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SOJCHER
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Fac off, c'est l'envers et l'enfer du décor de l'enseignement supérieur. Professeurs, maîtres de conférences, étudiants, syndicats, politique gouvernementale, rien ni personne n'est épargné, et surtout pas le narrateur. Son parcours est une forfaiture. Prêt à tout pour être nommé, il croise des personnages inquiétants et drôles, qui révèlent la mécanique assassine du monde académique. L'université tue.
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Jacki est sage, c'est d'abord le récit d'une enfance bouleversante. Celle d'un enfant caché, dont le père disparaît à Auschwitz, celle d'un petit garçon couvé par sa mère.
Jacki est sage, c'est un récit tout en délicatesse. Des détails qui émergent du silence, des moments magiques ou dérisoires, des «?je me souviens?» partagés.
Jacki est sage, c'est une vie en fragments, tendres, cocasses et parfois crus, l'histoire d'un philosophe-artiste, d'un «?professeur d'incertitude?» doublé d'un éternel amoureux.
Jacki est sage, c'est un texte sans temps mort, écrit dans une langue simple et belle, où l'on glisse sans cesse de l'humour à l'émotion. -
Très doucement
Jacques Sojcher
- Artgo & Cie
- Au Coin De La Rue De L'enfer
- 14 Octobre 2021
- 9782919642151
Et s'il n'y avait que la voix qui parle, qui appelle, qui voudrait être musique, extase de souffle, sans conscience, sans images.
Quelques poèmes inédits, datés 1984, 1994 et 2015 pour les ajouts, resserrements, montage...
Couverture illustrée par Rachel Silski.
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écrire un film ; scénaristes et cinéastes au travail
Frédéric Sojcher
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 20 Septembre 2018
- 9782874496257
Comment e´crire pour le cine´ma ? S'il s'agit toujours de raconter des histoires, l'écriture d'un scénario ne s'envisage pas comme celle d'un roman, car, dès le départ, « l'image animée » et la bande-son en sont des éléments constitutifs. C'est ce passage du sujet au synopsis, du traitement à la continuité dialoguée, puis au découpage technique voire au story-board, que de´voilent sce´naristes et cinéastes. Ceux-ci deviennent, par ces truchements successifs, les auteurs d'un film. Peut-on e´crire a` plusieurs ? Comment sce´naristes, re´alisateurs et producteurs dialoguent-ils ensemble ? Y a-t-il une « nouvelle e´criture » du scénario au tournage, puis au montage ? Ces questions sont au coeur de cet ouvrage, qui aborde l'écriture filmique comme un tout organique.
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Cinema et musique : accords parfaits ; dialogues avec des compositeurs et des cinéastes
Frédéric Sojcher
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 6 Février 2014
- 9782874491900
Il y a des musiques de cinéma que nous pouvons fredonner instantanément... Mais ce que l'on ignore, et qui sera révélé dans cet ouvrage à travers une série d'entretiens passionnants avec des cinéastes et des compositeurs, ce sont les hasards miraculeux ou les conflits intenses, le travail acharné ou les élans d'inspiration qui ont présidé à d'inoubliables morceaux d'anthologie. L'idée de ce livre, c'est aussi de montrer que la même complicité peut s'instaurer entre les cinéastes et les compositeurs de tous les types de cinéma, des Aventures de Rabbi Jacob mises en musique par Vladimir Cosma aux oeuvres exigeantes d'Atom Egoyan et Claire Denis en passant par les succès planétaires des musiques d'Ennio Morricone.
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Dans Main basse sur le film, Frédéric Sojcher raconte comment il a été progressivement écarté de son premier long métrage par l'acteur principal et quelques techniciens, comment il a trouvé en lui les ressorts de faire face et de rebondir. Une leçon de vie.
Longtemps épuisé, ce livre, enrichi de nouvelles révélations, est réédité dans la collection Les Poches BELGES. Il constitue un extraordinaire cas d'école pour les apprentis cinéastes, mais intéressera aussi sûrement les amateurs de thrillers psychologiques.
« Ce que vous allez lire n'est pas le récit d'un tournage, c'est l'histoire d'un hold-up, d'un casse. Il ne s'agit pas de l'attaque d'une banque(...) mais de la mainmise, du rapt sur un film, sur le sujet du film et sur sa mise en scène. (...) Elle passionnera aussi tous ceux qui s'intéressent aux conflits que provoque la prise d'un quelconque pouvoir, les amateurs de complots, de coups d'État, de situations tordues, formidables révélateurs des turpitudes humaines. » Bertrand Tavernier
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Je veux faire du cinéma ; petit manuel de survie dans le 7e art
Frédéric Sojcher
- Genese
- 16 Avril 2021
- 9791094689752
Je veux faire du cinéma raconte l'envers des productions et des tournages.
Le livre est une autopsie sans concession du « milieu du cinéma », tel qu'il existe en Europe. Il montre les travers d'un « système » où les films sont financés avec un mélange d'argent privé et d'argent public.
