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Maelstrom
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En joue, feu l'amour ! L'amour des murs...Feu l'amour ! est un cri de départ. Ne pas fuir mais enfouir.Une mise en terre radicale des liens aliénants. C'est un rituel en bouquet de poèmes. Une mise en terre pour mieux repousser.Puis apprendre à ne plus repousser le risque d'aimer. Il paraît qu'on ne peut pas guérir sans accepter d'être vulnérable. Les nouvelles branches percent à travers l'écorce qui protège du dehors. Il apparaît que ce sont des saisons : il faut du temps et aussi de l'aide, il faut qu'on veuille et il faut qu'on laisse.En joue, feu l'amour ! L'amour des murs...
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Garder le titre. Garder l'esprit frondeur. Garder les tremblements et la sueur. Saluer les nouvelles plumes, les nouvelles incandescences, les nouvelles scènes. Ce deuxième volume du collectif L-Slam s'inscrit dans la lignée du premier par son militantisme, son caractère rebelle et son verbe féroce. L'urgence de dire les fêlures, de questionner les rapports de domination et d'apporter une définition inédite du respect est restée la même. Un recueil comme une célébration pour fêter les efforts de compersion dans une société qui éduque à la concurrence ; fêter les fécondités poétiques, les porosités, les ponts ; fêter la badasserie et l'audace. 86 voix, 86 corps, 86 plumes, un seul choeur qui résonne. Vous l'entendez ? Il ne s'excuse toujours pas.
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Nomme-toi ! Appelle-toi afroféministe, afrodescendante, afropéenne, afropunk, queer, artiviste... Avec ou sans majuscule, nomme-toi ! Pas dans une case, pas comme une cage mais pour la rage. Rage d'exister. Sortir de l'ombre. Se redresser. Te rendre, les rendre, nous rendre visibles. Sois fière de ton parcours, de ta couleur, de tes origines ! Parle de là où tu es, de qui tu es, de qui tu aspires à être. Sois fière de tout, de tes questionnements, de tes ambivalences, de tes ressacs et de tes erreurs ! Ne t'excuse de rien !
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Je te fais signe à travers les flammes.
Le Pôle Nord a changé de place.
La Destinée Manifeste n'est plus manifeste.
La civilisation s'autodétruit.
Némésis frappe à la porte.
À quoi bon des poètes dans une pareille époque?
À quoi sert la poésie ?
L'imprimerie a rendu la poésie silencieuse, elle y a perdu son chant. Fais-la chanter de nouveau !
Si tu te veux poète, crée des oeuvres capables de relever les défis d'une apocalypse, et s'il le faut, prends des accents apocalyptiques.
Tu es Whitman, tu es Poe, tu es Mark Twain, tu es Emily Dickinson et Edna St Vincent Millay, tu es Neruda et Maïakovski et Pasolini, Américain(e) ou non, tu peux conquérir les conquérants avec des mots.
Si tu te veux poète, écris des journaux vivants. Sois reporter dans l'espace, envoie tes dépêches au suprême rédacteur en chef qui veut la vérité, rien que la vérité, et pas de blabla...
Recueil inédit en français. qui a déjà vendu plus de 10.000 ex aux USA! A 93 ans, le grand auteur et éditeur de la Beat Generation ressent le besoin d'une adresse aux jeunes poètes dans un monde au bord d'un grand renouveau. C'est ainsi qu'il insuffle joie, esprit de combat, avec un maître-mot : Insurrection comme synonyme d'art poétique et d'art de vivre ! Dans ce livre, se retrouve aussi un work in progress historique : le texte «What is poetry?» une énumération - définition/anti-définition de la poésie.
