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Editions Du Cerisier
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Couvrez-les bien, il fait froid dehors...
Sophie Pirson
- Editions Du Cerisier
- Place Publique
- 29 Septembre 2021
- 9782872672325
C'est à l'été 2018 que Sophie Pirson rencontre Fatima Ezzarhouni dans un groupe qui rassemble des proches de jeunes radicalisés, des personnes victimes ou proches de victimes des attentats et des intervenants de première ligne.
Le 22 mars 2016, la fille de Sophie a été blessée dans l'attentat du métro Maelbeek. Le fils de Fatima est parti combattre en Syrie le 16 juin 2013.
Ces deux mères que tout devrait opposer vont se parler, se découvrir, se construire ensemble une amitié et une intimité fortes, à partir de leurs déchirures et au-delà de l'horreur.
Sophie Pirson peint d'une écriture sensible ce récit croisé où les deux voix se répondent en harmonie.
Pour conclure son ouvrage symboliquement le 22 mars 2020.
David Van Reybrouck, dans sa belle préface écrit :
« Cet ouvrage est plus qu'un livre sur les attentats et les combattants en Syrie. (...) C'est le récit d'une amitié nouvelle, inattendue et improbable entre deux femmes fortes, marquées par la vie, mais pas captives. (...) C'est un livre empli de douceur, sur le pouvoir de la vulnérabilité et le réconfort de la beauté. » Sophie Pirson écrit les chemins qui se croisent, l'amitié partagée, les larmes et les rires rassemblés.
« Nous goûtons à la chaleur de nos élans avec bonheur. Je te lis les pages écrites. Tu complètes, corriges, acquiesces, précises. Nous nous sommes approchées et rapprochées avec notre passé et notre présent. Aujourd'hui, à travers nos échanges, nous nous efforçons d'inventer un futur. » Une écriture limpide où la narration se tisse dans l'entrelacs de la conversation, de la réflexion et de la poésie.
Une fenêtre largement ouverte sur un monde qui respire.
L'ouvrage est conjointement publié dans sa traduction néerlandaise (Alle moeders wenen dezelfde tranen) aux éditions EPO, avec la même préface de David Van Reybrouck.
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Margherita : une enfance sicilienne
Carmelo Virone
- Editions Du Cerisier
- Place Publique
- 25 Novembre 2024
- 9782872672516
"Un regard nouveau sur l'immigration italienne, est-ce possible? Tant de choses ont déjà été dites et écrites.
Carmelo Virone nous propose pourtant ici une autre «manière de voir».
«Quand ma mère a commencé à perdre la mémoire, j'ai pris conscience qu'avec elle un monde ancien, en partie révolu, m'échapperait à jamais. Comment avait-elle grandi, s'était-elle formée? Qui fut-elle avant moi, avant que commence notre vie de famille? ?J'en savais si peu.»
Margherita va donc se raconter à son fils. Par bribes, au gré de souvenirs qui en exhument d'autres. Un parcours chaotique ? Plutôt un puzzle. Le mot aujourd'hui oublié : ramentevoir ?- ramener des souvenirs perdus à la conscience - est peut-être le bon mot.
Margherita raconte son enfance et sa jeunesse à Favara, et par là elle raconte aussi sa Sicile d'avant ?la Belgique.
Ainsi, par touches parfois incidentes, parfois essentielles, s'installe un dialogue entre ?le souvenir d'un vécu au quotidien et la réflexion ?plus abstraite qui ouvre sur l'Histoire.
Carmelo Virone nous livre donc bien davantage qu'un témoignage. Il tisse subtilement les liens pour que se rejoignent l'affection et l'intelligence."
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L'éducation populaire, monsieur, il n'en ont pa voulu... - inculture 1
Franck Lepage
- Editions Du Cerisier
- Theatre-action
- 4 Avril 2007
- 9782872671090
Sous la dénomination de « Petits contes politiques et autres récits non autorisés », Franck Lepage raconte ici, dans une analyse aiguë, féroce et jubilatoire, comment l'idée magnifique d'éducation populaire, qui devait se réaliser après la seconde guerre mondiale, a été étouffée, dévoyée, et travestie depuis en « démocratisation culturelle ».
Quand je dis : « J'ai arrêté de croire à la culture », entendons-nous bien, c'est idiot comme phrase ! Non, j'ai arrêté de croire, pour être très précis, en cette chose qu'on appelle chez nous « la démocratisation culturelle ».
C'est l'idée qu'en balançant du fumier culturel sur la tête des pauvres, ça va les faire pousser, vous voyez ? Qu'ils vont donc rattraper les riches ! Voilà, c'est à ça que j'ai arrêté de croire. »
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Dans ses nouvelles, Mario Gotto creuse ses souvenirs, comme d'autres se font spéléologues ou orpailleurs. Il nous raconte des (ses) histoires, d'hier ou d'aujourd'hui, réelles ou imaginaires, pour nous emmener bien plus loin, dans une lecture où géographie et histoire sont convoquées pour mettre en lumière le social et le politique.
