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Qu'est-ce que l'instinct territorial chez les oiseaux ? Vinciane Despret mène l'enquête et, sous sa plume, oiseaux et ornithologues deviennent intensément vivants et extrêmement attachants. À l'issue de ce livre, on ne devrait plus considérer la notion de territoire comme allant de soi. Et l'on n'entendra peut-être plus de la même façon les oiseaux chanter.
Cette édition comporte des illustrations de François Olislaeger. -
La quête de la jeune mendiante qui, après avoir suivi son père, le roi aveugle oedipe, des années durant, prend contre toute prudence le chemin de Thèbes avec l'espoir d'empêcher la guerre entre les fils de Jocaste, ses deux frères tant aimés. Commence alors pour elle une suite d'épreuves, de doutes, de joies et de déchirements. Lumineuse, intrépide, féminine, l'Antigone d'Henry Bauchau s'inscrit avec force dans l'histoire de la réécriture du mythe.
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Oedipe, celui qui - jouet des dieux - a tué son père et épousé sa mère, quitte Thèbes aveugle et accablé par le poids de sa faute. Avec sa fille Antigone, il s'engage dans une longue errance qui le conduira à Colone, lieu de sa "disparition"... et de la clairvoyance. Car ce livre est un voyage intérieur dans lequel un homme affronte les ténèbres qu'il porte en lui, jusqu'à atteindre la connaissance de soi.
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Membre de l'agence Magnum, le photographe Harry Gruyaert est un des chefs de file de la photographie en couleur. Il a contribué à imposer les valeurs chromatiques, leur spécificité et leur maîtrise, comme substances de l'écriture et de l'acte photographique contemporains ; explorant toutes les potentialités de la "matière couleur", il offre des photographies couleurs remarquables, encore rehaussées par sa maîtrise du cadrage et de la composition, qui rendent magnétiques les lieux qu'il photographie.
Nouvelle édition entièrement remaniée jusqu'à ses derniers travaux photographiques. -
Congo inc. - le testament de bismarck
Bofane In Koli Jean
- Actes Sud
- Babel
- 3 Février 2016
- 9782330058876
Le jeune Isookanga quitte sa forêt et son village pygmée pour faire du business à Kinshasa. Sur son chemin, de nombreux personnages - des plus pauvres aux plus puissants, des plus vils aux plus naïfs - composent un saisissant tableau du Congo contemporain aux prises avec la mondialisation.
Après Mathématiques congolaises (22 000 exemplaires vendus), In Koli Jean Bofane n'a rien perdu de son énergie, de son humour ni de sa lucidité politique.
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Elisa est la femme de Gilles. Elisa aime Gilles. C'est son homme, celui dont elle attend le retour chaque jour, celui pour lequel elle travaille dur dans la maison, celui dont elle est à nouveau enceinte, celui au bras duquel elle regarde le soir tomber sur leur petit jardin d'ouvrier. Quand elle comprend qu'il s'est mis à en aimer une autre, elle ne peut que se taire, souffrir, attendre et espérer. Jusqu'à ce que ça finisse. Bouleversant par sa simplicité douloureuse, sa langue limpide et sa sensualité retenue, ce roman, illuminé par le personnage inoubliable d'Elisa, s'immisce dans le coeur insondable des passions.
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A Paris, dans un hôpital de jour, une thérapeute tente de guider un jeune psychotique sur le chemin d'un fragile épanouissement dans l'art et d'extériorisation de ses démons.
A Paris, dans un hôpital de jour, Véronique, une analyste, prend en charge Orion, un jeune adolescent gravement perturbé. Malgré ses difficultés, elle discerne qu'il est doué d'une imagination puissante et entreprend de l'orienter vers le dessin et la sculpture. Les chemins de l'art et ceux de la vie quotidienne sont semés d'incertitudes et d'échecs, mais dans ses "dictées d'angoisse", Orion parvient à s'ouvrir à la parole et à mettre en mots ce qui le hante : la peur d'un démon de Paris, qui le rayonnise et le bazardifie. Au fil des années et suivant des voies inusitées, l'oeuvre l'oeuvre intérieure et l'oeuvre - d'art - apparaît et s'affirme. Le délire, la confusion, les surprenants effets de l'art en actes, la patience des déliants qui partagent les efforts du "peuple du désastre" (les handicapés), le mystère indicible de la souffrance que combat l'opiniâtre espérance, tels sont les thèmes de ce livre où Henry Bauchau a versé beaucoup de son expérience de la psychose et de l'analyse pour atteindre, au-delà du vécu, à la vie du roman. Il y poursuit un dialogue entrepris de longue date avec l'imaginaire, l'angoisse, la folie et le réenchantement du monde. Sous le signe de l'espoir, la présence fugitive de "l'enfant bleu" éclaire Orion et Véronique sur un chemin de compassion.
