Lettre Volee
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Premier livre en français qui interroge l'oeuvre du dessinateur italien de bande dessinée Guido Crepax (1933-2003), cet essai questionne les révolutions graphiques et narratives qu'il introduit, l'avant-gardisme de ses créations, ses personnages féminins dont la mythique Valentina. Il déploie l'érotisme crépaxien à travers ses adaptations d'Histoire d'O., de Justine de Sade, d'Emmanuelle... et rend compte de la manière dont l'érotisme est vu comme le laboratoire d'une réflexion sur l'identité, le règne des images et le royaume de la sexualité en ses explorations illimitées.
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Bye bye future ! ; l art de voyager dans le temps
Sofiane Lagouhati, Luc Schuiten
- Lettre volee
- 17 Juillet 2020
- 9782873175542
Le Musée royal de Mariemont présente en janvier 2020 une exposition explorant le thème des recadrages espaces- temps dans l'art intitulée "Bye Bye Future ! L'art de voyager dans le temps" . La scénographie ludique et originale de l'architecte Sébastien Faye fait la part belle à la carte blanche donnée au célèbre architecte utopiste Luc Schuiten - invité d'honneur de cette manifestation. Le texte de ce catalogue d'exposition, rédigé par Sofiane Lagouhati, envisage diverses formes d'exploration et d'extrapolation du temps : rétrofuturisme, cyber punk, utopies, dystopies et uchronies, avenir du livre et numérique, etc.
Littérature, cinéma, art contemporain, fan art des cultures pop et de science-fiction... sont autant de mondes créatifs qui amènent le visiteur à (re)vivre non pas un mais des retours vers le futur ! l'exposition compte plus 150 pièces exposées de toutes sortes (manuscrits, sculptures, vidéos, arts graphiques et numériques, installations...) majoritairement modernes et contemporaines. résolument pop, l'exposition présente également tout un pan dédié aux jeux vidéo, aux robots de nos enfances ou héros de nos écrans, ainsi qu'à la manière dont ils investissent notre imaginaire et notre culture contemporaine.
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Il n'y a sans doute jamais eu d'âge d'or pour les écrivains. A toutes les époques ils ont dû se débrouiller dans des conditions parfois simplement difficiles, et le plus souvent impossibles. Le monde s'est toujours très bien organisé pour se passer de ses auteurs vivants. ce n'est pas qu'il soit exclu a priori de vivre de sa plume, ou de trouver une place dans la société : c'est que la littérature n'est pas un métier, mais une transgression du langage, dont le rôle est de donner aux mots un sens qu'ils n'ont pas.
Elle produit ainsi, autre part que dans le copié-collé du réel, une représentation de la vie que rien ne peut remplacer. Malgré le flou artistique, fait de légendes et de contre-vérités, qui s'attache à la création littéraire pour la réduire au simple récit de ce qui est quantifiable, le travail de l'écrivain n'est pas du tout achevé : il se poursuit, il dure, il recommence sans cesse, avec d'autant plus de radicalité qu'il est frappé d'invisibilité.
Le contexte dans lequel il s'exerce aujourd'hui lui impose d'user de l'écriture comme d'une arme secrète : violente et cachée.
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Petites mythologies flamandes
Jan Baetens, Karel Vanhaesebrouck, Brecht Van Maele
- Lettre volee
- 12 Avril 2019
- 9782873175337
Que signifie être ou se sentir Flamand ? La question flamande semble être un noeud gordien: langue et culture, histoire et économie, politique et justice y sont inextricablement liées. cependant, tout au long de ce fouillis, un autre fil rouge se dévide, presque inévitablement, celui de l'identité flamande, en tant que fiction et en tant que réalité. Philosophes, médias, politiques et hommes de la rue, tout le monde a son opinion sur cette identité flamande, tout comme les auteurs de cet essai inspiré des Mythologies de roland Barthes. À travers les trente vignettes analysées ici, ils interrogent la manière dont le Flamand se présente dans son comportement quotidien : que regarde-t-il à la télévision? comment tond-il sa pelouse? quand aime-t-il aller au bistrot? quelles expressions aime-t-il ressasser? comme Freud dans sa Psychopathologie de la vie quotidienne, les auteurs tentent de pénétrer « l'être » flamand, en regardant ce que le Flamand fait (ou non) et en écoutant comment le Flamand parle (et ce qu'il pourrait cacher).
