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Plon
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Qui est le véritable meurtrier d'un être qui se suicide ?
Lui, sans doute.
Et puis tous les autres, aussi.
Quand Roxane ouvre les yeux, elle sait que les choses ne se sont pas passées comme prévu.
Martin et elle formaient un couple fusionnel. Et puis, un matin, on les a retrouvés dans leur lit, suicidés. Si Roxane s'est réveillée, Martin, lui, n'a pas eu sa chance... ou sa malchance. Comment expliquer la folie de leur geste ? Comment justifier la terrible décision qu'ils ont prise ?
Roxane va devoir s'expliquer devant ses proches, ceux de Martin, et bientôt devant la police, car ce suicide en partie raté ne serait-il pas en réalité un meurtre parfait ? Que savons-nous réellement de ce qui se passe au sein d'un couple ? Au sein d'une famille ? Que savons-nous des fêlures de chacun ? -
L'homme nu : la dictature invisible du numérique
Marc Dugain, Christophe Labbé
- Plon
- 21 Avril 2016
- 9782259227797
La révolution numérique liée à Internet a conduit à la formation d'entités monstrueuses, les Big Datas (Google, Apple, Amazon, Facebook, etc) qui à travers les systèmes d'informations qu'elles ont mis en place recueillent des milliards de données qu'elles partagent avec les services de renseignement américain. Demain les Big Datas associées aux services de renseignement auront plus de pouvoir que tous les Etats réunis. Cette suprématie de l'information signifie la fin de la vie privée pour chaque individu et pratiquement aucune chance d'échapper à cette dérive.
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publié initialement pour saluer la date orwellienne de 1984, cet essai était devenu introuvable.
pressé de le rééditer par de nombreux lecteurs, simon leys s'est relu à quelque vingt ans de distance : il a constaté que le sujet n'avait rien perdu de son actualité et que ses propres vues restaient essentiellement inchangées. il s'est donc contenté de modifier un jugement littéraire sur un point de détail, d'ajouter deux informations inédites, de mettre à jour la bibliographie et d'enrichir le bêtisier consacré aux ennemis d'orwell.
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" messieurs-dames, hélas !, l'empereur vient de mourir ! " la nouvelle se répand rapidement à travers toute l'europe, mais en fait, napoléon n'est pas mort.
après une ingénieuse évasion, il avait réussi à regagner la france, laissant un sosie occuper sa place à sainte-hélène - et ce n'est que ce dernier
qui vient de trépasser. mal ajusté à son incognito, napoléon va traverser une série d'étranges épreuves. confronté à son propre mythe, saura-t-il recouvrer son identité ? et qui est-il donc, maintenant que " l'empereur est mort " ?.
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Dictionnaire amoureux : de la mer
Yann Queffélec
- Plon
- Dictionnaire Amoureux
- 31 Mai 2018
- 9782259243353
"Ce livre dit la mer, il dit l'aimer, l'avoir toujours aimée : il ne dit pas toute la mer, vaine ambition d'un fou. Même la grenouille y regarderait à deux fois. Ce livre dit le vieil homme et la mer, la femme et la mer, une lutte contre soi, contre ses rêves, une quête à la vie à la mort de l'horizon ni près ni loin, une osmose avec les éléments dont l'être humain fait partie - s'il n'est ici-bas le maître du jeu. Ce livre dit la mer et les marins, les écrivains, les travailleurs du grand métier, les artistes charmés, charmeurs, les damnés du poisson. Il dialogue avec l'univers par-dessus les jours et les flots. C'est un coquillage où l'on entend, j'espère, battre le pouls du verbe aimer. Ce livre raconte une histoire océanique, la mienne, il ne prétend jamais connaître la mer ni la réduire à ses cadenas, ses tics, l'exhiber à travers les mots comme une bestiole de foire. J'aime la mer et je m'en souviens, j'y vais, je vous emmène avec moi. J'en suis natif comme tous les êtres vivants de terre et d'eau, je vous fais part de cet amour plus vaste que ma voix, plus humble que mes songes.
