leloup
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Il se passe de drôles de choses dans les vestiges de l'abbaye de Loch Castle : des moines fouillent les ruines à la recherche de traces d'une diablesse et de son animal satanique. Mais ces moines sont surpris par Emilia et viennent s'expliquer auprès de Yoko. Ils racontent que la diablesse en question, une adolescente aveugle qui voyait à travers les yeux d'un aigle mécanique, aurait disparu dans une spirale de lumière !
À l'aide de Monya et de son translateur, Yoko part pour le XIIIe siècle découvrir ce qui s'est réellement passé dans l'abbaye calcinée.
Roger Leloup a pris l'habitude d'alterner histoires dans l'espace et histoires « terrestres ». Que ce soit sur (ou sous) Terre ou dans l'espace, ses histoires sont toujours passionnantes et empreintes d'humanisme. -
Khâny emmène Yoko sur Saturne pour explorer un morceau de comète qui semble contenir eau et oxygène et qui a envoyé un énigmatique message d'alerte : « Sauvez Rya. » Dans la crevasse d'où provient le SOS, les deux amies découvrent l'épave d'un « vaisseau surgelé » à l'intérieur duquel se trouve Rya, une petite créature ? biologique mais génétiquement modifiée ? profondément endormie et enfermée dans un sarcophage de survie. Avec Tôpy, son frère synthétique qui veille sur elle, ce sont les « gémeaux de Saturne » ! Et ils ont de lourds secrets à révéler à Yoko...
Roger Leloup a pris l'habitude d'alterner histoires dans l'espace et histoires « terrestres ». Que ce soit sur Terre ou sur Saturne, ses histoires sont toujours passionnantes et empreintes d'humanisme. -
Nous sommes à l'ombre de l'église de Cornstone, près d'Édimbourg, où Émilia et Bonnie viennent fleurir la tombe de la tante Gloria. Le Pasteur Macduff leur raconte la triste histoire de ces deux jeunes orphelins tués dans un accident de train alors que la voiture qui les transportait était immobilisée sur un passage à niveaux. Ils reposent dans "l'enclos des anges", un lieu à l'écart et à l'abandon, où un ange veille sur eux. Étrangement, la statue, don d'un bienfaiteur anonyme, date de 1934, un an avant l'accident funeste. Bouleversée par cette tragédie, Émilia décide de demander à son arrière-grand-père (qui était vivant en 1935) de sauver la vie des deux enfants. Pour ce faire, une solution : utiliser la machine temporelle qui dort dans l'annexe. C'est ainsi qu'Émilia part pour 1935, laissant Bonnie désemparée. Cette dernière alerte Yoko qui part sur les traces de l'adolescente et qui tentera d'éviter la catastrophe ferroviaire...
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Yoko Tsuno Tome 28 : le temple des immortels
Roger Leloup
- Dupuis
- Tous Publics
- 9 Juin 2017
- 9782800170886
À l'occasion de la sortie du tome 28 de Yoko Tsuno, les Éditions Dupuis propose un album de luxe en grand format (25 x 36 cm) avec couverture inédite, comprenant un luxueux making of de 32 pages.
Au château de Rheinstein, Yoko, Vic et Pol participent à une séance d'enregistrement de clavecin d'Ingrid. Un bruit parasite interrompt la séance. Yoko sort sur la terrasse et découvre un survoleur vinéen. Sur l'écran de contrôle, un message enregistré de Khâny lui demande de la rejoindre au plus vite. Yoko et Émilia embarquent dans l'engin qui les ramène à Loch Castle, non pas au cottage mais dans les vestiges d'un château médiéval. À l'intérieur, une grotte, anciennement occupée par des moines cisterciens chassés par Henri VIII, s'ouvre à elles. Elles y rejoignent Lâthy qui leur apprend que Zarkâ, la "servante de Lucifer", veut que Yoko la rejoigne. Quant à Khâny, elle a de gros soucis : suite à la rupture avec Vinéa, elle et ses compagnons doivent trouver un refuge plus profond, notamment dans la grotte où Zarkâ fait régner sa loi.
