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Le Mulet
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Tropical Stoemp est un magazine de photographie. Pas de texte, 96 pages de photos noirs et blanc ou couleurs, argentiques ou numériques, pas de portfolios mais une histoire globale. Une citation ouvrira chaque numéro et pour ce quatrième numéro, nous avons choisi ce titre de chanson de Sandra Kim : « J'AIME LA VIE. ». Coeur avec les doigts.
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Un doppelgänger est un sosie ou un double d'une personne vivante qui n'a pas de lien biologique avec elle. Dans la fiction et la mythologie, il est souvent dépeint comme un phénomène fantomatique ou paranormal et est généralement considéré comme un signe de malchance. D'autres traditions et histoires assimilent le doppelgänger à un jumeau maléfique. Aujourd'hui, on parle parfois de jumeaux inconnus.
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Il n'y en a pas mais Le Mulet va essayer de raconter une histoire et aime les images qui vibrent, tremblent, et transpercent l'âme. Néanmoins, une citation ouvrira chaque numéro et peut dès lors vous servir de guide. Pour ce second numéro, nous avons choisi le morceau de Gilbert Montagné : « les Sunlights des tropiques » Vous l'aurez compris, l'ambiance sera lumineuse, torride et festive : voyage, plage, été, mer, palmier, mais aussi fête et amour ! Le tout soupoudré d'une grosse cuillère de kitsch et d'un certain second degré !
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Au Tamil Nadu, dans le sud de l?Inde, les traditions les plus lointaines et les plus anciennes sont restées intactes plus que nulle part ailleurs. Les puissantes présences des esprits et des dieux vivants s?incarnent sous les masques, dans les corps qui s?abandonnent au moment du rite et dans les dépouilles animales lors des sacrifices... Des personnages dont on ne sait plus s?ils sont hommes, dieux ou esprits, surgissent dans leur évidence, réels et divins, naturels et surnaturels.
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Ce magazine au nom barbare vous propose 96 pages de photographies. Pas de texte. Uniquement des images. La revue sera construite de la même manière que les deux précédentes, en musique, suivant la trame d'un récit inspiré d'un titre de chanson. Pour ce troisième numéro, nous avons choisi le morceau de Depeche Mode "PERSONAL JESUS". Starification, icône, adoration et idolâtrie seront donc au centre de ce numéro.
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"Particulièrement consumé par la détresse des invisibles des rues, mon travail s'applique à retranscrire le monde des ombres sous le prisme du merveilleux. (...) Je me suis attaché à suivre des individus qui errent, travaillent ou habitent à la périphérie de la vie... Au point de ne plus savoir moi-même si je suis vivant... Ou simplement une ombre. Le projet a pour but de présenter ce travail sous la forme d'un livre de photographies artistiques." David Siodos.
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Nous sommes tous des réfugiés. Ce sont les mots que Jeff, un Américain bloqué à Lagos me lâcha, un jour ou il me partageait son histoire. Cela faisait deux ans qu'il se battait sans relâche avec la justice Nigériane pour obtenir la garde de sa fille.
Pour lui, que l'on soit réfugié politique ou réfugié dans nos propres doutes et certitudes, nous avions tous le même statut.
Et j'étais là, voyageant depuis un moment avec mon « Afghan Box » - cette mystérieuse boîte en bois me servant à la fois d'appareil photo et de labo de développement - à me demander quel lien implicite reliait toutes ces personnes photographiées rencontrées sur mon chemin.
J'avais parcouru, aussi lentement que je photographiais, la Birmanie, la Thaïlande, la Malaisie, l'Australie, mais aussi le Portugal, le Maroc, le Mali, le Nigéria...
Et si Jeff avait raison ? -
""Rien de bien neuf, le plafond s'effrite, la peinture s'entache, ce sont des usures de fatigue, des raisons sans raison fournies à l'aube de la dégradation - l'architecture en berne - des quatrièmes de pages jonchent le sol, il s'agit de littérature en attente de moments venus. "" Cet extrait, tiré d'un inédit de Félix The Saiz, reflète, en quelque sorte, l'esprit de la série proposée ici en vue d'un projet d'édition. Usures de fatigue, raisons sans raison, quatrièmes de pages, littérature en attente de moments (déjà) venus : tout est là, sur ces affichettes A4 dont le photographe a glané l'image au fil des rues, six années durant."
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1010 est un projet photographique en commun, une performance partagée entre 10 photographes qui se sont lancé le défi de fournir chacun 10 images d?un lieu-dit. Pour ce troisième et dernier opus de la trilogie belge (bruxelles, Flandre, et wallonie), le choix s?est porté sur les Ardennes, ses forêts brumeuses, sa gastronomie inégalée, et ses chasseurs à kayak. Au final, malgré le contexte covid19, ces 100 photographies tentent d?offrir une image de ce lieu, une vue subjective, 10 regards libres qui n?en forment plus qu?un.
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Constitué de photographies argentiques en noir et blanc, NADA est une déambulation mentale, un voyage à travers un monde à la fois ancré et onirique. Entre street-photography et intériorité, le paysage qui se dessine entre ses pages est avant tout une exploration du genre humain ; des Etats-Unis au Cambodge, NADA est traversé de personnages récurrents et pourtant rencontrés au hasard, qui ont tous pour point commun de ne jamais arriver à se rencontrer, à se regarder. Tous semblent chercher leur voie à travers des décors urbains puis de plus en plus naturels, comme s?ils y poursuivaient une forme de rédemption.
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Voyage photographique au long cours Douarnenez-Aber Wrac?h avec escales un peu partout dans le monde - Bogota, La Nouvelles Orléans, Recife... 2 Mississippi est composé uniquement de portraits en noir et blanc pris à la chambre. Marin-photographe, Hans Zeeldieb est l?Ulysse d?une épopée de visages témoignant de toute l?âpreté de l?existence humaine, de sa fragilité et de son miracle. (Fabien Ribery).
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La Belgique ose tout, et surtout l?insolence. Mais que fait la police ? Jean-Marc Chapa sévit encore. Le photographe liégeois ne transige pas avec son art : il le veut de nuit et de sueur, de foutre et de lumière indécente. FUCK YOU est un autoportrait à la passoire renversée sur la tête, un livre à offrir à nos amis les extraterrestres, si jamais ils cherchent à comprendre un peu de quoi relève l?humaine condition. (Fabien Ribery).