Un voyage, oui, autour du monde intérieur que je m'efforce d'encercler quand je prends la mer ou mon stylo. Quand je perds la raison à la barre d'un voilier qui ne réagit plus au vérin du « pilote », et perd la raison lui aussi. Quand une île heureuse vient à moi, donnée comme un livre de vie. Quand c'est crado, les ports, les grèves, les abysses, les gens du fric, quand elle gâche tout, la pollution, quand il étouffe, le corail d'Australie, des Antilles - ou qu'il renaît, squelette radieux. Quand il n'y a plus rien à dire tellement c'est beau, la mer, infiniment beau, et que l'on n'est pas seul au bord de cet infini. Aimer la mer, c'est au minimum être deux, être tous. Aimer la mer c'est « être » - c'est vivre."
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Dictionnaire amoureux : dictionnaire amoureux de Tintin
Albert Algoud, Alain Bouldouyre
- Plon
- Dictionnaire Amoureux
- 17 Novembre 2022
- 9782259312974
« Depuis toujours les aventures de Tintin m'accompagnent. Je les ai lues tour à tour avec mes yeux d'enfant, d'adolescent et d'adulte. Ce qui surtout m'enchante chez Tintin, c'est sa liberté. Jeune homme aux semelles de vent, sans parents, sans enfants, sans fiancée, sans âge, sans attache - si ce n'est Moulinsart -, le petit reporter a pour compagnons et pour ennemis une belle brochette d'agités !
Michel Serres dit de l'oeuvre d'Hergé qu'elle est «inusable». Elle est inépuisable aussi, d'une grande complexité et d'une richesse inouïe, tant graphique que narrative, avec ses fulgurances et ses zones d'ombre.
Puisse cet ouvrage, alliant érudition et fantaisie, souvenirs personnels et références à l'imaginaire collectif, intéresser ceux qui ne connaissent pas bien Tintin comme ceux qui l'apprécient. Quant aux tintinophiles, que ce dictionnaire - ô vanité - les surprenne en leur montrant des facettes insoupçonnées de l'oeuvre d'un des plus grands artistes du XXe siècle. » -
Dictionnaire amoureux : du festival de Cannes
Gilles Jacob
- Plon
- Dictionnaire Amoureux
- 8 Mars 2018
- 9782259251549
"Il y a les films, les évènements, les palmarès. Il y a l'air du temps.
Les stars que j'ai aimées et dont je tire le portrait - personnel, artistique, réel, rêvé.
Il y a les metteurs en scène venus de partout, et qui me sont proches. Les pays, les écoles, les genres. La presse. Les photos.
Les jurys, les discussions, les rires. Les pleurs aussi.
Il y a la palme d'or.
Il y a les fêtes, les surprises, les polémiques, les excentricités.
Il y a les festivaliers, tout ce monde mystérieux du cinéma que le public envie et auquel chacun voudrait appartenir.
Ce dictionnaire amoureux conte le roman vrai du plus grand festival de cinéma au monde, et en révèle quelques secrets.
Tour à tour historien, romancier, diariste, commentateur, j'ai souhaité témoigner de ces moments tragi-comiques qui forment la folle aventure du Festival.
J'aimerais que le lecteur se coule dans l'esprit d'un sélectionneur, d'un juré, d'un critique, d'un cinéaste, et suive en coulisses le spectacle inouï de ces années éblouissantes."
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Dictionnaire amoureux : de Tintin
Albert Algoud
- Plon
- Dictionnaire Amoureux
- 6 Octobre 2016
- 9782259241380
"Depuis l'enfance, les aventures de Tintin n'ont cessé de m'accompagner. Je les ai lues tour à tour avec mes yeux d'enfant, d'adolescent et d'adulte (ou de ce qui ressemble à un adulte). Ce qui m'a toujours enchanté chez Tintin, c'est sa liberté : sans parents, sans enfants, sans fiancée, sans âge... M'ont plu aussi ses compagnons, tous fêlés... Haddock le colérique au grand coeur, Tournesol le sourdingue génial, les Dupondt, la Castafiore, Milou, et tous les autres... Lorsque l'on m'a demandé d'écrire un dictionnaire amoureux de Tintin, je l'avoue, j'ai hésité. La littérature autour des travaux d'Hergé est aujourd'hui considérable, à la mesure du succès de Tintin et de ses 250 millions d'album vendus dans le monde. Malgré tout, je me suis lancé pour très vite me rendre compte qu'il en était de cette oeuvre comme des poupées russes, qui déboitées les unes après les autres, révéleraient toujours une Matriochka insouçopnnée, qui elle-même en révélerait une autre plus surprenante encore, et cela, sans fin... Mon but, en alliant érudition et fantaisie, souvenirs personnels et références à l'imaginaire collectif, est d'intéresser à cette oeuvre aux aspects si divers, les lecteurs qui ne connaissent pas bien Tintin comme ceux qui l'apprécient. Quant aux Tintinophiles, je compte bien - ô vanité - les surprendre aussi en leur montrant des facettes insoupçonnées de l'oeuvre d'un des des plus grands artistes du XXe siècle."
