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«Je méprise les artifices décrits dans les livres et vendus, dans les vitrines des magasins spécialisés, sur de jolis présentoirs où brillent le verre poli, le métal et le cuir. Je n'ose pas les morceaux de bois, les manches de couteau, tout ce qui blesse et mutile. Je suis une soumise de province taillant des carottes sur un coin de table, je travaille à réduire ma folie par des aménagements ridicules. L'humiliation que je cherche ne naîtra jamais devant vous qui m'aimez, elle ne me viendra pas du regard des voyeurs. L'humiliation, pour être pure, doit être solitaire. Car il faut bien que quelqu'un comprenne un jour ces hommes qui dorment sur les bancs du métro, enroulés autour d'une bouteille, seuls d'un malheur sans art, du vomi à leurs pieds, ou ces folles qui marmonnent dans la rue et n'arrêtent personne car elles ne s'adressent à personne.» Un homme et une femme vivent une passion singulière, aussi ritualisée qu'extrême. Le récit d'une emprise et de sa subversion.
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Publié en 1955, interdit très vite, Les Mauvais Anges traîneront pendant de longues années (trente ans !), la malédiction d'une décision prise à l'époque par la fameuse Commission du Livre, entraînée par l'abbé Pihan, naturellement très averti, sans doute, de ces " amours particulières ".
Pourtant la première édition comportait deux textes, l'un de Max-Pol Fouchet, l'autre de Robert Margerit. L'un et l'autre célébrant le " don de poésie exceptionnel " de l'auteur, adolescent à l'époque (nous reproduisons ces textes en fin de volume). Ce que nous soulignerons surtout, c'est à quel point ce court roman de la folle passion de deux très jeunes hommes garde - aujourd'hui que la " littérature homosexuelle " se perd dans le réalisme le plus plat, le plus répétitif, le plus gratuit - une aura de trouble infini qui ira droit au coeur, même de ceux qui sont le plus étrangers à cet entraînement amoureux. -
Don : La madone des atolls
Henri Vernes, André Taymans
- Ediitons Du Tiroir
- 19 Juillet 2024
- 9782931251133
Le retour de Don avec "La Madone des Atolls", une novella (ou roman court), écrite et illustrée par André Taymans et Henri Vernes. Inédit !
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Mi-horrifiée, mi-troublée, une séduisante jeune femme hésite à s'avouer son attirance pour les hommes âgés.
Leurs rides, leurs chairs fatiguées la bouleversent et, surtout, la tentent. Elle décide alors de jeter son dévolu sur un célèbre sculpteur septuagénaire rencontré aux Beaux-Arts. C'est une passion immédiate, intellectuelle, physique, qui fait vaciller ses certitudes de jeune femme émancipée. Elle se découvre objet sous les doigts du vieil homme autoritaire, consentante, étonnamment soumise. Emmanuelle Pol, pour son premier roman, explore audacieusement les étapes d'une initiation amoureuse hors norme et le commerce secret qui unit le fantasme à la réalité.
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Contes pour petites filles perverses
Nadine Monfils
- La Musardine
- Lectures Amoureuses
- 24 Novembre 2005
- 9782842712488
Le lecteur se laissera charmer par les aventures polissonnes de ces petites filles délurées en culotte courte. Dans une débauche de fantaisie teintée de sagesse, Nadine Monfils ravive le genre du conte et en respecte les codes tout en le détournant de sa fonction première. Ne s'adressant plus exactement aux enfants modèles, ces historiettes les mettent plutôt en scène et, de la théorie freudienne selon laquelle l'enfant serait un pervers polymorphe, nous donne une démonstration aussi touchante que magistrale. Féeriques, tendres et sulfureuses, elles allient à leur parfum suranné la tentation de l'enfance envers le fruit défendu et ne manqueront pas de réveiller chez chacun d'entre nous ses fantasmes lointains et enfouis par les années, l'éducation et les bonnes moeurs. Ce recueil est constitué de contes déjà parus dans Contes pour petites filles perverses, aux éditions du Rocher, et dans Laura Colombe, paru à l'Atelier des Brisants.
