile ; continûment en travail quand vous, la fatigue vous auréole.
Et si la seule mouvance, l'unique labeur possibles prenaient consistance dans le sommeil... toute honte bue et colère assouvie ?
-
-
-
-
-