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jacqueline
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LA SIRENE DU MYTHE PAIEN AU SYMBOLE CHRETIEN
LECLERCQ MARX, JACQUELINE
- ARB
- 27 Février 2004
- 2000000019512
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Elles sont quarante, enfermées dans une cave, sous la surveillance d'impassibles gardiens. La plus jeune - la narratrice - n'a jamais vécu ailleurs. Si les autres ne se rappellent pas la façon dont elles sont arrivées là et n'ont aucune notion du temps, il leur reste un vague souvenir de leur vie d'avant qu'elles lui transmettent.
Mystérieusement libérées de leur geôle, elles entreprennent une longue errance à la recherche d'autres humains - ou d'une explication - sur une terre désertée. Elles ne découvrent que d'autres caves analogues, peuplées de cadavres.
On a pu parler de Kafka, de Paul Auster ou du Désert des Tartares au sujet de cette oeuvre à la fois cauchemardesque et sereine, impassible et bouleversante.
Publié pour la première fois en 1995, Moi qui n'ai pas connu les hommes est, pour citer le prestigieux quotidien anglais The Times, un « petit miracle ». Véritable best-seller international, il est en cours de traduction dans 21 langues. -
Tom-Tom et Nana Tome 4 : les cartables décollent
Jacqueline Cohen, Bernadette Després
- Bayard Jeunesse
- Bayard Bd Poche ; J'aime Lire
- 1 Avril 2004
- 9782747013826
Dans cet album, vous trouverez le sac de billes ; l'affaire du squelette ; plus on est de malades, plus on rit ; l'indigestion de géographie ; la cerise de noël ; tous chez michou mod' ! ; la grosse bagarre de noël ; bonne année, tante roberte et la pub de l'année...
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Tom-Tom et Nana Tome 6 : bande de sauvages !
Jacqueline Cohen, Bernadette Després
- Bayard Jeunesse
- Bayard Bd Poche ; J'aime Lire
- 25 Mars 2004
- 9782747013840
En 9 histoires, les inépuisables bêtises du frère et de la soeur, duo infernal. Le restaurant familial devient le théâtre de toutes les gaffes et catastrophes. Histoires initialement parues dans le journal J'aime lire.
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Tom-Tom et Nana Tome 20 : poux, papous et pas papous
Jacqueline Cohen, Bernadette Després
- Bayard Jeunesse
- Bayard Bd Poche ; J'aime Lire
- 1 Avril 2004
- 9782747013987
En 9 histoires, les inépuisables bêtises du frère et de la soeur, duo infernal. Tom-Tom ne parvient pas à faire son devoir sur les poux, et Monsieur Dubouchon décide de lui venir en aide... Histoires initialement parues dans le journal J'aime lire.
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Tom-Tom et Nana Tome 17 : allez, les monstres
Jacqueline Cohen, Bernadette Després
- Bayard Jeunesse
- Bayard Bd Poche ; J'aime Lire
- 25 Mars 2004
- 9782747013956
En 9 histoires, les inépuisables bêtises du frère et de la soeur, duo infernal. C'est la fête de l'horreur, et Tom-Tom refuse catégoriquement que Nana y participe. Histoires initialement parues dans le journal J'aime lire.