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Dictionnaire amoureux : de la République
Jean-Louis Debré
- Plon
- Dictionnaire Amoureux
- 26 Janvier 2017
- 9782259249669
« Il y a longtemps que je pensais écrire un dictionnaire amoureux de la République.
Fondamentalement républicain, du fait de l'origine de ma famille et l'éducation reçue de mes parents, je voulais rendre hommage à ces hommes et femmes qui ont fait progresser l'idée républicaine en France. Il ne s'agit pas seulement d'évoquer l'action de personnalités politiques mais aussi de rappeler l'influence d'écrivains ou artistes et évoquer certains lieux ou s'est réfugié la république.
J'ai fait des choix et les assument. C'est un livre personnel et non un ouvrage exhaustif . J'évoque de nombreux souvenirs familiaux qui m'ont fait aimer et comprendre la république.
Ce n'est pas un ouvrage politique, le seul engagement que je revendique est républicain".
Jean-Louis Debré
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Après Voyages en absurdie, Stéphane De Groodt nous propose la suite de ses chroniques. En véritable jongleur de mots, talent qui lui a valu le prix Raymond-Devos, il nous invite à poursuivre ses rencontres aussi déjantées qu'improbables.
Serge me demande des nouvelles de Vanessa car tout ce qui touche à Paradis l'atteint.
Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui.
Yoko Ono refusait que j'aille au chevet du leadercool dont elle fut la muse. Et quand la muse-gueule, on la ramène pas.
Charlot me répond avoir simplement réussi à trouver sa voie à une époque où le cinéma muait.
C'est à Palo Alto que j'Atari car Steve Jobs a voulu dans la Silicone Caner.
En bonus, le meilleur de son Courrier des téléspectateurs imaginaire livré dans La Matinale de Canal+.
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Amoureux de la langue française et jongleur de mots, Stéphane De Groodt revisite à sa manière, drôle et absurde, les expressions de notre langue. Un ouvrage inédit dans la droite ligne de ses best-sellers, Voyages en absurdie et Retour en absurdie.
Dernier carat « Il est dit que c'est le dernier carat parlé qu'aura raison. » C'est Byzance !
« Non, c'est Istanbul. Indique qu'il serait grand temps de mettre à jour votre GPS. » Sur un coin de table « Expression que nous devons aux chevaliers de la Table ronde. » Dessins de Raphaël Cruyt
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A l'occasion du 100e anniversaire de la victoire de 1918, Maggie, une vie pour ne finir raconte le destin vrai d'une femme dont la vie a été bouleversée par la Première guerre mondiale.
Les guerres sont propices à la naissance des grandes histoires d'amour. En période de conflit, on aime avec passion et rapidité, comme si chaque jour était le dernier. Des vies basculent au milieu des morts qui se succèdent. La société change de visage et l'Europe se dirige, sans le savoir, vers un autre désastre.
A l'occasion du centième anniversaire de la victoire de 1918, ce roman raconte le destin d'une femme dont la vie a été bouleversée par le conflit. On y retrouve l'esprit de Downton Abbey et celui de la jeunesse d'Agatha Christie qui se porta volontaire dans les hôpitaux et dont Maggie sera une fidèle lectrice. Mais on y croise aussi les affres de la Seconde Guerre mondiale, l'ombre de la Guerre Froide et la folie consumériste qui caractérise les lendemains de conflit. Un monde jeté à terre n'a qu'une seule volonté, celle de renaître plus grand, plus beau et plus fort. Mais quand les " golden sixties " surgissent, il est trop tard pour les témoins des heures sombres. Ils incarnent des épisodes tragiques que chacun cherche à oublier.
