Filtrer
Murmure Des Soirs|MURMURE DES SOIRS
-
De vins et d'allégresses
Valérie Nimal
- Murmure des soirs
- Litterature Generale
- 29 Octobre 2024
- 9782931235232
Ouvrez ce livre comme si vous étiez devant une divine bouteille. Sentez et goûtez ces crus singuliers, ils renferment traditions et secrets. Entrez dans le labyrinthe du vin : il nous relie par le partage et la joie ! Valérie Nimal vous emmène sur les routes du vin en Italie, en France, en Espagne, en Turquie, en Croatie... Dans ces fictions, les vins sont associés à des senteurs, des couleurs, des sons ou des sensations. À chaque vignoble ses joyeuses correspondances et ses rencontres : plaisirs d'enfances et résistance dans le Piémont, amour et liberté en Anatolie, amitié et pardon en Slavonie, picadores et vigneronnes en Castille, défis et biodynamie en Wallonie, vin orange en Loire, vin d'amphores en Alentejo.
-
De courts textes, comme autant de moments infimes du quotidien, dans lesquels l'auteur s'efforce de prendre le temps de la contemplation du monde.
-
Rêveries sur les coteaux : Carnets du compagnon du promeneur solitaire
Jean-Marc Defays
- Murmure des soirs
- Litterature Generale
- 29 Octobre 2024
- 9782931235201
Quand on prend le temps de flâner, le spectacle de la nature, de la ville, de la vie inspire une multitude de réflexions variées et diverses, douces et amères, intimes et philosophiques que l'on garde habituellement pour soi. Sauf si le promeneur solitaire a un compagnon - fidèle mais parfois facétieux - pour consigner les rêveries qu'il lui confie au rythme de leurs errances, des saisons et de ses humeurs. Ses méditations portent sur le assé qu'il interroge, l'avenir qu'il redoute, ainsi que sur le présent qu'il a de plus en plus de difficultés à comprendre. Mais il y a la nature, toujours aussi réconfortante, et les humains, toujours aussi surprenants, capables du meilleur comme du pire !
-
À l'approche de sa mort, un pianiste centenaire, enfant abandonné à la naissance, revient sur le passé inconnu de Suzanne, sa mère, dont il extrapole la vie pendant et après la Première Guerre mondiale. Le vieil homme reconstitue l'histoire de la jeune Suzanne meurtrie par le massacre de sa famille et la violence de l'occupation ennemie à Liège. Seule la danse la tient debout. Elle décide de s'enfuir en abandonnant son bébé nouveau-né dont elle ignore qui est le père et traverse l'océan Atlantique, l'âme en peau de brouillard, pour répondre au besoin de main-d'oeuvre domestique du Canada, mais aussi afin de retrouver à Montréal ce soldat québécois qui a combattu aux côtés de son frère tant aimé disparu dans les tranchées.
-
Plusieurs ouvrages ayant été publiés sur le sujet, on sait maintenant que de nombreuses pouponnières nazies ont été ouvertes, dès la fin des années 30, en Allemagne, en Norvège et dans les autres pays occupés. Il s´agissait de donner le jour à de parfaits petits aryens, souches futures d´un Reich qui devait durer mille ans. Ce que l´on sait moins, c´est qu´un tel Lebensborn (le seul en Belgique) a fonctionné au château de Wégimont (entre Liège et Verviers) de novembre 1942 au début septembre 44. Stefan, notre héros, y est né, mais s´il a pu rester avec sa mère (ce qui est exceptionnel), celle-ci - native et riveraine d´un village de la Vesdre - refuse obstinément de lui révéler l´identité de son géniteur. Alors... saura ? saura pas ? Rendez-vous au fil des pages de ce roman qui vous tient en haleine de la première à la dernière ligne.