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La vie anecdotique ; carnets d'un blogueur épisodique
Yves Depelsenaire
- Lettre volee
- Essais
- 5 Octobre 2018
- 9782873175153
Depuis janvier 2012, Yves Depelsenaire tient un blog, sans contrainte de thématique ni de régularité. À l'image de la chronique tenue par Guillaume apollinaire dans le Mercure de France de 1911 à 1917 sous le même titre : La Vie anecdotique, c'est un joyeux pêle-mêle dans lequel il nous parle d'art, de philosophie, de littérature, de science, de politique. Il y traite de tout ce qui dans le monde contemporain concerne et infléchit la psychanalyse. Au fil de cet exercice, il réfléchit aussi sur cet objet nouveau : le blog.
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Variations sur l'animal central
Aurélien Barrau, Véronique Bergen, Mathieu Brosseau
- Lettre volee
- 12 Avril 2018
- 9782873175061
Cet ouvrage à trois voix interroge le statut de l'animal central. Concept à la limite du concept, il rencontre la question de l'altérité, du désir, de ce qui insiste sous la construction des territoires de la pensée. en son surgissement, Il décentre le lieu de l'homme et instaure de nouveaux liens entre habitants du cosmos. L'animal est peut-être toujours central. Implosé en chaque épiphanie d'un réel pluriel. Et pourtant toujours infiniment périphérique. Abordée suivant les modes du désir-vie, du chaossuaire et du bestiaire synchromécanique, la figure sans visage - organique et orgastique - de l'animal central se déploie jusque dans le là. Entre philosophie et littérature, la poétique défaite de l'animal enfoui s'extirpe d'un peu de ses sédiments.
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Marcheuses au bord du gouffre : onze figures tragiques des lettres féminines
Nihad Salameh
- Lettre volee
- Essais
- 16 Janvier 2018
- 9782873174989
Emily Dickinson, Else Lasker-Schüller, Renée Vivien, Nelly Sachs, Marina Ttsvetaïeva, Edith Södergran, Milena Jesenskà, Annemarie Schwarzenbach, Unica Zürn, Ingeborg Bachmann, Sylvia Plath : onze femmes de génie qui payèrent de leur vie leur parcours intrépide à travers le siècle. Ces insoumises des lettres donnèrent le jour, au plus noir de leur nuit, à des oeuvres destinées à bouleverser le visage de la modernité. Certaines, accablées d'outrages ou d'indifférence, firent le choix de mourir en pleine jeunesse ; d'autres se livrèrent à la drogue, l'alcool, le sexe comme on se jette d'un pont dans la rivière. Toutes eurent en commun le refus, la révolte, la volonté d'exister à l'envers des conventions.
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Les choses, modes d'emploi ; comment on lit Georges Perec
Jacques Leenhardt
- Lettre volee
- 8 Avril 2015
- 9782873174422
Dès sa parution en 1965, le livre de Georges Perec, Les Choses, avec son titre provocateur, est apparu comme le symptôme d'une époque nouvelle. La littérature avait été habituée à un regard objectiviste par le nouveau roman, mais Les Choses lui apportait le témoignage d'un mouvement profond dans la société. Ce récit, devenu un classique, renvoie en effet la figure traditionnelle du héros romanesque au statut d'un satellite dépendant du langage de la publicité, complètement manipulé par les incitations joyeuses et perverses de la société de consommation. Comment ce constat a-t-il été reçu par la critique littéraire du moment ?, c'est l'enjeu de ce bref essai publié par Christian Bourgois en guise de postface à la réédition du livre dans la collection « 10/18 » en 1981.