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« Dès que je le vis, je sus que Léopold Wiesbek m'appartiendrait. J'avais onze ans, il en avait vingt-cinq... »
Prise ainsi par une passion que rien n'éteindra, Émilienne devra attendre son heure. Talentueux, beau, aimé des femmes, Léopold fait un mariage d'argent pour pouvoir se consacrer à la peinture. La jeune fille va lentement tisser sa toile, ne reculant devant rien, sacrifiant au passage quelques existences. Des années plus tard, après la mort de son amant, Émilienne, désespérée mais sans remords, demeurera certaine que c'était le prix à payer pour vivre sa passion. -
LES SCÉNARIOS DE CHARLES SPAAK : L'écrivain derrière la toile
Jacqueline Van Nypelseer-Wolfowicz
- Lettre Volee
- 4 Avril 2025
- 9782873176471
Cette étude approfondie de l'écriture des scénarios de Charles Spaak est l'une des rares études dédiées à un scénariste de langue française. Elle dresse le portrait d'un scénariste belge méconnu qui est pourtant l'auteur de scénarios célèbres écrits pour des réalisateurs de renommée internationale comme Le Grand Jeu et La Kermesse héroïque pour Feyder, La Grande Illusion pour Renoir, Le Ciel est à vous pour Grémillon, Nous sommes tous des assassins pour Cayatte ou Les Tricheurs pour Carné. Le lecteur découvrira pas à pas l'écrivain qui initia les grandes tendances du cinéma français, du muet à la Nouvelle vague. Avec Jacques Prévert, Charles Spaak est un des plus importants scénaristes du cinéma français des années 1930 et 1940. Précurseur du réalisme poétique avec Feyder et très impliqué dans les problèmes de son temps qui déboucheraient sur la Deuxième Guerre mondiale, on lui doit aussi le prototype de l'homme du peuple au grand coeur capable de se défendre contre les importuns, qui, mis en scène par Duvivier et personnifié par Jean Gabin, deviendrait le héros incontesté du genre.
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Devenir autre. Vivre à travers une identité différente, un autre corps, les aventures, les passions, les désirs qui nous sont interdits... Ce vieux rêve que chacun de nous a fait un jour, Aline, jeune enseignante à la vie (trop) rangée, le conçoit à son tour en regardant un beau garçon blond, Lucien.
Et l'impossible se produit : une partie d'elle-même, sa part masculine, abandonne son corps de femme pour celui du jeune inconnu. Elle est Lucien et Aline. L'auteur baptise le nouveau personnage Orlanda. Voici Aline entraînée, à la fois témoin et actrice, dans un tourbillon d'aventures, de situations tour à tour enivrantes et drôles, où va se révéler la face cachée de ses désirs...
L'extraordinaire liberté dont fait preuve Jacqueline Harpman lui permet de mettre en oeuvre tous les moyens de la fiction pour arpenter joyeusement et sur un mode picaresque la région la plus obscure de nous-mêmes, où la raison ne pénètre pas.Bertrand Leclair, Les Inrockuptibles. -
À une époque imaginaire qui ressemble à s'y méprendre au XVIIe siècle, la jeune Maria Concepción, infante d'Espagne, se voir offrir le jeune Girolamo, huit ans, enfant châtré rescapé d'un navire d'esclaves.
Les deux enfants grandissent ensemble, comme deux âmes jumelles, partageant le même nom et la même solide éducation promettant Maria à un grand destin, car son père ambitionne pour elle de régner. À quinze ans, elle épouse le roi d'une France déchirée par les guerres de religion. Girolamo accompagne la jeune souveraine dans sa quête de pouvoir : rien ne semble pouvoir séparer les deux être unis par un amour platonique mais charnel, intense mais interdit.
Jacqueline Harpman rejoint la tradition des grandes histoires d'amour tragique dans un livre sensible aux airs de roman historique.
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lorsqu'on évoque la bible, on cite le plus souvent des noms d'hommes : abraham, moise, david, isaïe...
pourtant, les femmes ne sont pas moins présentes et précieuses. à côté des patriarches, des rois, des législateurs, elles rappellent, avec force ou discrétion, l'importance du coeur, du corps, du chant et de l'esprit nomade. on trouvera dans ce livre une quarantaine de portraits pleins de vie : des jeunes filles rêveuses et fragiles, des mères tendres ou possessives, des guerrières, des séductrices, des épouses délaissées ou stériles, des prophétesses qui dansent...
ces femmes qui passent dans la bible - bethsabée, agar, déborah, tamar, rachel, judith - n'appartiennent pas à une religion particulière : elles ont, plus largement, façonné la culture et la sensibilité de l'occident.
