stanislas
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Les aventures d'Hergé
José-louis Bocquet, Jean-Luc Fromental, Stanislas
- Dargaud
- 1 Décembre 2017
- 9782205077285
Des années de scoutisme aux premières publications en passant par les découvertes artistiques et les rencontres avec Edgar P. Jacobs, Tchang Tchong-jen ou Andy Warhol, tout un parcours qui est retracé dans cette biographie en bande dessinée d'Hergé, l'auteur légendaire des Aventures de Tintin. Les auteurs nous racontent, avec une maîtrise époustouflante de la ligne claire, une vie passionnante, faite de doutes et de certitudes, qui donna une oeuvre universelle. Une biographie non autorisée, mais dont chaque case montre le respect tant pour l'homme que pour l'oeuvre.
Une couverture et quelques pages inédites !
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Débutées dans la Seconde Formule de LAPIN, voici les aventures nostalgiques et modernes d'Hector Gaulois.
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Un nouveau récit de Stanislas qui réutilise le personnage du Galérien, en conclusion parfaite de son Volume d'ARCHIVES.
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Enfin un PATTE DE MOUCHE du seul véritable héritier de Saint-Ogan et d'Hergé qui se respecte. Où l'on apprend qu'on a tout à gagner à être savant fou plutôt qu'assureur ou étudiant en marqueutingue.
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L'assassin habite au 21
Stanislas-André Steeman
- Les Éditions du Masque
- Le Meilleur Du Masque
- 22 Janvier 2025
- 9782702452707
Depuis quelques mois, les habitants de Londres craignent pour leur vie. En effet, sept corps ont été retrouvés, le crâne fracassé, portant sur eux la carte de visite du tueur : Mr Smith. Pas de lien entre les victimes, pas de mobile apparent. Tous les Smith de la capitale font profil bas. Et Scotland Yard est sur des charbons ardents pour retrouver ce meurtrier avant qu'il ne continue à semer la terreur. Seule piste sérieuse : l'assassin habiterait à Russell Square, au 21. Mais dès que la police arrête quelqu'un, un nouveau crime est commis...
Un roman essentiel de la littérature policière, publié en 1939, rendu célèbre par l'adaptation au cinéma d'Henri-Georges Clouzot. -
Mais qu'arrive-t-il donc à Philibert ? Quelque chose ne tourne plus tout à fait rond. Il est la plupart du temps ailleurs, disparaît longuement dans sa chambre, ou encore - et c'est bien là le plus étrange, voire le plus inquiétant - adopte des comportements complètement inhabituels : tantôt agressif et grossier vis-à-vis de ses parents, tantôt serviable à l'excès au point de récurer la maison jusque dans les moindres recoins...
En dehors du fait que Philibert est un enfant turbulent détestant les épinards, ses parents ne remarquent rien, ou presque. Seule sa grande soeur, Capucine, s'aperçoit de la déconcertante métamorphose et s'en alarme. Elle décide de prendre plus de temps à l'observer et à tenter de comprendre ce qui peut motiver ses comportements incohérents. C'est d'ailleurs elle qui nous raconte ce curieux et tragique épisode dont la famille ne sortira pas indemne
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Une lettre lue sans arrière-pensée peut changer le cours d'une vie. C'est du moins ce que doit penser Noël, l'époux de Belle. Fou de jalousie, il vient à mettre en doute la fidélité de sa propre femme : seraitelle la maîtresse de W. ? Pour en avoir le coeur net, il n'a d'autre solution que de se rendre chez l'amant présumé.
Et le meurtre a lieu. Au fil du temps, les rapports du couple se dégradent et une seule question continue à hanter le suspect : Weyl était-il vraiment l'amant de sa femme ?
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Mes papas, l'ogre et moi, Stanislas Cotton (Prix Annick Lansman 2020) - Pétronille, que tout le monde appelle Ninou, est une petite fille délurée. Elle vit heureuse avec deux papas qui l'ont adoptée quand elle était toute petite. Comme tous les enfants de son âge, elle aime raconter l'histoire de sa famille, une histoire d'amour où tout aurait pu être pour le mieux si un jour un ogre n'avait pas jeté un gros pavé dans la mare, couvrant son ciel de nuages et lui faisant comprendre que le monde est compliqué, que les chemins de la vie sont pavés d'embûches.