-
Luca et Isabelle, une romance née sur les bancs de la faculté de sociologie. Et entre eux, l'inséparable Pierre-Henry. Lorsque le ventre d'Isabelle s'arrondit, l'amitié impose Pierre-Henry le bien né comme parrain. Mais trois à vouloir se partager l'amour d'un enfant, n'est-ce pas un peu trop ? Cadeaux incessants, présence envahissante, captation d'affection, tous les coups sont permis. Pourquoi Luca n'impose-t-il pas sa loi ?
-
L'autrice nous offre une leçon de sagesse et de philosophie de l'existence. Empli de retenue, de délicatesse, de grâce, de légèreté, de douce mélancolie, de profondeur des choses infimes, ce roman est arrimé aux grands textes de la poésie française et nippone. Parcourez l'histoire d'un écrivain japonais, accompagnez ses rencontres, sa quête et ses douleurs. Evoluez avec lui vers une lumineuse ouverture de conscience.
-
Missives adressées par l'auteur à des écrivains dont l'oeuvre entre en résonance avec une expérience vécue ou une pensée : J. Kessel, A. Moore, G. Xingjian, A. Oz, A. Nothomb, W. Stegner ou encore R. Gary.
-
À quinze ans, Sally vit à Bruxelles, seule avec sa mère, qui a sombré dans l'alcool. De sa famille, restée à La Roche-en-Ardenne, on ne peut plus parler. La vie de Sally prend un nouveau tournant quand elle découvre que le mari de sa voisine Eva, sympathique septuagénaire, a mystérieusement disparu. Sally se lance alors dans une enquête, qui la mènera plus loin qu'elle ne l'imaginait. Sur la piste de Michel, l'adolescente voit resurgir les questions étouffées depuis des années. Pourquoi sa mère l'a-t-elle éloignée de sa famille ? Cherchait-elle uniquement à la protéger, comme elle le prétend ?
Un roman sur la solitude et la maladie, une histoire de rencontres, une quête moderne, un chemin sinueux pour se (re)trouver.
À quinze ans, Sally vit à Bruxelles, seule avec sa mère, qui a sombré dans l'alcool. De sa famille, restée à La Roche-en-Ardenne, on ne peut plus parler. La vie de Sally prend un nouveau tournant quand elle découvre que le mari de sa voisine Eva, sympathique septuagénaire, a mystérieusement disparu. Sally se lance alors dans une enquête, qui la mènera plus loin qu'elle ne l'imaginait. Sur la piste de Michel, l'adolescente voit resurgir les questions étouffées depuis des années. Pourquoi sa mère l'a-t-elle éloignée de sa famille ? Cherchait-elle uniquement à la protéger, comme elle le prétend ?
Un roman sur la solitude et la maladie, une histoire de rencontres, une quête moderne, un chemin sinueux pour se (re)trouver.
-
Éthiopie, 2007. Lucie, une jeune botaniste téméraire, part en mission dans le parc national de l'Omo. Autour d'elle gravitent un zoologue aussi intéressé par les rousses que par les girafes, un ranger insaisissable et un géographe réservé. Des plaines herbeuses aux fourrés impénétrables, Lucie découvre des plantes aux vertus étonnantes, une faune majestueuse menacée et les traditions séculaires des Nyangatom, un peuple de guerriers vivant en autarcie dans les collines. Très vite, au sein de ce camaïeu de vert, les relations humaines s'avèrent plus intenses, les pluies capricieuses et le danger attirant. Quant aux tombes, elles se creusent à mains nues. Débute alors un voyage aux confins de l'empathie et de la résilience, où les rêves de Lucie se confronteront à ceux des hommes croisant sa route.
-
Au coeur de l'été 1793, la guillotine trône sur la place de la Révolution. Le magistrat Antoine Fouquier-Tinville comptabilise les traîtres qui vont y passer. Théroigne de Méricourt, au tempérament angoissé, affronte la machine à tuer. Une petite fille effrayée tremble devant elle. Olympe de Gouges, intrépide, défie le sinistre instrument en collant des affiches politiques sur ses parois de bois. Les trois rebelles se retrouvent enfermées et maltraitées par leurs gardiens. Chacune se demande comment résister à la loi du plus fort. Par les armes? L'audace? La parole? Ne devraient-elles pas agir ensemble?
