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Sciences humaines & sociales
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Chroniques des rues de bruxelles t.1
Jacques Collin De Plancy
- Maelstrom
- Bookleg
- 1 Décembre 2020
- 9782875053763
Quoique Bruxelles n'ait que le quart des rues de Paris, elles sont désignées, comme dans la capitale de la France, d'une manière également pauvre et misérable ; et si l'on en excepte une vingtaine à qui leur baptême a laissé un souvenir historique, la plupart des autres sont revêtues d'un écriteau qui n'a même pas toujours le modeste avantage de ne signifier rien.
Tandis que Bruxelles a possédé beaucoup de savants, grands hommes, qu'elle a vu mille événements remarquables, que des artistes célèbres, des littérateurs sont nés dans son sein et devraient avoir laissé leurs noms sur ses murailles, c'est le plus souvent dans les choses d'un usage trivial et commun, qu'elle a pris les étiquettes de ses rues ; et elle les en a si mesquinement affublées, qu'on y voit à chaque pas, comme à Paris, deux rues qui ont le même nom (...).
Mais sur celles de nos rues et de nos places, dont le blason est consacré par d'anciens faits peu connus, nous nous proposons de publier nos recherches ; et peut-être serons-nous assez heureux pour intéresser quelquefois les Bruxellois, qui ont au moins la vertu de tenir à leurs antiquités, à leur pays, à leur gloire nationale et à l'honneur de leurs pères.
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Depuis près de trente ans, l'oeuvre du poète François Jacqmin, décédé en 1992 ne cesse de voir grandir la place qu'elle avait déjà acquise de son vivant. Abondante (de très nombreux inédits existent à côté des recueils publiés), elle est doublement intemporelle et actuelle: dans une écriture qui, ne devant presque rien aux époques qu'elle a traversées, n'est pas datée, le poème de Jacqmin reste pertinent pour notre temps, comme il le fut durant son parcours de poète.Ces cahiers qui lui sont consacrés sont animés d'un double esprit: le respect du poète François Jacqmin et de son oeuvre, le souci de les servir et de les faire mieux connaître.Ils seront le lieu de prépublications d'ensembles de poèmes inédits, de proses, de textes sur l'art et les artistes. Ils accueilleront à l'occasion des études sur l'oeuvre, des témoignages, des documents (des correspondances), de l'iconographie. Ils ambitionnent d'enrichir l'expérience de lecteurs, toujours plus nombreux, d'un oeuvre hors du commun
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"Ombres et lumières est comme un flux de vagues qui nous emporte dans les abysses océanes de l'âme humaine. Dans la turbulence des flots, l'être dévoile sa nudité intérieure, sa fragilité intemporelle, ses souhaits les plus enfouis. La lourdeur des nuages dévoile tous les contours et toutes les nuances de la grisaille, de la blancheur. Le combat qui se joue entre les ténèbres et la lumière est permanent."
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Philippe Beck est poète et philosophe et sa pratique de la poésie est inséparable d'une réflexion sur la place de l'écriture dans la vie de la langue et dans la société en général. Son travail poétique donne une place essentielle au vers, qu'il est un des rares à considérer comme élément clé de la poésie d'aujourd'hui. Nourrie d'une grande érudition et d'un sens très aigu de la responsabilité sociale du poète, l'écriture de Philippe Beck s'interroge sur la possibilité de refaire poétiquement la langue et, partant, la vie.
Ce volume retranscrit un entretien entre Philippe Beck et Jan Baetens qui s'est tenu à Bruxelles dans le cadre des conférences des Midis de la poésie.
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On croit toujours être vivant Alors qu'en fait ce qui s'en va Et bouge un peu dans la lumière / C'est notre squelette étoffé Poudré coiffé vêtu Revenu de plus loin que la vie / Dans une portion étrange et vide Décalée du réel A l'intersection du fracas.
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L'écriture et la foudre ; Jacques Izoard et François Jacqmin, deux poètes entre les choses et les mots
Gérald Purnelle
- L'arbre a paroles
- Midis De La Poesie
- 29 Octobre 2016
- 9782874066375
"Izoard et Jacqmin : deux poètes belges, qui comptent désormais parmi les plus importants et les plus marquants de la deuxième moitié du XXe siècle, et que tout paraît opposer, à commencer par leur personnalité, leur parcours, et surtout leur écriture poétique. On propose ici un parcours parallèle, afin de dégager les points de vue qui les distinguent, pour ensuite examiner ceux sur lesquels, sans doute moins attendus, mais peut-être plus profonds, ils se rapprocheraient davantage.
