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Samsa
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Une pièce de théâtre qui relate la rencontre entre deux grands peintres, Manet et Degas.
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Il était une fois un Gantois qui connaissait parfaitement le français... Il n'était pas le seul, surtout dans les années '30.
Il avait commencé sa carrière - semble-t-il, parce que nous savons très peu à son sujet - avec une courte pièce, un «â€¯lever de rideau » écrit en flamand et intitulé Sint Niklaas in 't front traduit en français sous le titre Saint Nicolas au front, pièce de circonstance qui fut représentée au Théâtre Antoine, à Paris, en 1915 et y connut, paraît-il, un réel succès.
Il lui fallut attendre une vingtaine d'années pour renouer avec le succès grâce à Monsieur Peperbol qu'il écrivit seul alors que, la plupart du temps, d'Hanswyck écrivit en collaboration.
Le succès, et surtout dans les arts que l'on appelle aujourd'hui «â€¯vivants », n'est jamais le fruit du hasard ! Et «â€¯succès », le mot est faible, puisque la pièce connut un véritable triomphe, aujourd'hui encore inégalé pour le théâtre belge puisqu'elle fut représentée, sans discontinuer, 465 ou 475 fois. -
Le public aime, bien sûr, entendre des contes de fées, sinon comment expliquer le succès de Perrault, des frères Grimm ou d'Hans Christian Andersen ? La Demoiselle de Magasin n'est pas que cela ! Elle est assez jolie pour troubler tous ceux qui l'approchent...
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Hugo : Et pourtant, nous finirons tous deux au Panthéon.
Pasteur : Pas moi. Je vous laisse ce plaisir, ce sera votre sacre. L'État m'a trop déçu pour que mon corps lui serve de réclame.
Hugo : Expliquez-vous. -
Ambroise Daumier est-il un savant fou ? Ses recherches médicales controversées, concernent les effets des ondes sonores et de la mescaline sur le comportement humain. Il prend le risque et réussit à soigner Charlotte dont son fils Alain est amoureux. Puis, en 1936, il rejoint un laboratoire en Bavière, où «â€¯on conçoit le chercheur comme un découvreur soutenu par l'État : un simple technicien, et ces gens-là prendront le pas sur nous dans l'avenir ». Ambroise développe alors une terrible «â€¯chirurgie de l'âme ». Son assistant Olivier est-il prêt au meurtre pour voler ses documents au Dr Daumier ?
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La Nuit du fils est une oeuvre originale, celle d'un père et de son fils au milieu de leur garage automobile, où différents personnages s'agitent.
Fait-on jamais le deuil de celui ou de celle que nous n'avons pas été ? Enfant, des songes nous électrisent, agitent les fantasmes d'une vie pailletée d'éclat et de liberté, de rencontres et d'aventures, de jours prodigieux. Puis, cette vie nous arrime à la réalité, moins enchanteresse que dans nos rêves, mais avec laquelle nous devons composer.
Exploration captivante des relations familiales, des secrets enfouis et des réalités changeantes, cette pièce invite le spectateur à plonger dans un univers de mystère et d'intrigue...