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Souviens-toi de l'envol : voix féminines de la poésie persanophone
Franck Merger, Niloufar Sadighi, Ali Zâre-Ghanatnowi
- Maelstrom
- 13 Octobre 2023
- 9782875054722
Si la poésie persane est célébrée depuis le début du XIXe siècle en Occident, à la faveur du courant Orientaliste et de la traduction des Quatrains de Khayyâm, c'est toujours au travers de la poésie masculine, celle des grands noms que sont Ferdowsi, Saadi, Hâfez, Rûmî. Le grand public connaît très peu voire aucune poétesse de langue persane, d'autant plus que leur production est restée souvent confidentielle, y compris en Iran même, jusqu'au XXe siècle. Aucune anthologie d'ensemble n'a été consacrée jusqu'ici à ces voix de femmes persanophones - iraniennes, afghanes, tadjikes - et très peu de ces poétesses ont été traduites en français à ce jour.C'est ce silence assourdissant que ce recueil a l'ambition de rompre, du moins en partie, en donnant à lire et à entendre ces voix féminines trop souvent étouffées. Ces poèmes, dont la plupart sont traduits en français pour la première fois, composent une anthologie inédite qui couvre une période allant du Moyen Âge à nos jours et une aire persanophone qui s'étend au-delà des frontières de l'Asie, du fait de l'importante diaspora de ces dernières décennies.Le recueil souhaite offrir un avant-goût de cette poésie féminine, saisie dans son évolution historique et sa diversité - une poésie de désir, de sensualité et d'humour, mais aussi une poésie de lutte et de combat. Ces voix de femmes résonnent, plus que jamais, comme une force vive, une source vitale qui ne se tarira plus. Oui, il faut aujourd'hui compter avec toutes ces voix, ce chant de résistance qui participe de l'équilibre du monde.
Franck Merger et Niloufar Sadighi ont assuré la traduction des textes. -
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Bruxelles, Deux meufs aux quais de métro Deux slameuses en quête de métrique D'un design dans leurs débris Toutes deux débarquent pour débiter Z & T, c'est la rencontre de deux loveuses du bitume Deux go un peu gauches Deux cagoles à l'eau de rose Deux gosses qui dégainent des failles Derrière des chaînes en or Toi aussi tu les as p'têtre croisées en scooter dans la capitale À force de clasher les post-it dans la ville Elles font parfois la sieste au feu rouge Ou la fiesta quitte à ce que ça vrille
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La Plaine s'étendait sous nos pas et nous n'en savions rien.
Neuf poè·é·tes·ses s'associent pour donner voix à La Plaine - monde sous le monde, vous savez ?
La Plaine, c'est une terre où respirer plus large, où redéployer le champ des possibles. C'est, par les mots, faire barrage à l'inéluctable, à la morosité, au nihilisme qui nous guettent. C'est reprendre à son compte la force du poème, c'est oser le premier pas sur un territoire fertile, frondeur, friable. C'est une utopie, en somme, une science-fiction poétique. Une page blanche partagée par dix-huit mains amies. C'est, à l'aube, pousser un cri pour dissiper les ombres de la nuit, jusqu'à la nuit prochaine.
Auteurs : Aurelien Dony, Jean d'Amérique, Marc Dugardin, Maud Joiret, Lisette Lombé, Mel Moya, Camille Pier,Jérémie Tholomé, Laurence Vielle. -
Comment une civilisation en vient-elle à mourir ? Ce roman choral met en voix la fin de l'empire aztèque, la rencontre de Moctezuma et de Cortés. Rien ne préparait l'univers des dieux, du rêve, des Aztèques, mais aussi des peuples indiens soumis au joug des Aztèques, à rencontrer l'univers de l'Occident qui surgit sous la forme de conquérants mus par la croix du Christ et la soif de l'or. Chronique d'un monde perdu, assassiné, Moctezuma plonge dans les années décisives au cours desquelles un monde bascule dans le néant, à savoir les années 1510-1522. En langue aztèque, on parlera des années Treize-Lapin, Un-Roseau, Trois-Maison... La destruction des civilisations précolombiennes livre une clé des songes permettant de lire les impasses de notre présent.
