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Arts de limage
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Les yeux des hommes ou des bêtes sont les témoins de ce qui est parfois l'imminence d'un trop plein. Parfois, il arrive que l'un de ces regards troue l'image et que le spectateur se sente regardé.
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Maisons closes parisiennes ; architectures immorales des années 1930
Paul Teyssier
- Parigramme
- 30 Septembre 2010
- 9782840966043
Existe-t-il un programme architectural de la maison close parisienne ? Fermée sur le monde extérieur, la maison de l'entre-deux-guerres veut ouvrir sur de multiples horizons et soigne en conséquence sa distribution, ses agencements et ses décors. Fouillant les entrailles de « ces machines à plaisir », Paul Teyssier en décrit le cheminement labyrinthique, enchainant seuils, sas, couloirs, longues séquences de petits et de grands salons, d'escaliers et de chambres. À ce dispositif s'ajoute celui des coulisses, inaccessibles à la clientèle, prévoyant vestiaires, loges, chambres des pensionnaires, réfectoire, cabinet médical... Empruntant beaucoup à des structures plus conventionnelles (le couvent, le théâtre, la prison...), la maison close doit obéir à des prescriptions administratives et hygiénistes, multipliant les références historiques et intégrant les dispositifs de confort les plus modernes. Elle s'inscrit non seulement dans l'ordre du commerce de la consommation charnelle, mais plus largement dans la sphère des loisirs, partageant les innovations des dancings, du cinéma, des grands cafés dont elle est souvent la voisine. Cette « architecture inversée » se révèle dans les plans conservés aux archives de la Police que l'auteur a soigneusement étudiés. Ces documents traduisent la réalité du système construit du sexe avec ses codes, ses obligations règlementaires et ses répétitions formelles.
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Tony Oursler ; vox vernacular/an anthology
Laurent Busine, Denis Gielen
- Fonds Mercator
- 4 Décembre 2013
- 9789462300309
L'artiste américain Tony Oursler s'empara de la vidéo à la fin des années 70 pour retourner contre la culture dominante ses propres armes, à commencer par les technologies de la télévision et du cinéma. Ce livre, qui regroupe une cinquantaine de transcriptions d'oeuvres vidéos, est la première publication exclusivement consacrée aux textes poétiques de Tony Oursler.
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De superbes photographies en couleurs réunies pour la première fois mettant en avant l'imagination débordante de cette photographe qui met son corps en scène dans des situations surprenantes, oniriques, drôles ou érotiques. La photographie est pour Elene Usdin une façon de mettre en images les fantasmes qui la hantent, ses rêves éveillés et ses réfl exions profondes n'hésitant pas à tomber à la renverse, traitant son corps dénudé ou travesti comme celui d'une danseuse désarticulée. Le déguisement et les accessoires sont intimement liés à son questionnement sur le paraître, une sorte de recherche d'identité jubilatoire.
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Les maisons de Roel Jacobs semblent avoir été extraites nuitamment d'une petite rue de province et avoir été déposées en plein champ ! Leurs propriétaires, étonnés, se sont réveillés un beau matin, au milieu de nulle part et ont préféré rester là, en attendant d'hypothétiques voisins jamais encore arrivés.
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« Dès que je suis arrivé à Bruxelles, j'ai beaucoup marché de droite à gauche, à la manière d'un chat errant pour découvrir ce nouveau territoire. Régulièrement, je prenais le tram, le bus, le métro au hasard et j'allais jusqu'au terminus, jusqu'au bout de la ville, pour découvrir le contour de la ville où j'avais décidé d'habiter.
La continuité dans mon travail, ce qui revient toujours, c'est le questionnement sur l'espace. Ce qui m'intéresse, ce sont les espaces libres, c'est à dire ceux qui ne sont pas destinés à quelque chose de précis, des espaces de plus en plus limités. Les images que j'en fais me rappellent naturellement quelque chose de mon environnement au Japon.
Je suis né dans une « ville de campagne », à la périphérie de Takasaki, où la nature était domestiquée.
Enfant, je construisais des cabanes en carton sur des espaces libres où on s'amusait le long d'un canal. C'est probablement parce que ce genre d'espaces disparaît aujourd'hui que je m'y intéresse en les photographiant.