Ce roman est une histoire de femmes, de féminité, de féminisme, au coeur de la Révolution française. Il raconte la rencontre d'Olympe de Gouges, l'Occitane, autrice de la Déclaration des droits de la femme, et de Théroigne de Méricourt, la Belle Liégeoise, autrement surnommée l'amazone de la Révolution. Dans les faits, elles ne se sont jamais rencontrées et j'ai eu envie de leur inventer une parenthèse dans le temps, située en été 1793, entre la réelle fessée publique reçue par Théroigne le 15 mai et le non moins réel emprisonnement d'Olympe le 20 juillet. Ce récit est une tentative d'aborder la géographie intérieure de ces deux femmes d'exception afin de donner une voix à leurs peurs et revendications. Une petite fille de fiction les accompagne dans leurs tribulations.
-
Liège, dans les années 1970. Un coffret de vingt romans signés Georges Simenon est exposé dans la vitrine d'une bouquinerie. Il attire le regard d'un adolescent qui se décide à pousser la porte pour en demander le prix. À l'intérieur, il rencontre François, le libraire.
Pour nous tous qui aimons les livres, la littérature est délassement, plaisir, évasion, apprentissage, drogue peut-être ou consolation, mais elle se superpose à la vie sans la remplacer. Pour François, elle était la vie même. -
Taklamakan, immense désert aux confins de la Chine avec ses cités enfouies sous les sables depuis l'abandon de l'antique Route de la soie. Marc Debruyn, un linguiste belge, y fait une découverte qui fait grand bruit : des manuscrits dans une langue inconnue qu'il parvient à déchiffrer.
Rencontre improbable, il est approché par Chloé ; cette jeune Américaine a consommé un médicament qui l'a plongée dans une immense détresse psychique et elle croit que les textes du Taklamakan la mettront sur le chemin de la guérison. Marc, lui, rêve de retrouver les auteurs de ces écrits, le mystérieux peuple celte qui a traversé toute l'Eurasie pour s'établir, il y a quatre millénaires, aux portes de l'empire du Milieu : les Tokhariens. Se sont-ils tous fondus dans le peuple Ouïghour ou quelques-uns subsistent-ils dans une vallée perdue?
Ensemble, Marc et Chloé partiront au Taklamakan. Un parcours avec ses déboires, ses tribulations, ses doutes, ses surprises et ses épreuves, un parcours qui va les transformer et leur permettre d'atteindre ce que l'un et l'autre cherchent depuis l'adolescence.
Faut-il un Taklamakan pour se révéler à soi-même?
-
Dans des mondes aussi féroces que le noyau familial d'où tout est parti, découvrez une fratrie éclatée, dans laquelle chacun espère trouver ailleurs son équilibre ou de quoi réaliser ses ambitions. Une véritable quête identitaire et culturelle. De l'Inde au Mexique, de l'Ouganda au Rwanda sans oublier la Belgique, cet ouvrage vous emmène aux quatre coins du monde.
-
«Est-ce que le chagrin peut changer notre composition chimique? En tout cas je ne sens plus l'amande douce, la tubéreuse et le cumin. Je ne sens plus ce que tu aimes. Ce ne sont déjà plus les jardins les épices, ni le rêve des citronniers en fleurs».
Quel parfum sécrète la folie?
Engluée dans un chagrin d'amour, une femme s'expose à toutes les odeurs.
Elle nous livre à l'état brut cette dérive sensorielle.