Faire un film s'apparente à une course d'obstacles, dont les ressorts sont romanesques, avec leurs parts d'inattendus et de rebondissements. Le bûcher des vanités et les rapports de force sont de mise.
Avec des portraits au vitriol, mais aussi une forme d'autodérision, Frédéric Sojcher met en perspective son parcours de cinéaste pour, au-delà de l'expérience sur ses propres films, faire oeuvre d'entomologiste. Après avoir lu Je veux faire du cinéma, il sera impossible au lecteur de voir le septième art avec les mêmes yeux.
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Jacques Sojcher, né à Bruxelles en 1939, de père slovaque et de mère polonaise, fut professeur de philosophie et d'esthétique à l'Université libre de Bruxelles. S'il se définit lui-même ironiquement comme «philosophe judéo-nietschéen», Jacques Sojcher est également poète et romancier (Un roman, Le professeur de philosophie, Le rêve de ne pas parler.). Françoise Moulin lui a consacré un essai intitulé Jacques Sojcher, ni la mémoire ni l'oublié. C'est le sujet et 38 variations sur le mot juif forment un triptyque avec L'idée du manque paru l'an dernier. Les poèmes de ces recueils sont des instantanés qui, en quelques vers, mèlent oubli et mémoire, deuil et souvenir, manque et réminiscence. Mais au-delà de l'intime prend forme une réflexion sur l'Histoire et le peuple juif qui donne à sa poésie une note d'absolu.
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Jacques Sojcher, né à Bruxelles en 1939, de père slovaque et de mère polonaise, fut professeur de philosophie et d'esthétique à l'Université libre de Bruxelles. S'il se définit lui-même ironiquement comme «philosophe judéo-nietschéen», Jacques Sojcher est également poète et romancier (Un roman, Le professeur de philosophie, Le rêve de ne pas parler.). Françoise Moulin lui a consacré un essai intitulé Jacques Sojcher, ni la mémoire ni l'oublié. C'est le sujet et 38 variations sur le mot juif forment un triptyque avec L'idée du manque paru l'an dernier. Les poèmes de ces recueils sont des instantanés qui, en quelques vers, mèlent oubli et mémoire, deuil et souvenir, manque et réminiscence. Mais au-delà de l'intime prend forme une réflexion sur l'Histoire et le peuple juif qui donne à sa poésie une note d'absolu.
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Tu as aimé la femme au léopard.
Tu dors avec elle et le fauve au beau pelage.
Tu te crois dans un tableau du Douanier Rousseau.
Tu désires son désir.
Ton plaisir est secondaire.
Jacques Sojcher, né à Bruxelles en 1939, fut professeur de philosophie et d'esthétique à l'Université libre de Bruxelles. Sous la forme de courts fragments - fragments d'amour, fragments de mémoire - cet ensemble nous invite à une traversée intérieure. Et même avec un plus frivole véhicule, carossé de manies et fantasmes, l'ironique angoisse de Jacques Sojcher transforme cette promenade en une profonde réflexion autobiographique sur le désir.
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Il y a maman qui est grande et sérieuse, et puis papa qui est petit, et philosophe, et qui a plein d'amis écrivains. Il y a Oma et Opa les parents de maman, qui parlent flamand ou bien français avec l'accent flamand et Ida la maman de papa qui parle polonais et yiddish et français sans accent. Plus tard il y aura les maîtresses de papa, un studio à Paris, une incursion en Albanie maoïste, un « sale Flamand ! », un « même pas juif ! » Et les radios libres, Lio qui chante Ba-na-na, ba-na-na split, Plastic Bertrand pour qui ça plane dans la Belgique à cent à l'heure des années quatre-vingt. Et puis les filles qui disent non quand on les embrasse, celle qui ressemble à Bo Derek, à qui j'écris des mots d'amour : voilà, j'ai quinze ans et je veux être crooner. Le parolier de Lio m'a donné des conseils, Marc Moulin, le chanteur de « Télex », va devenir mon producteur. Mon nom de scène ? Fred Super.
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Jean-Jacques Rousseau, cinéaste de l'absurde
Frédéric Sojcher
- Klincksieck
- 16 Octobre 2008
- 9782252036853
" le meilleur gag de jean-jacques rousseau est de s'appeler vraiment jean-jacques rousseau.
Il est temps de le saluer comme un des réalisateurs les plus novateurs de l'histoire du septième art. réinventeur du cinéma forain des âges héroïques, cet autodidacte possède tous les talents, cultive toutes les curiosités, s'autorise tous les culots. a la fois producteur, scénariste, réalisateur, acteur et diffuseur de ses films, il pratique une autarcie radicale. il ose ce qu'aucun godard, aucun resnais, aucun fellini, aucun warhol ne se serait permis.
" jean-pierre bouyxou. jean-jacques rousseau (39 films, dont 4 longs métrages) apparaît toujours masqué en public et se présente lui-même comme " le cinéaste de l'absurde ". ce livre, coordonné par frédéric sojcher, explore son parcours, le convie à un abécédaire, véritable anthologie surréaliste, et recueille les témoignages de son équipe. édouard boer, benoît poelvoorde, bertrand tavernier et bien d'autres sont fascinés par cet ouvrier maçon, qui consacre toutes ses économies à son délire de cinéma.
