marie thÉrÈse
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LES ROSEAUX NOIRS, L'AUTRE, LES MEUBLES (COFFRET)
BODART, MARIE-THERESE
- ARLLFB
- 26 Juin 2015
- 9782875930361
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Intacte
Marie-thérèse Orain
- Camino Verde
- Un Spectacle A Lire Et A Ecouter
- 13 Avril 2015
- 9791090267121
Ah?! les vieilles, c'est plus c'que c'était?! Y en a une, là, qui vient de me retourner une claque monumentale. Une baffe, une vraie?! Marie-Thérèse Orain, qu'elle s'appelle?! En un aller-retour, de chansons étourdissantes et de piano à l'unisson, j'étais presque K.-O. debout. J'ai vu trente-six chandelles, j'vous jure, faut s'méfier des p'tites femmes?! De toutes les p'tites femmes convoquées dans les chansons de son répertoire?: on dirait des victimes et pan?! dans la gueule du macho, du harceleur, du dragueur de p'tite soeur. Mais aussi boum?! dans le foie des conventions, des préjugés et de la mollesse intellectuelle?! Bon, elle n'était pas toute seule, y avait des auteurs aussi dans la bagarre, un surtout, un certain Jacques Debronckart, un teigneux élégant bien connu des services de censure, du temps de Pompidou?! Et puis, la mornifle fut administrée avec la classe nonchalante des vraies Parisiennes, le music-hall dans le sang, le sentiment à fleur de peau, et l'humour au coin des lèvres?: qu'est-ce que j'ai dégusté?! Mais je l'avoue, je dois être un peu maso, j'en redemande?! j'ai trouvé ça bon, de me prendre cette beigne?! Parce que là c'est l'intelligence qui dresse le poing?!
Juliette -
De Mons vers le nouveau Monde
Hossam Elkhadem, Marie-thérèse Isaac
- Académie royale de Belgique
- 1 Janvier 2015
- 9782803104833
Jean-Charles Houzeau (Mons, 1820 - Bruxelles, 1888) est un scientifique belge majeur hélas trop méconnu. Engagé dans le journalisme de combat, ses articles témoignent du sort pénible des ouvriers et des inégalités sociales en Belgique. Grand voyageur, sa culture est celle d'un honnête homme curieux de tout et qui associe à la science les progrès sociaux qu'elle doit engendrer. En 1857, il part pour les États-Unis, une société qu'il croit égalitaire. Il déchante vite.
Installé en Jamaïque en 1868, il y écrit l'essentiel de ses travaux, une dizaine de livres et quelque trois cents monographies scientifiques, témoins de ses intérêts multiples !
Les lettres de Jamaïque, publiées ici et envoyées à sa famille à Mons, présentent un panorama exceptionnel des multiples centres d'intérêt de l'homme et d'une époque.
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« On engrange que ce qu´on peut », affirme un personnage de La Moisson des Orges. Parfois, on cherche un champ de blés, mais on ne récolte que la moisson des orges. Autrement dit, il faut accepter ses limites. Dans cette saga familiale, Luc est amoureux d´une mère et de sa fille. Toutes deux vont mourir, et il rejoint Paris pour se marier avec une femme qu´il n´aime pas. Toute sa vie est marquée par une recherche perpétuelle de lui-même, par une inquiétude qui se prolonge chez ses enfants. Sans doute le reflet de l´époque, car le roman se déroule durant la Seconde Guerre mondiale, notamment lors du terrible bombardement de Dunkerque en 1940. Mais il est aussi le reflet de cette réflexion sur la complexité humaine qui traverse toute l´oeuvre de Marie-Thérèse Bodart, marquée par une vigueur mêlée de sensibilité et, toujours, inscrite dans la vie la plus prosaïque et quotidienne.
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De l'egalite a la parite ; le difficile acces des femmes a la citoyennete
Marie-Therese Coenen
- Labor Sciences Humaines
- Quartier Libre
- 22 Janvier 2011
- 9782804014339
" cinquante ans après l'instauration du suffrage universel, la représentation politique des femmes pose question.