Le poème est pour Izoard comme pour Jacqmin le chemin, laborieux ou fulgurant, qui doit pouvoir mener d'un pôle, la sensation, à un autre, l'expression, dans un perpétuel désir de jouissance : écrire serait ainsi le moyen projeté d'une conservation de cette jouissance. Jouissance des objets, des corps, de la nature et des mots chez Izoard. Jouissance de la nature, mais aussi, sa poésie le montre constamment, jouissance de la pensée chez Jacqmin."
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Le poète pisse dans son violon
Pierre Autin-Grenier
- Les carnets du dessert de lune
- 10 Février 2016
- 9782930607009
"Un titre pareil, ça pose. Mais rien d'étonnant, lorsqu'on l'accole à celui de son auteur. Ce sont des aphorismes de 1995 restitués une quinzaine d'années plus tard, et qui n'ont rien perdu de leur côté vachard, acerbe, vantard, macho, ironique et souvent désopilant. C'est aussi une manière assez rare chez Autin-Grenier, lui qui aime cultiver les textes assez courts, mais tout de même, quelques pages, il retourne son lecteur en deux ou trois lignes, telle une sentence inouïe de derrière les fagots. C'est parfois absurde, insolite, loufoque. Sans doute ce que je préfère. L'ensemble reste assez régulier, sans trop d'écart de qualité. On a du mal à choisir, et d'abord pour ne pas déflorer, mais bon, une petite pour le route, pour donner un goût dans la bouche... J'attends toujours qu'un agnostique un peu roublard et rigoleur fasse don de son âme à la science." © Décharge 2010.
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« Nous vous en prions sous le familier, découvrez l'insolite, sous le quotidien, décelez l'inexplicable. Puisse toute chose dite habituelle vous inquiéter. » Colette Nys-Mazure a pris au sérieux l'exhortation de Brecht pour nous offrir cette Célébration du quotidien. Car dans la routine des jours, nous sommes bien souvent ailleurs, absents à nous-mêmes, sourds à ce miracle continu qu'est notre vie ordinaire. À travers une écriture poétique et très suggestive, Colette Nys-Mazure célèbre la trame secrète de nos existences. « Chaque matin, je m'étonne et je me réjouis d'être en vie. Je ne m'y habitue pas. »
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Traducteur et grand connaisseur de la littérature grecque et latine, Michel Grodent a retenu un choix de textes érotiques, scabreux, obscènes dont les auteurs sont Horace, Aristophane, Ovide, Juvénal, Catulle... Du piment dans votre vie littéraire.
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Anthologie poétique. Lire, écrire, illustrer s'ouvrent à l'interdisciplinarité. Ces nouvelles pistes explorent des romans parus en poche, à L'Ecole des loisirs. Elles passionneront élèves et enseignants, bibliothécaires et animateurs d'ateliers d'écriture.
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L'intranquille n.22
Revue L'Intranquille
- Atelier de l'agneau
- L'intranquille
- 12 Mars 2012
- 9782930440484
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Le néant et la poésie à la fin de l'âge de la technique leopardi
Emanuele Severino
- Eme editions
- Metaphysiques Contemporaines
- 2 Janvier 2012
- 9782806600714
On peut dire que ce livre ne fait rien d'autre que laisser parler Leopardi. C'est une nécessité. Nous ne l'avons jamais vraiment écouté. Schopenhauer, Wagner, Nietzsche surent qu'ils se trouvaient en face d'un génie. Mais quand Nietzsche, dont l'influence sur la culture contemporaine est décisive, écrit que Leopardi est « le plus grand prosateur » de son siècle, ou « le philologue idéal », il contribue de façon déterminante à en dissimuler la grandeur philosophique...
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Illuminé par une enfance paradisiaque qui marquera et sa personnalité et son oeuvre, c'est - après le chef-d'oeuvre Mère paru en 1935 - dans le recueil posthume Souvenirs, l'un des derniers écrits par Maurice Carême, que se reflètent et l'éblouissement et aussi la nostalgie des bonheurs vécus enfant et adolescent. L'image du « poète de la joie » que certains de ses contemporains ont tenté de lui apposer ne résiste pas à une lecture approfondie ni de sa poésie ni de sa prose.
La dualité de sa vision du monde en fait bien davantage « un poète de la grandeur et de la misère de l'homme. Concise, discrète et pénétrante, son oeuvre nous parle de la solitude profonde de l'homme et de la joie de l'existence » (Laszlo Ferenczi, universitaire hongrois).