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La belle Ichrak est retrouvée un matin assassinée dans une rue de Casablanca. Tous les hommes la craignaient autant qu'ils la convoitaient... L'enquête, racontée par un jeune Congolais récemment arrivé au Maroc, est prétexte au portrait de groupe d'un quartier populaire. Avec sa vision acérée d'une réalité amère et son humour mordant, In Koli Jean Bofane dénonce la corruption des puissants, les magouilles immobilières, la précarité des migrants et la concupiscence masculine.
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Dans un Kinshasa agité, l'ascension du jeune Celio Mathematik, orphelin débrouillard et fana de mathématiques, dans les cercles obscurs du pouvoir. Dans un Kinshasa secoué de remous de toutes sortes, Célio aurait pu traîner sa galère encore longtemps, n'eût été sa rencontre avec le directeur d'un bureau aux activités très confidentielles, attaché à la présidence de la République. La faim tenaille suffisamment les ventres pour que le débat sur bien et mal puisse être sérieusement envisagé. La ville ne fait pas de cadeau, le jeune homme le sait, et il tient là l'occasion de rejoindre le cercle très fermé des sorciers modernes qui manipulent les êtres et la vie quotidienne. Orphelin depuis l'une des guerres qui ravagent le pays, Célio conserve comme une bible un vieux manuel scolaire, retrouvé dans le sac de son père tué au hasard d'une route de fuite. C'est grâce à des théorèmes et à des définitions que Célio Mathématik espère influer sur le destin dont il dit n'être que le jouet. Un moment emporté dans la spirale sympathique de la vie facilitée, Célio Mathématik n'a cependant pas oublié la mort suspecte de Baestro, un vieux copain qui gagnait quelques sous en participant à des manifs arrangées par l'éminence grise du pouvoir, mais qui un jour y a laissé sa vie. Avec humour et gravité, connaissant son monde et pour cause, In Koli Jean Bofane campe d'une plume aussi acerbe qu'exotique ses personnages et dresse des tableaux d'un Congo que le lecteur s'approprie vite parce qu'il sent les rues, palpite au rythme des musiques et des images livrées avec justesse et énormément d'empathie.
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Dans nos sociétés urbaines du xxe siècle à sa fin, les plantes médicinales ont retrouvé une place importante et paradoxale.
De mieux en mieux connues quand à leurs constituants et leurs effets, souvent (re) devenues remèdes courants mais sous les traits du médicament classique, très requises par la cosmétologie et la diététique, on les perçoit pourtant de moins en moins dans leur nature première d'êtres végétaux. le livre des bonnes herbes, dans son double souci de faire connaître et la plante et ses usages, n'oublie pas que les " simples " sont autre chose que des remèdes standard : des êtres vivants dont l'approche amicale, attentive, vaut déjà comme amorce de confiance.
Et dans cette rencontre où la fréquentation du pré ne contredit pas les acquis du laboratoire, la liberté trouve son compte ! cette troisième édition révisée du livre des bonnes herbes, manuel d'apprentissage d'une flore familière très riche en offres thérapeutiques de valeur, accessible à tous, s'obstine donc à voir dans le recours aux simples, une preuve d'autonomie toujours vivace au bord du champ clos des grandes (et coûteuses) techniques de soins.
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Par sa mère, cambyse appartenait à une lignée perse dont les plus lointains ancêtres étaient des lions.
Peut-être des dieux lions, car c'est en eux qu'il se reconnaissait. il avait étendu à tout notre clan ce lien de sang avec les lions. il en avait étrangement transmis, à mon père et à moi, le culte qui faisait horreur à ma mère et à ma soeur aînée. la lutte avec les lions ne durait qu'une partie de l'année et on ne pouvait s'attaquer qu'à un fauve à la fois. une fois par an, avait lieu entre eux et nous une guerre rituelle qui durait deux jours et une nuit.
C'était la plus grande fête de l'année, il y avait toujours plusieurs morts et de nombreux blessés, mais y il n'y avait pas, pour les chasseurs du clan et des tribus voisines, de plus grand honneur que d'y être admis par cambyse. en grandissant, j'éprouvais un désir croissant de participer à cette fête, j'en ai parlé à ma mère, elle m'a suppliée d'y renoncer en me disant que ce n'était pas la place d'une jeune fille et que la tradition ne le permettait pas.