« ... ici le souvenir ou l'anecdote racontée au passé, comme toute matière que l'on dit première, subit une transformation, comme le charbon à l'usine, la graine dans la serre du jardinier, l'encre noire du calamar dans la cuisine. Au lieu de se recourber sur l'intérieur d'une vie personnelle, le souvenir ou l'anecdote semblent conquérir une vie propre et nous emmener dans les contrées du rêve, de la fiction, d'une mémoire plus large que le seul « vécu » d'un homme. » (Extrait de la préface de Florence Caeymaex)
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Bruno Manster est un savant, un scientifique, un philosophe.
Il se réclame aussi bien du Docteur Faustroll que d'Albert Einstein, de Montaigne et Pascal que du Capitaine Haddock et de l'Oncle Tom.
Dans son essai néo-pataphysique, il démontre avec brio comment notre univers est constitué de boîtes multiples, de l'infiniment grand à l'infiniment petit.
De la boîte de Pandore à celle du mouton de Saint-Exupéry, il dessine une fresque de la condition humaine où la réflexion la plus profondément sérieuse rejoint les sphères les plus élevées d'un délire rigolard.
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L'immigration a autant de visages que ceux qui la vivent.
Celle de Celso, le personnage central de ce récit en est une des plus particulières, même si elle débute comme beaucoup d'autres.
Originaire du Frioul, il fait partie de cette vague d'immigration des années trente. Mineur dans la région liégeoise, il s'installe à Seraing avec sa femme et son fils.
Ils y connaîtront un racisme doublement cruel lors de la Seconde Guerre mondiale, considérés comme des ennemis, alliés des Allemands.
Fait prisonnier par les nazis pour rébellion, Celso se retrouvera prisonnier en Allemagne.
Sans ressources, sa femme et son fils retourneront dans leur famille italienne où ils vivront la fin de la guerre entre partisans, fascistes, cosaques, Américains.
Jusqu'au retour de Celso libéré.
La famille reprendra le chemin de la Belgique où Celso finira ses jours en 1953, étouffé par la silicose.
Ce double voyage qui pourrait être le simple parcours de vies de pauvres gens, écrasés par la misère et l'histoire, devient ici une épopée héroïque dont les protagonistes ne peuvent inspirer que respect et admiration. C'est à la fois un plaidoyer pour la justice et un réquisitoire contre toutes les guerres.
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Je réponds toujours oui à ces sollicitations qui attisent ma curiosité et me portent plus loin. Il y en a un à qui cela ne plaît pas. Mon mari. Ma curiosité l'agace. Elle menace le couple figé qu'il s'obstine à vouloir conserver comme une relique, hostile à tout changement. La peur l'enferme dans quelques certitudes recroquevillées : famille, maison, football, vacances. Un petit bonheur banal qu'il protège fébrilement, à l'abri de la remise en question. Moi, je le vois comme un naufragé sur un radeau, que la moindre petite vague met en péril. Lui, il ne veut rien voir. Son monde est immobile et répétitif. Ma curiosité bouge, explore, désire. J'ai envie de me passionner. Il a envie de tranquillité. Je veux la vie. Il veut... Que veut-il au fait ? Ne pas prendre de risques pour ne pas être déçu ? Je n'en sais plus rien.
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Et que cela ne nous empêche pas d'aller voter dimanche...
Collectif
- Editions Du Cerisier
- Theatre-action
- 15 Mai 2010
- 9782872671397
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Café amer ; 643 jours pour l'emploi
Patrice Pedregno
- Editions Du Cerisier
- Faits Et Gestes
- 30 Novembre 2006
- 9782872671052
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Les meilleurs morceaux du mammouth
Charles Manian
- Editions Du Cerisier
- Cerisier Noir
- 7 Juin 2018
- 9782872672110
Des élus locaux pas très nets, des policiers aux méthodes discutables, on en trouve dans bien des villes. Comme l'auteur l'affirme, toute ressemblance, etc, etc... serait pure coïncidence.
Et comme dans bien des villes, certains quartiers sont moins fréquentables que d'autres, avec leur jeunes trop basanés pour ne pas être suspects, leurs marginaux «de souche», tout un «petit peuple» difficilement contrôlable. Et parfois explosif. Quand il explose, on appelle cela une émeute.
De compromis en magouilles des uns, confrontés à la débrouille des autres, Manian nous entraîne dans un scénario délirant porté par un humour subversif et corrosif.