Sa vie est romanesque et ses films hallucinants.
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Si la culture n'est pas souffle, renversement, création, si le savoir est lourdeur, esprit de sérieux, ennui, alors il faut désapprendre, oublier, rêvager.
C'est la leçon du Professeur de philosophie, qui nous invite à régresser vers l'enfance, où la parole est la joie de la nomination, la pensée le mot incarné, la création l'ouverture au monde, la musique de la rencontre, sans définition, sans idoles, sans Dieu. Le livre de Jacques Sojcher, qui a aujourd'hui plus de 20 ans, est un manifeste d'insoumission et d'affirmation incertaine - la seule que l'on peut soutenir en cette fin de siècle de " pensée unique " et d'" universel reportage ".
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Autour de l'argent, la Revue de l'Université de Bruxelles a invité un anthropologue, des économistes, des historiens, des philosophes, des théologiens, une prostitué, un homme de la rue, un cinéaste, des écrivains.
Chacun interroge la valeur et les valeurs de cet " étrange objet ", comme l'appelle Jean-Michel Rey. Entre Pile et Face et Vertige, le volume se décline en quatre chapitres : Etre et avoir / Une éthique de l'argent ? / Résistances / Argent, Histoire et histoires / Religion, Eglise, argent.
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Luc besson - un don quichotte face a hollywood
Frédéric Sojcher
- Seguier
- 30 Décembre 2005
- 9782840494324
Il y a quelque chose de donquichotesque chez Luc Besson : mais, contrairement à Don Quichotte, il a la particularité de faire vivre ses rêves dans la réalité...
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Dans Mention très bien, tout le monde communique par internet et est jugé en fonction de sa rentabilité.
Chacun se bat pour être le premier. Relations sexuelles mécaniques. Plus de sentiment. Dès que l'on dysfonctionne, on est rétrogradé, on se retrouve seul... et bientôt relégué dans le quart-monde. D'un côté le luxe et la consommation, accessibles aux nantis. De l'autre, la misère, le dénuement. Le protagoniste de la pièce est un homme " très bien " à qui tout réussit. Pourtant, il ne rêve qu'à son premier amour, la seule femme qu'il ait jamais aimée.
Pour elle, il renoncera à tout. " C'est du théâtre, mais ça pourrait être du cinéma. Ce théâtre et ce cinéma que sont nos existences, dont on se demande avec inquiétude si ce sont encore nos vies. C'est la guerre d'aujourd'hui, du quotidien et de l'intime, une guerre par écrans interposés. La logique binaire des ordinateurs nous régit. Normal : ils calculent plus vite que nous dans un monde de chiffres.
C'est une pièce sur la métaphysique du zapping. " Extrait de la préface de Catherine Rihoit
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«Ma vie est l'oubli de ta vie». Toute l'oeuvre de Jacques Sojcher se joue des genres avec désinvolture.
Romans, récits, poésies, essais, enrobés d'une solide couche d'autodérision luttent contre l'érosion de la langue en voulant inventer un langage nouveau : La confusion des visages, contre les assauts du temps voudrait tenter d'empêcher la dissolution du sens. Entre une parole linéaire qui offre une image supportable du monde mais couvre l'horreur, et le silence, Jacques Sojcher fraie une parole intermédiaire, une écriture trouée, balbutiante. Entre les lignes, où respire la figure du père disparu à Auschwitz, se lit la difficulté d'être vivant en remplaçant les morts : les mots exhibent autant qu'ils cachent.
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Cinéma à l'université ; le regard et le geste
Frédéric Sojcher, Serge Le Peron
- Impressions Nouvelles
- 5 Mars 2020
- 9782874497582
Ce livre est destiné en priorité à tous les étudiants en cinéma (plusieurs dizaines de milliers d'étudiants en France, en Belgique, au Québec...) pour qu'ils puissent savoir ce qui existe en termes d'enseignement des pratiques du cinéma à l'université.
Il n'y a en effet pas que dans les écoles de cinéma qu'on peut suivre des ateliers de scénario et faire l'expérience de la réalisation. L'association de la pratique du cinéma à l'université pose fondamentalement la question de sa transmission : en associant le penser et le faire, le regard et le geste.
L'université peut être le lieu d'une recherche artistique et théorique qui n'existe pas au sein de la profession cinématographique...
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J'ai connu plus de femmes que je n'ai écrit de livres. J'ai longtemps noté dans un petit carnet leurs prénoms, leur âge, la date de la rencontre.
J'ai perdu le carnet. Il ne me restait plus qu'à faire de ces rencontres un récit, suivi de quelques pensées sur le désir, l'amour et le rêve.
- Jacques Sojcher -
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ENTRETIEN DU 29 JANVIER 2015 ENTRE JACQUES SOJCHER ET RICHARD KENIGSMAN
KENIGSMAN, RICHARD
- DIDIER DEVILLEZ
- 22 Juin 2016
- 9782873961459