Porca Strada ! est le récit drôle et haut en couleur d'un homme qui va se battre de toutes ses forces afin de conserver la terre de ses aïeux. Est-ce l'histoire éternelle du pot de terre contre le pot de fer ? Celle d'un citoyen qui affronte un système où les magouilles, au profit de quelques-uns, l'emportent sur l'intérêt de tous. Mais, aucun combat ne laisse indemne celui qui le porte et, au contact de personnages aussi truculents que douteux, des questionnements vont agiter l'esprit de Luca (le héros de notre histoire.) D'où est-il vraiment ? Quel est son rapport au passé, à ses origines, à la transmission ? A-t-il l'âme d'un super héros ou la réalité le poussera-t-elle à courber l'échine ? À l'image des comédies douces-amères à l'italienne, Porca Strada ! est un voyage à la fois initiatique et affectif, identitaire et citoyen, composé d'allers-retours permanents entre une culture et l'autre, entre un présent fait d'engagements et un passé teinté de poésie. Un voyage universel, et donc humain. -
Le public fit un accueil vibrant à cette pièce qui remplit la salle Molière d'Anderlecht pendant plusieurs soirées d'affilée en 2010. Le public reconnaissait d'emblée ce théâtre ! N'y était-il pas question d'amours, comme dans Mademoiselle Beulemans, ainsi que d'un couple d'amis comme l'étaient à jamais Bossemans et Coppenolle ? Et cet accent ? Presque tous les acteurs se devaient de parler le bruxellois, comme le faisaient déjà les principaux protagonistes des pièces citées plus haut. Le milieu social où se déroule la pièce rappele autre chose au public, puisque Théo est un commerçant bruxellois qui exerce le commerce de parapluies - Beulemans était un brasseur prospère et les deux compères avaient réussi, l'un en vendant des papiers peints l'autre dans la droguerie. Il ne s'agit ici ni de « pastiche », ni de « plagiat » ! Jean-Paul Boyazis aime et connaît les pièces qui ont précédé la sienne et sait mieux que quiconque que, comme l'affirmait Cocteau…
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La nuit tombe. Dans la maison près de la forêt, voilà quelque temps déjà qu'une femme est revenue s'occuper de son père. Quand elle découvre l'inconnu tapi dans la pénombre, elle ne sait pas encore que toute son existence va se voir bouleversée. Ce mystérieux visiteur semble la connaître, la connaître trop bien, au point de l'inquiéter.
Quels liens se tissent entre les êtres, par-delà leur histoire, leurs angoisses, leurs fêlures ?
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Il s'agit s'une rencontre et discussion philosophiques. Sur une place de Venise, bordée de façades de maisons, avec au centre un puits. Il bruine légèrement. C'est la fin de la nuit...
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Qu'est ce que le théâtreÂ? L'abdication de la personne actuelle, égoïste, intéressée, pour prendre un rôle meilleur. AhÂ! que nous en avons besoinÂ!... Venez, je vous prie, venez reprendre votre âme au théâtre populaire, votre âme au milieu du peupleÂ!
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Sachez cependant qu'il n'a pas toujours été simple de participer activement à des débats judiciaires dont je désapprouvais entièrement la tenue. Soit qu'ils s'apparentaient à un authentique dialogue de sourds, soit que le déséquilibre des forces rendait d'office illusoire la prétendue égalité des armes. Oui, sachez l'entendre : il m'a été pénible d'assister souvent à des instructions d'audience et d'écouter des réquisitoires à l'égard desquels j'étais dans un désaccord absolu, à tel point que j'en ressentais un accablement doublé d'impuissance. Comme il m'a été douloureux de devoir plaider en étant certain d'avance que je m'évertuerais en pure peine et que tout ce que je pourrais dire, dussé-je en être foncièrement persuadé, n'aurait aucun impact sur le jugement à venirâ€-
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Une tour arrogante gérée par la Compagnie Babil-One, un climat qui se dérègle et le niveau des eaux qui monte, une troupe de comédiens ambulants qui embarque dans une arche... cela vous rappelle quelque chose ? Et que viennent faire l'ours et la cyborg dans cette galère ? Et où iront Zouc et les locataires submergés des étages inférieurs ?
À la fois conte philosophique, fable écologique et farce hé-naurme à la manière du père Ubu, cette pièce, drôle et profonde, nous plonge (littéralement) au coeur de l'actualité.
Cette pièce traite de questions écologiques et économiques très actuelles, en mobilisant de façon très libre des thèmes de la Bible (l'Arche de Noé et la Tour de Babel) et d'autres textes mythologiques (L'Atlantide, Tristan et Yseult). Ces sujets graves, elle entend en parler sur un mode tour à tour critique, ludique et poétique.
Quand un ingénieur doublé d'un philosophe rencontre un juriste doublé d'un philosophe, résultat : L'Arche et la Tour, une pièce à convictions, un spectacle tout public, pour rire et réfléchir car il est trop tard pour pleurer et que les larmes feraient encore monter les eaux.