Hormis le dénouement, où l'horreur replonge dans la pire des réalités. Mais toute ressemblance....
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« Lundi 22 septembre 2014. Avec deux autres recrues retenues sur près de cent vingt candidats, j'intègre un des centres d'appels francophones desservant le service «Chômage» d'un syndicat belge. (...) Après plusieurs années sans travail et force formations de (re)mise à l'emploi, me voilà, à 48 ans, chômeuse-apprentie-téléphoniste en call-center (...) Ceci n'est pas une enquête sous le manteau, c'est un Plan-Formation-Insertion. Mon Plan-Formation-Insertion. Ni prototype ni stéréotype. Narré par moi, a posteriori, avec toute l'authenticité dont je suis capable. J'en assume la subjectivité. Celle-ci constitue la posture que je peux, en conscience, en éthique, revendiquer mienne et de bonne foi ».
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Non Grata
Compagnie Du Campus, Theatre Des Rues
- Editions Du Cerisier
- Theatre-action
- 22 Mars 2021
- 9782872672301
Camille, 24 ans et Sara, 15 ans sont soeurs, vivent ensemble et seules, sans autres attaches familiales.
Quand Sara découvre qu'elle est enceinte, c'est évidemment la panique.
Les deux soeurs sont aussi seules pour faire face à cette situation, et vont s'affronter, tiraillées dans les contradictions.
Sara va-t-elle avorter ou non ? L'issue de la représentation ne nous le dit pas, pour permettre d'ouvrir le débat.
Extrait Camille .- Sara ! (Interdite, après avoir découvert le test de grossesse, positif.) Sara, c'est quoi, ça ? C'est une blague ? T'as trouvé ça où ? Si c'est encore un sale coup de ta part, je le trouve vraiment de très mauvais goût. Sara, j'en peux plus de toi ! Tu crois que c'est facile ? Tu n'es pas seule au monde ! Sara, tu veux bien m'expliquer d'où tu sors ce test ? Ça ne peut pas t'arriver à toi. Tu n'as même pas de petit copain... Tu as un petit copain ? Sara, réponds-moi ! Ne me dis pas que t'es vraiment... enceinte ? Tu n'es pas assez stupide pour avoir... fait l'amour sans... sans te protéger ? Tu avais bu ? Tu avais pris de la drogue ? Tu étais consentante ? Tu sais qui c'est ? Tu veux aller porter plainte ? Il t'a forcée, c'est ça ?
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Si je meurs un soir ; mémoires
André Dartevelle
- Editions Du Cerisier
- Place Publique
- 23 Avril 2018
- 9782872671922
« Ce sont mes films qui me sauvèrent. Mes films et la culture, cette somme d'idées et d'expériences sociales vécues dans ma jeunesse. Je persiste à croire que la révolution se fera, que c'est la démocratie elle-même qui suggère ce genre de mutation. La démocratie n'existe pas quand les institutions n'évoluent plus. Couplée au développement de la pensée et de la réflexion critique, elle suppose des transformations profondes initiées et acceptées par la collectivité. Si celles-ci ne se font pas, ce sera le choc révolutionnaire. La révolution en faveur de l'émancipation et de la justice vaut mieux que la contre-révolution, celle du fascisme, née de l'abattement et de la désolation d'une partie de la population qui accuse la démocratie d'être la cause de son désarroi. Je pense que la découverte de nouvelles utopies mène à une nouvelle vision de la société. » Les Mémoires ont toujours des failles, parfois elles peuvent être injustes. Celles d'André Dartevelle ne font pas exception mais le document qu'il nous laisse est exceptionnel. Pour la compréhension de l'homme et de l'oeuvre évidemment mais aussi sur la signification profonde du cinéma documentaire qu'incarnait ce « cinéaste résistant ». Il nous rappelle aussi ce que pouvait produire une télévision de service public dont les exigences culturelles et citoyennes étaient alors à la hauteur du respect de son public. L'homme se livre, le cinéaste se (re)découvre, l'intellectuel nous interpelle. Ses questions sont plus que jamais les nôtres.
(Extrait de la préface de Hugues Le Paige)
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ça va d'aller... y a pas d'avance
Girolamo Santocono
- Editions Du Cerisier
- Griottes
- 4 Octobre 2018
- 9782872672134
Santocono est un raconteur d'histoires, c'est lui-même qui le dit. Et voilà qu'il nous en livre un plein panier !
Bien sûr, on y retrouve son Italie natale, et cette Région du Centre où est quasi toute sa vie. Mais il nous fait voyager bien au-delà. Dans l'espace et le temps, le passé ou l'avenir.
Avec une truculence joviale ou une tendresse malicieuse, à partir de réalités quotidiennes et banales, ou de trajets de vie hors du commun, il fait décoller ses récits dans une autre dimension.
