jean ray
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Un chef d'oeuvre et classique de la littérature fantastique !
A la mort du riche oncle Cassave, les membres de sa famille doivent emménager dans son immense demeure, Malpertuis, et y vivre tous ensemble. C'est la condition s'ils veulent toucher l'héritage. Des phénomènes étranges, inquiétants et fantastiques se succèdent dans cette " prison mouvante de ténèbres " jusqu'à ce que l'horreur de la malédiction de Malpertuis atteigne son paroxysme le soir de Noël. -
Les derniers contes de Canterbury
Jean Ray
- Éditions de l'Arbre vengeur
- 27 Octobre 2023
- 9782379412301
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Savants fous & monstres humains
Jean Ray
- Terre De Brume
- Terres Fantastiques
- 16 Janvier 2025
- 9782843627293
« Harry Dickson, mais c'est moi, ça ! » C'est en 1961 que Jean Ray, en visite chez Henri Vernes, reconnaît la paternité tardive des aventures du Sherlock Holmes américain. Révélés par les Éditions Marabout à partir de 1966 et réédités avec succès à plusieurs reprises depuis lors, les exploits du grand détective n'ont cessé de ravir et de fasciner des générations successives. Laissant une large place au fantastique, au mystère et au merveilleux, l'imagination débridée de Jean Ray façonne en fascicules merveilleusement illustrés par Alfred Roloff qui paraissent tout le long des années trente, la légende de l'autre locataire de Baker Street. Aidé de son fidèle élève Tom Wills, Harry Dickson affronte tous les dangers et ne recule devant aucun péril. Voici pour la première fois dans la version intégrale reprise directement à partir des fascicules originaux les textes rédigés par Jean Ray. Dans ce premier recueil, il est question de savants fous : momies évanouies, voiture démoniaque, échiquier de la mort... Le maître et son élève auront des défis fabuleux à relever... pour le plus grand plaisir du lecteur...
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Dans de vieilles demeures paisibles, dans des ruelles hors du temps, dans des tavernes de marins et des ports noyés de pluie, jusque dans le néant de la pleine mer, Jean Ray fait planer le souffle des Ténèbres.
Par la déraison d'un homme, un tour de magie noire ou le simple jeu du hasard, des passerelles fragiles sont jetées entre les mondes, d'où des démons déchus, des créatures invraisemblables, tour à tour féroces et pathétiques, viennent briser et tordre entre leurs griffes le destin des humains.
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Une taverne bondée et enfumée où gravitent d'étranges personnages, emportés par le whisky au goût de sang et de larmes. Ils partagent un festin funeste de pitoyables et effroyables aventures d'errants de la mer.
Au rythme des hallucinations et des fabulations, le whisky, purificateur, permet de dialoguer avec l'ombre et d'en finir avec l'éteignoir d'existences mornes et répétitives. Ici règne le principe de l'anamorphose : le regard sur les choses et sur soi en sort radicalement changé. Dès sa parution en 1925, Les Contes du whisky, premier recueil fantastique de Jean Ray, rencontre un grand succès.
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Quand Jean Ray mène la danse, la ronde des manèges tourne vite au cauchemar. Au son d'une musique stridente et trépidante, le cochon verni ou le cheval mordoré que l'on enfourche se révèlent goret d'Apocalypse ou cavale d'enfer ! Paru en 1964, Le Carrousel des maléfices offre de chevaucher à cru une araignée géante, de défaillir d'effroi face à quelques horreurs logiques insondables, de croiser Croquemitaine ou Tête de lune, ou de frayer avec une escouade de monstres. Revoici le monde des outre-coins fétides et vertigineux de demeures à l'inquiétante quiétude.
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Si Jean Ray a permis à Harry Dickson de connaître de nombreuses aventures fantastiques, John Flanders, quant à lui, a créé nombre de détectives qui ont été, eux aussi, confrontés à d'inquiétants mystères. Héros emportés pour la plupart par la fougue de la jeunesse (Edmund Bell, Miss Police...) ou guidé par la sagesse et l'expérience (Inspecteur Triggs), tous ces détectives en herbe ou confirmés n'ont rien à envier au Sherlock Holmes américain.
On retrouve, dans leurs enquêtes, cette ambiance si particulière et un peu angoissante des petits villages anglais où chacun a quelque chose à cacher, des landes désertes peuplées de créatures terrifiantes ou des contrées exotiques où dorment des secrets immémoriaux.