Je pensais au contraire qu'à l'origine de notre clan il y avait eu des déesses lionnes aussi terribles, aussi puissantes que les lions. je descendais sûrement de l'une d'elles et si, pour des raisons évidentes, il était dans notre guerre interdit de tuer les lionnes et leurs lionceaux, elles prenaient au combat une part redoutable et provoquaient parmi nous autant de morts et de blessures que les mâles.
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Au chevet de sa mère mourante, le narrateur s'efforce de retrouver l'image de la femme qu'elle fut, et retrouver par là-même l'enfant qu'il était. Un roman d'une extraordinaire intensité symbolique.
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Paris, 1980. Alors qu'il accompagne sa belle-fille dans sa lutte contre un cancer, le narrateur se souvient de Stéphane, son ami de jeunesse, qui au début de la guerre l'avait initié à l'escalade et au dépassement de la peur. Entré dans la Résistance, puis capturé par un officier nazi le colonel Shadow, il est mort dans des circonstances jamais vraiment élucidées.
Mais Shadow, à la fin de la guerre, s'est fait connaître du narrateur. Son intangible présence demeure en lui, elle laisse affleurer les instants ultimes, la mort courageuse héroïque, peut-être de Stéphane. Et la réalité contemporaine (les visites à l'hôpital, l'anxiété des proches, les minuscules désastres de la vie ordinaire) reçoit de ce passé un écho d'incertitude et pourtant d'espérance
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Dans un petit port du Sud de la France, de nos jours, un cercle d'amitiés s'est formé autour de Florian, peintre vieillissant, iconoclaste, pyromane et réputé fou, qui se lance, avec l'aide de ses compagnons, dans une oeuvre monumentale illustrant le Déluge.
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Charles Bertin, qui est né en 1919, a rêvé de sa grand-mère, morte depuis un demi-siècle. Au matin, ce rêve lui est apparu comme le signe qu'il fallait sans délai rendre visite à la petite dame en son jardin de Bruges.
Dans la manière d'un tissage aux laines délicates se compose alors, au fil du voyage, un portrait d'une tendresse si sensible et d'une véracité si évidente que nul ne saurait lire ces pages sans aller aussitôt à ses propres souvenirs, ni sans ressentir, à l'exemple de Charles Bertin, l'effroi de revoir si bien sans jamais pouvoir franchir le glacis qu'impose la mort.
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Il lui aura fallu attendre le très grand âge pour rencontrer enfin en lui-même cet enfant rieur qu'il aurait pu être si les circonstances - deux guerres, et quantité d'incertitudes écrasantes pour sa jeunesse - avaient rendu cela possible. À tant d'années de distance, afin de ne pas imposer au personnage principal son "moi qui depuis lors a tant vécu", il s'agit pour lui de ré-imaginer à partir des souvenirs. Voilà pourquoi ce livre est à lire comme le roman des commencements d'une vie, dans une société désormais lointaine : un monde plus paysan qu'urbain, fait de grandes maisonnées, de vastes parentèles, de fermes et de terres et de chevaux - mais aussi de règles strictes, de droits et devoirs inégalement partagés entre les sexes, de profond respect pour les lois, les hiérarchies... et de tentatives de révolte.
Tout en chapitres courts composés avec vivacité, dans l'écriture si transparente et sereine qui - alors - ne lui était pas encore advenue, Henry Bauchau raconte ici (de 1913 à 1940) une partie importante de "son époque". Et lui qui a longtemps cru qu'il deviendrait un "homme d'action", lui qui a si tardivement rencontré sa vraie vocation d'écrivain puis la notoriété littéraire, lui qui, pour tant de lecteurs, depuis longtemps fait figure de vieux sage, prend un visible et malicieux plaisir à redessiner les péripéties dangereuses et les courants contraires dont a fini par s'affranchir l'enfant rieur.
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Temps du rêve raconte un amour aussi fulgurant qu'insidieusement délétère, par lequel un jeune garçon est ébloui puis désenchanté - et condamné à chercher dans l'imaginaire d'autres illuminations... À quatre-vingts ans de distance, Henry Bauchau relit et préface son tout premier récit publié sous pseudonyme.
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Michel Vanden Eeckhoudt
Michel Vanden Eeckhoudt, Francine Deroudille
- Actes Sud
- Photo Poche
- 30 Janvier 2007
- 9782742766666
Roger Blin disait souvent à ses élèves et à ses acteurs :"Au théâtre, si tu veux être entendu, ne crie pas, murmure." C'est un conseil qui peut s'appliquer à d'autres disciplines. Et en matière de photographie, s'il est un maître qui ne parle qu'à mi-voix, c'est Michel Vanden Eeckhoudt. Et il se fait très bien entendre. Constamment préoccupé par le présent et l'avenir de l'homme, soucieux de la survie des animaux, attentif au comportement des uns en pseudo-liberté et des autres en captivité...
