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Patrick Maes
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Ligny 16 juin 1815 ; la dernière victoire de l'Empereur
Patrick Maes
- Memogrames
- Ares
- 30 Avril 2015
- 9782930698144
Le contexte historique : Ayant abdiqué le 6 avril 1814, après l'échec de la campagne de Russie, Napoléon est exilé sur l'île d'Elbe. Il en revient le 1er mars 1815, marche sur Paris et rétablit l'Empire. Débute la campagne des cent jours. Le 12 juin, Napoléon quitte Paris. Il a reformé son armée dans des délais prodigieusement courts et 124.000 hommes l'attendent à la frontière du royaume des Pays-Bas. Le 15 juin, la Grande Armée franchit la Sambre et atteint Charleroi. Le 16 juin, Français et Alliés s'affrontent à Ligny. Les combats sont féroces. Le Prussien Brucker tombe de cheval et échappe de peu aux soldats français. A 21 h.00, Napoléon est victorieux, pour la dernière fois, deux jours avant sa défaite de Waterloo. Ligny, petit village du Namurois, est entré dans l'Histoire ! Aujourd'hui, le musée de la bataille de Ligny, voulu par le S.I. Ligny et mis en oeuvre par l'Association belge Napoléonienne, est un remarquable lieu de mémoire où sont relatées, phase par phase, heure après heure, les batailles de Ligny et des Quatre- Bras. 8 salles, 40 vitrines, une multitude de cartes et maquettes permettent au visiteur de revivre la dernière victoire de Napoléon, deux jours avant Waterloo. Le Livre : coédité par le S.I. Ligny et les éditions Memogrames, le livre de Patrick Maes, Ligny 16 juin 1815, la dernière Victoire de l'Empereur, relate la bataille heure par heure. Dans sa réédition "collector" de 2015, pour le bicentenaire de la bataille, l'ouvrage de 104 pages - dont huit en couleur - au format 22 x 22 cm, sur papier glacé de 135 gr, est proposé sous couverture cartonnée et chaque exemplaire est numéroté. Une carte en couleur du champ de bataille, au format 40 x 60 cm, est insérée en fin d'ouvrage.
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Le reechantement social : enquete aupres des travailleurs sociaux a propos des besoins en formation
Patrick Maes
- Cefal
- Cefal Sup
- 15 Juin 2011
- 9782871302957
Le monde ne nous est plus donné, il est à construire, au départ de nos expériences singulières.
Aujourd'hui, il est moins question de « prendre sa place » que de « faire sa place ». Dans une société de l'information, il nous revient de gérer nos connexions, d'étendre nos réseaux et de nous mettre constamment en projet.
Ce monde a besoin d'un individu rompu au travail sur soi, capable de s'adapter à la diversité des situations, en constante recherche de nouvelles compétences et constructeur de son propre devenir.
C'est l'humain élevé au rang d'une mini entreprise, souple et adaptable, condamnée à grandir sous peine de périr.
Qu'en est-t-il des plus démunis, abandonnés sur les quais de ces nouvelles gares pour « TGV » ? Qu'en est-t-il de ceux qui, au moindre soubresaut, basculent de ces mêmes trains ? Disposons-nous tous des mêmes facultés à nous mettre sans cesse en mouvement, à nous auto-produire ?
Les diktats du « travail sur soi », les injonctions à leur sur-implication ne produisent-ils pas parfois une certaine « fatigue d'être soi » ?
Dans un tel contexte, comment envisager le rôle de l'État ? Comment devrait-il accompagner ce mouvement, inéluctable, tout en oeuvrant à sécuriser ces parcours personnels et professionnels parsemés de catastrophes ordinaires ?
Quant aux travailleurs sociaux ? Ce livre tente de tracer les lignes de force et les logiques publiques qui animent le champ du travail social. Son objet est de comprendre l'impact qu'elles génèrent auprès de ces constructions et étudie les besoins et attentes de ces travailleurs sociaux en matière de formation continuée.
Cette dernière, ne pourrait-elle être ce lieu hors du temps, cet espace réflexif, ce creuset d'idées susceptibles de quelque peu « réenchanter » le social ?