Poursuivant l'exploration des textes trop souvent oubliés, voire méprisés, signés de « l'autre Jean Ray », cette anthologie propose des nouvelles pour la plupart inédites auprès du grand public.
Ainsi, ce recueil s'ouvre sur deux aventures totalement inconnues d'Harry Dickson qui enquête à... Gand, en Belgique.
Edmund Bell et Jack Linton sauront-ils se montrer à la hauteur de leur aîné d'outre Manche ?
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Jean Ray (1887-1964), un des maîtres reconnus du fantastique, auteur de ouvrages célébrés par tous et connus depuis des décennies, tels Malpertuis, La Cité de l?indicible peur ou Les Contes du whisky, a laissé dans ses archives des dizaines de textes ? romans, nouvelles, contes ? que le public pourra enfin bientôt découvrir dans cette nouvelle collection, « Les Inédits de Jean Ray ».
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En février 1929, Jean Ray sort de prison. Il y sera resté près de trois ans. Dans la légende - qu'il entretiendra - cette mise à l'ombre serait la sanction de ses complicités avec la contrebande d'alcool sur le « rumrow », l'avenue du Rhum, aux frontières des Etats-Unis, alors en proie à la prohibition. En fait, il avait été sanctionné pour une escroquerie financière dans sa ville natale de Gand. Qu'importe !
Cet admirateur et ami de Blaise Cendrars se rêve une autre vie et d'autres amarrages dans ce recueil fulgurant de récits et de contes nés de ses hantises : la mer, les bouges, les nuits de lune, les vaisseaux fantômes, les trafiquants, les ruelles obscures... La croisière des ombres sort fin 1931. Jean Ray a 44 ans. Si le fou est celui qui a tout perdu sauf la raison, Jean Ray se montre ici bien fou, c'est-à-dire radicalement raisonnable. Il met au service de l'étrange la rigueur et la clarté d'un imperturbable rationalisme. Efficace, ramassé, il fait naître des mondes en quelques lignes : la « croisière des ombres » commence au large de Manhattan et s'achève sous l'égide d'un psautier imprimé à Mayence au XVe siècle, boussole insensée d'un navire hauturier. Le virtuose du « réalisme panique » fait son entrée dans le tripot de la littérature.
Comme beaucoup de livres de Jean Ray, La croisière des ombres a souffert de rééditions infidèles et tronquées. La Collection Jean Ray l'offre à nouveau dans sa splendeur et son énergies premières, tel que l'écrivain l'avait conçu. On y découvrira, en prime, une dizaine de textes inédits, écrits entre 1929 et 1932.
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Geierstein, les inédits de Jean Ray
Jean Ray
- Terre De Brume
- Terres Fantastiques
- 24 Novembre 2016
- 9782843626203
Un roman inédit de Jean Ray, le maître du fantastique, dans l'indéniable lignée de Malpertuis.
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Le nouveau bestiaire fantastique
John Flanders, Jean Ray
- Terre De Brume
- Terres Fantastiques
- 22 Avril 2017
- 9782843626296
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Deux romans inédits de John Flanders
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Au fil de ses oeuvres, Jean Ray cite souvent avec gourmandise Geoffrey Chaucer (1340-1400) - le père de la littérature anglaise - comme Balzac le faisait de Rabelais pour ses Contes drolatiques. L'écrivain belge dans les Derniers contes de Canterbury rend explicitement hommage aux fameux Contes de Canterbury qui, avec le Decameron de Boccace, sont pour lui des textes fondateurs. Chaucer mettait en scène des pèlerins en route vers la cathédrale où se trouve le sanctuaire de Thomas Beckett. Dans ce recueil, très concerté, paru en 1944, Jean Ray confie la tâche à des fantômes qui conversent, hôtes de la taverne dans laquelle Chaucer situe les protagonistes de ses Contes. Le narrateur dit d'ailleurs avoir rencontré Chaucer lui-même au hasard des recoins mystérieux de Londres. Et tous ces hôtes de la nuit racontent d'immémoriales histoires où la ténèbre et l'humour font bon ménage. On y rencontre le chat Murr d'Ernst Theodor Amadeus Hoffmann aussi bien que sir John Falstaff, le truculent personnage de Shakespeare.