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« Ni mémoires, ni autobiographie », Little Boy retrace les souvenirs d'un Lawrence Ferlinghetti imaginaire, de sa prime enfance et ses origines européennes aux réflexions sur l'avenir de la démocratie américaine au Caffè Trieste à San Francisco, au crépuscule de sa vie. Les conquêtes amoureuses ou leurs échecs cuisants, Jack Kerouac et Allen Ginsberg, le Mississippi et le Mont Analogue, la Seconde Guerre mondiale et l'écologie, Ferlinghetti délie ici sa langue en toute liberté dans une prose beat fluide et ininterrompue.Originellement paru aux États-Unis le 24 mars 2019, jour de ses 100 ans, Little Boy est enfin disponible en français dans une traduction de son amie et collaboratrice de longue date, Marianne Costa.Après Blind Poet, Démocratie totalitaire, A Coney Island of the Mind et Poésie Art de l'Insurrection, Little Boy est la cinquième publication de Lawrence Ferlinghetti aux éditions maelstrÖm reEvolution, la maison qu'il s'était choisie pour la diffusion francophone de ses recueils.
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Cette prière poétique décrit les avancées maladroites de l'humanité sur des terres glacières en piteux état. Elle brosse le portrait d'un monde où la faune et la flore se rebiffent sans pour autant décourager les multinationales d'en tirer profit. Prix Hubert Krains 2021.
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Nos cartes se rencontrent nos reliefs nos mares et nos étangs j'avais pensé j'avais stagné même quand on ne ressent rien on ressent ce qui stagne en nous Une conversation continue se met en place entre la poétesse et les reliefs, qui se confondent avec les vivants et les défunts. Elle écoute ce silence vert d'eau, cette parole invisible, terreuse et aqueuse, dans une immobilité de marais qui n'a pas peur de stagner. Pour qui perd son chemin, c'est une cartographie poétique qui punaise d'autres repères plus intimes et compréhensifs sur la carte, tisse des fils, laisse des traces. et à nouveau, nos marécages.
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Sourdre (latin surgere)
verbe intransitif
Apprenez à prononcer : sourdr
Littéraire
A. - [Le suj. désigne de l'eau] 1. Sortir du sol. Synon. jaillir. Entendre sourdre l'eau. - Rare. [Le suj. désigne un cours d'eau] Sourdre à. Prendre sa source à. 2. Sourdre de (un lieu naturel ou p. ext., artificiel). Sortir de, jaillir de. Sourdre de terre. 1. [Le suj. désigne un liquide] Sortir (de). « Par des ouvertures éloignées du cratère on voyait la lave sourdre du sol » (Quinet, All. et Ital., 1836, p. 200) 2. [Le suj. désigne une chose concr.] Apparaître, se manifester, se faire sentir (du sein de, provenant de). C. - Au fig. [Le suj. désigne une chose abstr.] 1. Naître, se manifester. Qqc. sourd en qqn, en son âme, en son coeur, dans l'âme, dans le coeur, dans l'esprit de qqn ; qqc. fait sourdre qqc. en qqn. 2. Sourdre de. Naître de, avoir son origine dans. « De la vérité violentée (...), à travers les mots menteurs sourd une atroce ironie » (Bernanos, Imposture, 1927, p. 330).
https://www.cnrtl.fr/definition/sourdre -
Venise a de tout temps lié son destin à celui de la prostitution. Au XVIe siècle, la courtisane et poétesse Veronica Franco fréquentait l'élite de la société. Aujourd'hui, Mado, dont l'enfance a été marquée par de nombreux abus, se prostitue entre Cannaregio et Castello. Elle transforme ses blessures en calice, s'ouvre, s'offre et souffre pour boire jusqu'à la lie l'essence des hommes. Un fil invisible va relier l'âme de la courtisane Veronica Franco à Mado pour l'inscrire dans la lignée des Prostituées Sacrées de l'Antiquité, ces prêtresses au service de la divinité qui se livraient aux hommes pour faciliter leur élévation spirituelle. Un ventre Temple de jouissance et Grand Véhicule pour transmuter les vices, les perversions et les misères affectives. Certains se reconnaîtront. Mado, c'est moi, c'est vous, qui en parcourant ces pages et vous couchant sur ses mots, découvrirez que la prostituée sacrée fait partie de nous.