Dans les autres sphères de la société, dans la famille, le travail, l'inégalité subsiste, flagrante et apparemment irréductible. [. ] la persistance des discriminations dites indirectes montre les limites de l'égalité formelle. la réalité est complexe. la neutralité du droit ne se retrouve pas dans la société. changer les lois ne suffit pas à changer les rapports de genre. l'inégalité devient tacite et invisible aux yeux des décideurs.
A l'égalité des droits, il faut dès lors substituer le droit à l'égalité. la parité tente d'apporter une réponse à ce problème en intégrant à la fois le concept d'égalité entre les individus et la dualité sexuée du genre humain. elle vise non seulement l'égale représentation des hommes et des femmes mais aussi le partage égalitaire du pouvoir, clés indispensables pour refonder notre démocratie. ".
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Ambroise Daumier est-il un savant fou ? Ses recherches médicales controversées, concernent les effets des ondes sonores et de la mescaline sur le comportement humain. Il prend le risque et réussit à soigner Charlotte dont son fils Alain est amoureux. Puis, en 1936, il rejoint un laboratoire en Bavière, où «â€¯on conçoit le chercheur comme un découvreur soutenu par l'État : un simple technicien, et ces gens-là prendront le pas sur nous dans l'avenir ». Ambroise développe alors une terrible «â€¯chirurgie de l'âme ». Son assistant Olivier est-il prêt au meurtre pour voler ses documents au Dr Daumier ?
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Deux soeurs aiment le même homme. La première, Christiane, va commettre un crime passionnel. Tandis que la seconde, Agnès Pierrefeu, jalouse et même haineuse, entre au couvent, et devient moniale dans un ordre de «Âréparation»Âoù la vie quotidienne se révèle très dure : sa vocation est-elle sincère ? Fuit-elle le monde ? Ou se retrouve-t-elle portée par un véritable besoin d'approfondissement spirituel ? «â€¯Alors, où est-elle la solidarité de toute l'espèce humaine ? » s'interroge la romancière et, au milieu du xxe siècle, elle ajoute ce commentaireÂ: «ÂLa spiritualité de notre époque, me paraît complémentaire de nos appétits matériels».
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Néérlandais - Vocabulaire en contexte partie 1 / Woorden in context deel 1 : Débutant
Peter Alkema, Lut Baten, Marie-Thérèse Claes, Louis Dieltjens, José Lodewick, Johan Vanparys
- De Boeck Supérieur
- Langues Vivantes - Neerlandais
- 5 Octobre 2009
- 9782804104498
Un manuel pour rafraîchir rapidement et efficacement son vocabulaire de base en néerlandais.
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Notes ; conversation avec Peter Downsbrough
Marie-thérèse Champesme
- Facteur Humain
- 6 Avril 2007
- 9782960051339
Figure majeure de l'art contemporain, dont le charisme tient à l'économie de ses moyens d'expressions autant qu'à leurs diversités formelles, Peter Downsbrough est un artiste que la critique comme le public eurent longtemps du mal à situer.
Opérant depuis le début des années 70 dans le sillage du minimalisme, au croisement de l'art conceptuel et de l'art concret, il fait partie des rares artistes qui n'ont pourtant pas eu à faire valoir d'étiquette pour s'imposer sur la scène internationale. Sa réputation, Peter Downsbrough la doit à la cohérence extrême d'un système artistique fondé sur la notion de position et de cadrage. Si tout a commencé avec les fameuses Two Poles et Two Pipes qui marquaient avec deux parallèles verticales les premiers sites et architectures, sa réflexion sur l'espace comme lieux, distances, situations, territoires, contextes ou langages, s'est poursuivie avec les Wall Pieces et les Room Pieces qui en plus des tubes avaient recours à l'adhésif noir, en ruban ou lettrage selon qu'il se servait de lignes ou de mots.