Mes motivations sont d'ordre personnel plus que politique ou topographique ; c'est plus l'expression d'un besoin de liberté intérieure. Le point de vue visuel est surtout un point de vue personnel : il montre comment tu conçois, tu regardes, tu penses, tu vis les choses qui sont importantes. »
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Depuis longtemps, la photographe Anne-Catherine Chevalier interroge le lien particulier entre mère et fille. A travers ses photos de femmes, elle tente de décrypter le message que les mères transmettent à leurs filles sur l'éternel féminin. Des photos éloquentes, au point d'en devenir de passionnants instantannés voire des document plus révélateurs que ne le désire les sujets photographiés. Quels sont les sentiments, conscients ou inconscients, qu'éprouvent l'une pour l'autre mères et filles dans les tréfonds de leur âme ?
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Une trentaine d'expositions est prévue. Cette première liste est non exhaustive.
Entrée gratuite, tous les jours, de 10h à 20h, du 1er au 16 septembre 2012.
Du 17 au 21 septembre, les expositions restent ouvertes spécialement pour les groupes scolaires (sur rendez-vous). En 2011, près de 8 000 élèves (étudiants, collégiens, lycéens) de toute la France, mais aussi venus d'Espagne, ont visité les expositions commentées par les photographes Martina Bacigalupo, Matthias Bruggmann, Peter Dejong, Bertrand Gaudillère et Pierre Terdjman.
Pour son 24 anniversaire, le Festival Visa pour l'Image - Perpignan publie, pour la cinquième année consécutive, avec les éditions Snoeck, un catalogue qui met à l'honneur les photographes exposants de l'édition 2012.
Depuis sa première édition en 1989, le Festival International du Photojournalisme nous rappelle que, pour une information visuelle juste, le regard du photojournaliste est indispensable. Les photos reproduites sont des documents d'archives ou d'actualité. Elles relatent les guerres ethniques, les conflits, les oubliés de l'histoire. Elles nous parlent de nature et d'environnement, de peuples, de religions, de faits de société, ou encore des grands fléaux de notre époque.
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Cet ouvrage rassemble un crédit photographique qui s'étale sur une période de trente ans (1982-2012). L'auteur va à la rencontre d'un quotidien accessible à tous, dans une ville unique, en perpétuel mouvement, qui se transforme, grandit ou se recroqueville. Au travers d'une Capitale qui cultive ses secrets, les images de ce livre nous font également découvrir un Paris qui s'amuse, un Paris espiègle, un Paris qui émeut, un Paris qui intrigue et passionne, un Paris qui bruisse de toute part. Entre le Paris qui s'éveille et celui qui s'endort, existe un autre Paris, qui devant une porte anonyme, une chambre sous les toits, un escalier qui s'efface dans la brume, un pavé luisant qui révèle le petit matin.
La ville lumière, oblitérée de ses innombrables visiteurs venus des cinq continents au fil des quatre saisons, entretient en chacun de nous la flamme de la curiosité et de l'évasion.
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Anthologie de la photo africaine de 1840 à nos jours
Collectif
- Revue Noire
- 18 Novembre 1998
- 9782909571300
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Esprit un lendemain de Noël, peu après la dissipation des brumes familiales, dans l'effervescence propre aux nouveaux départs et aux cachets d'aspirine. Mû par un désir d'inverser la vapeur (céleste) et de redescendre sur terre : le nez par terre et les pieds dans le ruisseau, mais en relevant la tête entre deux averses, pour prendre des photographies du ciel bruxellois, wallon et flamand, à partir de lieux emblématiques d'une autre Belgique que celle qui nous dévoile ses charmes lointains sous un ciel sans nuages.
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« Que ce soit en numérique, en argentique ou au Polaroid, je m'oriente sur le hors-champ, sur ce qui nous échappe lorsque l'on est confronté à une image. La construction mentale du spectateur est quelque chose d'important pour moi, puisse-t-il compléter mes images souvent construites dans des lumières faibles, parfois sans préoccupation de la mise au point.