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Quand un auteur avoue dès la première ligne : « Soyons franc, je ne sais pas écrire », on croit à de la provocation ou à l'amorce d'une grande farce. Et rien n'est moins vrai avec cet essai d'Hubert Antoine, drôle de bout en bout, dans sa tentative de justifier les raisons qui le poussent à écrire depuis plus de 20 ans. Florilège d'humour en surface et grande profondeur pour répondre aux questions que tout écrivain se pose : Ai-je quelque chose à dire ? Pour qui j'écris ? La démonstration est jubilatoire. À travers une vingtaine de chapitres, Hubert Antoine s'essaie à tous les genres afin de nous prouver par son contraire qu'il est incapable d'écrire : de l'éveil en poésie en passant par l'art précis de la nouvelle jusqu'à l'écriture d'un hymne anational (avec deux entractes parmi les plus comiques : ses discours de réception de l'oscar et du Prix nobel de littérature), jusqu'au constat final : « Je ne dois pas écrire à tout prix. Ma vie se réalisera de toute façon dans son expression, dans l'incompréhension particulière et générale, dans l'accord de la mort... » D'un style limpide et percutant, ces réflexions pleines d'esprit, profondément originales gravent en dessous des yeux un sourire permanent que l'on garde longtemps après la dernière page.
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Au coeur de ce travail de lecture revient le motif qui hante tellermann : nous cherchons tous un impossible. Dans une langue tendue par la réflexion et la méditation, esther tellermann nous invite à reprendre les questions essentielles sur la création littéraire et poétique dès son ouverture sur une étude consacrée à Dante. Pour elle, « le poème rejoint le mythe : c'est une manière de rejoindre, dans l'événement, le geste de tous ceux qui ont fait de l'imperfection, de l'irréconciliable, une oeuvre. c'est une manière de dialoguer à travers le temps, d'avoir plusieurs filiations, plusieurs noms qu'on peut à chaque fois perdre, retrouver, mais constitutifs de son nom propre.
Cependant, la loi du langage est une loi qui nous dépasse, qui plie le rêve cosmique, le limite à des sons, des rythmes, fait du poème la grille où l'infini de la matière du monde se fait parole subjective. «L'épique», la sublimation, c'est cela aussi : ce qui noue l'histoire d'une singularité au tragique de l'histoire collective. habiter le poème, sa terre mentale, oblige à accueillir l'histoire, à sortir de l'autobiographie comme de l'anonymat, à construire un sujet contre la puissance du mythe, à bâtir un nom. Je pense à Paul celan, à ossip Mandelstam, à trakl ; à ceux qui ont transformé la nuit, l'étoile, la boue et les soleils. » (esther tellermann)
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Pierre Klossovski ; corps théologiques et pratiques du simulacre
Hervé Castanet
- Lettre volee
- Essais
- 18 Mars 2014
- 9782873173838
Cet ouvrage aborde l'oeuvre de Pierre Klossowski (1905-2001) dans tout son long. Reconnu et admiré par ses pairs (Bataille, Blanchot, Parain, Gide, Foucault, Deleuze, Lyotard, Lacan.), c'est un grand écrivain, un grand théoricien, un grand peintre. C'est aussi un grand traducteur du latin et de l'allemand. Cette oeuvre tourne autour du regard porté à son incandescence, métamorphosant ceux qui le rencontrent. Le destin d'Actéon, auquel l'écrivain et ses héros masculins sont identifiés, est toujours en point de mire. Comment voir l'invisible divinité ? Voilà la question qui harcèle Klossowski et qu'il déplacera dans des rituels pornographiques inlassablement répétés. Il y a ce moment systématiquement traqué où, dans la conversation intime entre un homme et une femme (l'époux - l'épouse), les mots échangés s'interrompent. La scène, ouvrant à la rencontre sexuelle des corps, se fige dans le silence. Le corps, pris par le désir - Klossowski dit les démons -, devient le lieu d'une singulière rencontre. L'âme de l'épouse fait l'expérience que Dieu est le mal déclinant ce nouage du corps désirant et de la théologie dogmatique. Un spectacle se déplie sous le regard de l'époux, nouvel Actéon : la vérité de la théologie est la pornographie. Le corps de l'épouse, Roberte (à laquelle Denise, la propre épouse de Pierre, prête sa physionomie), inscrit cette vérité devenue conjointement spectacle pornographique et preuve logique de l'existence de ce nouvel être-suprême-en-méchanceté (selon l'expression de Sade) qu'est le Dieu klossowskien. L'oeuvre fictionnelle, plastique et conceptuelle de Klossowski célèbre ces noces toujours renouvelées des corps théologiques et des exercices pornographiques.