A travers la vie, les choix et la mort de Maggie, c'est l'histoire de ces innombrables femmes du XXe siècle qui s'incarne. On les a un peu oubliées mais les femmes d'aujourd'hui leur doivent beaucoup.
Parti sur les traces de sa grand-mère et de ses origines familiales, Patrick Weber nous conduit d'Altrincham à Manchester, de Londres à Bruxelles, d'Anvers aux camps de concentration allemands. -
Les propos sur la peinture du moine Citrouille-Amère
Pierre Ryckmans
- Plon
- 25 Janvier 2007
- 9782259205238
A la fois manuel de peinture et ouvrage philosophique, ce traité représente une des expressions les plus hautes et les plus complètes de la pensée esthétique chinoise.
En Chine, les peintres se sont principalement recrutés parmi l'élite lettrée ; tout naturellement donc ils ont eux-même beaucoup écrit sur leur art. Le traité sur la peinture dû à Shitao (début du XVIIIe siècle) est apparu presque au terme de cette millénaire tradition de théorie picturale, dont il constitue tout à la fois une sorte de synthèse et un prodigieux sommet. Ce texte est dense et riche, car il tire sa substance des sources les plus diverses -d'une part, la vaste littérature des peintres, et de l'autre, les classiques de la pensée taoïste, confucéenne et bouddhique- mais il use d'un langage extrêmement précis et rigoureux, comme Pierre Ryckmans le montre dans les commentaires dont il accompagne chacun des dix-huit chapitres de sa traduction. Le traité de Shitao n'offre pas seulement la meilleure des introductions à l'esthétique picturale chinoise ; il présente aussi la méditation originale d'un peintre de génie qui, appuyé sur l'expérience d'une vie, se pose les questions fondamentales : pourquoi peindre ? comment peindre ? Sa réponse éclaire les liens qui unissent la création picturale à la création cosmique, et après avoir inspiré artistes et esthètes chinois, la pensée de Shitao est venue maintenant stimuler la réflexion d'un nombre croissant de lecteurs occidentaux - comme en témoigne l'accueil fait aux premières éditions (maintenant épuisées ) du présent ouvrage. -
Eugène Delacroix, grand génie de la peinture française et universelle, révèle ses talents extraordinaires d'écrivain à travers ce Journal, ces nombreuses notes et correspondances, réédités aujourd'hui avec une fidélité absolue aux textes originels.
Quelque temps après la mort de Delacroix, sa domestique Julie apportait chez le peintre Constant Dutilleux, rue de Rennes, un paquet volumineux expédié par la gouvernante du maître, Jenny Le Guillou.
" Quelle surprise de découvrir cahiers et agendas tout remplis de l'écriture de son illustre ami. D'autant que le bruit s'était répandu au moment des funérailles, que Delacroix avait ordonné à sa gouvernante de les brûler devant lui, alors qu'il était déjà alité. "
Publié pour la première fois par la Librairie Plon en 1893, le Journal comprend deux parties distinctes, 1822 à 1824 et 1847 à 1863, séparées par un intervalle de vingt-trois ans. Dans la présente édition, cet aspect caractéristique a été respecté. De même, il a été réservé pour un supplément tous les fragments appartenant à des époques différentes de la vie d'Eugène Delacroix, qu'il est bien souvent difficile de pouvoir dater avec précision. Une seule exception a été admise pour les carnets du Voyage au Maroc, qui constituent une sorte de journal de route.
Ce Journal est un monument unique. Les artistes, chez nous, sont d'ordinaire exclusivement artistes, c'est-à-dire artisans, et quand ils se mêlent d'écrire, un Fromentin par exemple fait figure d'un écrivain doublé d'un peintre amateur. Il en va tout autrement de Delacroix, grand artiste, grand écrivain, ou mieux, grand homme dont le génie éclate dans toutes ses manifestations, qu'il peigne ou qu'il écrive comme chez les grands Italiens de la Renaissance. Il s'est d'ailleurs toujours élevé contre ce qu'il appelait la " limitation des genres ". Toutes sa vie, il a adoré écrire, pour lui d'abord, pour les autres ensuite, comme le montre son abondante correspondance qui, le jour où elle sera réunie, constituera le pendant et le complément du Journal. -
Amoureux de l'opéra ? mais nous le sommes depuis nos quinze ans...