-
Qu'est-ce qui pousse Camille à quitter la vie citadine, pour une maison isolée au fond des bois avec son chat et son lapin ? Un besoin de faire le point, dans une solitude totale. Totale ? Un inconnu frappe à la porte. Que lui veut-il ? Et pourquoi laisse-t-elle, jour après jour, cet homme aux yeux clairs prendre ses aises chez elle ? Un roman lumineux sur l'ouverture aux autres, la beauté des rencontres de hasard et le refus des préjugés.
-
Toute cette histoire aurait pu tomber dans l'oubli. On aurait enterré Égide avec son secret, on aurait séché nos larmes et puis basta. Ana n'aurait pas trouvé les lettres. Alessia serait restée un mystère italien et les anges ne s'en seraient pas mêlés.
Mais voilà, quand on est journaliste, quand on a voué sa vie aux soubresauts du monde, peut-on emporter une telle histoire dans la tombe ? Sans doute pas. Alors le fils d'Égide, Thomas, va se lancer à la recherche d'une femme introuvable, une femme qui semble n'avoir laissé aucune trace.
Sa quête va le plonger au coeur des années de fer allemandes, sur la trace d'un jeune couple d'intellectuels norvégiens, Mattias et Birgit, arrivés à Berlin en 1970. Le quartier du Kreutzberg est en ébullition. Les étudiants occupent les universités. La rue défie un État embourbé dans la guerre froide et les éclaboussures du nazisme. Fasciné par les discours radicaux d'Ulrike Meinhoff et par la beauté de Gudrun Ensslin dont il tombe amoureux, Mattias choisit de rejoindre ceux qu'on appelle encore « la bande à Baader » et qui va bientôt devenir la Fraction armée rouge. Et sa vie bascule lorsqu'il commet l'irréparable.
Guidés à leur insu par la vie contemplative d'Hadewijch d'Anvers (béguine et poétesse du XIIIe siècle), au terme de péripéties qui les ancrent dans les heures les plus douloureuses de l'Allemagne contemporaine, les protagonistes de Pur et nu découvriront, quatre décennies plus tard, l'étonnante cohérence de leurs destins.
-
Thomas est cloué au sol. Il perd l'hélice de sa vie. Son épouse meurt accidentellement. Il se rencontre, rencontre, se laisse déporter. Il voyage. Intérieur nuit. Extérieur jour. Entre road movie dans un mouchoir et grands espaces du Pélion, en Grèce, il tangue. En équilibre instable, il nous parle de la vie dans le deuil plutôt que du deuil dans la vie.
Une renaissance.
-
Quand on lui demandait pourquoi il voyageait, Montaigne répondait : «Je sais bien ce que je fuis, et non pas ce que je cherche.» Mais même celui qui sait ce qu'il cherche ignore ce qu'il va trouver car voyager, c'est toujours s'ouvrir à l'inconnu en multipliant les possibilités de rencontres.
La scène se passe à Calcutta, en février 1987. Un homme est assis par terre dans le parc de Maidan. Entouré d'enfants qui le regardent fascinés, il est en train de jouer au bonneteau. Cet homme s'appelle Dennis. Originaire des États-Unis, il parcourt le monde depuis plusieurs années. S'il n'a rien d'un gourou, aller à sa rencontre n'est pas sans péril. Clochard céleste planté sur deux béquilles, il risque de faire vaciller les valeurs auxquelles vous croyiez avant de le connaître.
Avec le Joueur de bonneteau, Marc Pirlet nous livre un récit initiatique qui entraîne le lecteur sur les routes de la liberté.
-
Le fil rouge de ma vie est la mort. Je ne suis pas agent de pompes funèbres ni tueuse à gages. Je suis née poète. Devenue juriste, philosophe et éthicienne, spécialisée dans les questions de la fin de vie. Ma vie a été façonnée de morts abruptes ou annoncées. Je me sens à l'aise pour évoquer la mort. Mais esseulée. La majorité ne veut pas en parler. Elle prétend que la mort a tort d'exister. Que c'est un échec. Que c'est notre devoir de ne pas trop y penser. Grâce à cela, nous avons l'impression de la déjouer. Je ne suis pas d'accord. J'ai constaté le contraire : Ne pas en parler et fuir comportent un risque. Celui d'être aveuglé et paralysé quand la mort vous appelle. Parler de la mort apaise, libère et nous aide à continuer à faire des choix vivants. Jusqu'à la fin.