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La famille Diguedon baigne dans une certaine insouciance quand éclate la guerre.
Poussé par son père (qui espère ainsi vivre en héros par procuration), le fils se porte volontaire. Sa jeune femme consent docilement à son départ tandis que la mère s'installe à demeure dans la cuisine pour marquer son désaccord. Chacun à sa façon vivra douloureusement la séparation... jusqu'au retour du fils qui, traumatisé par ce qu'il a vécu, se révélera incapable de se replonger sereinement dans le cercle familial.
Une écriture personnelle et originale pour un plaidoyer féroce et bouleversant contre la guerre.
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Théodule n'y arrive pas ! Il a beau essayer ; quand vient l'heure redoutée de la dictée, il s'envole, s'enfuit là où les mots ne mangent plus personne, là où les tapis volants prennent deux ailes. Il s'enfuit pour ne pas se noyer dans cette mer de lettres, de points et de virgules. Pourtant, autour de lui, on aimerait l'aider. Sa mère, le directeur de l'école et son enseignante de français espèrent dénicher la panne et réparer. Mais encore faudrait-il qu'eux aussi trouvent les mots pour dire...
Une manière originale d'aborder le problème de la dyslexie qui, à travers ses différentes formes, touche en Europe environ un élève sur dix.
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L'immeuble bruxellois où habite l'inspecteur Côme ne s'anime vraiment que pendant la soirée. Mais ce soir-là... un coup de feu. Dans un placard, le cadavre d'un inconnu. Lequel des locataires soupçonner ?
Quelles intrigues et quels secrets se cachent derrière les portes de ces dix appartements ? Steeman agence son récit comme un orfèvre, et c'est l'âme de la maison qui s'éveille. Si vous entrez, faites attention : le mystère est dans l'escalier.
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La princesse, l'ailleurs et les sioux
Stanislas Cotton
- éditions Théâtrales
- 18 Novembre 2013
- 9782842606398
Que se passe-t-il dans un couple - un vieux couple - lorsque l'un des deux perd peu à peu la raison ?
Depuis quelque temps, la mémoire de Madame Pimprenelle s'efface et, soucieux de la stimuler, Monsieur Sigismond décide d'apprendre une langue étrangère ; pourquoi pas le sioux. Rien de tel pour s'astiquer les neurones. Il s'attelle à la tâche, mais Madame, elle, ne s'y met pas.
Les absences de Madame Pimprenelle sont de plus en plus fréquentes et elle disparaît. Enfin, elle est bien là, mais son esprit est ailleurs. Dans un Ailleurs où elle devient la Princesse Pimprenelle de Falbala. Monsieur Sigismond l'attend donc, le temps qu'il faut. Il fait les courses, prépare les repas, s'occupe comme il le peut de cette Princesse de Falbala qu'il ne connaît pas - et qui traite bien mal son valet - , attendant que revienne sa chère Madame Pimprenelle.
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Les 242 dernieres exécutions en Belgique : les sequelles de la collaboration ; 1944-1950
Stanislas Horvat, Dirk Luyten, Elise Rezsohazy, Dimitri Roden
- EDITIONS RACINE
- 17 Octobre 2023
- 9782390252108
Entre 1944 et 1950, 242 collaborateurs condamnés à mort ont été exécutés en Belgique, en nombre pratiquement égal dans les parties néerlandophone et francophone. C'est un moment charnière dans l'histoire de la justice belge, qui compte peu d'exécutions capitales. Hormis quelques militaires et espions présumés pendant la Première Guerre mondiale, les condamnés à mort avaient tous été graciés depuis 1863. Après 1950, plus aucune condamnation à mort ne sera exécutée. Les exécutions au lendemain de la Seconde Guerre mondiale sont restées gravées dans la mémoire collective de la répression. Cette punition ultime pour collaboration et crimes de guerre eut un large impact social et symbolique. Cependant, de nombreux mythes circulent encore à ce sujet. Ce livre est la première étude majeure consacrée à ce thème controversé. Quatre historiens de la guerre et du droit ont pu consulter pour la première fois les archives des juridictions militaires, le protagoniste de cette histoire. Les auteurs présentent des cas individuels et dévoilent le rôle des différents maillons de la chaîne décisionnelle : l'auditorat général, les parquets militaires, les autorités locales et le cabinet du prince-régent.
