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Damien Lejeune nous propose des historiettes dont les protagonistes sont dépassés par l'absurdité d'un trop de réalité étourdissant ; une clé disparue ; un petit-déjeuner vampirisé par des non-dits ; des appels téléphoniques aussi récurrents qu'imaginaires... Myriade de situations burlesques où l'inattendu s'invite dans la quotidienneté. Des gens, pas toujours aussi simples qu'il y paraît, pataugent ou se dépêtrent du tragi-comique de leurs mésaventures.
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Prenez deux personnages au hasard et rembobinez l'histoire dans un futur antérieur à leur rencontre. Ils ne se connaissent pas, plus, pas encore. Pour autant, le temps -
Chronos le Fuyard - chasse la flèche d'Éros. Quelque part dans le temps, un arc fige sa courbe, la corde se tend. La flèche épouse le point d'encoche ; la pince des doigts lâche la corde mais la flèche ne bouge pas : c'est le tireur qui est projeté. On appelle ça l'amour, faute d'autre chose. -
« Avant de partir, je veux vous dire ceci. J'ai fait de ma vie ce que j'ai pu. J'ai respecté ce qu'elle m'a donné. Et j'ai agi à l'intérieur de ça. Je n'ai pas engendré une lignée d'hommes. Je suis de votre lignée de femmes. La seule qui existe ici. Une incongruité. Un scandale. C'est à vous toutes que je la dois. À votre résistance. » Un émouvant roman d'amour, de coutumes et de musiques. Sur fond d'histoire coloniale, sont dépeintes des luttes intimes pour la liberté menées par plusieurs générations hantées par leurs ancêtres. Cette histoire est issue de confidences que des femmes Tanôsy ont livrées à l'auteure lors d'un voyage à Madagascar.
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Il y a quelque chose de vital dans ce roman. Quelque chose de troublant dans ces vies parallèles au sein d'une même ville. Confrontés à la froideur du monde contemporain, à des événements qui entravent leur existence, ados, adultes ou vieillards, chaque personnage se débat pour être aux rênes de sa destinée, trouver un espace à la mesure de son désir.
EXuVie, peau laissée par le serpent après sa mue, parabole des métamorphoses surprenantes dont les êtres sont capables. -
Parti de la Cité ardente, Benjamin rencontre une fillette amnésique qu'il baptise « Lolitalice ». De gambades en cavalcades, il lui fait découvrir la belle Italie, Pise, les Abruzzes, Caprona, Carrara, Milan... la France, la Provence, Nice, Draguignan, Brignoles, le Massif de la Sainte-Baume, Saint-Paul-de-Vence... Obsédée par l'idée de retrouver le mystérieux « Château Panchrone », Lolitalice va mener le narrateur dans maintes aventures, rencontres saugrenues, épreuves cocasses dont nos deux protagonistes ne saisiront le véritable sens qu'au terme du voyage.
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Mais qui sont donc Mister Frigidaire, Grenadine, Vodka, Kanif, Dalle d'Haricot, Tagliatelle ? Nous les écoutons, ricochant d'un esprit l'autre, dans ce monde parallèle, méandres du web où fleurit une myriade de nouvelles mythologies contradictoires.
Vous pensez notre époque soumise à la raison, à la science, au calcul ? Et s'il en allait tout autrement, si notre époque n'était qu'une immense fabrique à fictions ? Il serait dès lors possible d'en révéler la poésie insoupçonnée ? Avec Capitule, mirage !, voilà qui est chose faite. -
Terres de fiction : De quel côté du miroir sommes-nous ?
Lorenzo Soccavo
- Bozon2x
- 8 Février 2024
- 9782931067192
« Sans cesse nous nous racontons des histoires. Perpétuellement nous fabulons une mise en récit sur le pourquoi et le comment de nos vies. Le tissage du récit et de la narration, du réel et de la fiction, est incessant. Nous échafaudons des châteaux de cartes, des relations de causalités incertaines, et comme si cela ne suffisait pas nous lisons, nous écoutons, regardons, voire même écrivons parfois, nous enregistrons ou nous filmons... des histoires. Toujours des histoires. Comme si tout commençait par des sensations et finissait en récits. Cela parce que nous aurions, peut-être par pur égocentrisme, l'irrépressible besoin d'agir dans et sur le monde, d'y être l'un des protagonistes. »
â€Lorenzo Soccavo -
Valérien Béton, musicien sans un rond, désire vivre damour, de musique et deau iodée. Séparé de Kléa, animé par lespoir de la reconquérir, prêt à maints sacrifices pour acquérir un phare où vivre et composer lesprit tranquille, Béton joue les détectives privés pour gagner sa vie. Par-delà des épreuves délirantes et aventures rocambolesques, Valérien pourra-t-il atteindre léquilibre auquel il aspire ?