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Poésie et question : de la poésie comme pensee critique de l'hospitalité
Evelyne Lloze
- Lettre volee
- Essais
- 19 Novembre 2013
- 9782873174033
Le parti pris comme l'enjeu de cet essai sur la poésie contemporaine est de construire un propos théorique grâce à l'analyse et à la mise en rapport des notions d'hétérotopie (ou de pensée critique) et de dialogisme (ou de pensée de l'hospitalité), en utilisant le schème de la question comme dispositif de compréhension de ce qui semble constituer une bonne part de la spécificité du texte poétique contemporain. Les liens entre esthétique et éthique sont, en effet, constamment rappelés par nombre de poètes du XXe siècle (Apollinaire déjà mais également Michaux, Bonnefoy, Gaspar, Jaccottet, Deguy, Roubaud, Emaz...) et c'est pourquoi il s'agit ici (dans la continuité des essais de Michel Collot et d'Antonio Rodriguez) d'analyser la capacité transgressive du poème, autant langagière que conceptuelle, et sa dimension ontologique, indissociable le plus souvent d'une visée proprement humaniste, dialogique (dans le sens celanien du terme). L'analyse croise constamment une approche formelle et une approche plus phénoménologique, des analyses de détail de poèmes et une lecture plus panoramique du paysage poétique contemporain pour mettre en évidence tant les modalités énonciatives particulières, les caractéristiques d'écriture d'une oeuvre ou d'un recueil, que les problématiques existentielles fondamentales d'un univers poétique, qui nous ramènent pour l'essentiel à un horizon axiologique dont il s'agit ici d'éclairer la teneur, les enjeux comme la dynamique. L'essai est constitué de deux parties, la première centrée sur une poésie, parole du doute et de la transgression, la seconde centrée sur une poésie, parole de disponibilité et parole dialogique.
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Méditations et autres brièvetés : proses fantasmatiques
Marc Blanchet
- Lettre volee
- 13 Septembre 2013
- 9782873172954
Composé de 124 fragments, et d'un long texte intitulé « Nous sommes notre propre imitation », cette « prose fantasmatique » poursuit un travail amorcé avec la publication L'Éducation des monstres à La Lettre volée en 2009. En numérotant ses fragments, en les regroupant sous certaines thématiques sans les nommer (l'enfance ; l'écriture ; la féminité ou la narration de « caractères », par exemple), Marc Blanchet joue avec la notion de savoir. Cette prose dès lors fait alterner divagations, écrites avec ironie et vivacité, et de plus sérieuses pensées, proches parfois de l'aphorisme. On la peut décrire comme « nietzchéenne », dans son utilisation du fragment tel qu'il fut pratiqué par le romantisme allemand puis plus spécifiquement par le philosophe lui-même. Cette indication ne vaut que par le refus de l'auteur de toute affirmation, une défiance amusée devant tout épanchement ou tout didactisme. Alors même que la figure de l'auteur est ici le personnage principal. Les fragments peuvent ainsi s'ouvrir en fictions avortées, se changer en essais, se diviser en nuances ou considérations. Peut-être cette prose tout en variations s'essaie-t-elle à une forme d'humanité nouvelle, où l'auteur joue de ses créations comme il espère que le lecteur le fera à son tour. Seulement cela s'enracine ici, malgré la légèreté apparente, avec une profondeur qui fait de ces « petits écrits » un ouvrage de pensée où prédomine, avec ce refus de toute autorité, une importance du fantasme comme condition de connaissance du monde.