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Une femme rêve. Chaque nuit, son imaginaire s'empare d'un homme di érent et chaque fois pour lui elle se métamorphose. De l'horloger à l'instituteur, du fourreur à l'astrologue, du pompiste au maître-nageur, du pâtissier au dresseur d'otaries, les rencontres se succèdent, sensuelles et extravagantes.
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Comment traverser la nuit quand on est immobilisé en montagne par une méchante foulure ? Voilà trois amis contraints à bivouaquer sans ressources et, pour tuer le temps en attendant le jour, à créer leur petit Décaméron... Sève de femmes parle essentiellement d'amour, c'est-à-dire d'histoires d'âmes et de sexes.
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Roman érotique où gravitent des amants autour d'Alba-Lee, figure éminemment duplice, auxquels elle se livre, auxquels elle se donne. Roman qui dérange, qui fouille les tréfonds du désir et révèle des instincts, des bassesses, des moments de jouissance, le tout porté par un style déjanté, en roue libre, qui se voile, parfois, pour mieux démasquer, pour mieux montrer, pour mieux s'envoler.
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Professeur nonchalant, spécialiste des textes sacrés, auteur de quelques livres introuvables : tel apparaît le héros de ce livre. Mais ce n'est sans doute qu'une couverture. Ses vrais combats sont ailleurs. Il se comporte comme un agent double, engagé dans une perpétuelle guerre de l'ombre. Ses adversaires : des "extra-terrestres", des envahisseuses déguisées en femmes et quelles femmes ! Affreusement belles, et mortelles si on relâche sa garde un instant.
« Les tentantes, les possibles, les faciles, les hostiles, les lointaines, les faites pour, les rapides, les trop tôt, les trop tard, les promises, les perdues, les indispensables sinon on sera malheureux, les vraiment belles : je ne voyais qu'elles du matin au soir. Elles surgissaient de partout. Inoffensives sauf pour moi. Elles étaient mêlées à la vie courante, elles exerçaient des métiers, elles prenaient le métro, elles faisaient des emplettes. Pourtant je savais bien qu'elles n'étaient pas originaires de la planète Terre. Leurs fins n'étaient pas nos fins. Déguisées en humains ordinaires, elles répandaient leurs charmes, jetaient des sorts. Elles avaient le pouvoir de rendre fous ceux qui voyaient l'invisible. J'étais fou d'elles, fou de toutes, en effet. » Le personnage central inventé par Luc Dellisse est hanté par un désir d'absolu, qui s'incarne dans la quête passionnée des femmes. Tout l'y ramène sans cesse, quels que soient ses détours. Il n'est pourtant ni un jouisseur, ni un séducteur. Il ne collectionne pas, il dilapide au contraire ses forces dans une course sans fin. Il ne cherche pas à vaincre, mais à comprendre le secret des choses, là où il n'y a sans doute rien à comprendre.
Est-ce la raison pour laquelle il est devenu chercheur en littératures comparées : dans l'espoir de saisir enfin ce qui le brûle ? Il attache une attention particulière à certains passages de la Bible : l'Epitre aux Corinthiens, l'Evangile selon saint Jean et surtout, l'Apocalypse, mise en forme théâtrale du Jugement dernier. Mais l'évidence, il considère ce livre célèbre comme un ensemble de textes curieux et cryptés : il y trouve davantage un espace de recherche qu'une dimension sacrée. Dans Le Jugement dernier , l'érotisme n'est qu'une des figures du récit, au même titre que la passion des voyages, que la recherche de la face cachée du monde, que le désir de lumière. C'est une fable et non un récit psychologique. Tout y est plus étrange que nature. On se croirait dans un théâtre d'ombres chinoises ; les personnages y projettent sur le mur des figures démesurément agrandies et transformées, jusqu'à devenir étrangères à ce qui les a enfantés.