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Un film violent interrompu par le coup de sonnette dune femme qui se trompe détage : un coup de foudre provoque une avalanche de « Et si... » dans lesprit du héros. Une brèche souvre ; lintensité des accords musicaux des corps avant même quils sunissent, la nécessité d'échapper aux niaiseries de l'époque, jaillissement de la fragile et violente beauté de chaque instant où lautre nous étrange autant quil nous séduit... lt;br /gt; « L'amour est un révolutionnaire actif... » lt;br /gt;lt;br /gt; Chaque page d'Un possible amour est une épopée sensible, un roman dédié à la puissance créatrice de l'état amoureux.
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Un certain Arthur Kramm, une épopée urbaine. Son héros traverse, non pas la jungle ou le désert, mais une ville contemporaine. Et dans cette ville, le redoutable sauvage, c'est lui, Arthur Kramm.
Robust nous emmène loin des steppes désertiques qui l'ont vu naître : un royaume peuplé d'étranges créatures. D'un naturel jovial et cruel, désemparé face aux tours que lui joue son destin, Robust tente de survivre. Fallait-il vraiment quitter son désert, ne vaudrait-il pas mieux y retourner ? -
Poétique de lamant, un livre dimages cadeau damour et dart à (s) offrir. Son seul emballage est la lumière, lintensité de sa douceur. Plus quun livre, une oeuvre tout simplement belle.lt;br /gt;lt;br /gt; Olivier Pé est artiste plasticien, musicien à ses heures, poète éminemment contemporain. Si lartiste ne dispose plus ni datelier, de toiles ou de couleurs, demeurent loeil et une main ouverte pour caresser linstant, les frémissements du corps devant la beauté. La nature est le cadre où lhomme découvre des mots de terre, de sable et de cendre...lt;br /gt;lt;br /gt; Poétique de lamant. Un florilège dimages nues, moments glanés, compositions où le verbe dessine son émoi.
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À dADa est une oeuvre inclassable. À dADa nous plonge dans une atmosphère surannée savoureusement franchouillarde, dérape vers labsurde et nous décroche un franc sourire. Et suivant lélan de son galop élégamment délirant, Georgie de Saint-Maur nous offre un essai de littérature comparée au service dauteurs imaginaires ! Les anecdotes croustillantes senchaînent, dépeignent des écrivains... trop bien coiffés !
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Puristes, arrêtez-vous, ce livre nest pas pour vous. Ceci est un espace de liberté. Slameurs, rappeurs, sans peur, découvreurs dexpérimentations littéraires, jeunes ou vieux libertaires, mutants contaminés,... Tagada ! Voilà : NZO est arrivé ! À brûle et sans pourpoint dans les tempêtes orthographiques, joyeux héritier des catastrophes qui secouent son temps, lobus en guise de plume éclairée, son rire raisonne et ses traits desprit de sel font craquer le vernis quils révèlent. Les aveux se parent de détours, labyrinthe de mots valises dans ce voyage parfois ardu en chemin vers linconnu. Car tout au fond de la forme, aspiration à trouver une identité ouverte, jouette et jouissive, où lenfance et lamour règnent en maîtres du jeu/je.