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Des milices armées écument une région d'Afrique centrale sous la conduite du cruel Cobra. Elles déciment les familles, violent les femmes, détruisent les récoltes et pillent les maisons. La haine bâtit son empire.
Lors d'une soirée très arrosée, Kostia Vassiliev, correspondant de guerre au Journal, annonce à son ami Aristide Mironton, écrivain public et rêveur patenté, son départ pour cette région meurtrie d'Afrique. Mais Kostia disparaît après avoir pris la route avec un convoi humanitaire.
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L'infaillible Silas Lord
Stanislas-André Steeman
- Espace Nord
- Espace Nord
- 30 Janvier 1998
- 9782804012274
Ostende 1906.
Le petit Silas a neuf ans quand il résout sa première énigme, découvrant ainsi sa vocation. Quelques années plus tard, il se proclame " plus fort que Slerlock Holmes " et s'engage à résoudre le problème le plus ardu, l'énigme la plus embrouillée en 24 heures ". Silas Lord est-il vraiment infaillible ? David Ford le pense. Peut-être à tort...
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Félicité témoigne. Elle nous parle de chez elle, de son village, de sa famille. Elle hésite, inquiète, chemine sur les sentiers de sa mémoire. Les mots dénouent petit à petit le mystère et nous dévoilent le cauchemar qui a bouleversé son pays, marqué sa terre, souillé les corps. Comme elle, aujourd'hui, beaucoup de femmes sont les victimes principales de toutes les guerres, Cibles récurrentes de la barbarie et de l'avilissement, elles doivent faire face à la douleur et à la honte pour aider ceux qui les entourent à vivre, ou du moins à survivre.
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"Voici un livre dont on peine à sortir indemne tant il va loin dans les tréfonds de l'âme humaine. L'auteur y narre à sa demande l'histoire d'un auteur dont il est devenu l'ami et à qui il a promis de la publier après sa mort. Fruit de longs moments passés ensemble et d'une connivence profonde, le récit écrit à la première personne semble sorti tout droit de la bouche de l'ami perdu et il débute alors que celui-ci a 16 ans et qu'il découvre l'amour avec la belle Anja. Aux superbes pages qui narrent la fraîche passion des deux adolescents succède brutalement une scène d'une barbarie atroce. Des miliciens douteux ont envahi le village et ils ont pénétré dans les maisons où ils s'adonnent à des exactions innommables. Ayant survécu par miracle au massacre, le confident n'a jamais plus parlé de cet événement qui hante pourtant ses nuits et ses jours. N'y peuvent rien le procès de guerre et les témoignages de survivants, les discours d'empathie. Aucun pays ou nom de lieux n'est cité, les dates des faits sont estompées, ce qui permet d'affirmer l'universalité du propos. La beauté de la musique et l'alcool parviennent quelquefois à écarter les fantômes, le refuge de l'écriture et de la lecture estompe la douleur des blessures toujours à vif. C'est précisément le tour de force de ce roman que de narrer le pire tout en affirmant la puissance de la poésie qui prend d'emblée possession du texte comme on vient au secours d'un noyé. Viatique aux vertus insoupçonnées, elle ne le quitte pas dans les moments les plus dramatiques. Ce faisant, Stanislas Cotton dénonce avec talent la barbarie toutes bannières confondues et salue pudiquement la mémoire des victimes tout en affirmant qu'il reste toujours en chacun une part inaliénable sur laquelle s'appuyer envers et contre tout.
- Thierry Detienne"