Malgré toutes les clartés que projettent tant et tant de vers de « Souvenirs », les ombres sont là qui font de Maurice Carême, dans sa miraculeuse simplicité, un des poètes majeurs du XXe siècle.
AUX FENÊTRES DU TEMPS Aux fenêtres du temps, J'ai regardé le monde.
Je me suis vu, enfant, Jouant tout seul dans l'ombre.
Que faisais-je, riant Dans les herbes profondes ?
Aux fenêtres du temps S'enfuyaient les colombes.
Je me voyais parlant Comme l'on parle en songe Dressé sur le ciel sombre Ainsi qu'un rosier blanc Aux fenêtres du temps.
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" La grande littérature a partie liée avec la joie, la ferveur, la jubilation.
Pas avec la jérémiade, le cynisme ou le ressassement du non-sens. La grande littérature, c'est le malheur " traversé " par la grâce du style. Et le style - oui, Flaubert !-, c'est de la pensée ! ".
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La figure de Jacob est une figure de l'être aux prises avec le réel. Ses pérégrinations et sa lutte avec l'inconnu revêtent un intérêt philosophique essentiel, car il s'agit du sujet tel qu'il se manifeste dans l'acte de se « choisir » lui-même, selon le terme de Kierkegaard.
Son étreinte avec l'autre est une greffe de l'instant sur l'éternité.
Après une étude des versets bibliques consacrés au personnage de Jacob et des commentaires ultérieurs, Anne Mounic examine les références à Jacob dans la littérature et tente de cerner la valeur poétique et philosophique du modèle.
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Héliand l'évangile de la mer du Nord
Vanneufville E
- Brepols
- Miroir Du Moyen-age
- 25 Août 2008
- 9782503528663
Ce poème germanique de près de 6000 vers a été composé entre 822 et 84o, vraisemblablement vers 825, dans les premières années du règne de louis le pieux, par un érudit chrétien, sans doute compagnon du frison liudger.
Ce dernier était le continuateur de l'oeuvre, en pays frison et saxon, des évangélisateurs anglo-saxons du viiième siècle, dont willehad, lequel avait succédé à boniface, tué en 754 à dokkum alors qu'il poursuivait l'évangélisation entreprise par willibrord. la langue utilisée, qualifiée de vieux-saxon par les spécialistes, était donc tout à fait familière à son auteur. celui-ci, soucieux d'assurer le succès de l'evangile dans les coeurs à la suite de la dure conquête par charlemagne de la frise occidentale et du pays saxon, usa d'une langue connue des peuples riverains de la mer du nord au début du ixeme siècle.
Surtout, il apporta au texte de l'evangile, basé sur des manuscrits et travaux provenant de fulda, abbaye fondée par boniface, des adaptations d'ordre sociologique propres à susciter l'adhésion des peuples rudes et fiers de ces contrées nordiques. en ce sens, le heliand n'est pas seulement une reprise de l'evangile : il est aussi le document particulier par lequel les évangélisateurs des pays riverains de la mer du nord font entrer le lecteur dans la société des nouveaux convertis d'entre weser, ems et lauwers, fraîchement vaincus et soumis par les francs.
La présente traduction, en prose, est accompagnée du texte germanique tel qu'édité à halle en 1878 par eduard sievers, et de commentaires et annotations. elle est précédée d'une introduction historique et d'un lexique de termes empruntés au heliand et comparés à quatre langues germaniques proches, avec traduction en français.
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Il vit en Hesbaye liégeoise, écrit en français, mais Aki Roukas est Grec. Et la Grèce nourrit son oeuvre poétique, la baigne de ses légendes et de sa mythologie. Comme si le poème et le poète n'étaient qu'un rocher solitaire que viennent frapper les vagues, en flux et reflux, embruns et ressac de la mémoire des origines inscrites dans la chair. (Francis Chenot)
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à la lisière des mots ; sur la traduction poétique
Fernand Verhesen
- Lettre volee
- 14 Avril 2003
- 9782873171988
Revenant sur son expérience de traducteur autant que de poète, Fernand Verhesen s'interroge sur ce qui constitue la pratique de la traduction poétique en un exercice d'écriture à part entière. Une manière d'écriture qui conjugue la plus haute exigence d'écoute et la liberté la plus absolue.
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Pour apprendre la paix à nos enfants
Werner Lambersy, Léo Beeckman
- Cadex
- L'anthrope
- 11 Mai 2001
- 9782913388215
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