Quand nous faisions la queue, dès cinq heures du matin, devant les grilles fermées du palais garnier pour obtenir l'une de ces fameuses " stalles de face " qui permettaient de tout voir et de tout entendre, fût-ce de très haut... amoureux de l'opéra ? nous le sommes resté toute notre vie. en classant par ordre alphabétique nos passions, nos amours et parfois nos regrets, c'est tout cela que nous tentons de faire partager à ceux qui les partagent déjà un peu, beaucoup, passionnément.
Mais nous ne sommes ni musicologue, ni historien de la musique. nous ne parlerons que de nous, face à des chefs-d'oeuvre ou à de simples divertissements, en nous souvenant de voix aimées, de moments disparus. nous avons donc choisi de présenter par ordre alphabétique d'abord des opéras, chanteurs et chefs d'orchestre. les premiers, parce que c'est là le coeur de ce dont nous voulons parler, les seconds, parce que ce sont eux qui nous ont fait aimer ou qui nous font encore aimer tant d'oeuvres.
De même, nous sommes-nous attardé sur quelques hauts lieux, théâtres d'opéra et festivals, du monde lyrique d'aujourd'hui.
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Stéphane De Groodt propose un recueil de ses meilleures chroniques. Sur un ton très décalé, il joue avec les mots avec une absurdité revendiquée et s'inscrit dans la droite ligne de Raymond Devos. Humoriste à la notoriété grandissante, ce recueil est son premier ouvrage publié.
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Massada : tes syllabes chantent quand je les laisse sonner à mon esprit. Je les murmure, et elles suffisent à me faire du bien. Tu es la forteresse de montagne. La haute retraite. Tu es l'Imprenable.
Après la chute de Jérusalem, noyée dans le sang, les derniers rebelles juifs ont trouvé refuge à Massada. Mais les Romains sont opiniâtres, et le siège dure depuis des mois.
Là-haut, Hagar et son petit frère accomplissent les corvées d'eau et écoutent les grands parler du Tout-Puissant, qui pourrait encore venir les délivrer. En bas, dans le village de fortune où se côtoient ceux qui servent l'armée, Djanu, 15 ans, se voit déjà adopté par le général lorsque sa rencontre avec une putain égyptienne, obsédée par la citadelle, bouleverse son désir et ses ambitions. Avant que la terrible rampe d'assaut n'atteigne son but, Djanu fera tout pour qu'elle se livre à lui, corps et âme.
Dans ce roman d'apprentissage où l'Antiquité sert de miroir, Sylvestre Sbille interroge notre spiritualité moderne. Il ressuscite, dans le bruit et la fureur, l'un des épisodes les plus fascinants de l'histoire des hommes.
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Dictionnaire amoureux : de la Belgique
Jean-Baptiste Baronian
- Plon
- Dictionnaire Amoureux
- 8 Octobre 2015
- 9782259223171
Ce livre est un vagabondage sentimental à travers la Belgique d'hier et d'aujourd'hui, ainsi qu'une vibrante célébration de ses personnalités les plus connues et de ses figures les plus méconnues. Roland de Lassus, Pieter Bruegel, Pierre Paul Rubens, Léopold II, Félicien Rops, Émile Verhaeren, Georges Simenon, Hergé, René Magritte, Jacques Brel, Eddy Merckx, Jean-Claude Van Damme, Amélie Nothomb, les frères Dardenne, Simon Leys, Justine Henin, Stromae. eux et des dizaines d'autres, ils sont tous là, au même titre que de drôles de personnages comme Clément Doucet, l'énorme complice de Jean Wiéner, ou Louis Hennepin, le premier homme à avoir atteint les sources du Mississipi.
Mais la Belgique ne serait pas ce qu'elle est sans ses grands mythes : le surréalisme et le fantastique, les béguinages et les châteaux, les Schtroumpfs et les belgicismes, le chocolat et la bière, les moules et les frites, les vacances au littoral et celles dans les Ardennes, la balle pelote et les courses cyclistes, Quick et Flupke, Anderlecht et le Standard. Et puis toutes ces villes (Bruxelles, Liège, Anvers, Bruges ou Ostende), et toutes ces choses bizarres, parfois secrètes et mystérieuses, qu'on ne trouve nulle part ailleurs : les Agathopèdes, la fête des chats, la guerre de la vache, la pataphonie. Vagabondage libre, passionnel et ardent, auquel sont également mêlés quelques étrangers de renom tels que Victor Hugo, Karl Marx ou Giacomo Puccini, qui ont droit chacun à une entrée.