-
«Vous raconteriez ça à quelqu'un, il ne vous croirait pas. Pourtant je l'ai vu de mes yeux. J'y pense encore souvent mais je n'en parle à personne. À qui le raconter?» Fille d'émigrés polonais, Bruna passa son enfance dans le nord de la France puis à Seraing où son père était mineur. En 1941, alors qu'elle venait d'avoir seize ans, elle fut arrêtée par la Gestapo et envoyée comme travailleuse forcée en Allemagne. Prise dans un engrenage infernal, elle est ensuite transférée dans le camp de concentration de Ravensbrück avant d'échouer dans celui, plus terrifiant encore, de Bergen-Belsen. Ce livre raconte son histoire, depuis sa naissance en Pologne jusqu'au miracle de sa libération en avril 1945 et son retour à Seraing. Document littéraire exceptionnel composé à partir du témoignage d'une rescapée de l'horreur nazie, il constitue une extraordinaire leçon de volonté et de courage.
-
"De la gloire à la tombe.
Le champion olympique de marathon est assassiné.
Enquête menée au pas de course dans les arcanes des fédérations, du dopage, des laboratoires étranges, des rites des profondeurs de l'Afrique de l'Est.
De Monaco au Kenya, en passant par Liège, Bruxelles, l'Allemagne, Londres et l'Ouganda, un thriller inclassable qui vous laissera à bout de souffle."
-
Jouer le jeu. En arrangeur d'instants. Comme le pianiste de jazz adopterait un thème. Celui des émotions. Elles sont au coeur de nos vies. Les envisager comme un matériau littéraire, les pétrir, y mettre les mains. Le désir d'habiter un texte, comme une installation d'art contemporain s'emparerait d'un lieu. Un parcours sur divers tableaux à développement instantané. Des polaroïds, des mots et une bande son. Le souhait du partage. *** Pour un écrivain, parler de soi comporte toujours une part de risque. La fiction, cet art du mentir vrai, offre un paravent à travers lequel ne filtrent que d'éventuelles bribes, des reflets épars. Alexandre Millon a choisi de nous livrer des textes brefs écrits à la manière des chroniqueurs. Partant d'un fait, d'un souvenir, il nous parle avant toute chose de ses racines, de son enfance, de ses voyages, de ce qui le fait vivre, de sa passion des mots, de son attrait pour les belles choses, les bonnes choses. La musique, la peinture, la photographie occupent une place de choix qui participent d'une forme d'accord au monde conviant tous les sens pour une dégustation entre amis. Amours, amitiés, connivences d'un instant, les rencontres sont guidées par la recherche d'un art de vivre fondé sur la douceur et l'authenticité. S'en dégage une vision du monde tout à la fois enthousiaste et lucide où cohabitent le ravissement, la magie et l'indignation. L'écriture est à l'avenant, joueuse et pétillante, mue par le souci du mot juste et la recherche de sens. Volontiers poétique, elle s'écoule en liberté, rendant le propos musical, invitant à une lecture pausée. Et c'est précisément ce qui fait le plein charme de ce volume auquel on revient volontiers comme on réécoute une musique pour mieux en apprécier la fluidité, le mouvement. À telle enseigne que ce qui aurait pu tourner au selfie devient, tout à l'inverse, une caisse de résonance qui nous renvoie à nous-mêmes, à notre propre et singulière humanité. Thierry Detienne
-
Un récit d'enfance. Comme un meuble à tiroirs dans un salon oublié. Comme le miroir d'un village enterré dans la modernité trompeuse d'une décennie trop sacralisée. Un livre fait de ce bois ciré qui défie le temps.