Il photographie avec une étonnante finesse du regard, un sens de la lumière et de la forme aussi spontané que subtil. Discrètement, il dit, et on voit ce qu'il a vu, on comprend ce qu'il a dit, mezza-voce, mieux que s'il avait forcé la voix et appuyé ses effets.
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Nul ne doute plus aujourd'hui de la complexité des liens qu'entretient l'acte photographique avec les notions de mémoire et d'identité. Cette complexité est au coeur de la problématique du photographe Patrick Zachmann ; elle en est même, d'une certaine manière, le fondement : " Je suis devenu photographe parce que je n'ai pas de mémoire. La photographie me permet de reconstituer les albums de famille que je n'ai jamais eus ", écrit-il, affirmant ainsi la dimension introspective de son travail. Sans doute également Patrick Zachmann a-t-il compris très tôt que la question des communautés - et, partant, celle du danger du repli communautaire - constituerait l'enjeu sociologique majeur du XXIe siècle naissant. Dès 1980, il enquête pendant de longues années sur l'identité de la communauté juive française dont il est issu ; il en résulte un livre décisif : Enquête d'identité. A travers ses grands reportages, parmi lesquels ses travaux sur la mafia napolitaine (1982), les jeunes immigrés marseillais (1985), le Printemps de Pékin (1989) - dont les images seront publiées dans le monde entier -, le Rwanda (2000), il approche la réalité des grandes diasporas.
Comprendre, interroger, documenter la vie et la culture des communautés migrantes ou déplacées dictent le travail de Zachmann. On pense à sa longue fréquentation des diasporas chinoises ou maliennes qu'il suit et accompagne de manière approfondie, s'attachant par la photographie ou le documentaire à montrer l'ici (le pays d'accueil) et le là-bas (la terre natale). Cette pratique de l'immersion, de la proximité inquiète des êtres rencontrés, donne à ses travaux une profondeur particulière que l'on retrouve aussi dans son exploration des traces et séquelles du Chili noir de Pinochet.
Plus récemment, il choisit de privilégier la couleur pour son travail Un jour, la nuit, ode poétique aux vibrations nocturnes et intimistes des grandes villes du monde.
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Révolté par l'opposition de ses parents à sa vocation d'officier, Pierre s'embarque pour l'Amérique et s'engage dans l'armée nordiste au début de la guerre de Sécession. Il rencontre Johnson, jeune esclave noir en fuite, avec lequel il va fonder le régiment noir, qui jouera un rôle important dans la guerre. Au-delà des somptueux panoramiques de batailles dignes des plus prestigieux romans d'aventures, ce grand «western de l'inconscient» frappe surtout par sa dimension initiatique, et par la mise en place d'une épopée intérieure. Le Régiment noir, publié par Gallimard en 1972, avait fait l'objet en 2000, chez Actes Sud, d'une nouvelle édition revue et corrigée par l'auteur. C'est cette dernière version qui est ici proposée.
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Mûre est une petite fille solitaire, elle aimerait se joindre aux autres, mais ça ne vient pas, les mots ne veulent pas sortir de sa bouche. À l'école, tout le monde semble l'ignorer, tout le monde sauf un garçon, Gilles, surnommé "Moineau"... Un texte sensible sur le harcèlement scolaire.
4 filles, 1 garçon / 1 h -
Une jeune femme se cherche et se perd dans la pratique du tango et des divers corps à corps que celle-ci favorise. Un roman singulier à la langue tantôt souple, tantôt heurtée, pour dire l'addiction que suscite une danse violemment sensuelle, qui se nourrit des corps autant que des âmes.
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Pour ce travail inédit portant sur le mur de séparation édifié en 1993 entre l'Inde et le Bangladesh, le photographe belge Gaël Turine a reçu en 2013 le Prix spécial du meilleur reportage photo de l'Agence française de développement.
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il est de ces photographes qui ne cherchent pas la notoriété, ni le succès commercial malgré une certaine aptitude à l'image appliquée.
né à pittsburgh, il délaisse vite ses études pour rejoindre new york au tournant des années 1940-1950. dans ce lieu de création intense où se croisent et s'expérimentent des recherches venues des horizons européens et américains, il rencontre rothko et les expressionnistes abstraits, faurer et smith. il découvre la street photography et le travail d'henri cartier-bresson. mais ses images de rue sont d'une extrême originalité et ne témoignent d'aucune influence directe.
il impose sa maîtrise de la couleur dans des vues citadines non conventionnelles dans lesquelles les reflets, les transparences, la complexité des cadrages, les effets de miroir se marient à une technique très particulière des émulsions pour écrire une forme unique de pastorale urbaine.