Et avec une langue qui fait la nique aux académismes asséchés, il plante ses personnages de chair et de verve dans un décor qui nous est à la fois familier et riche de sens inattendus.
Des histoires savoureuses, jamais futiles ni moralisatrices, et pourtant Santocono y touche souvent à l'essentiel, sans jamais la ramener.
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70 ans après l'odieux assassinat, 10 ans après la première édition du livre de Jules Pirlot, aujourd'hui épuisé, les éditions du Cerisier et le Centre des archives du communisme en Belgique (CarCoB-asbl) s'associent à nouveau pour publier une nouvelle édition de la vie passionnante de Julien Lahaut.
Une véritable épopée ouvrière de la première moitié du 20ème siècle, depuis les grèves durement réprimées pour le suffrage universel jusqu'au cri «vive la république», en passant par l'expédition des auto-canons-mitrailleuses belges en Russie pendant la Première guerre mondiale et la grève des 100.000 malgré l'Occupation allemande en 1941.
Cette édition, préfacée par José Gotovitch, augmentée de nouvelles sources et de documents iconographiques, tient compte des recherches menée par l'équipe du CEGESOMA mandatée par la Fédération Wallonie-Bruxelles et dirigée par Emmanuel Gérard avec qui le CArCoB a coopéré.
Elles ont permis, selon les voeux du Sénat, de comprendre pourquoi l'assassinat à eu lieu et pourquoi l'enquête a débouché sur un classement sans suite, alors que les tueurs étaient connus, mais protégés.
La couverture comporte des cases destinées à attirer l'attention sur la remarquable bande-dessinée de Ita Gassel et André Jacquemotte publiée en 1951 dans le journal des jeunes commu-nistes et reprise en annexe à l'ouvrage.
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Terre de misere - la vie des gueux
Renard Marius
- Editions Du Cerisier
- 15 Septembre 2005
- 9782872670949
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Et puis, il y a eu l'été qui a déchiré notre quotidien. Je ne pourrai jamais oublier le jour de juin où Lupe, la nourrice qui s'occupait d'Esther depuis ses trois mois, nous a fait part de ses craintes et de ce qu'elle avait remarqué d'inhabituel. Elle gardait des enfants depuis plus de trente ans et elle voyait chez Esther des comportements bizarres qu'elle n'avait pas vus chez les autres et qui devenaient de plus en plus clairs, de moins en moins faciles à ignorer. Esther ne la regardait presque plus. Esther se mettait à pleurer, d'un coup, sans raison. Esther n'allait pas vers les autres enfants. Esther évitait toute forme de conversation avec elle. Je me souviens du jour où Lupe nous a dit tout ça. Je me souviens qu'il faisait chaud, qu'Esther était à côté de nous et qu'elle portait une petite robe jaune. Je me souviens de son cou si fin dans la robe d'été, de ses cheveux courts, de sa chair de bébé et qu'elle était curieusement silencieuse. Et je me souviens aussi que, sous le choc, mes jambes se sont dérobées. Parce qu'à ce moment, l'angoisse que je cachais en mon for intérieur, la peur que je ne voulais pas voir, a pris corps. Je ne pouvais plus compter sur les autres pour me dire, dans un grand rire, enfin mais non qu'est-ce que tu vas imaginer, l'autisme ce n'est pas ça.
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Le petit berger ou l'intégration perpétuelle
Ada A.
- Editions Du Cerisier
- Quotidiennes
- 13 Décembre 2021
- 9782872672363
Un matin, par la petite fenêtre de la chambre où je dormais avec mes frères, j'ai vu un vélo noir. Il était posé contre le mur de notre maison.
Dans l'autre pièce située à côté de ma chambre, j'entendais une voix inconnue. Un visiteur étranger discutait avec mes parents. Je n'entendais que lui.
Il parlait fort. C'était le marabout. Chez nous, au Niger, le marabout n'est pas un magicien, ni un sorcier mais un maître coranique. On le respecte beaucoup.
C'est comme ça que l'aventure a commencé.
J'avais six ans. Ce vélo a servi à m'éloigner de ma famille, de mon village. L'enfant sur le vélo, c'est moi qu'on a ligoté pour ne pas que je m'échappe.
Cela se passe comme ça dans mon pays. Les parents trop pauvres pour payer l'école, confi ent aux marabouts leurs enfants et espèrent ainsi leur donner l'instruction. Ils offrent, souvent sans le savoir, leurs enfants à des exploiteurs. Quelquesuns seulement recevront l'instruction. Les autres sont destinés au travail. Cette situation est due au fait que l'État ne se charge pas de l'éducation de sa jeunesse. Les hommes politiques viennent dans les villages faire des promesses au moment des élections et ensuite, on ne les voit plus.