« Pour me fuir, j'ai mis les bouchées doubles et j'ai noué sept relations simultanées. Elles n'avaient en commun que d'appartenir aux mêmes journées, au même printemps. Elle étaient si différentes l'une de l'autres qu'elles avaient l'air de notes alternées sur la gamme du temps. Ce fut ma saison des sept jeunes filles. Elles ont duré aussi longtemps que ce printemps crépusculaire. »
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Cinquante-six nouvelles à ne pas mettre entre toutes les mains selon l'expression éculée, des contes torrides, des fables coquines, des récits pendards des historiettes canailles... Le tout échafaudé (tricoté ? crocheté ?) à la main, ciselé dans une langue maîtrisée avec une rare perfection, des textes dans lesquels l'auteure évoque la moiteur du plaisir, l'extase de l'orgasme, la saveur du sexe. Isabelle Simon, quelque part entre Anne Archet et le marquis de Sade.
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Histoire de culte ; lettre de l'homme à sa femme
Dominique Maes
- Murmure Des Soirs
- 8 Octobre 2012
- 9782930657066
Chronique du remarquable destin de Sidonie Duchemin, Histoire de Culte propose à ceux qui n'ont pas encore eu la révélation de son miraculeux postérieur, d'abandonner toutes leurs pulsions morbides pour s'adonner définitivement au culte du plaisir et de la joie.
Et si, au-delà de la farce et de la gouaille, une petite révolution extrêmement douce était à la portée de chaque main capable de caresse ? Cette philosophie vivifiante se distille dans la Lettre de l'Homme à la Femme qui propose modestement de bouleverser toute l'histoire de l'humanité. Un tout petit livre peut produire de grands effets!
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Après «Miraculeuse Maryllis» (Murmure des soirs, mars 2012), qui contait par le menu son extrême affection pour une maîtresse tarifée, Frédéric Chanel diversifie sa chronique amoureuse avec «Grandes filles modèles», qui met crûment en scène les trois femmes de sa vie d'alors.
Murmure des soirs poursuit ainsi la publication d'une tétralogie que l'auteur, avant que son suicide spectaculaire ne nous prive de sa présence physique, projetait d'intituler «De chair et d'os».
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Peut-on parler de la bibliographie d'un auteur alors même que la plupart de ses livres sont encore à l'état de manuscrits graphiquement complexes, codés parfois, et dont le déchiffrement ne va pas sans difficultés peu à peu surmontées?
Forte de la confiance qu'elle met en la valeur des textes de Frédéric Chanel (1957-2009), notre maison d'édition peut d'ores et déjà annoncer la parution in extenso de sa tétralogie De chair et d'os, dont Miraculeuse Maryllis constitue un des pans, le mieux élucidé à ce jour. Avant que de nouvelles fulgurances signées Chanel, et patiemment ressuscitées, ne bousculent à leur tour la routine littéraire.
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Le petit cul moulé dans des rêves de soie, Nina croque l'amour avec gourmandise. Jusqu'au jour où elle épouse le diable aux gants blancs. Séduisant et vénéneux, il l'emprisonne dans son château d'épines, peuplé de nains, de fétichistes, de monstres, de personnages de cirque et d'anges aux ailes de cuir... La descente aux enfers du sexe n'est rien à côté de cette histoire où, avec une plume de " contes de fées ", on pénètre dans les fantasmes les plus vénéneux d'une Belge surréaliste. Lynch violé par Fellini.
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Quand les rues de Venise dévoilent leurs secrets, et que sur les eaux d'orage se reflètent les jupons des « petites filles » pas sages. Femmes enfants, un sucre d'orge dans le coeur, elles s'en vont se faire retrousser dans les palais en ruines.
Et nourrir les ogres de quelques rats qui se sont échappés de leurs nuits les plus chaudes. Parfois, à l'ombre de Barbe Bleue, elles savourent avec délice les interdits de la vie et s'en servent pour coudre leurs fantasmes. Au détour des ruelles les plus sombres, on peut encore les rencontrer aujourd'hui. Si elles vous sourient, méfiez-vous ! Surtout ne les suivez pas. Elles ne sont que fantômes aux yeux de chats et aux mains de porcelaine.
Parfois, elles se glissent dans le corps des poupées cassées et se cachent sous vos draps. Parce qu'à Venise tout est sorcellerie. Après Contes pour petites filles libertines (Tabou) et Les vacances d'un serial killer (Belfond), la voilà de retour pour un nouveau succès de librairie.
