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Généralités sur l'art
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Cinema et musique : accords parfaits ; dialogues avec des compositeurs et des cinéastes
Frédéric Sojcher
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 6 Février 2014
- 9782874491900
Il y a des musiques de cinéma que nous pouvons fredonner instantanément... Mais ce que l'on ignore, et qui sera révélé dans cet ouvrage à travers une série d'entretiens passionnants avec des cinéastes et des compositeurs, ce sont les hasards miraculeux ou les conflits intenses, le travail acharné ou les élans d'inspiration qui ont présidé à d'inoubliables morceaux d'anthologie. L'idée de ce livre, c'est aussi de montrer que la même complicité peut s'instaurer entre les cinéastes et les compositeurs de tous les types de cinéma, des Aventures de Rabbi Jacob mises en musique par Vladimir Cosma aux oeuvres exigeantes d'Atom Egoyan et Claire Denis en passant par les succès planétaires des musiques d'Ennio Morricone.
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Le street art au tournant ; de la révolution aux enchères
Christophe Genin
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 17 Novembre 2016
- 9782874494307
Dans cet ouvrage richement illustré, Christophe Genin envisage le street art comme un phénomène culturel planétaire, traversé de courants multiples, voire contradictoires. Il examine sa généalogie, comme ses évolutions actuelles les plus précipitées. Il aborde ses conditions d'existence, entre la résistance des autorités politiques au « vandalisme », et la reconnaissance de diverses instances, comme le marché de l'art ou les sciences humaines.
Le street art au tournant s'appuie sur des observations d'oeuvres, de comportements, de statuts, comme sur des rencontres avec de nombreux artistes de diverses générations comme Miss.Tic, Rero ou Levalet. Un livre donc pour comprendre et aimer le street art.
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Luchino Visconti ; les promesses du crépuscule
Véronique Bergen
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 4 Mai 2017
- 9782874494598
Le cinéma de Visconti a trop souvent été lu sous le prisme d'un classicisme décadentiste ayant succédé à ses films néoréalistes. Cet essai entend contester cette approche et réinterroger les créations du Visconti sous l'angle du motif du «trop tard», en abordant deux oeuvres en particulier, Les Damnés et le scénario Proust resté à l'état de fantôme. L'analyse des paradoxes et tensions de l'esthétique viscontienne, de la fonction qu'il impartit au cinéma mettra au jour sa problématique de l'Histoire, sa métaphysique de la mort et les promesses que recèle tout crépuscule.
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L'acteur cinéaste ; devant et derrière la caméra
Collectif
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 1 Septembre 2016
- 9782874494161
Basé sur des entretiens avec Michel Blanc, Nicole Garcia, Mathieu Amalric, Maria de Medeiros, Emmanuel Mouret, Joseph Morder, Guillaume Gallienne et Emmanuelle Bercot, l'ouvrage aborde les relations complexes entre réalisateurs et comédiens, ainsi que les motivations qui peuvent amener à occuper l'une ou l'autre de ces fonctions.
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La direction de spectateurs ; création et réception au cinéma
Dominique Château
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 3 Septembre 2015
- 9782874493027
Hitchcock dit à propos de Psychose : « Je faisais de la direction de spectateur. » Cette boutade qu'on peut rapprocher du « calcul du spectateur » cher à Eisenstein, est une invitation à repenser les rapports entre création et réception au cinéma. De quelle manière la réception s'inscrit-elle dans le film même, sans son texte ou sa texture ? On cherche les adresses au récepteur, les signes ou les configurations qui prescrivent des attitudes aux spectateurs. On examine ces marques dans des films précis (Hitchcock, Oshima, Gus van Sant, cinéma expérimental, etc.). On pose aussi la question générale de l'interaction de la création avec la réception, y compris pour les images 3D les plus récentes.
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Faire voir ; l’art à l’épreuve de ses médiations
Nathalie Heinich
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 23 Avril 2009
- 9782874490699
Conservateurs de musées, commissaires d'expositions, experts, critiques d'art, enseignants, philosophes, et même juges des tribunaux. Mais aussi galeristes, commissaires-priseurs, restaurateurs, assureurs, transporteurs, photographes, décorateurs, médiateurs, gardiens de musées. Tous ces professionnels contribuent à faire sortir les oeuvres des ateliers, à les exposer, à les qualifier, à les commenter, à les évaluer, à dire ce qu'est l'art ou ce que sont les artistes ; et, ce faisant, à les intégrer dans le monde de l'art, à la place considérée comme juste dans le contexte où opèrent ces mots, ces gestes, ces actions, ces objets - ces médiations.