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Un conducteur coincé dans un embouteillage, un jour de tempête à Bruxelles, est arrêté devant une maison de style éclectique. Fasciné par les habitants de cette demeure, il raconte leur histoire à la personne qui l'accompagne.
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La figure de Marie-Madeleine ne laisse personne indifférent, mais elle demeure insaisissable. Chacun, chrétien ou non, privilégie d'elle une image : la courtisane, la désolée, l'ermite, la sainte, l'extatique... Là où les exégètes veulent discerner trois personnes distinctes - la pécheresse de la ville, Marie de Magdala, Marie de Béthanie -, les gnostiques des premiers siècles ne retiennent que la femme éveillée et la préférée de Jésus. Marie-Madeleine vagabonde ainsi entre histoire et légende. Elle ne cesse, à travers les siècles, d'inspirer artistes, écrivains, bâtisseurs et religieux qui rendent hommage à la femme dévorée d'amour et de douleur à qui le Christ aurait choisi de se montrer en premier au matin de Pâques.
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Les raisons de l'art ; essai sur les limites de l'esthétique
Jacqueline Lichtenstein
- Gallimard
- Nrf Essais
- 13 Mai 2014
- 9782070145911
Nietzsche ne s'y est pas trompé:«Toujours le créateur s'est trouvé en désavantage vis-à-vis de celui qui ne faisait que regarder sans mettre lui-même la main à la pâte.» Triste privilège de la peinture:les philosophes énoncent des propositions sur la technique picturale et l'histoire de cet art indépendamment de tout critère empirique de validité, sans mobiliser aucune connaissance ni expérience, à l'encontre des philosophes qui, écrivant sur la musique - Nietzsche, Schopenhauer, Adorno ou Jankélévitch -, s'appuient toujours sur un savoir et sur un savoir-faire. Pourquoi la peinture, objet d'un discours philosophique sans objet, autorise-t-elle les interprétations sans contrôle, les analyses purement auto référentielles? Jacqueline Lichtenstein date du coup de force théorique de Kant, posant la double autonomie du jugement de goût par rapport au jugement de connaissance et de la théorie esthétique par rapport à la pratique artistique, la plupart des impasses philosophiques de l'esthétique. En regard, elle restitue, à partir de l'étude des conférences de l'Académie royale de peinture et de sculpture de 1667 à 1793, l'importance de l'analyse artistique - l'explication de l'oeuvre, chose mentale et matérielle tout à la fois, par les peintres. Ils y puisaient l'occasion de soulever un problème précis touchant à l'une des «difficultés» rencontrées - le sujet et la correction du dessin; la répartition des lumières; les libertés que le peintre peut prendre par rapport à l'histoire; l'expression des passions. Dans ce qu'on appelle philosophie de l'art, écrivait Friedrich Schlegel, il manque habituellement l'une ou l'autre:ou bien la philosophie, ou bien l'art. S'il fallait choisir, Jacqueline Lichtenstein soutiendrait sans doute aucun l'art contre la philosophie. Ou plutôt contre une certaine philosophie.
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" Je veux avant tout dire la vérité sur l'affaire du serpent.
Je suis indignée. Je me demande pourquoi l'Éternel laisse courir tant de mensonges. " Après tant d'années de silence, Ève nous révèle l'histoire
du péché originel. Et si la faute n'est plus celle que l'on a crue, elle n'en est que plus plaisante et ne manque pas de piquant. Un savant dosage d'espièglerie, de fantasme, de vie dédoublée compose ces nouvelles qui adoptent parfois un
ton plus énigmatique et visionnaire.
A n'en pas douter, Jacqueline Harpman sait nous conter des histoires !.
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À première vue, les protagonistes de ce recueil sont peu ambitieux. Ils essaient de garder leur job et leur conjoint, de réussir leur divorce, d'éduquer les enfants, de soutenir un proche, de se pencher sur un mourant... Ils espèrent être appréciés et vivre en harmonie avec leur entourage. Rien d'extraordinaire. À première vue. Car les relations humaines sont rarement simples. Souvent honteux de leurs peurs et de leurs faiblesses, ces personnages nous touchent parce qu'ils nous ressemblent dans leur désir, si souvent contrarié, de « bien faire ».