En pleine nuit, alertées par le mini-dragon Balbok, Yoko et Émilia arrivent au bord d'une piscine, accès direct aux profondeurs du lac. Une main surgit de l'eau, qu'Émilia s'empresse d'attraper. Elle en sort une charmante jeune fille prénommée Iseut, bientôt suivie par son frère Nahm, les deux parlant le gaélique. Yoko et Émilia décident de les accompagner sous l'eau et débouchent dans une autre grotte dominée par une imposante et majestueuse statue de la déesse Brigit. Goliath, le dragon de Zarkâ, se pose près d'elles pour les emmener chez sa maîtresse, au temple des Immortels ! Là, Yoko va affronter le frère Marzin, un amateur de légendes protégé par une garde de moines-robots, et un des plus redoutables adversaires que notre électronicienne ait jamais eu à combattre.
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Elle sent les mots coller à elle comme du goudron.
Elle a appris à voir sans regarder, à rester impassible.
Pas de larmes. Elle sait reconnaître l'attitude de celui qui s'approche et qui va mordre. Les yeux qui brillent un peu. L'air détaché et content de soi.
Quelque chose en elle est devenu poisseux.
Elle suit les pointillés pour disparaître.
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Accompagnée d'Emilia, Yoko Tsuno se rend en Écosse chez Cécilia, dans un château anciennement hanté, pour résoudre un nouveau mystère : lors de la restauration des caves du château, un catafalque a été trouvé. Celui-ci contenait un automate qui, selon d'anciens manuscrits, ne serait autre que la servante de Lucifer arrivée sur terre sur un animal diabolique ! Pour résoudre ce mystère, Yoko n'a d'autre choix que de descendre sous terre avec l'aide de la Vinéenne Khâny et de réanimer Zarka, la servante de Lucifer, avec qui elle conclura un pacte qui l'amènera à rencontrer celui qu'on appelle «le diable»...
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Yoko Tsuno Tome 26 : le maléfice de l'améthyste
Roger Leloup
- Dupuis
- Tous Publics
- 16 Novembre 2012
- 9782800148625
De retour en Écosse, Yoko et Emilia reçoivent une étrange visite. Un notaire vient leur annoncer que l'arrière-grand-tante d'Emilia lui a légué son cottage... pour la remercier de lui avoir sauvé la vie en 1935 ! Intriguées, les deux amies se rendent sur place pour y trouver le fiancé de l'arrière-grand-tante qui leur explique son histoire. En 1934, il a inventé une machine à remonter le temps et l'a utilisée pour voyager dans le futur afin d'y trouver un médicament contre la tuberculose, mal dont se meurt sa promise. Mais resté coincé au XXIe siècle, il lui a fallu du temps pour réparer sa machine et, trop vieux pour faire le voyage-retour, il demande à Yoko et à Emilia de porter le remède dans le passé. Les deux amies n'ont pas le temps d'hésiter : piégées, elles se retrouvent dans les années 30 où elles auront affaire à des comploteurs russes et une étrange pierre précieuse au pouvoir maléfique.
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Albane Gellé semble nous adresser une longue lettre - ou est-ce un chant ? une litanie ? cette longue liste de propositions - comme autant d'invitations à accueillir le vivant. L'eau, la montagne, le vent, le bruissement des feuilles... évoquent des sensations puissantes. Humains et animaux sont convoqués. Et grâce à eux, elle nous rappelle que nous sommes du même monde et que la nature nous habite plus profond qu'il n'y paraît. Le lecteur entre dans le paysage, tout entier, par les dessins et peintures d'Anne Leloup. Encres et crayons donnent une profondeur au minéral et au végétal. Parfois, ils se font plus abstraits, restant dans l'affleurement des émotions, pour s'approcher de l'infiniment petit ou retenir les sensations des mains plongées dans la terre mouillée...
Ces paysages se peuplent de figures hybrides qui nous tendent la main. L'homme-cheval, la femme-oiseau, les hommes-poissons,... nous rappellent ce que la mythologie sait depuis longtemps : que les mondes sont perméables et que nous pouvons les traverser. -
Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Ce texte d'Albane Gellé est tout à la fois une adresse à un tu absent et un long monologue où le temps, la nature et les vivants prennent chacun leur place. Elle nous donne à sentir que l'absence physique peut être compensée par une omniprésence dans les «?petites?» choses de tous les jours. Elle nous dit qu'une présence rendue vivante au fil du temps, des saisons et des enfances qui se succèdent, est le seul atout de l'absence et le point d'ancrage des vivants. Avec elle, le lecteur imagine l'absent, accompagne les gestes simples et se souvient de ses propres fêlures.