Sans eux, nous ne verrions rien, sinon peut-être des objets entassés dans des ateliers ; et sans eux, probablement, nous n'en penserions pas grand-chose. Pourtant, le paradoxe de ces fonctions qui font voir est qu'elles sont, elles-mêmes, quasiment invisibles. Car l'on croit spontanément que l'art, c'est une relation duelle entre le tableau et son spectateur. Or non : il s'agit d'une « relation à trois », un « triple jeu » entre, d'un côté, les oeuvres ; de l'autre, leurs « regardeurs » (comme disait Duchamp) ; et, entre les deux, leurs intermédiaires, sans lesquels pas grand-chose n'aurait lieu dans le monde de l'art.
Quelles sont les valeurs et les représentations sous-jacentes aux décisions d'achats par les conservateurs de musées, ou encore, en matière d'art contemporain, les modalités concrètes de subventions par les commissions relevant des pouvoirs publics, ou d'acquisitions par les comités des FRAC ? Quels sont les types d'arguments utilisés par les critiques et les spécialistes d'art pour qualifier ou disqualifier une oeuvre ou un artiste ? Comment les juristes disputent-ils à propos d'une sculpture dans l'enceinte du tribunal ? Telles sont les principales questions dont traitent les textes réunis dans ce recueil, augmenté d'importants textes inédits.
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L'expérience politique de l'art ; retour sur la définition de l'art engagé
Daniel Vander gucht
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 2 Octobre 2014
- 9782874492297
La défi nition de l'art politique a connu un bouleversement considérable au tournant des années 1970 avec l'abandon du paradigme absolutiste de l'art (« l'Art est tout ») et du politique (« la Politique est tout ») au profi t d'un paradigme relativiste (« tout est art » et « tout est politique »).
Au messianisme révolutionnaire des avant-gardes historiques se substitue ainsi un projet de réinvestissement et de réappropriation de l'espace public dans et par la pratique artistique. À l'aide de quelques outils conceptuels simples empruntés à la sociologie et à la philosophie politique, cet ouvrage tente de cerner la question de la responsabilité sociale et politique de l'artiste, et par la même occasion de mieux comprendre le propos de cet art contemporain qui continue à nous provoquer.
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L'oeuvre en morceaux ; esthetiques de la mosaique
Livio Belloi, Michel Delville
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 1 Février 2006
- 9782874490040
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Le street art au tournant ; reconnaissance d'un genre
Christophe Genin
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 31 Octobre 2013
- 9782874491801
Le street art au tournant est un essai sérieux mais accessible à un large public.
L'art urbain est aujourd'hui à un tournant entre l'illégalité et l'imaginaire collectif, entre la contestation et le produit dérivé. Dans cet ouvrage richement illustré, Christophe Genin examine son histoire - entre « vandalisme », et reconnaissance du marché de l'art ou des sciences humaines. Il dresse un panorama de tous les champs investis par le street art, le graphisme, le cinéma, la performance, les jeux urbains, les représentations culturelles, la politique et le tourisme. Le street art au tournant s'appuie sur des observations d'oeuvres, et sur des rencontres avec de nombreux artistes de diverses générations comme Miss.Tic, Rero ou Levalet. Un livre pour comprendre et aimer.
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La Joconde est dans les escaliers ; la condition prosaïque
Jean Galard
- Impressions Nouvelles
- Reflexions Faites
- 5 Mars 2020
- 9782874497537
Robert Filliou, artiste franco-américain, a exposé en 1969 cet assemblage devenu célèbre : un balai-brosse, un seau, une serpillière et un écriteau accroché au balai, portant l'information « La Joconde est dans les escaliers ». C'était l'avis d'une éclipse de l'art, signifiée par l'absence d'une de ses icônes. C'était aussi la réduction d'un personnage illustre au statut ordinaire de concierge. Ce contraste produisait un effet trivial.
Élargissons : le délitement moderne de quelques idéaux traditionnels entraîne des conséquences également triviales. On explore ici, sur un mode doucement sarcastique, les manifestations de cet abaissement. Des références à la vie commune, ainsi qu'à certaines oeuvres d'art anciennes ou récentes, relancent, ici et là, cette réflexion sur la prose de la vie.