Depuis peu, une tension m'est apparue entre l'envie initiale et celle de plus en plus grandissante de désacraliser les images et d'accorder de l'importance au support, de faire parler la matière autant que la représentation de son contenu. » (J-F.F., 02/2017) Des noirs et des blancs, des gris, des couleurs aussi mais passées à la machine à laver avec une poudre de mauvaise qualité... Son travail juxtapose souvent des images sans réel lien apparent entre elles, si ce n'est celui que l'observateur crée à partir de son propre imaginaire. A l'image du quotidien, il y a des ratés : ici, ils sont assumés et s'imposent sur le papier. Photos imprimées, certaines sont rephotographiées ou scannées...
Parfois manipulées avant de repasser dans la boucle de nouvelles vies ou de nouvelles lectures.
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Charlie Chaplin ; image d'un mythe
Sam Stourdzé, Carole Sandrin
- Idpure
- 1 Décembre 2011
- 9782970070245
Sans conteste, Charles Spencer Chaplin (Londres, 1889-Vevey, 1977) est une figure mythique du 20e siècle. Associé à la naissance du cinéma, à la pantomime et à la tragicomédie, le mythe auquel il se rattache a rendu inséparables le personnage qu'il incarne à l'écran et l'homme dont la vie a souvent inspiré l'oeuvre. Cela fait près de 100 ans que le petit vagabond, Charlie pour les anglophones, Charlot pour les Français, provoque rire et émotion. Reconnaissable d'emblée à ses petites moustaches, son chapeau melon, ses godillots trop grands et sa canne de jonc, cet homme aux allures de dandy est un héros d'aventures.
Troquant ses guenilles pour l'habit du soldat ou du pasteur, il n'en est pas moins identifiable, trahi par ses attitudes et ses mimiques. Qu'il soit confronté à des situations familières ou improbables, Charlot finit toujours par s'en sortir et s'en aller, solitaire, vivre d'autres histoires. Le coeur pincé et le sourire aux lèvres, c'est cette image sympathique de Charlot que nous partageons tous.
Le premier Charlot, celui des slapsticks de 1914 tournés à la Keystone Film Company, surprendra peut-être. Odieux personnage, mettant et recevant de violents coups, ce Charlot est loin de celui aujourd'hui universellement connu. De cette première période date cependant un film manifeste qui annonce la centralité de la figure de Charlot dans les films de Chaplin et l'histoire du cinéma: Charlot est content de lui met en évidence le rapport de Chaplin à son image. Profitant d'une course de voitures à pédales dans Venice, un quartier de Los Angeles, l'équipe tourne ce court métrage en moins d'une heure. Basé sur l'improvisation, il met en scène l'obsession d'un curieux personnage qui persiste à envahir le champ de la caméra. C'est le deuxième film dans lequel apparaît Chaplin et le premier dans lequel il revêt son célèbre costume. On est en 1914, Charlot est né.
En quelques années, Chaplin va faire évoluer la psychologie de son personnage en lui prêtant des sentiments plus nobles que la goujaterie des comiques burlesques keystoniens.
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The raw edge ; Vière et les moyennes montagnes
Richard Nonas, Bernard Plossu
- Yellow Now
- 14 Mars 2012
- 9782873402969
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Quoi de plus léger, de plus fugace, qu'une goutte de pluie, et pourtant de plus essentiel à la vie : n'est-ce pas le principal élément de notre plasma ? La pluie et le Verseau, la pluie est le berceau. Ce milieu a toujours été pour moi une sorte de liquide amniotique dans lequel je me plonge avec délices ; quand la pluie enveloppe de son calme les êtres et les choses.
Avez-vous jamais, les yeux fermés, laissé dégouliner ces perles sur le visage ? Apprenons à l'aimer ou du moins à la supporter ainsi que toutes les pluies de la vie, car personne, non jamais personne, pas même Diogène, ne vous dira un jour « ôte-toi donc de ma pluie ».
Voici réunis les fruits d'une petite décennie de cheminements photographiques - de Florence à ma glycine et du jardin à Shanghai - animés de textes qui me sont chers et ... du souffle des Passagers du Vent.
