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Lansman
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Mais qu'arrive-t-il donc à Philibert ? Quelque chose ne tourne plus tout à fait rond. Il est la plupart du temps ailleurs, disparaît longuement dans sa chambre, ou encore - et c'est bien là le plus étrange, voire le plus inquiétant - adopte des comportements complètement inhabituels : tantôt agressif et grossier vis-à-vis de ses parents, tantôt serviable à l'excès au point de récurer la maison jusque dans les moindres recoins...
En dehors du fait que Philibert est un enfant turbulent détestant les épinards, ses parents ne remarquent rien, ou presque. Seule sa grande soeur, Capucine, s'aperçoit de la déconcertante métamorphose et s'en alarme. Elle décide de prendre plus de temps à l'observer et à tenter de comprendre ce qui peut motiver ses comportements incohérents. C'est d'ailleurs elle qui nous raconte ce curieux et tragique épisode dont la famille ne sortira pas indemne
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Mes papas, l'ogre et moi, Stanislas Cotton (Prix Annick Lansman 2020) - Pétronille, que tout le monde appelle Ninou, est une petite fille délurée. Elle vit heureuse avec deux papas qui l'ont adoptée quand elle était toute petite. Comme tous les enfants de son âge, elle aime raconter l'histoire de sa famille, une histoire d'amour où tout aurait pu être pour le mieux si un jour un ogre n'avait pas jeté un gros pavé dans la mare, couvrant son ciel de nuages et lui faisant comprendre que le monde est compliqué, que les chemins de la vie sont pavés d'embûches.
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La famille Diguedon baigne dans une certaine insouciance quand éclate la guerre.
Poussé par son père (qui espère ainsi vivre en héros par procuration), le fils se porte volontaire. Sa jeune femme consent docilement à son départ tandis que la mère s'installe à demeure dans la cuisine pour marquer son désaccord. Chacun à sa façon vivra douloureusement la séparation... jusqu'au retour du fils qui, traumatisé par ce qu'il a vécu, se révélera incapable de se replonger sereinement dans le cercle familial.
Une écriture personnelle et originale pour un plaidoyer féroce et bouleversant contre la guerre.
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Félicité témoigne. Elle nous parle de chez elle, de son village, de sa famille. Elle hésite, inquiète, chemine sur les sentiers de sa mémoire. Les mots dénouent petit à petit le mystère et nous dévoilent le cauchemar qui a bouleversé son pays, marqué sa terre, souillé les corps. Comme elle, aujourd'hui, beaucoup de femmes sont les victimes principales de toutes les guerres, Cibles récurrentes de la barbarie et de l'avilissement, elles doivent faire face à la douleur et à la honte pour aider ceux qui les entourent à vivre, ou du moins à survivre.
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Théodule n'y arrive pas ! Il a beau essayer ; quand vient l'heure redoutée de la dictée, il s'envole, s'enfuit là où les mots ne mangent plus personne, là où les tapis volants prennent deux ailes. Il s'enfuit pour ne pas se noyer dans cette mer de lettres, de points et de virgules. Pourtant, autour de lui, on aimerait l'aider. Sa mère, le directeur de l'école et son enseignante de français espèrent dénicher la panne et réparer. Mais encore faudrait-il qu'eux aussi trouvent les mots pour dire...
Une manière originale d'aborder le problème de la dyslexie qui, à travers ses différentes formes, touche en Europe environ un élève sur dix.
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