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« Je mourus par un bel après-midi d'automne m'épargnant ainsi l'hiver que j'ai toujours détesté. » Ains s'ouvre le récit au cours duquel l'héroïne va rencontrer... 14 Créateur en personne. Mais il en faudrait beaucoup plus pour impressionner cette athée convaincue ! Un débat s'en gage...
Lauréate du prix Médicis pour Ortanda (Grasset, 1996) e du prix Victor Rossel pour Brève Arcadie (Julliard, 1959), JacqueLine Harpman, psychanalyste et romancière, vit en Belgique On Lui doit récemment L'Orage rompu et Récit de Ila dernière année (Grasset, 1998 et 2000).
Postface par Blandine de Caunes -
Jusqu'au dernier jour de mes jours
Jacqueline Harpman
- Espace Nord
- Espace Nord
- 5 Décembre 2005
- 9782804022242
S'il était donné à Jacqueline Harpman de choisir l'objet de sa réincarnation, à coup sûr, elle serait une femme.
Mais quelle femme ? Celle qui, comme dans la nouvelle qui inaugure le recueil, se bat aux côtés d'hommes et de femmes pour venger la mort de son père et celle d'autres résistants ? Ou encore celle qui, par peur de vieillir, enfante à près de soixante ans et se condamne elle-même ainsi que son enfant à vivre à l'écart du monde ? Ou bien encore celle qui sauva, à sa façon, les vierges de son pays des griffes du dragon ? Autant d'histoires singulières qui ont toutes pour fil rouge des destins de femmes.
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S'il était donné à Jacqueline Harpman de choisir l'objet de sa réincarnation, à coup sûr, elle serait une femme.
Mais quelle femme ? Celle qui, comme dans la nouvelle qui inaugure le recueil, se bat pour venger la mort de son père et celle d'autres résistants ? Ou encore celle qui, par peur de vieillir, enfante à près de soixante ans et se condamne elle-même ainsi que son enfant à vivre à l'écart du monde ?
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Èstwales est un recueil de poésie en wallon. Autour du thème hautement symbolique de l'étoile, le je poétique fait jaillir des images, des émotions et des souvenirs, comme des évidences, dans une poésie simple, qui peut être partagée par tous.
Jacqueline Boitte a reçu le Prix triennal de Poésie en Langue régionale endogène décerné par la Fédération Wallonie-Bruxelles en 2020 pour ce recueil.
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« Mais comment tue-t-on sa mère quand elle est déjà morte ? » Edmée va tenter de le faire en racontant leur histoire : chaque mot est un cri pour se délivrer de Rose, cette mère dans la lignée de Mme Lepic et de Folcoche. Elle va la mettre à nu et en tracer un portrait terrible. Dure, égoïste, Rose a été une enfant mal aimée. Et Edmée, dans ses tentatives d'élucidation, livre ici un violent réquisitoire contre une relation de haine et d'amour qui l'a marquée à jamais.
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« Nicolas et Isabelle repartent. Tonio regarde la voiture s'éloigner. Il fait signe longtemps. Quand il ne voit plus la voiture, il rentre. Le silence lui tombe dessus. Plus fort que le jour del'enterrement. Tonio met un CD à fond. Il débouche la bouteille de vin. Assis dans son fauteuil, il regarde le canapé. »
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Obligés de négocier un virage dans leur parcours jusque-là routinier, les personnages de ces nouvelles y parviennent avec plus ou moins de bonheur. Les voici devant l'imprévu, l'incertitude mais aussi l'inéluctable, le temps qui passe et, au bout, la mort. Des hommes et des femmes auxquels l'auteur donne une grande humanité à travers leur besoin d'amour, de reconnaissance et leur formidable pulsion de vie.