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Une histoire de chansons, de littérature et surtout d'amour.
" Françoise Mallet-Joris, poète, penseuse, philosophe, romancière était un formidable écrivain. Elle était aussi - et elle était surtout - mon amie. Ma compagne. Ma passion.
Dans les années 70, nous formions un couple, sans souci, sans honte, sans pudeur. Nous étions ensemble naturellement, sans rechercher le scandale que nous créions pourtant dans une société figée qui n'admettait pas que deux femmes puissent s'aimer ouvertement.
C'est après sa disparition, en 2016, que je me suis aperçue de la grandeur et de la profondeur de son attachement. "On n'a rien donné, tant qu'on n'a pas tout donné', écrit sainte Thérèse de Lisieux. Françoise, elle, m'a tout donné avec une générosité sans mesure. Mais je ne m'en suis pas aperçue, prenant pour gentillesse et dévouement ce qui n'était qu'oubli de soi et pureté du coeur. Aujourd'hui, je veux lui rendre hommage et dire combien son intelligence irradiante, sa personnalité modeste et attachante ont contribué à libérer la littérature, la chanson, les moeurs aussi, et à faire grandir, enfin, celle que je suis devenue. " -
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Par son écriture, les "Tristes tropiques" des rues de Paris. Le désenchantement du progrès, une descente aux enfers. Un grand Terre Humaine.
Nous les côtoyons tous les jours. Souvent ils sont ivres et peinent à mendier. Ils sentent mauvais, vocifèrent et font un peu peur. Nos regards se détournent. Qui sont ces marginaux aux visages ravagés ? Des exclus ? Des pauvres ? Ce sont les clochards. Fous d'exclusion. Fous de pauvreté. Fous d'alcool. Et victimes surtout. De la société et de ses lois. Du marché du travail et de ses contraintes. Mais au-delà, c'est contre la vie même qu'ils se révoltent. C'est elle qu'ils combattent. C'est elle qu'ils haïssent. Hallucinés, ivres, malades, c'est un autre et impossible ailleurs dont ils s'obstinent à rêver furieusement.
Patrick Declerck, psychanalyste et ethnologue, a suivi la population des clochards de Paris, durant plus de quinze ans : dans la rue, dans les gares, dans les centres d'hébergement, au Centre d'accueil et de soins hospitaliers de Nanterre, au Samu social. En 1986, dans le cadre de Médecins du Monde, il a ouvert la première consultation d'écoute destinée aux SDF en France.
Ce livre montre toute l'ambiguïté de ces hommes écrasés qui, avec une sombre dignité, se détournent du monde, pour mieux se détruire sous nos yeux. Au travers d'observations ethnologiques et psychopathologiques, d'histoires de vie, de fragments autobiographiques et de souvenirs d'enfance, c'est en filigrane, à une promenade philosophique aux limites de l'humain que le lecteur est convié.
Prix France Télévision "Essais" 2002. -
C'est un thriller, c'est parfois une comédie, c'est souvent un drame. Mais ce n'est pas une fiction. Au coeur, de l'Europe, les belges se déchirent, un royaume se disloque. Flamands et francophones s'éloignent chaque jour davantage. Au milieu de cette lutte politique sans merci : un homme, le roi Albert II, et une institution, la monarchie belge. Tant bien que mal, le souverain des Belges tente de sauver les meubles, de maintenir ensemble les morceaux d'une façade qui se lézarde. Peut-il garantir la survie de son pays ? Et que se passera-t-il lorsque le prince héritier, le très controversé prince Philippe, succédera à son père ?
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Valentin ne décolère pas... L'enquiquineuse mais néanmoins ravissante Kyo a besoin de lui pour résoudre une histoire maléfique de fantôme. Ce dernier s'en prend sans vergogne à ce qu'ils ont de plus cher : la vie d'Adriana Blou, ancienne cantatrice de charme et de choc, leur grand-mère...
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