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Nezli-Toulaï est la veuve d'un attelage marital mal accordé qui aura duré plus qu'une vie. Une maladie cinglante vient de surcroit condamner tout espoir de récupérer ses années perdues. Par dépit, elle abandonne son appartement et débarque avec une petite valise sur le pas d'une serre, pensant mourir dignement sur le toit de cet immeuble vintage. Eliel, un solitaire trentenaire squatte déjà les lieux. Écrivain et photographe, volontairement retiré de la forêt des Hommes, il ne fréquente que la prostituée du quatrième étage. Va-t-il laisser entrer la vieille dame ? Va-t-elle s'imposer ? Vont-ils un instant tisser ce qui leur aurait tant manqué ? Un fragment de vie fait de complicité filiale réinventée, en compétition tout de même avec la maladie. Une écriture précise, aux sentiments ciselés. Un récit « Nouvelle Vague » cynique et tendre, où les relations humaines sont mises sous microscope.
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Je crois en la « valeur ajoutée » d'un poète national. Parce que je crois passionnément en la poésie. Si l'on mobilise correctement la poésie, selon les besoins du XXIe siècle, on découvre alors ses pouvoirs. Ce qu'elle peut accomplir et comment. On a beaucoup parlé et écrit sur ce sujet.
Je n'ai rien de très sensé à ajouter. Sauf ceci. La poésie est imagination. De l'imagination naît l'empathie.
Et voilà bien deux choses dont nous avons plus que jamais besoin.
Mustafa Kör
Ce livre réunit les douze poèmes écrits par Mustafa Kör lors de son mandat de deux ans en tant que poète national de Belgique (2022-2024). -
...unwinding its scarlet fibres...
My hand is not alone
Following Arianna's voice
She sings my steps alone
I enter the labyrinth
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...déroulant ses fibres écarlates...
Ma main n'est pas seule
Suivant la voix d'Arianna
seule, Elle chante mes pas
J'entre dans le labyrinthe
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Je bosse dans un resto bobo à côté du bazar et de ses murs bariolés style échec et mat alcoolisés. En face, des jardins de Babylone et de leur garage en rouille percé de personnages de BD. Comme tous les endroits de la ville qui sont trop tristes pour être gais. Un coup de pinceau, ou de perceuse et on te reproduit une planche de ton enfance. Avec autodérision, on te colle Saint-Pierre et Lucifer en train de faire leurs petites affaires en face de l'église des Minimes. Là, c'est Quick et Flupke en train de se faire courser par l'agent 15. Une gentille manière de te rappeler qu'ici, t'es dans le quartier des racailles en devenir. La BD dit vrai, mais Quick et Flupke ont bien changé. Fini le petit blondinet, il est parti à Uccle et porte des gilets, quant à Flupke, il est plus noir que son bonnet.
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Des poèmes en vers et en prose dans lesquels l'auteure décrit ses émotions et son point de vue sur le monde.