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La malédiction des vieilles demeures
Jean Ray
- Terre De Brume
- Terres Fantastiques
- 20 Février 2020
- 9782843626678
« - Les yeux... les yeux de Butsebo ! » « - Ne regardez pas ! Pour l'amour de Dieu, ne regardez pas ! Il faut fuir... l'horreur des horreurs nous attend ! » Quel est donc le pouvoir des yeux de Butsebo ? Ce nom renvoie-t-il à Belzébuth ou reflète-t-il celui de la Gorgone ? Hilduard Syppens, qui se destinait à une vie paisible dans la calme capitale des Flandres, avec pour principale occupation la lecture des aventures de Monsieur Lecoq, le célèbre détective d'Émile Gaboriau, se retrouve au coeur d'une série de meurtres aussi inexplicables qu'horribles. Il devra, dès lors, confronter les méthodes de son auteur favori à une réalité qu'il n'arrivera bientôt plus à contrôler et où tout n'est que masque...
Dans la lignée du Monstre de Borough ou de Jack-de-Minuit, et non sans échos avec Malpertuis, John Flanders joue allégrement, dans les quatre textes inédits qui composent ce recueil, d'un métissage entre roman policier archaïque et récit fantastique, s'amusant à perdre le lecteur lui-même...
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Suite des fac-similés des fascicules originaux consacrés aux enquêtes policières et fantastiques de Harry Dickson, le Sherlock Holmes Américain, dans le texte intégral et dans l'ordre chronologique. Numéros 41 à 50 : Autour d'un trône - Une nuit d'épouvante au Château-Royal - Le sosie de Harry Dickson - L'agence des fausses nouvelles - Le double crime - Le Crucifié - Le mauvais génie du cirque Angelo - La mystérieuse maison du lutteur - Le repaire de Palerme - La veuve rouge.
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Suite des fac-similés des fascicules originaux consacrés aux enquêtes policières et fantastiques de Harry Dickson, le Sherlock Holmes Américain, dans le texte intégral et dans l'ordre chronologique. Cette édition est composée de : Une bête humaine - Le tripot clandestin de Franklin street - Le signe de la mort - La fatale ressemblance - Le gaz empoisonné - Le pari fatal - Les feux follets du marais rouge - Tom Wills, femme de chambre - Les treize balles - Harry Dickson s'amuse.
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Joachim parkinson, propriétaire nanti du show des " phénomènes ", souhaitait racheter heertha - un splendide puma - au directeur du cirque bidderstone.
Mais parkinson est assassiné d'une flèche d'or à proximité de la cage aux lions. lorsque harry dickson arrive sur les lieux du crime, il constate que le cadavre a disparu. c'est alors que le dompteur hardmuth est mortellement blessé par le puma. il existe forcément des liens entre tous ces événements : de l'intérêt que nourrissait parkinson pour le félin, aux flèches meurtrières. harry dickson opère dès lors une descente vers le monde des forains.
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Suite des fac-similés des fascicules originaux consacrés aux enquêtes policières et fantastiques de Harry Dickson, le Sherlock Holmes Américain, dans le texte intégral et dans l'ordre chronologique.
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Harry Dickson Tome 9 ; la cité de l'étrange peur
Jean Ray
- Parole et Silence
- 13 Juin 2007
- 9782871064336
Tout commence à londres dans le quartier paisible de ham, dont les habitants semblent étrangement isolés de ceux des quartiers voisins.
Toutefois, les amis de mrs hasslop, dont l'écrivain public mr doove, se réunissent chaque mardi soir chez cette dernière. or, mr doove est en retard à la dernière réunion, il a été témoin du meurtre par balle d'un matelot aux abords du scotch saloon, près de ham. a l'autopsie, on découvre que le matelot aurait été électrocuté. sur les lieux, harry dickson se souvient aussitôt de quatre crimes similaires perpétrés dix ans auparavant.
Molly vink, à la fois au service de mrs hasslop et voleuse notoire, s'est introduite dans ham pour découvrir son secret et dérober une fortune. mais, terrorisée, elle doit pourtant fuir lorsqu'elle est confrontée, chez sa patronne, à une effrayante inconnue. un marchand d'oiseaux, qui erre la nuit une cage sous le bras, semble être à l'origine des électrocutions meurtrières. a la recherche du marchand, dickson constate que les habitants de ham ont eux aussi déserté le quartier.
Son enquête et l'historique de ham mèneront le détective aux origines de l'énigme : dans une île des mers du sud !.
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Le grand collectionneur frédéric mandelme fait appel à harry dickson car deux personnages d'une de ses oeuvres de l'école lombarde ont été effacés, alors que le tableau se trouvait enfermé dans un lieu sécurisé.
Le célèbre détective découvre rapidement que la peinture est d'une facture plus récente. c'est alors que warkins, le maître d'hôtel de mandelme, est assassiné.