Le cadrage, la symétrie, la perspective, la polarité sont autant d'aspects du regard qu'exploitent ses nombreuses pratiques : sculpture, photographie, commande public, livres, films et même pièces sonores. Toujours ouverte, son oeuvre à première vue abstraite s'avère aussi politique, sensible qu'elle est au rôle du public, à l'importance du point de vue, donc forcément de la critique.
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Le récit qu'on va lire, L'Autre, évoque une communion diabolique qui se fait par le bas. Julien Green a parfois approché de ce monde infernal et plus encore, l'auteur de La Confession d'un pécheur justifié, James Hogg. Dans cette oeuvre, comme dans Le Mont des oliviers, Marie-Thérèse Bodart s'efforce de faire sentir l'étroite solidarité qui lie l'homme à l'homme. « Aucun homme n'est une île », a-t-on dit. Nous portons, dans le bien et le mal, sur nos épaules, le destin de tous. Déjà, dans Les Roseaux noirs (Samsa, Bruxelles, 2014), le personnage central, Hubert de Chatelroux, constatait : « J'ai tout perverti autour de moi parce que je suis impur. » Tout l'effort de Marie-Thérèse Bodart tend à rendre à notre monde malade d'irresponsabilité un sens qu'il a perdu : celui de l'importance de chacun de nos actes, de chacune de nos pensées. Si Les Roseaux noirs est une oeuvre sauvage, forte et fascinante, elle reste encore marquée par une écriture romanesque « à la française » qui n'est sans doute plus celle de notre temps. Par contre, avec L'Autre et Les Meubles, on détecte un écrivain foncièrement insatisfait, toujours à la recherche du plus vrai et qui va, peu à peu, sans violence mais sans regret, déliter l'intrigue traditionnelle, afin que l'Étrange, le cauchemar, l'exploration des labyrinthes intérieurs prennent le pas sur tout le reste, qui ne sera plus que prétexte. Comme si, à la jeune femme de 1938, héritière du roman psychologique, se substituait un être dont la maturité créatrice se rapproche de l'univers kafkaïen.
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« Sybille et sa famille vivent dans la Maison de l'Eau, où se sont peu à peu accumulés les meubles laissés depuis des siècles par chaque génération. Sur cette forme d'envahissement de la mémoire ancestrale et sur les vivants qui en ont la garde règne une colonie de corneilles. Abel, le régisseur, assume, dans le délabrement de la maison et de ses habitants de plus en plus livrés à leurs obsessions, le rôle hiératique de veilleur. Quand ses parents meurent, Sybille abandonne la Maison de l'Eau. Elle se réfugie dans un appartement, non sans avoir emporté, dans le désordre d'un naufrage certain, chaises, buffets et tableaux. Quand la Maison de l'Eau est vendue, Sybille y découvre Abel mort, les yeux crevés par les corneilles qui viendront en cortège inquiétant la rejoindre dans son appartement, veillant sur elle, sur les meubles épars, comme une conscience nocturne issue du passé. L'écriture discrète et concise prête aux Meubles l'allure d'un conte philosophique où les choses qui, lentement, chassent l'humain envahissent la planète comme les spectres anciens qu'animait le roman gothique. « Les meubles, écrit l'auteur, vivent, robustes, tyranniques... Par eux, la mort saisit le vif ». Version moderne de la Maison Usher, la Maison de l'Eau traduit l'effondrement d'un monde sous le poids des objets qui l'encombrent de leur inutilité. Et Sybille, la survivante, perpétue l'oppression en s'entourant des mêmes futilités ancestrales où les corneilles, dévoreuses d'yeux, posent leur aile nocturne. Plus parfaitement que dans L'autre et dans La moisson des orges, le talent d'évocation de Marie-Thérèse Bodart trouve ici sa plénitude.