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Louise Anne, une sorte de grande maigre assez moche au look extraverti, naïve et tendre comme un bonbon, quitte sa petite ville de province française pour, au gré du hasard, poser sa valise Au poisson qui fume, une maison close en plein Quartier Rouge d'Amsterdam.
Un jour, coup de folie, les cinq prostituées dont elle est devenue la mascotte enlèvent un jeune homme dans la rue pour le punir d'être trop beau. Cet homme-objet, exhibé dans un écrin privé pour le seul plaisir des filles, la trouble au point de préférer l'anonymat. Elle n'entre pas dans le peep-show inutilisé où ses compagnes abusent de leur prisonnier mais, cachée derrière une vitre sans tain, lui parle sans relâche.
II est captif, elle est libre, mais allez savoir qui est le plus emmuré des deux.
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Dans ce roman très contemporain, très moderne, Sandrine Willems propose une variation fascinante sur le thème éternel de la passion érotique et ses rapports avec les énigmes de l'art et de l'expérience mystique. Séduite par une cantate de Bach entendue par hasard dans une église, la narratrice se met à la recherche du violoniste dont le jeu l'a bouleversée. C'est pourtant par les mots - ceux d'Internet ou des conversations téléphoniques, ceux, surtout, de la littérature - que la séduction va s'opérer, avec l'homme d'abord, puis avec une femme, avant que l'héroïne, disciple de Sade, en revienne au premier. Dans un langage très direct, parfois très cru, mais toujours très musical et juste, ce roman arrive à dire l'indicible des rythmes et des pulsions du sexe.
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Des réunions secrètes, des débats, des conférences s'organisent depuis le 11 septembre 2006. Ce jour-là, surgit de la Toile : www.transere.com « Réactivez toute espérance vous qui entrez ».
Telle est la devise qui pourrait figurer sur les portes de cette Ville-Univers.
Trois factions se partagent le Monde : les Économistes, les Scientifiques et les Pacifistes. Une organisation transversale, le CC-Comité de Censure et de Suivi Social Contemporain - préfigure la naissance d'un système totalitaire. À travers une mission à première vue ordinaire, un homme prend conscience de sa condition.
L'Aventure de Daeron et de Catherine en-deçà du Miroir. Une aventure qui invite à un sursaut de Liberté...
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Contes pour petites filles criminelles et libertines
Nadine Monfils
- Tabou
- Les Jardins De Priape
- 8 Décembre 2017
- 9782363260598
Originaux, déstabilisants et divertissants à la fois, ces contes pour petites filles criminelles et libertines nous entraînent dans le monde étrange et poétique de Nadine Monfils, qui manie les plumes d'anges et les couteaux sanglants avec un égal bonheur.
Dans cette version intégrale, redécouvrez ces contes pour petites filles qui loin des jeux qui leur sont destinés, tournent le dos à leurs poupées et trouvent leur plaisir dans le meurtre ou dans des délires les plus fous et les plus sensuels. Coquines et espiègles, elles ont une imagination débordante pour nous embarquer dans un monde de conte de fées en passant par les ténèbres de Tim Burton.
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Alors que le narrateur pouvait se croire à jamais installé dans le bonheur érotique que lui prodiguent et garantissent ses trois femmes attitrées, voici qu'une fantasmagorie foncièrement bouleversante l'investit peu à peu, où les spectres d'amours antérieures entreprennent, lancinants, de corrompre sa jouissance.
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Est-ce, là aussi, un effet paradoxal de son éducation chrétienne ? Elle a toujours été émerveillée, étonnée, comblée d'entendre un homme lui dire «j'ai envie de toi». Pour elle, cette déclaration était bien plus bouleversante que le «Je t'aime» tant attendu des femmes, en général.
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Pourquoi tant de femmes convergèrent-elles, dans les années 70, vers le garage d'Albert?
En quoi l'homme restera-t-il jusqu'au bout décevant pour la femme?
Comment la perte d'un chien très cher conduit-elle une libraire xénophobe à reconsidérer ses positions?
Quelle secrète obsession turlupine Alexandre tandis qu'il s'abandonne aux mains de son étrange masseuse?
Quatre questions essentielles auxquelles quatre courts récits apportent autant d'indispensables réponses.