Albane Gellé fixe les mots comme autant d'objets à manipuler avec soin pour que la mémoire affleure et que le son fasse sens.
Les dessins au crayon d'Anne Leloup invitent à une rêverie organique. Les fleurs, les saisons et le temps qui passe accompagnent le texte. Ces dessins aériens proposent une seconde lecture de la perte et du souvenir comme un renouvellement, un cycle, celui de la vie.
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Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Pierrot de rien
Françoise Lison-Leroy, Anne Leloup
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 20 Septembre 2014
- 9782359840520
Au départ d'un fait réel, la rencontre lumineuse d'une errante d'aujourd'hui, Françoise Lison-Leroy a construit un récit poétique qui court vers une autre présence. Une voie ferrée, un petit bois, la vie sauvage... et cet autel de campagne, dédié à un accidenté de la route.
Ce texte, entre récit et poésie, raconte l'histoire qui naît lorsque le réel éclate et qu'une fuite en avant le remplace, quand le chagrin prend le dessus sur la vie. Il raconte un homme, ou une femme, qui vit de vide et du bruit du train, s'installe dans un petit bois, là où un jeune père est mort d'un accident de la route ; deux histoires bien réelles se croisent. C'est à la lecture des traces de bords de chemin - abris de fortune, cartons empilés, petit bouquet ou photo jaunie... - que ces vies brisées se révèlent. Ces traces ne parlent pas toujours aux vies pressées, il faut l'oeil du poète pour les lire et les comprendre.
Françoise Lison-Leroy construit son récit de ces histoires glanées, elle en fait un « moment en mots » En parallèle, les dessins d'Anne Leloup glanent le temps qui passe : ombre portée, brindilles, traces... de ce qui se passe au ras du sol, que l'on choisit de voir ou de piétiner. -
Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Avec ce texte, Albane Gellé explore nos dénomateurs communs ; nos besoins d'amour, d'équilibre, de consolation dans un monde souvent trop vaste ou trop meurtri. Un monde dans lequel nous pensons devoir trouver notre juste place, alors que peut être, nous devrions nous y glisser, nous y couler, ou simplement y vivre.
Et là, avec quelques mots, phrases en viatique, les possibles se construisent. Albane Gellé nous parle de solitudes fécondes, de rencontres, de pensées solidaires, dans un espace mouvant qu'il nous reste toujours à construire.
Les fragments de lithographies d'Anne Leloup accompagnent les textes. Ce sont des formes, des cocons, des cailloux qui parfois servent de talismans et qui tentent de résumer des bouts de monde.
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Ça se passe pendant trois ans, c'était pas les plus palpitants. J'crois pas que t'aies envie d'y repenser, à ces années covidées. Pourtant on y a laissé un petit bout de nous. On le sait, on le sent le trou. Alors il est temps d'en reparler. Pour digérer et cibler ce qui nous a impacté·es. Engrais est basé sur une trentaine de témoignages de jeunes personnes Finta*, récoltés entre 2019 et 2022. * femmes, personnes intersexes, non-binaires, trans, agenres
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Plié, c'est un petit livre. Déplié, il se transforme en décor pour devenir terrain de jeux et d'histoires. Illustrées par Anne Leloup en linogravure, ces frises sont imprimées sur papier dessin de qualité, ce qui permet le coloriage au crayon, au pastel ou à la gouache. Toutes les couleurs sont à inventer : sans contraintes. Ces livres se veulent une réponse originale au coloriage traditionnel. En effet, la part belle est laissée aux couleurs choisies par l'enfant. Le livre devient alors support de création, de jeux et de rêves...
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Les choses que l'on ne dit pas
Daniel Arnaut, Anne Leloup
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 1 Mars 2006
- 9782930223711
Un homme, ancien ouvrier, est atteint d'une maladie incurable. Ses dernières paroles, d'une folie et d'une lucidité saisissantes, trouvent un écho dans le monologue du narrateur, son fils, qui les recueille et les prolonge. Hommage au père, à ce qu'il a été, à ce qu'il n'a pas pu être.
