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PINELLI
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Vingt-cinq images pour une histoire sans paroles... Le lundi 12 février 1934, à la suite des émeutes des ligues du 6 février, une gauche unie manifeste contre le danger fasciste. Ce jour-là, annonciateur du Front populaire, un peintre croise le regard d'une femme qu'il suit et dessine dans les mouvements de la ville. Mouffetard, Austerlitz, République, gare de l'Est, Ménilmontant... un malicieux jeu de séduction dans un Paris populaire en ébullition, au tournant de l'histoire.
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« Ce serait un crime de montrer les beaux côtés de la guerre, même s'il y en avait ».
« TAC ! TAC ! BAOUM ! BAOUM ! Les coups de fusils, la canonnade autour de moi. Partout ça crépite et ça roule, longues rafales et coups séparés. Sombre et flamboyant orage qui ne cesse jamais. Je suis enterré au fond d'un éternel champ de bataille. Depuis quinze mois, depuis mille cinq cents jours, du soir au matin sans repos, du matin au soir sans répit. La fusillade, le bombardement ne s'arrêtent pas. Comme le TIC-TAC des horloges de nos maisons, aux temps d'autrefois, dans le passé quasi légendaire. On n'entend que cela lorsqu'on écoute. TAC ! TAC ! BAOUM ! BAOUM ! ».
L'horreur de la Première Guerre mondiale transposée dans le camp ennemi, c'est ce que Joe Pinelli tente de nous faire toucher du doigt en adaptant du côté allemand Le Feu, d'Henri Barbusse, écrivain qui a servi dans les tranchées.
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Le récit très pictural d'une quête du paradis perdu. Précipité dans le bruit et la fureur d'un monde pressé de se meurtrir et de se détruire, Heinz le peintre nous conte son errance à la recherche d'une innocence à jamais broyée par la folie des hommes. Récit de voyage, chronique de guerre et manifeste esthétique, cette oeuvre inclassable résonne du chant de l'artiste brisé par la brutalité de son temps.
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Joe Egan est un type bizarre. Sympathique mais complètement affolé. Il passe sa vie à sauter dans des bus et des avions, perdre et gagner au poker, quitter les femmes qu'il aime. Bref, il se conduit comme un parfait cinglé ou comme quelqu'un qui aurait tout simplement la trouille. Bien sûr, il y a cette blonde vêtue de noir qui le suit partout depuis des années. Mais qui à part Joe Egan va croire que la mort existe et qu'elle porte un ciré noir?
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Caz roman un americain paysage
Joe g. Pinelli
- Six Pieds Sous Terre
- Blanche Six Pieds Sous Terre
- 11 Avril 2002
- 9782910431259
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Ça s'était même terminé avec l'arrivée des flics
venus séparer les invités qui allaient s'étriper au
yatagan, ils s'étaient mis, les imbéciles, à parler
politique, et c'est tant mieux si Eddy est complètement
ravagé, mais qu'est-ce qu'il lui a fait,
ce poisson, hein oe
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Une fiction politico-médicale qui ne va pas rassurer les plus paranoïaques.
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New York, 1946. Les rescapés de la vieille Europe affluent aux portes du Nouveau Monde avec leurs rêves de fortune et de paix. Mais Emilio ne fait pas partie de ceux-là. Il cherche simplement son frère.
Les rues de Little Italy défilent, les hommes se croisent. D'anciennes images écrasées de lumière surgissent. Des histoires de famille, d'amour et de vengeance.
Le roman de J.B. Pouy, illustré par Joe G. Pinelli, nous plonge dans la tragédie de ces deux frères, des plages de Sicile aux gratte-ciels de New York, cette nouvelle Babylone, enfer ou paradis, c'est selon.