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Olivier Dombret
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Long poème en prose, hypnotique, lancinant, Notre mère la Montagne est une fable moderne qui traite du désir de fuir un monde devenu « mécanique » et froid. Échapper à tout ce qui nous oppresse, en cherchant dans la quête d'un ailleurs une forme de salut. Fuir la ville. Se diluer dans la nature, s'y laisser absorber. Mais attention, nulle nature bienveillante ou généreuse chez Olivier Dombret. Au contraire. Sa montagne, comme chez Daumal, exige l'oubli, l'abandon et la perte de soi. En somme, on y entre comme dans un rêve. Mais ce rêve ne s'arrête jamais, et le chemin ne fait que commencer.
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Trop de mensonges trop de mots perdus et d'examens de conscience trop de moi et trop de toi trop d'Ennui d'ennemis de besoins aussi je ne parviens jamais vraiment à comprendre ce qu'il se passe à l'intérieur et j'ignore même s'il existe une place pour moi en cet endroit terrible et froid mais je creuserai et je trouverai la Voie qui me mènera aux profondeurs de l'Âme parce que je suis bien plus fort que toi et après moi la Douleur et l'Ennui et la Peur profonde un Monde nouveau crois-moi.
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Des réunions secrètes, des débats, des conférences s'organisent depuis le 11 septembre 2006. Ce jour-là, surgit de la Toile : www.transere.com « Réactivez toute espérance vous qui entrez ».
Telle est la devise qui pourrait figurer sur les portes de cette Ville-Univers.
Trois factions se partagent le Monde : les Économistes, les Scientifiques et les Pacifistes. Une organisation transversale, le CC-Comité de Censure et de Suivi Social Contemporain - préfigure la naissance d'un système totalitaire. À travers une mission à première vue ordinaire, un homme prend conscience de sa condition.
L'Aventure de Daeron et de Catherine en-deçà du Miroir. Une aventure qui invite à un sursaut de Liberté...
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Dansent les ombres est un poème composé de quatre chants, retraçant le long chemin séparant les Ténèbres de la Lumière.
À travers la métaphore du jour qui s'écoule, c'est la symbolique de la vie qui s'expose. Ce «chemin de lumière», prenant racine au coeur de la masse informe formée par les ténèbres, sous la froide lumière de la lune, se fortifie à chaque étape, jusqu'au « climax » du jour, baigné par la lumière chaude du soleil. Mais le jour, comme la vie, ne dure qu'un temps. Et, inévitablement, après la réalisation totale du potentiel de lumière et d'énergie, potentiel de « vie », ne peut se produire qu'une régression, et un lent retour aux ténèbres, avant que le jour ne renaisse encore, neuf, en un cycle immuable.