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«Pour la plupart rédigées sur lécran tactile de mon smartphone, les nouvelles de ce court florilège évoquent des destins qui pivotent pour un oui ou pour un non. Sans raison apparente, les personnages se retrouvent emportés au-delà de notre perception, franchissant, au détour du train-train de leur existence, le seuil dune dimension altérée, de lautre côté du miroir.lt;br /gt;lt;br /gt; À linstar du héros de la nouvelle éponyme, grossissant ou déformant, le tain parfois nous éteint, nous absorbe, nous sublime : la psyché nous morcelle. Il ny a dans nos reflets que des indices de ce que nous pourrions être : il me plaît à croire que notre image (anagramme de magie), si quotidienne, prend alors corps dans un monde parallèle où le songe seul reste matière à réflexion.lt;br /gt;lt;br /gt; Peu convaincu par le miroir débène de Blanche-Neige, incapable de mentir, je pense quil sagit plutôt dinverser la vérité, comme le ferait le chevalier des Miroirs, au stade où lhomme se multiplie pour se dissoudre. Pour Nietzsche, la vérité nest-elle pas une fiction, voire une erreur utile ? Hidalgo dune autre paire de manches, jai consigné ces historiettes à la manière dun test de Gallup, comme le coiffeur qui tendrait son miroir derrière nos nuques pour nous aider à déterminer si la coupe nous convient - parfois, elle est pleine quand cest tiré par les cheveux ! -, me permettant ainsi de voir sans être vu...»
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Quatre nouvelles coup de poing mettant en scène des coeurs simples, personnages aussi archétypaux que touchants. Leur vie, minuscule, va tout à coup basculer : la perte d'un être cher, un émoi amoureux, une rencontre qu'il eut été préférable d'éviter, le réveil d'anciennes blessures qui finit par rendre fou...
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Olivier Pé, peintre, artiste transdisciplinaire, professeur à St Luc Liège, vous emmène dans une mise en scène d'images, de mots, de sensations. Chaos Logos succède à Poétique de l'amant, deuxième volet d'un triptyque en cours de conception, cette nouvelle oeuvre est la source de performances et d'expositions. Chaos Logos plaira tant aux artistes qu'au quidam en qui ce type de publication éveille un frisson poétique, une autre manière de regarder le réel et les créations contemporaines.
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À Paris. Byron et Brummel, deux gangs de dandys rivaux, sèment la terreur en zigouillant tout qui déroge à leur vision du bon goût. Il faut choisir son camp, et vite : collaboration ou résistance ; se révolter ou renier ses valeurs pour sauver sa peau. Hector Bisi pousse à bout, dans un style déroutant patiné dhumour noir, toutes les dérives dun snobisme aussi ridicule que glaçant : compétition, arrivisme, amoralité, et intolérance allant jusquau crime.
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Qui est donc Martin Martin ? Quidam, doublon anonyme, symbole de son temps, pauvre hère, simple intérimaire ? Martin a deux coeurs, lun pour Ching, lautre pour Nadine. Avec Nadine, il a un bambin, un bambin sans tête, le visage flanqué sur labdomen. « Martin sort de son corps comme feuille de platane, Martin sans être mort senvole voyage et plane », dira lauteur. Si les livres les plus fous peuvent nous guérir de la folie du monde, assurément Martin Martin est de ceux-là.
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Le passeport pour lasile na rien de sanitaire, rassurez-vous ! lt;br /gt; Avec lélégante gouaille dun auteur arrivé à maturité, Georgie de Saint-Maur veille à votre salubrité morale, il vous offre de quoi rire, sourire, réfléchir. Se souvenir dun temps où Sade, Bataille, Gainsbarre, Lizène, Topor... ne se pliaient à aucun frein, ne reculaient devant aucun orifice. Imaginons sans entrave ! Un monde aussi tendre quabsurde et délirant, où depuis la plus haute antiquité jusquà lépoque du mépris de Godard, des hommes et femmes libres nauraient pas à rougir des relents romantiques et prétentions triviales qui traversent toutes leurs joyeuses dépravations... lt;br /gt; « Moi je suis de mon temps. Vive la crotte actuelle ! »
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Maat, déesse dans un corps de femme, vit dans le monde délirant de la guerre des sexes et cherche la réconciliation avec Clochmic, son alter ego masculin.lt;br /gt;lt;br /gt; Désirs de paix, damour et dharmonie entre les sexes, conscience écologique, autant de bonnes intentions pavent lenfer dune vie, celle dune conteuse habitée par un double fantasmé, Maat, déesse omnipotente, et par une poignée de personnages dont les voix contradictoires la tenaillent.