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Le jardin, le séisme ; dans les pas de François Muir
Stéphane Lambert
- Lettre volee
- Palimpsestes
- 21 Août 2013
- 9782873174026
François Muir (1955-1997), poète et prosateur, meurt jeune et laisse une oeuvre considérable qui aura tardé à être découverte, y compris par ses contemporains. Pourtant une partie significative de cette oeuvre fut publiée au fil des années. Stéphane Lambert revient à la fois sur l'auteur et sur ses textes. Mais d'une manière fort singulière car son texte est une approche poétique de la trajectoire du poète. À partir d'éléments glanés dans ses nombreuses archives et parmi les témoignages de proches, l'auteur donne ici à voir une vision de la vie du poète. En aucun cas, il ne prétend reconstituer l'identité réelle de François Muir, si tant est qu'une telle identité puisse jamais exister. À l'inverse d'une approche biographique qui tente de reconstruire un parcours à partir des faits extérieurs qui l'ont jalonné, l'auteur s'est servi de son propre vécu intérieur pour nourrir son approche de la vie et de l'oeuvre du poète. Il en résulte un portrait forcément subjectif qui n'exclut aucunement des aspects de la personnalité de François Muir que certains n'y retrouveraient pas. Nul ne pouvant prétendre à la connaissance entière et définitive d'un seul être. Et dans le cas qui nous occupe ici, la personnalité de Muir, sous la plume de Lambert, se révèle d'une grande complexité qui n'a d'égal que les formes d'expression qu'il aura explorées dans son oeuvre et les trajectoires de vie qu'il aura empruntées.
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Zeuxis auto-analyste : inconscient et création chez Y. Bonnefoy
Patrick Née
- Lettre volee
- Essais
- 15 Avril 2006
- 9782873172893
Si la critique s'est trop souvent arrêtée à la remise en perpective de la psychanalyse opérée par Yves Bonnefoy en opposant les langages du concept à la parole de poésie, Patrick Née nous montre ici combien l'inconscient est toujours apparu constitutif de l'image poétique surréaliste pour cet auteur dont le dernier récit, Les Planches courbes, est au centre du présent essai. Il avance l'hypothèse que l'on doit à une exigence auto-analytique la clarification des rapports du sujet à ses objets d'amour fondamentaux et dévoile une perception aiguë des luttes intrapsychiques, ressaisies à travers les oeuvres de Georges Bataille et, dans une moindre mesure, d'Alfred Jarry ou de Gilbert Lely. Cette démarche nous porte au coeur de la créativité : une manière de concevoir la transgression de nos représentations, laquelle assure la critique des idées reçues dans les domaines de l'art et de la poésie.
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Marguerite Yourcenar : 193 Avenue Louise Bruxelles
Jean-François Octave
- Lettre volee
- 8 Mars 2005
- 9782873172565
Livre d'artiste conçu par Jean-François Octave comme prolongement de l'installation (« certainement l'une des oeuvres les plus réussies du patrimoine urbain », selon Anne Hustache, Zone 02, 14 juillet 2004) qu'il a réalisée dans l'espace public bruxellois en hommage à Marguerite Yourcenar, exactement en face du numéro 193 de l'avenue Louise où elle naquit. À l'image d'un labyrinthe du monde de 16 m2, l'artiste a imaginé une maison à ciel ouvert, pour remplacer l'hôtel de maître détruit par la spéculation immobilière vers 1970. Journal de chantier pour Jean-François Octave, le livre engage aussi un dialogue avec les textes de Yourcenar, plus que jamais d'actualité, et des images de sa vie dans une mise en page qui fait dire à l'artiste « Yourcenar goes Pop. »
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L'autre moitié ; études sur cortazar-rulfo-borges
Alvaro Uribe
- Lettre volee
- 10 Avril 2003
- 9782873171926
L'Autre Moitié réunit trois essais consacrés aux écrivains latino-américains parmi les plus importants du siècle passé : Jorge Luis Borges, Julio Cortâzar et Juan Rulfo.
Avec une empathie qui ne cède en rien à l'exigence de toucher au coeur de l'oeuvre, Uribe explore avec une apparente légèreté et un soupçon d'humour jamais hors de propos ce qui fait la richesse et l'originalité de ces auteurs.
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Agenda, carnet de notes ou de croquis, un ouvrage élégant à offrir ou à s'offrir.