Avec pudeur, Daniel Arnaut nous convie à un voyage à travers « les mots que l'on ne dit pas ». Loin de nous retrancher du monde, cette plongée dans le secret de l'être ouvre notre regard aux gens, aux objets, au paysage. L'écriture, sobre et concise, donne à ce partage une dimension universelle.
Anne Leloup a illustré ce texte : « J'ai voulu d'une part rendre hommage à la relation père-fils en la traitant par le biais de "figures", à la fois présente et absente. D'autre part le texte évoque aussi des détails de la vie quotidienne et fréquemment des situations où les mains sont actives. Les mains d'une personne font autant son identité que son visage. C'est peut-être pour cela que si, dans les " figures ", les visages sont absents, les mains, elles, sont incarnées. On pourrait aussi dire que les traits hachurés répétés dans les images sont autant de signes de la confusion de l'esprit et des sentiments des personnages. Du père comme du fils. Mais il n'y a pas que cela, ces traits effacent, nient, gommes, parfois avec rage mais au final ils offrent comme un apaisement. Tout cela, c'est ce que je peux dire "après coup", après avoir fait les images. Au moment du dessin la main pense à servir le texte mais pas à préméditer sa propre écriture.» (Noville, le 26 janvier 2005) -
O'yu, un éloge de l'eau chaude
Anne Leloup, Benoît Reiss
- Esperluète Éditions
- L'Estran
- 8 Octobre 2021
- 9782359841411
Lors de son premier voyage au Japon, Benoît Reiss arrive chez ses hôtes et est invité à prendre un bain. Une pratique qui semble toute naturelle à ceux-ci, mais pour l'auteur, c'est tout un monde qui bascule ; il rencontre l'O'Yu - eau chaude en japonais.
Au fil de 55 textes courts, il avance doucement, mot après mot, pierre après pierre, bain après bain. Nous partageant ces fines observations, ses vives réactions, ses conversations magiques... Les mots deviennent tour à tour gouttelettes, pierres, insectes. La réalité se renverse, la séparation entre les êtres et les choses s'évapore ; les animaux parlent, de longs nuages dansent, l'eau frissonne, les mots nous éclaboussent.
Et tout cela se passe au creux d'un rocher ou près d'un distributeur de cigarettes et de canettes, au milieu d'un jardin artificiel, au bord d'une nationale, dans des bains publics ou encore dans un bassin de bois entouré de pierres noires C'est là que se côtoient employés de bureau, grand-mère et petit-fils, ouvriers, patrons, artisans, sans-abris... mais aux bains peu importe, car il est question de corps, d'infinis territoires et de sensations.
Le regard aiguisé, d'observations précises en sensations intériorisées, Benoît Reiss signe un livre bouleversant où le lecteur est tantôt absorbé, surpris, amusé, saisit . Il nous transmet les nuances de quelque chose d'essentiel : la simple et puissante certitude d'être vivant.
Attentive aux moindres bruissements d'air, aux minuscules gouttelettes, au pinceau qui se vide, à la couleur qui s'infuse, aux mouvements infimes, les encres d'Anne Leloup imprègnent les pages.
À eux deux, ils nous transmettent le désir très grand de pouvoir un jour, à notre tour, s'immerger dans l'eau et rencontrer l'O'Yu...
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Décor à assembler.
Un livre à colorier mais aussi à découper et à assembler.
Tous en bateau pour un long voyage... -
Terre Délicieuse. Gauguin à Tahiti
Olivier Morel, Anne Leloup
- Esperluète Éditions
- 1 Octobre 2003
- 9782930223421
Carnet à regarder, à colorier, à rêver... Crayons, pastels, gouaches... tout est permis : en avant les couleurs! Librement inspirés des peintures réalisées par Paul Gauguin à Tahiti, ce carnet contient 36 dessins ponctués de citations extraites de Noa Noa, livre manuscrit et enluminé de la main de Gauguin, d'après la version conservée au Musée d'Orsay à Paris.
Les images ici réunies s'attachent plus particulièrement aux « à côté » des sujets des peintures de Gauguin: les arrière-plans, les détails, les petits objets, animaux et moments de la vie quotidienne à Tahiti sont prétexte à une redécouverte de l'oeuvre du peintre.
Anne Leloup et Olivier Morel sont peintres et graveurs, leurs images à colorier se mélangent... une manière ludique et originale d'approcher l'univers de Gauguin.