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La nuit est encore debout c'est pour ça que je ne dors pas
Lisa Debauche
- Maelstrom
- 14 Octobre 2023
- 9782875054739
« J'ai réellement rencontré la poésie, je veux dire physiquement, suite à un bouleversement familial. Au moment où tous mes repères s'effondraient, j'ai couru d'instinct vers la poésie. J'y ai trouvé la vie ; brute, sauvage, indisciplinée. J'y ai trouvé le souffle que j'avais toujours traqué éperdument, ce désir absolu d'intensité. Une langue des sensations qui dit autrement le réel mais ne cesse de l'étreindre. Soudain, les mots qui m'avait fui, se cognaient dans ma tête. Ils devenaient chevaux, rochers, mensonges, prières. Ils devenaient cabanes, couteaux, devenaient forêts. Ils étaient rivières, tambours, bagues et pierreries. Ils étaient corps. Ils étaient soleil. Disaient nuit, disaient « viens ! », disaient terre, disaient rouge. Brasier de neige, épine brûlante. Disaient amour, se répétaient. Parfois, se cachaient, soudain intimidés d'être aussi nus. Souvent, revenaient : « où est la maison ? où est le poème ? ». Ils frappaient, petits coups, téméraires et obstinés, jusqu'à ce qu'ils parviennent à ne plus être si seuls. S'ils cherchaient à étirer le temps, à devenir immortels, ils n'en finissaient pas moins par s'avouer question : « D'ici là, j'écoute le vent de nuit/appeler mon nom à la fenêtre./ Appeler mon nom. Appeler. Mon nom ? » Une langue « brûlante comme la neige », voici ce que nous réserve le premier recueil de Lisa Debauche. Une histoire d'amour quand l'amour semble ne plus être là et qu'« à la radio, il y a des bombes ». L'amour, la mort, la solitude urbaine, la vie, l'écriture elle-même (« Peut-être que ce poème n'est pas un poème véritable ? / existe-t-il des poèmes véritables ? »), Lisa Debauche reprend à son compte des thèmes classiques en poésie mais leur insuffle une nouvelle vitalité tout au long d'un recueil où les mots sont gravés à l'os, à l'épure, dans une économie qui leur permet de révéler toute leur force, avec ça et là, une touche d'humour. Et entre lumière et obscurité, quelque part entre chiens et loups, apparait la beauté et ce recueil qui se lit d'une traite et qui pourrait bien réaliser l'exploit de faire aimer la poésie à celles et ceux qui n'y ont pas goût habituellement.
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Enfant, dès que le soleil se montrait enfin, je vivais nue dans mon jardin. Parfois je portais une culotte parfois rien. Personne ne m'a jamais demandé d'aller me rhabiller. J'avais le droit d'exister. Je jouais ainsi des étés entiers, sans qu'aucun désir ne vienne jamais se poser sur ma peau. Sans traquer le reflet le défaut. Sans chercher à préserver à séduire à cacher. Je parlais aux animaux. J'avais le droit d'exister. À pleines dents croquer la pomme. Courir pieds nus dans les graviers sans jamais chercher à plaire à personne. J'avais le droit d'exister. En me moquant d'être fille ou garçon. Mon corps n'était pas une question : il me servait à manger des glaces, à grimper aux arbres, avant. Avant les religions barbares. Avant les jugements et la pudeur obligatoire. Avant les exigences imposées par d'autres regards. J'ai eu le droit d'exister.
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Ce recueil est un manifeste pour un nous capable de se rencontrer et de s'unir. Il contient sept poèmes sonores accessibles par QR codes.
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Victime collatérale de la Guerre contre la Bêtise, l'Ami Terrien a profité de son passage en enfer pour rédiger un carnet de voyage onirique où spleen et musicalité se répondent dans ce lieu hors du temps qu'est «Le Paradis», lieu-dit du parc de la Chartreuse à Liège, qui a vu succéder à l'écriture de ce livre l'installation, puis la lutte victorieuse de la Zad liégeoise. Plongée dans les affres d'un amour perdu, d'un monde en déliquescence à quelques pas seulement de la folie et de la mort, la nature et la musique comme dernière planche de salut jusqu'au retour du jour.
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Jean Ruisselaer, Barnabé Blème, Thierry Etienne et Guido Denoct créent le groupe théâtral Quintessence à la fin des années 1980. Récit fictionnel du parcours du collectif théâtral Transquinquennal.