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« Dans le domaine de la Renardière, Hubert de Chatelroux, malade et sentant sa mort prochaine, éprouve le besoin de se confier à sa fille Noëlle. Il lui parle de sa mère défunte et de sa demi-soeur, Léna, qu'il souhaite revoir comme il espère que Noëlle découvre un bonheur familial dont il a rêvé en vain. Courtisée par Philippe Fervière, Noëlle se sent plutôt attirée par François, le frère de Philippe. Mais François part pour l'Espagne, avec les Brigades internationales. Noëlle se résigne à épouser Philippe, allant au-devant de l'échec et ne réussissant pas même à dissimuler sa répugnance. Léna, qu'elle a retrouvée, selon le voeu de son père, lui apparaît comme un être amer et méprisant. Un avortement achève d'ôter à Noëlle tout espoir d'une vie amoureuse et familiale heureuse. Les intrigues de Léna, qui ne dédaignerait pas de séduire Philippe et s'est juré de s'approprier la Renardière, resserrent autour de la maison les sombres filets d'une malédiction encore imprécise. Tandis que Hubert s'abandonne lentement à la mort, Noëlle s'éloigne de Philippe et se refuse à lui. Celui-ci lui communique alors un cahier écrit par sa mère, Thérèse Fervière. Elle y apprend comment Thérèse a séduit Hubert et est tombée enceinte. Soudain, Noëlle comprend la haine de Léna pour Hubert qui a délaissé sa mère. Surtout, une réalité lui est révélée de plein fouet, la nature incestueuse de son mariage avec Philippe...
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Corps de femmes ; sexualité et contrôle social
Marie-Therese Coenen
- De Boeck Supérieur
- Pol - His
- 6 Février 2002
- 9782804139476
Le corps des femmes a toujours interpellé les hommes, qu'ils soient artistes, juristes, moralistes ou politiques.
Exaltant ou dénigrant tour à tour une image de la beauté, de la sexualité, de la maternité, le corps féminin mis à nu symbolise tous les fantasmes masculins qui révèlent, au-delà de la fascination, une peur, une ignorance, voire un mépris qui alimentent leur désir de possession.
La femme a-t-elle une âme ou ne serait-elle qu'un corps ? Proche de l'animal par sa " nature " qui l'apparente au sauvage, selon les moralistes et les criminologues, on la pare en même temps de toutes les vertus si elle est mère et chaste à l'instar de la Vierge Marie.
Effet de miroir qui oppose sans cesse une image de la femme idéale et idéalisée à celle de la pécheresse. Marie ou Eve ? La maman ou la putain ?
Instrumentalisé par les médias de tous les temps au service de l'art, de la morale, de la politique ou de la publicité, ce corps, livré en pâture au public, appartient-il encore aux femmes ? Comment les femmes ont-elles pu (re)conquérir la maîtrise de leur corps longtemps sacrifié à sa seule fonction reproductrice ?
C'est ce que ce livre tente d'explorer à travers divers itinéraires qui passent par la médecine, la justice et le droit, jusqu'aux combats des féministes pour l'avortement et contre le harcèlement sexuel.
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Marie de gournay et son oeuvre
Noiset Marie-Therese
- Editions Namuroises
- 1 Décembre 2004
- 9782930378107
Marie de Gournay se sentait incomprise par son époque. Elle misait sur l'avenir, persuadée que l'histoire reconnaîtrait l'importance de son oeuvre. Elle avait raison. La diversité de ses Advis offre aujourd'hui ample matière à explorer à l'historien aussi bien qu'à toute personne qui s'intéresse à l'évolution de la société.
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Esclaves
Thierry Aprile, Marie-Thérèse Davidson
- Gallimard Jeunesse
- Sur Les Traces De...
- 24 Février 2011
- 9782070637041
«Souvent, quand il regardait son fils dormir, Joseph lui murmurait : "Je te jure que tu ne connaîtras pas le sort de ton grand-père ! Toi, tu seras libre et on te respectera."» Partager les douleurs et les espoirs de deux frères esclaves à travers le récit de leur vie, d'Afrique aux Antilles. Découvrir les combats pour l'abolition de l'esclavage. Apprendre les fondements de notre histoire.Illustrations de Christian Heinrich