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The image of nature ; how to catch light & life
Wouter Pattyn
- Éditions Racine
- 20 Octobre 2011
- 9789020997972
Wouter Pattyn conseille également sur la manière de photographier au mieux les animaux à l'état sauvage (comment les approcher), sur la façon de procéder selon les conditions météorologiques et de lumière, sur les meilleurs rendements des photographies en mouvement, et plus encore. Le tout ponctué d'histoires et d'anecdotes fascinantes. Un livre qui touche et motive le passionné de photographie nature et qui est aussi un appel à protéger nos précieuses ressources naturelles.
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22 photographes belges vous présentent à travers leurs oeuvres l'« autre côté » de la réalité. Ce livre s'intéresse aux photographes eux-mêmes comme au contenu de leurs oeuvres. Avec les photos entre autres de Carl De Keyzer, Cédric Gerbehaye, Harry Gruyaert, Bruno Stevens, Stephan Vanfleteren.
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La série Nosotros (« nous » en espagnol) a été réalisée lors d'un voyage au Chili et en Argentine. Elle raconte la découverte, principalement via les yeux de trois enfants, d'un pays lointain et fantasmé, d'une culture familière et pourtant étrangère.
Du Nord au Sud, des territoires déserts au climat rude et âpre, avec pour colonne vertébrale ce gigantesque monstre enfoui qu'est la Cordillère.
L'innocence et la fraîcheur des gamines contraste avec ces terres à l'histoire sanglante et aux croyances mystérieuses. Ce Chili est un personnage à part entière, une personne qui bouillonne, qui craque et qui fume, un être tellurique et énigmatique. « C'est notre vision d'un autre monde, de notre paradis sur terre. »
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Allegories of fertilities in Brussels and London
Jacques Joardens
- Silvana Editoriale
- 1 Septembre 2016
- 9788836627820
Among the three most renowned Flemish Baroque painters - Rubens, Van Dyck, Joardens - Jacques Joardens is undoubtedly the least studied, and therefore the least understood.
He is often reduced to the role of talented genre painter, author of homely scenes like The King Drinks and As the Old Sing, So the Young Pipe. Yet the image of Joardens as a poor man's Rubens - however beloved - obscures the better part of his extensive and varied oeuvre.
This book elucidates the more erudite side of Joardens' production by zeroing in on a single theme, the Allegory of Fertility, principal versions of which are held in the Royal Museums of Fine Arts of Belgium in Brussels and the Wallace Collection in London, respectively.
The essays in this volume examine these canvases jointly and severally, exploring the complex relationship between the two paintings and their genesis. Curators from the two museums, restorers, Joardens scholars, and university professors wielding the latest analytic techniques examine the two works from the perspective of their respective methodologies. Their multidisciplinary investigations are moreover richly illustrated - not only by images of paintings themselves, but also by preliminary drawings, prints, macro photos, X-rays, paint-layer analyses, and special digital imaging and analysis of the canvas weave. Most of the technical illustrations were produced specially for this publication.
The scientific results of this international study reveal an artist who demonstrates his multifaceted and sometimes radical creativity in successive variations on a single theme, albeit one with immense possibilities.
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Denizens of Brussels ; residents of New York
Andres Serrano
- Silvana Editoriale
- 1 Mars 2016
- 9788836632596
Cet ouvrage offre à voir deux séries de photos d'Andres Serrano jamais publiées.
La première, Residents of New York, a été réalisée en 2014 dans la ville de l'artiste.
La seconde série, Denizens of Brussels, a été réalisée en mars 2015 en étroite collaboration avec les Musées royaux des Beaux-Arts, alors qu'Andres Serrano préparait sa rétrospective à Bruxelles.
Durant 10 nuits, il a parcouru les rues de la capitale pour aller à la rencontre des plus marginaux de ses habitants.
Par son regard unique, sans jugement et sans message politique (et il insiste), l'artiste nous présente ces hommes et ces femmes généralement invisibles aux passants: par la force de ces photos, Andres Serrano nous oblige à voir ces residents et ces denizens.
Le texte de cet ouvrage a été rédigé par Michel Draguet et Andres Serrano lui-même nous parle de sa démarche, de ces deux séries et des spécificités de chacune.